Wihr-au-Val

Wihr-au-Val (en allemand Weier-im-Tal, en alsacien Wihr ìm Dàl) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Wihr-au-Val

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Munster
Maire
Mandat
Gabriel Burgard
2020-2026
Code postal 68230
Code commune 68368
Démographie
Gentilé Wihriens
Population
municipale
1 253 hab. (2018 )
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 15″ nord, 7° 12′ 23″ est
Altitude Min. 288 m
Max. 960 m
Superficie 12,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wintzenheim
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Wihr-au-Val
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Wihr-au-Val
Géolocalisation sur la carte : France
Wihr-au-Val
Géolocalisation sur la carte : France
Wihr-au-Val
Liens
Site web https://www.wihr-au-val.fr/

    Elle est située à 15 km de Colmar et à 85 km de Strasbourg.

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    C'est un petit village vinicole faisant partie de la vallée de Munster. Les habitants sont appelés les Wihriens.

    Géographie

    Localisation

    Wihr-au-Val est un petit village sur la route des vins d'Alsace, Wihr-au-Val se situe à km de Munster et à 13 km de Colmar.

    Les communes limitrophes sont Gunsbach, Orbey, Labaroche, Walbach, Wintzenheim, Voegtlinshoffen et Soultzbach-les-Bains.


    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 254 hectares ; son altitude varie entre 288 et 960 mètres. Les forêts occupent 730 hectares, soit près de 60 % du ban communal.

    Le point culminant du ban communal est situé à 960 m, sur les flans du Kuhberg, aux confins des bans d'Orbey et de Gunsbach.

    Le sommet le plus haut de la commune est le Zwergberg situé à 951 m d'altitude, au nord du village, et son sommet le plus emblématique est le Staufen à 899 m d'altitude, situé au sud.

    Le village est situé sur un substrat alluvial. Le massif au nord du ban est essentiellement granitique jusqu'à 900 mètres d'altitude. La crête est constituée de grès rose. Le massif du Staufen, au sud, est constitué essentiellement de schiste[1].

    Hydrographie

    Le ban de Wihr-au-Val est traversé par la Fecht. Le village est traversé par le ruisseau du Grosswasserbach ou Thormattenbach partiellement enterré, affluent rive gauche de la Fecht. Le Muehlcanal est un ancien canal de dérivation situé en rive gauche de la Fecht, qui alimentait les anciens moulins. Le Krebsbach, affluent en rive droite de la Fecht traverse également le ban communal[2].

    Voies de communication et transports

    Le village est situé au bord de la D417 (ancienne Route Nationale 417) reliant Colmar à Remiremont par le col de la Schlucht.

    Il est traversé par la D10 reliant Ingersheim à Sondernach.

    Il est desservi par la ligne de chemin de fer Colmar-Metzeral, Gare de Wihr-au-Val-Soultzbach.

    Urbanisme

    Typologie

    Wihr-au-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    La commune est constituée d'une agglomération principale autour du bourg médiéval, qui s'est agrandie d'abord autour des axes routiers, puis par la création de lotissements. S'y ajoute un hameau au lieu-dit La Nouvelle Auberge, une quinzaine d'habitations à l'ouest de la rue de la Gare dans l'agglomération de Soultzbach-les-Bains, une habitation sur les hauteurs de l'agglomération de Gunsbach, deux fermes isolées aux lieux-dits Gigerburgersmatten, une ferme au lieu-dit Obere Muehlmatten, le long de la D430 et une ferme dans le vallon de l'Altenbach (centre équestre).

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,5 %), terres arables (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones urbanisées (5,1 %), cultures permanentes (4,2 %), prairies (4,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    La première origine connue du nom date d'un document de 896 sous le nom de « Bonifacii Villare », c’est-à-dire la villa de Bonifacius, duc franc d'Alsace. D'après ce document, Bonifacius vers 660 s'était fait ériger un pavillon de chasse où il séjournait quand il venait chasser ; son souvenir lui survit dans le nom du village portant désormais son nom. Par la suite « Villare » est devenu, « Wilre » (1120), « Wilr bi Girsperg » (1344), « Wilr im Munstertal » (1475), « Weiller » (1572), puis « Wihr »[10].

    Il était toujours précisé « Weiller im Gregorienthal (aujourd'hui encore les bornes marquant le ban communal portent les lettres « WIG », « WG » ou « GW »), ou « Wihr au Val Saint Grégoire » à compter de 1648. Après 1789, la mention à Saint Grégoire disparaît et la ville devient Wihr-au-Val.

    La ville s'est appelée Weier im Thal entre 1871 et 1918 et entre 1940 et 1945.

    Histoire

    660 Fondation de l'Abbaye de Munster (à cinq kilomètres à l'ouest du centre-ville de Wihr) par Boniface d'Alsace.

    896 Wihr-au-Val est citée pour la première fois sous le nom « Bonifacii Villare », ferme de Boniface.

    1162 Le bourg est octroyé en fief aux Ribeaupierre.

    1279 Il est incendiée par les Girsberg [11]. Constructions d'une enceinte autour du village, et du château du Sonnenbourg.

    1181 Les Girsberg tentent de construire un château au sommet du Staufen, qui est immédiatement détruit par l'Evêque de Strasbourg.

    1184 Les Girsberg reconstruisent un château au sommet du Staufen qui, comme le premier, sera détruit la même année par les Hattstatt.

    1190 - 1191 Siège du château du Girsberg par les Ribeaupierre, jusqu'à sa reddition.

    1293 Wihr subit un siège et est une nouvelle fois entièrement détruit.

    1316 Le château du Gigersbourg est cédé aux Ribeaupierre et définitivement abandonné.

    1346 Wihr et son château du Sonnenbourg sont cédés en arrière-fief aux Hattstatt.

    1440 Les Ribeaupierre récupèrent leur fief.

    1632 La Guerre de Trente Ans touche le bourg, qui sera plusieurs fois pillé par la suite lors de ce conflit.

    1648 Rattachement au Royaume de France. Weyr im Gregorienthal devient Wihr au Val Saint Grégoire.

    1673 Extinction de la Famille Ribeaupierre. Wihr appartient au prince des Deux-Ponts.

    1792 Destruction de la Chapelle de la Sainte Croix par des révolutionnaires (elle est reconstruite en 1806, et gravement endommagée le 18 juin 1940). Wihr au Val Saint Grégoire devient Wihr au Val.

    1848 Révolution de 1848. Médard Burgard maire de la commune. Il sera élu député à l'Assemblée Nationale, où il siégera "à gauche".

    1871 L'Alsace est annexée par l'Allemagne. Wihr-au-Val devient Weier im Thal.

    1914 Combats sur l'espace situé entre le village et Gunsbach, à la Croix de Wihr et autour de la chapelle de la Sainte Croix. Ici est tué le 31 août Agier Jean-Baptiste-Marcel, né le 24 / 01 / 1898 à Brugheas (Allier), plus jeune soldat français mort lors de la Première Guerre mondiale, à l'âge de seize ans sept mois et sept jours [12]. 1918 Retour de la municipalité à la France, Weier im Thal redevient Wihr-au-Val.

    1940 Le 18 juin, 107 maisons, 70 granges, la mairie, le clocher de l'église [13] ... sont détruits par un bombardement aérien allemand de représaille [14]. Libération du village le .

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2014

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[15] :

    • total des produits de fonctionnement : 966 000 , soit 740  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 736 000 , soit 563  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 135 000 , soit 103  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 80 000 , soit 61  par habitant ;
    • endettement : 296 000 , soit 227  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 6,31 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,16 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 42,01 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs à partir de 1911
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1911 1918 Adrien Burgard    
    1919 1927 Joseph Straub    
    1927 1931 Joseph Baldenberger    
    1932 1941 Jean Burgard    
    1941 1945 Mathieu Tannacher   administration allemande
    1945 1947 Henri Zimmermann    
    1947 1963 Jean Burgard    
    1963 1971 Auguste Fritsch    
    1971 1995 Cyrille Martin    
    1995 2014 Michel Sauffisseau[16]    
    28 mars 2014 En cours Gabriel Burgard UDI  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2018, la commune comptait 1 253 habitants[Note 3], en diminution de 1,34 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7307229258611 1211 1801 1361 1941 134
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 1061 0461 0081 035975950894868862
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    885941897900888870880788959
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0271 0331 1061 0511 0891 2321 1771 2641 269
    2018 - - - - - - - -
    1 253--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Associations

    • Association L.A.S.C (Loisirs Artisanat Sport et Culture)
    • Association L'Entente Cynophile de la Vallée de Munster
    • Club Sportif « Étoile Rouge »
    • Association Mon P'tit Patrimoine
    • Association du Foyer Saint Sébastien
    • Association de la Chapelle
    • Association Soleil d'Automne
    • Association Tennis de table
    • Amicale des pêcheurs
    • Amicale des donneurs de sang
    • Amicale des sapeurs pompiers

    Économie

    Revenus de la population

    En 2017, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 780 €[21]..

    Emploi

    En 2017, la population âgée de 15 à 64 ans comptait 78 % d'actifs en 2016, dont 72.6 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs.

    On comptait 337 emplois dans la zone d'emploi en 2016, contre 378 en 2011. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 568, l'indicateur de concentration d'emploi est de 59,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins de 0,6 emplois par actif.

    Entreprises et commerces

    Au , Wihr-au-Val comptait 123 établissements : 11 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 21 dans la construction, 62 dans le commerce-transports-services divers et 22étaient relatifs au secteur administratif.

    Vignoble

    Le vignoble de Wihr-au-Val, dont les côteaux montent jusqu'à 500 mètres d'altitude, constitue le vignoble le plus élevé de l'ensemble de l'appellation Vins d'Alsace.

    Bénéficiant des appellations Linsenberg, Herrenreben, Holder et Val Saint Grégoire, ces vins produits sur sol granitique et en altitude présentent un caractère spécifique.

    Tourisme

    Le village dispose de deux campings, plusieurs gîtes et chambres d'hôtes.

    Plusieurs itinéraires circulaires balisés par le Club Vosgien permettent de découvrir les environs.

    Deux pistes cyclables sont disponibles : la voie verte de la Vallée de Munster et la piste cyclable Wihr-au-Val - Gunsbach - Piscine de Munster.

    Le restaurant de la Nouvelle Auberge a été gratifié d'une étoile au Guide Michelin.

    Industrie

    L'activité textile qui avait fait la richesse de Wihr-au-Val a disparu désormais.

    Une usine d'emballage et de conditionnement est actuellement établie sur le ban communal.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La porte fortifiée de Wihr-au-Val, classée monument historique.
    L'église Saint-Martin de Wihr-au-Val.

    Monuments historiques classés

    Edifices religieux inscrits à l'inventaire général du patrimoine

    Patrimoine populaire

    • Parcours des oratoires.
    • Kinderbrennla
    • Croix de Wihr

    Patrimoine castral

    Patrimoine industriel

    Comme en témoigne l'enquête thématique régionale (patrimoine industriel du canton de Munster), l'activité économique a évolué en permanence dans la commune :

    • Tissage Kiener, puis brasserie Kempf, actuellement maison[31].
    • Tissage et finissage « W » des Manufactures Hartmann et Fils, puis Georges Perrin, actuellement usine d'emballage et de conditionnement[32].
    • Scierie et moulin à huile de la Nouvelle Auberge, puis scierie Graue[33].
    • Moulin à farine, puis ferme[34].
    • Tuilerie et briqueterie Straub, puis Straub et Schoenheitz, puis ferme, actuellement maison[35].
    • Tissage Immer-Klein, puis usine d'articles en caoutchouc France Latex[36].
    • Moulin à farine, actuellement salle de réunion et vestiaire dit clubhouse[37].

    Patrimoine militaire de la Première Guerre mondiale

    • Monument de la Croix de Wihr

    Douze blockhaus de la ligne de défense et d'observation Staufen-Hohnack-Riegel se dressent sur le territoire de la commune :

    • 2 abris en fond de vallon, versant ouest du Laederskopf, construits par des prisonniers roumains (dits abris des roumains)
    • 4 abris (groupés par deux) en fond de vallon, versant est du Krizle, au bord du chemin
    • Abri du Krizle (dit Leuchtsignal)
    • Refuge octogonal du Zwergberg
    • Poste de commandement du Kuhberg
    • Abri et réseau entre le Kuhberg et le Zwergberg
    • Abri rue de Munster
    • Abri de la Gare

    Patrimoine naturel

    • Nombreux sentiers de randonnée et de VTT[38].
    • Rocher du Laederskopf
    • Sommet du Staufen

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Wihr-au-Val se blasonnent ainsi :
    « D'argent aux deux clavettes de roue de chariot adossées de sable. »

    Le blason représente deux goupilles de roues, qui évoquent sa position près d'une route commerciale.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, « Fiche commune Wihr-au-Val », sur http://sigesar.brgm.fr.
    2. Base Sandre, « Fiche de Wihr-au-Val », sur www.sandre.eaufrance.fr.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. (la) Jo. Daniel Schoepflinus, Alsatia Illustrata Germanica Gallica : Tomus II, Colmar, Ex Typographia Regia, (lire en ligne), p. 616.
    11. Famille noble apparut vers le milieu du XIIe siècle et qui s'éteignit vers 1435, signalée à plusieurs reprises dans l'entourage des souverains du Saint-Empire Germanique. Elle fit bâtir le château de Gigersbourg, et fut souvent en conflit avec les seigneurs voisins.
    12. https://tchinggiz.org
    13. L'église Saint-Martin fut bâtie entre 1868 et 1873 en remplacement d'un ancien sanctuaire devenu trop petit.
    14. www.wihr-au-val.fr (Aucun habitant ne sera blessé ou tué)
    15. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    16. Résultats des élections Municipales 2008 : Wihr-au-Val
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. INSEE, « Comparateur de territoire - commune de Wihr-au-Val ».
    22. « Ancienne porte de Ville », notice no PA00085736, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Tour porte dite Untertor », notice no IA68001295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « Eglise paroissiale Saint-Martin », notice no IA68001268, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Notice no IM68012240, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Martin
    26. Inventaire de l'orgue
    27. « Chapelle de la Sainte-Croix », notice no IA68001260, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Chapelle Sainte-Barbe », notice no IA68001259, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Château fort de Sonnenbourg », notice no IA68001294, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Château fort de Gigersburg », notice no IA68001364, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Tissage Kiener, puis brasserie Kempf, actuellement maison », notice no IA68001059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Tissage et finissage "W" des Manufactures Hartmann et Fils, puis Georges Perrin, actuellement usine d'emballage et de conditionnement », notice no IA68001222, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Scierie et moulin à huile de la Nouvelle Auberge, puis scierie Graue », notice no IA68001058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Moulin à farine, puis ferme », notice no IA68001073, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Tuilerie et briqueterie Straub, puis Straub et Schoenheitz, puis ferme, actuellement maison », notice no IA68001060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Tissage Immer-Klein, puis usine d'articles en caoutchouc France Latex », notice no IA68001195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Moulin à farine, actuellement salle de réunion et vestiaire dit clubhouse », notice no IA68001061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Histoire et patrimoine de Wihr-au-Val

    Bibliographie

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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