Labaroche

Labaroche est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec La Baroche.

Labaroche

La Place, partie haute du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Kaysersberg
Maire
Mandat
Bernard Ruffio
2020-2026
Code postal 68910
Code commune 68173
Démographie
Population
municipale
2 138 hab. (2018 )
Densité 159 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 38″ nord, 7° 11′ 38″ est
Altitude Min. 420 m
Max. 980 m
Superficie 13,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Labaroche
(ville isolée)
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Marie-aux-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Labaroche
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Labaroche
Géolocalisation sur la carte : France
Labaroche
Géolocalisation sur la carte : France
Labaroche
Liens
Site web http://www.labaroche.fr/

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Ses habitants sont appelés les Barochais ou les Barotchais.

    Géographie

    Labaroche est située sur un plateau, à une altitude moyenne de 750 mètres, entre les vallées de Kaysersberg et de Munster. La commune culmine dans sa partie méridionale par deux mamelons jumeaux, le Grand Hohnack (980 m) et le Petit Hohnack (927 m). Le village est très étendu et compte de nombreux hameaux : la Place, les Évaux, la Chapelle, Basse Baroche...

    C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Écarts et hameaux

    • Les Coreaux
    • Mochta
    • L'Arrêtement
    • Basse Baroche (altitude 500 mètres)
    • Les Granges
    • Bassatte
    • Les Evaux
    • Les Christés
    • Le Chêne
    • Fraugré
    • Bâa
    • La Trinque
    • Giragoutte
    • Rochure
    • Henzelle
    • La Chapelle
    • Les Fontenelles
    • Faîte
    • Rain de l’Église
    • Rouge-Grange
    • Cras
    • L'enclos
    • Gestion
    • Leyman
    • Goutte
    • Mauresfontaine
    • La Rochette
    • Derrière la Roche
    • L’Étang
    • Les Mulles
    • Derrière le château

    Ces hameaux et écarts sont éparpillés dans de profonds vallons et sur les sommets les plus élevés, qui peuvent atteindre près de 800 mètres. Il existe à Basse Baroche une église sous le patronage de saint Michel.

    Cours d'eau

    • Le Walbach.

    Urbanisme

    Typologie

    Labaroche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Labaroche, une unité urbaine monocommunale[5] de 2 165 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (14,6 %), prairies (7,9 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Labaroche signifie la paroisse en dialecte roman. On n'y a d'ailleurs jamais parlé l'alsacien mais le welche.
    Le véritable nom paraît être la Paroche, du latin parochia, en allemand Kirchspiel[12].
    Les dates sont celles des années où apparaissent les noms dans les documents : Festum en 1077, Ecclesia Celle en 1302, Zell en 1441, Payonzelleen 1564, Parochus loci Zell, vulgo La baroche XVIIe. Fusion entre Hachimette et La Baroche qui formait une des quatre paroisses du Val d'Orbey.[réf. nécessaire]
    En allemand Zell[12], en patois Lè Barauwtch.

    Histoire

    Château du Hohnack : vestiges des tours.

    La commune à travers les siècles

    Machine-outil fabriquée en 1945 à partir de pièces détachées récupérées sur un char allemand, musée des métiers du bois de Labaroche.

    La commune, dominée par le château du Hohnack, apparaît en 1114 sous la dénomination « Festum », puis « Celle » en 1302 et enfin Labaroche au XVIe siècle. Vers le XIe siècle, l'abbaye de Saint-Dié possède des terres à Labaroche et la communauté qui s'y est formée prend le nom de Celle en référence aux cellules des moines.

    Du XIIe siècle à la Révolution, bien que francophone, le village appartient à des seigneurs allemands, les Ferrette, à l'évêque de Bâle, aux Ribeaupierre en tant que dépendance de leur château de Hohnack, puis à la ville de Colmar dont le prévôt, Sigefroi de Gundolsheim, obtint de l'empereur Rodolphe Ier la permission de fortifier le château du Hohnack. Plus tard, le château revint à nouveau aux Ribeaupierre, sur lesquels il fut pris, en 1635, par les Français commandés par Mannicamp. Louis XIV le fit détruire en 1655. Avant la guerre de Trente Ans, la paroisse de Labaroche englobe aussi Hachimette. Lors de ce conflit, la population est décimée. Après le traité de Westphalie, en 1648, Labaroche est réintégrée dans le royaume de France, avec l'ensemble de la seigneurie. Au XVIIIe siècle, une agriculture se développe ainsi que l'élevage de bovins. Pendant la Révolution, les vestiges du château du Hohnack sont vendus comme bien nationaux.

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le village fut l'enjeu d'un combat le 15 octobre 1870. Devenue allemande en 1871, la commune reçoit le nom de Zell.

    En 1914-1918, la commune est prise dans la bataille du Linge et au cours de la Seconde Guerre mondiale, Labaroche est bombardée et détruite à 90 % lors des combats de la poche de Colmar qui ont lieu pendant l'hiver 1944-1945. L'usine textile créée en 1929[13],[14] ferme en 1956 et l'agriculture traditionnelle périclite, faisant place au tourisme.

    La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[15], et le elle recevra la croix de guerre 1939-1945[16].

    Légende du « mouchoir du diable »

    La légende[17] raconte comment aurait été fondé Labaroche :

    Il se dit en pays welche qu'il y a bien longtemps, Labaroche n'était habitée que par des Hommes mauvais. Dieu, qui finit par être lassé de leur impiété et de leurs crimes, décida de livrer la ville aux affres de Satan, seigneur des enfers. Égayé par la promesse de tant d'âmes à récolter impunément, celui-ci fondit sur le village un immense mouchoir à la main. Une fois la commune à sa portée, le diable déploya son tissu afin de cueillir en une fois l'église et toutes les maisons de la commune pour les ramener aux enfers avec lui. La légende veut que pas une seule des dix-neuf-cents maisons établies jadis à Labaroche n'échappa à ce méfait.

    Mais tandis que le Satan exultait et se dirigeait vers son royaume, il fut arrêté net près du Veurvônnais par un bruit sourd. Se retournant, il ne put que constater que son immense mouchoir venait d'être déchiré d'un coup de lance par une auguste silhouette : celle de son grand ennemi l'archange saint Michel. Effrayé par ce soudain assaut et poursuivi par l'archange rédempteur, le seigneur des abîmes tenta de fuir : il courut à travers les monts et les vallées de Labaroche en laissant choir de son étoffe percée toutes les habitations qu'il avait moissonnées. Par ce biais, de petits hameaux se dispersèrent çà et là sur le territoire de la commune, formant les lieux-dits et écarts que l'on connait encore aujourd'hui : Giragoutte, les Evaux, la Place et encore beaucoup d'autres. Une fois arrivé à Basse Baroche, il ne restait guère que l'église dans le mouchoir et celle-ci tomba en ce lieu lorsque dans un énième soubresaut, le diable essaya d'éviter un autre des assauts de saint Michel.

    Son mouchoir désormais vide et humilié par l'archange, Satan rentra dans son antre et paya pendant longtemps son larcin avorté. Depuis ce jour, les habitants du village jurèrent tous leur foi en Dieu et en leur désormais protecteur l'archange saint Michel et les lieux-dits disséminés par le mouchoir du démon demeurèrent, témoignant pour l'éternité de la précédente lutte entre ciel et enfer.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à trois têtes d'aigle arrachées de sable, becquées et couronnées d'or, lampassées de gueules[18].
    Commentaires : La commune a adopté en 1974 les armoiries de la seigneurie de Hohnack dont les ruines du château éponyme dominent le village.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Jean-Baptiste Prud'homme[19]
    (1870-1949)
      Cultivateur
    Léon Gullung[20]
    (1894-1944)
      Charpentier, entrepreneur
    Jean-Baptiste Prud'homme
    (1870-1949)
      Cultivateur
    Auguste Prud'homme   Cultivateur
    René Prud'homme    
    Frédéric Preiss    
    Gérard Klinklin    
    Yvan Schielé DVD  
    Bernard Andrès DVD Responsable sécurité ONF
    En cours
    (au 31 mai 2020)
    Bernard Ruffio [21]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    SE Fonctionnaire
    Vice-président de la CC de la Vallée de Kaysersberg (2014 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'église Saint-Joseph.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

    En 2018, la commune comptait 2 138 habitants[Note 3], en diminution de 3,78 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 4571 4261 7172 0142 0212 0552 2282 303
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    2 0852 1112 0572 0721 9021 8751 8121 7771 688
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7041 5911 4951 2801 1611 1701 1629701 122
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1031 1571 2041 4831 6761 9852 1752 2022 229
    2013 2018 - - - - - - -
    2 2222 138-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Michel au lieu-dit Basse Baroche (Labaroche).
    Chapelle Saint-Wandrille.
    La nef de la Chapelle.
    Le Musée des métiers du bois.

    Ruines du château féodal du Petit Hohnack

    Propriété de la commune, le château du Petit Hohnack est classé monument historique depuis 1905. Construit au XIIe siècle par les comtes d'Eguisheim, il sera démantelé en 1655 sur ordre de Louis XIV. Le site reste remarquable : une bonne partie de l'enceinte polygonale demeure, ainsi que des parties importantes des tours et du donjon. Les vestiges ont été restaurés et consolidés au XXe siècle[26],[27],[28].

    Église Saint-Michel (1787)

    Cette église-halle est construite au sommet d'une colline rasée, étayée par des murs de soutènement, à Basse Baroche. La toiture du clocher, érigée sur le transept gauche, est refaite en 1836 et celle de la nef en 1854, une tempête l'ayant en partie détruite trois ans avant. Une horloge est installée également en 1854. L'église est incendiée en janvier 1945, lors des combats de la Libération. Elle est reconstruite sur le modèle de l'ancien en conservant la façade de 1787 et l'entrée de style classique, mais sa longueur est diminuée[29].

    Église Saint-Joseph et Saint-Wandrille (1955)

    Financée par les indemnités versées au titre des dommages de guerre, la construction de cette église moderne s'étend sur six années[30]. Comportant une nef, un transept et un chœur, son plan général respecte la croix latine. Cependant celle-ci est intégrée, à la base, dans une construction rectangulaire et les bras du transept ne se détachent visiblement de la nef que dans leur partie supérieure. La nudité de la grande et large façade est rompue par l'oculus qui domine le portail.

    Chapelle Saint-Wandrille (1868-1869)

    Dans sa pérégrination, après avoir séjourné au monastère de Romains-Moutiers, au pied du Jura, saint Wandrille a pu remonter vers le nord et se fixer pour un temps dans les Vosges. Il aurait ainsi construit à Labaroche un petit oratoire, bien qu'aucune chronique ne l'affirme. Ce qui semble plus plausible, c'est qu'au Moyen Âge des moines défricheurs venus de l'abbaye de Fontenelle soient passés par Labaroche et y aient apporté le culte de saint Wandrille leur patron. Il existe d'ailleurs à Labaroche un lieu-dit qui s'appelle « Les Fontenelles » qui a peut-être un rapport avec cette abbaye. Depuis une date immémorable, il existe une chapelle Saint-Wandrille à Labaroche. La chapelle actuelle fut construite entre 1868-1869. Gravement endommagée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle fut peu à peu restaurée et rendue au culte le [31],[32].

    Musée des métiers du bois

    En 1989, quelques collectionneurs passionnés par le patrimoine forestier décident de récupérer les pièces d'une scierie désaffectée. Désireux d'offrir au public un témoignage de la vie d’autrefois à Labaroche, ils obtiennent en 1991 le soutien de la commune. Peu à peu, ils collectionnent des outils et des machines de menuiseries, de sabotiers et d'usage agricole en rapport avec le bois.

    En 1996, la commune obtient les subventions nécessaires à la construction d’un bâtiment capable d'abriter un musée. La charpente est réalisée avec 360 m3 de bois de résineux local, et la construction s'étale de 1996 à 1997.

    En 2000, la plus grosse machine — le haut fer (scie à grumes) — est mise en route grâce au remontage des pièces de la scierie.

    Le Musée est dirigé par une association regroupant 40 bénévoles de tous horizons (ingénieurs, ouvriers, mécaniciens, enseignants, retraités, etc.).

    Le Musée des métiers du bois, occupant 2 000 m2, est consacré à la découverte de l'arbre dans la forêt et du travail du bois de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle. La visite d'environ 2h30 se fait en compagnie de guides qui font fonctionner différents outils et machines en en expliquant le fonctionnement : une machine à vapeur (année 1896), un haut fer, des tours reproducteurs de manches de haches, une saboterie etc. Un espace pédagogique est consacré à la compréhension de l'arbre (le regarder, le toucher, le sentir). Un secteur est réservé à l'exposition d'une collection d'environ 900 jouets en bois [33].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Labaroche », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Georges Stoffel - Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin (1868)
    13. « Tissage Herzog », notice no IA68007697, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    14. « Immeuble du tissage Herzog », notice no IA68007698, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    15. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    16. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    17. UFO Themes, « Légende | Labaroche », sur www.labaroche.fr (consulté le ).
    18. Archives Départementales du Haut-Rhin
    19. Fiche généalogique de Jean Baptiste "Jules" PRUDHOMME, sur geneanet.org
    20. Fiche généalogique de Léon GULLUNG, sur geneanet.org
    21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Alain Morley, Le Guide des châteaux de France, Volume 68, le Haut-Rhin, éditions Hermé - Dernières Nouvelles d'Alsace, page ??
    27. « Ruines du château de Hohenack (petit Honack) », notice no PA00085500, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Château fort de Hohnack », notice no IA68007705, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Eglise paroissiale Saint-Michel », notice no IA68007607, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Eglise catholique Saint-Joseph artisan », notice no IA68007608, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Chapelle Saint-Wandrille », notice no IA68007609, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. A voir à Labaroche
    33. Le musée des métiers du bois
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