La Bruffière

La Bruffière est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

La Bruffière

La Bruffière vue du ciel.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Montaigu, Communauté de communes Montaigu-Rocheservière
Maire
Mandat
Jean-Michel Bregeon
2020-2026
Code postal 85530
Code commune 85039
Démographie
Gentilé Bruffiérois
Population
municipale
3 972 hab. (2018 )
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 50″ nord, 1° 11′ 47″ ouest
Altitude 75 m
Min. 28 m
Max. 103 m
Superficie 40,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Bruffière
(ville isolée)
Aire d'attraction Montaigu-Vendée
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mortagne-sur-Sèvre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Bruffière
Géolocalisation sur la carte : Vendée
La Bruffière
Géolocalisation sur la carte : France
La Bruffière
Géolocalisation sur la carte : France
La Bruffière
Liens
Site web Site officiel
    La place et l'église, au début du XXe siècle.

    Avant la création des départements en 1789, La Bruffière faisait partie des marches communes à la Bretagne et au Poitou sur le plan temporel, et de la Bretagne (diocèse de Nantes) sur le plan spirituel.

    Ses habitants sont appelés Bruffièriens et Bruffièriennes.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire municipal de La Bruffière s’étend sur 4 066 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 75 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 35 et 77 mètres[1],[2].

    La commune de La Bruffière se situe au croisement des départements de la Vendée, de Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique. C'est au lieu-dit des Trois-Provinces, à km du bourg, que les anciennes provinces de la Bretagne, de l'Anjou et du Poitou se rejoignent.

    La Bruffière est située à 47 km de Nantes, 30 km de Cholet et 54 km de La Roche-sur-Yon. La commune s'étend sur 4 044 ha de bocage au nord-est de la Vendée. Elle est bordée par la Sèvre Nantaise, rivière qui se jette dans la Loire à Nantes.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    La Bruffière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Bruffière, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 943 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Sous le nom de « Brefer » apparaît la première mention du bourg dans une charte en 1287.

    En poitevin, la commune est appelée La Brfére[13].

    Le nom de la commune a été traduit Brufer en breton[réf. nécessaire]. Le dialecte local est traditionnellement de langue d'Oil (influence du poitevin, gallo et angevin)

    Histoire

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    Durant le haut Moyen Âge d'incessantes querelles opposent Bretons, Francs et Wisigoths. Elles aboutissent, en 983, à la création de zones « tampons » : Marches Bretagne-Poitou. Entre Bretagne et Poitou, les hautes marches communes sont constituées de Cugand, Boussay, Gétigné et la Bruffière, leur capitale jusqu'à la Révolution française de 1789[14].

    En 1287, le village s'articule alors autour de la demeure[Laquelle ?], toujours présente, des « de Coucy ». Sur le linteau d'une de ses portes est gravé le blason des anciennes Marches communes. Un seigneur de la Bruffière de Coucy accompagne Gilles de Rais dans l'épopée de la Jeanne d'Arc.

    Saint-Symphorienkm au sud du bourg), jadis lieu de pèlerinage et d'une foire importante, voit se développer un prieuré, administré par les moines de l'ordre de Saint Augustin de Geneston, où un hospice pour les pauvres y est annexé. Seul le portail d'entrée nous est parvenu après la Guerre de Vendée ; le hameau est en effet dévasté par les troupes de Kléber, au cours de la bataille des 5 et .

    La Guerre de Vendée et les Colonnes infernales saignent cruellement la commune (3 000 habitants avant les événements, 726 seulement en 1826). Pendant le conflit, les habitants rejoignent l'armée vendéenne du Centre, sous les ordres de Sapinaud et Royand. En , le général Charrette est amené dans un traquenard au logis de "la Grange" (demeure du XVIe siècle), au nord du bourg, d'où il s'échappe après de lourdes pertes humaines.

    La Bruffière est de nouveau éprouvée dans ses forces vives par les deux conflits mondiaux : 133 morts pendant la Première Guerre mondiale et 11 pendant la Seconde..

    Depuis 1945, les performances de l'agriculture locale, le dynamisme de l'artisanat et de l'industrie, avec, notamment, le groupe Defontaine (leader mondial de la couronne automobile), et la richesse de la vie associative font de La Bruffière une ville dynamique.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1810 dans l'arrondissement de La Roche-sur-Yon du département de la Vendée. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la quatrième circonscription de la Vendée.

    Après avoir été fugacement le chef-lieu du canton de La Bruffiere en 1793, la commune a été rattachée en 1801 au canton de Montaigu[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Mortagne-sur-Sèvre[16].

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Terres-de-Montaigu, créée en 2002 et qui succédait au district de Montaigu créée en 1969.

    Dans le cadre des prescriptions de la loi NOTRe du , le gouvernement élève à 15 000 habitants le seuil minimal des intercommunalités à fiscalité propre dans le but d’obtenir des territoires plus cohérents, adaptés aux « bassins de vie » et dotés d’une capacité de mutualisation plus importante, la petite communauté de communes du Canton-de-Rocheservière fusionne avec les Terres de Montaigu, formant le une nouvelle structure dénommée Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière, dont La Bruffière est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis le début du XXe siècle[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1908 Pierre Dumas    
    1908 1929 Théophile Plessy[18]    
    1929 1965 Théophile Plessy[19]   Fils du précédent
    mars 1965 mars 1977 Vincent Ansquer UDR
    puis
    RPR
    Industriel
    Ministre (1974 → 1977)
    Député de la Vendée (4e circ.) (1962 → 1974 puis 1978 → 1986)
    Conseiller général de Montaigu (1969 → 1987)
    mars 1977 juin 1995 Michel Filliodeau DVD  
    juin 1995 mars 2001 Gilbert Roger    
    mars 2001 mars 2014[20] Denis Moinet[21] DVD  
    mars 2014[22] mai 2020 André Boudaud DVD Cadre bancaire retraité
    mai 2020 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Jean-Michel Bregeon DVD Cadre technique, ancien premier adjoint

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 3 972 habitants[Note 3], en augmentation de 3,95 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    7261 6132 2872 3502 3862 3802 4092 4952 609
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    2 6962 8132 8312 8972 9593 0573 1153 0002 872
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 8162 6422 5192 5332 5652 5212 5052 3442 624
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    2 7592 9742 9862 9803 1013 3423 3783 7943 943
    2018 - - - - - - - -
    3 972--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 49 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,9 %, 15 à 29 ans = 18,2 %, 30 à 44 ans = 22,9 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 16,7 %) ;
    • 49,9 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 20,7 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 22,6 %).
    Pyramide des âges à La Bruffière en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    1,0 
    5,9 
    75 à 89 ans
    9,3 
    10,6 
    60 à 74 ans
    12,3 
    21,2 
    45 à 59 ans
    19,0 
    22,9 
    30 à 44 ans
    20,7 
    18,2 
    15 à 29 ans
    15,9 
    20,9 
    0 à 14 ans
    21,8 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    7,3 
    75 à 89 ans
    10,6 
    14,9 
    60 à 74 ans
    15,7 
    20,9 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,4 
    30 à 44 ans
    19,3 
    17,3 
    15 à 29 ans
    15,5 
    18,9 
    0 à 14 ans
    17,4 

    Économie et industrie

    L'entreprise Defontaine, spécialisée dans la fabrication de composants pour les industries aéronautique et automobile (149M € CA, 700 p.)[28], est installée sur la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château d'eau
    Au carrefour des quatre routes se dresse l'un des plus hauts châteaux d'eau du monde. Prévu pour alimenter 72 communes, il s'élève à 62 m. Sa cuve a 30 m de profondeur et le diamètre de sa tour est de 19,50 m. La construction se termine en 1960. À cette époque, le château d'eau de La Bruffière est le plus haut de France et le second d'Europe[réf. nécessaire].
    • L'église
    L'église Sainte-Radegonde.
    L'actuelle église Sainte-Radegonde fut construite en 27 mois et achevée en avril 1891 sous la conduite de l'architecte nantais René Michel Menard (1843-1895). Elle fut en grande partie financée et érigée par la cardinal Richard de Paris possédant le château de l'Echasserie. Elle appartient au style néo-roman mais l'intérieur de l'édifice pencherait plus vers le roman-byzantin par le choix des matériaux et de leur agencement. Les voûtes du chœur sont particulièrement remarquables[29].
    • Le château de l'Echasserie[30].
    Le premier seigneur connu de l'Echasserie, Guillaume Sauvage, cède ce domaine aux templiers, au début du XIIIe siècle. Ces derniers le revendent très vite aux Charbonneau qui l'occuperont pendant quinze dynasties, jusqu'en 1738. Ce château devient bientôt la résidence de Charles Serventeau, premier maire de la Bruffière, qui fut assassiné dans des circonstances obscures (probablement par les jeunes paysans de la commune exaspéré par le révolutionnaire qu'il était) en mars 1793[réf. nécessaire].
    Louis François Richard de la Vergne achète l'Echasserie et les dépendances en 1806. Son plus jeune fils, François Richard de La Vergne, reçoit la calotte de cardinal de Paris en 1889 par le pape Léon XIII. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre. Par héritages successifs, uniquement par les femmes, le château devient la propriété de Jeanne de Quatrebarbes, épouse du marquis Guy du Rosel de Saint-Germain, propriétaire actuelle
    • Le logis de La Grange
    En février 1796, Charette y soutient l'un de ses derniers combats. Alors qu'il s'y repose avec ses troupes, il manque de peu d'y être capturé. Protégé par son arrière-garde (qui sera anéantie dans la fusillade), il parvient à s'échapper par une porte dérobée[réf. nécessaire].
    • Les 3 monuments aux morts : celui de la commune, qui compte 139 noms, au cimetière du bourg, de la paroisse, à l'église Sainte-Radégonde où sont répertoriés 116 noms, dont les prêtres, et au cimetière de Saint-Symphorien, qui comporte 24 noms. Ces monuments commémorent les Morts pour la France de la Première Guerre mondiale, de la Seconde, de la Guerre d'Indochine et de la Guerre d'Algérie[31]

    Personnalités liées à la commune

    • Vincent Ansquer (1925-1987), maire de La Bruffière, conseiller général, député, président du conseil régional, membre du Parlement européen, fondateur du Prix national de l’art de Vivre, ministre du Commerce et de l’Artisanat de 1974 à 1976 sous le gouvernement Chirac puis ministre de la Qualité de la Vie de 1976 à 1977 sous le gouvernement Barre.
    • Le cardinal François-Marie-Benjamin Richard de La Vergne (1819-1908), archevêque de Paris à partir de 1886. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre et le consacre. Il reçoit la calotte de cardinal des mains du pape Léon XIII en 1889.
    • L'abbé Hippolyte Boutin (1849-1901), prêtre, auteur d'ouvrages de piété et d'histoire locale.
    • Le chanoine Georges Duret (1887-1943), opposant à l'État Français, appelé par certains « un martyr de la résistance », écrivain, poète, philosophe, critique d'art et homme d'Église[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur aux trois macles d'or accompagnées de trois fleurs de lys du même mal ordonnées.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Commune 19846 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « La Bruffière », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de La Bruffière », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 68.
    14. Jean Ogée et A Marteville, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Mollies, , 1520 p. (présentation en ligne), p. 400.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Commune de La Bruffière (85039) », Géographie administrative et d’étude (Code officiel géographique), sur https://www.insee.fr, (consulté le ).
    17. « Les maires de Bruffière (La) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    18. « Pierre Théophile « Théophile » Plessy (1859-1951) », Aieux Morris (consulté le ).
    19. « Théophile Marie Marius « Théophile » Plessy (1892-1990) », Aieux Morris (consulté le ).
    20. « Le premier adjoint André Boudaud est tête de liste », Ouest France, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Denis Moinet, ne souhaitait pas renouveler son mandat. (...) Actuellement à la retraite du secteur bancaire ou j'ai exercé plusieurs postes de direction d'agence, j'ai la disponibilité pour mener à bien ce nouvel engagement au service des autres. J'ai été élu au conseil municipal en 2008, avec la responsabilité de premier adjoint ».
    21. Réélu en 2008 : [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires en 2008
    22. « André Boudaud prend ses nouvelles fonctions de maire », Ouest France, (lire en ligne, consulté le ) « Le vote, sans surprise et à l'unanimité du conseil municipal, s'est déroulé vendredi, salle de l'Ehpad résidence l'Étoile du soir ».
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le ).
    28. « Cinq entreprises vendéennes bénéficiaires du Fonds de modernisation automobile et aéronautique », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
    29. « L'église Sainte-Radegonde », notice no PA85000027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Le Château de l'Échasserie », notice no PA00110061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Réunis, les anciens combattants commémorent l'année 1914 », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
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