Institut du Christ Roi Souverain Prêtre

L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre (en latin : Institutum Christi Regis Summi Sacerdotis), abrégé en I.C.R.S.P., est une société de vie apostolique, fondée en 1990 par les prêtres Gilles Wach et Philippe Mora avant de devenir société de vie apostolique de droit pontifical lorsque ses constitutions ont été définitivement approuvées par le Saint-Siège quand le cardinal Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, signa le décret le , solennité de saint François de Sales, un des patrons de l’Institut.

Institut du Christ Roi Souverain Prêtre

Blason de l'I.C.R.S.P.
Repères historiques
Fondation 1990 (son "prototype", l'Opus Sacerdotale, fut fondée en 1964)
Fondateur(s) Gilles Wach
Philippe Mora
Fiche d'identité
Église Catholique
Courant religieux Traditionalisme
Vocation Évangélisation, liturgie, esprit salésien, romain.
Dirigeant Gilles Wach (prieur général)
Localisation Une douzaine de pays principalement localisés en Europe de l'Ouest ainsi qu'aux États-Unis et en Afrique
Sur Internet
Site internet http://www.icrsp.org
Pages connexes http://www.institute-christ-king.org

L’I.C.R.S.P. est dédié au Christ-Roi Souverain-Prêtre et ses fondateurs ont placé la communauté sous le patronage principal de l’Immaculée Conception. Saint François de Sales, saint Thomas d’Aquin et saint Benoît de Nursie[1] y sont honorés de façon particulière. La spiritualité de l’Institut est tout particulièrement fondée sur celle de saint François de Sales[2] et ses membres travaillent à la diffuser, notamment par la prédication de retraites[3] « selon l’esprit de saint François de Sales ».

Sa devise est tirée de Ephésiens 4,15 : Veritatem facientes in caritate (Confessant la vérité dans la charité).

Buts et orientations

Selon le décret d’érection de l’Institut, Saeculorum Rex[4], les membres de cet institut ont pour vocation de mener une vie ad instar canonicorum (« comme des chanoines ») et d’ouvrir plus largement aux fidèles les trésors de la tradition liturgique, pratiquée selon la forme tridentine du rite romain.

Les constitutions de cet Institut[5] définissent ainsi le but de l’Institut : « la glorification de Dieu par la sanctification des prêtres au service de l’Église et des âmes à l'exemple de la charité du Pastor bonus par une formation doctrinale et spirituelle »[6]. Ses membres de l'Institut sont missionnaires[7] et l'Institut a pour fin particulière « la promulgation, la diffusion, la défense, dans tous les aspects de la vie de l'Homme, du règne du Christ Notre-Seigneur »[8].

Histoire

L'Opus sacerdotale

En 1963, un groupe de prêtres réunis à Lourdes devant la « grotte de Massabielle » s'interroge sur la situation et le ministère des prêtres catholiques. Sous l'impulsion du chanoine Étienne Catta, oblat bénédictin de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault et professeur à l'Université catholique d'Angers, une « Association pour le soutien du sacerdoce catholique, » également appelée Opus sacerdotale, est fondée en 1964. Sa devise est : Doctrina, Fortitudo, Pietas[9].

Des séminaristes se tournent vers le père Pierre Lourdelet (✝ 2019)[10], alors prieur de l'Opus sacerdotale. Afin d'offrir à ces séminaristes un enseignement conforme à la Ratio fundamentalis[11] l'association ouvre, en octobre de la même année, une « Maison de formation sacerdotale » à Moissac (France) et confie à l'un de ses membres, l'abbé Philippe Mora, la direction de cette maison qui ouvre ses portes le jour de la fête du Christ-Roi 1988 (dernier dimanche d'octobre selon le calendrier liturgique traditionnel suivi par la communauté). Les religieux de l'Opus Mariae[12] accueillent cette fondation dans une partie du « Cénacle de l'Immaculée Conception », un ancien carmel de Moissac où ils sont installés.

Fondation : du Gabon à l’Italie

L'érection canonique de l'Opus sacerdotale en une société pouvant former des prêtres se révélant impossible, deux membres de l’opus sacerdotale, les abbés Gilles Wach et Philippe Mora, cherchent une structure ecclésiastique capable de répondre aux vocations qui se présentent à eux[13].

Le , l'abbé Gilles Wach est nommé vicaire général[14] du diocèse de Mouila[15] par Cyriaque Obamba[16].

Obamba érige canoniquement le nouvel institut en société cléricale de vie apostolique de droit diocésain et en approuve les premières constitutions, le . Le siège est alors fixé à Mouila et l'ancienne résidence épiscopale du Val-Marie devient la maison-mère, prenant le nom de « Maison Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus »[17]. L’institut est encore présent dans cette maison en 2015 ; le prieur de cette maison en est le chanoine Fragelli[18].

Avec l’aide du cardinal Paul Augustin Mayer, l’I.C.R.S.P. s’installe dans l’archidiocèse de Florence avec l’appui de l’archevêque de l’époque le cardinal Silvano Piovanelli[19]. Les bénédictins de Fontgombault laissaient alors leur prieuré situé via di Gricigliano, sur la commune de Pontassieve. C’est là, dans la villa Martelli – du nom de la famille florentine qui l’a faite construire – et dans les bâtiments qui l’entourent que sont encore abrités le séminaire et la maison généralice de l’Institut[20].

En 1991, la reconnaissance canonique de l’Institut a été transférée du diocèse de Mouila à l’archidiocèse de Florence ; toujours comme société cléricale de vie apostolique de droit diocésain.

Fondation des sœurs Adoratrices du Cœur Royal de Jésus-Christ Souverain Prêtre
Couvent de Maria Engelport en Allemagne.

En 2001 est fondée une branche féminine ; les sœurs Adoratrices du Cœur Royal de Jésus-Christ Souverain Prêtre « suivent le même esprit, prient pour la sanctification des prêtres et particulièrement des chanoines dont elles soutiennent l'apostolat »[21] Ces religieuses ont été reconnues par le Saint Siège le comme association publique de fidèles, et ce en vue d’être reconnues comme société de vie apostolique[22].

Les religieuses sont présentes dans trois maisons. Une en Italie, à quelques centaines de mètres du séminaire[23], une en Allemagne, dans la vallée de la Moselle où elles se sont installées au Kloster Maria Engelport[24], et celle du Cœur Eucharistique à Noirmont dans le Jura suisse[25].

Développements récents
  • En est créé un pendant laïc de l'institut : la « Société du Sacré-Cœur »[26]. Cette société a pour but l'entraide mutuelle entre les membres de la Société pour soutenir et faire rayonner l'esprit et les œuvres de l'Institut.
  • L’Institut compte des oblats, membres non incardinés, ni prêtres ni diacres, qui aident les prêtres dans leur ministère[27].
  • L’Institut compte des membres affiliés, clercs[28] qui ne sont pas incardinés dans l'Institut mais qui vivent la spiritualité et collaborent à son apostolat[29].
  • Le , le décret Saeculorum Rex de la commission pontificale Ecclesia Dei[30], érige l’institut en "société de vie apostolique de droit pontifical", par la volonté du Saint-Siège[31].
  • En 2014, la communauté a fait l’objet d’une visite canonique ordinaire[19] menée par François Bacqué[32].
  • En 2016, l'Institut compte près de 100 prêtres, 100 séminaristes et oblats et 30 religieuses. Le , le cardinal Burke a ordonné 11 nouveaux chanoines. La veille, Finn, évêque émérite de Kansas City-St. Joseph, a ordonné sept nouveaux diacres et huit sous-diacres. L'année 2018 voit l'ordination de huit prêtres, quatre à Florence et quatre aux États-Unis[33].
  • En , sept postulantes ont rejoint la communauté des Sœurs Adoratrices du Cœur Royal.

Organisation

Organisation générale

L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre est, depuis le , de droit pontifical[34]. Son « Prieur Général » est l' « Ordinaire »[35] de cette société. Depuis sa fondation, c’est Gilles Wach qui a toujours été à la tête de la communauté.

L’Institut a un vicaire général, Rudolf Michael Schmitz (de), provincial pour l’Institut aux États-Unis[36] pendant plusieurs années, avant de devenir provincial pour la France en 2015[37]. Schmitz a également passé plusieurs années à Libreville[38] au Gabon où il a supervisé les travaux de construction d’une église pour l’Institut, dans l’archidiocèse de Libreville. En 2015, l'Institut est présent dans 59 diocèses (dont 22 en France, 11 aux États-Unis et 7 en Italie). Il exerce son ministère principalement en Europe (France, Italie, Belgique, Suisse, Espagne, Allemagne, Irlande, Royaume-Uni et Suède), en Afrique (Gabon) et aux États-Unis. Il est organisé en différentes provinces qui comptent elles-mêmes plusieurs maisons, de chacune plusieurs prêtres et oblats[37]. Trois provinces existent ainsi : France[39], États-Unis[40] et Italie[41],[42].

Chanoines séculiers

À partir de l’érection de droit pontifical de l’Institut, les prêtres de l’I.C.R.S.P. ont porté le titre de chanoine, en qualité de « chanoines séculiers ». Pour justifier ce titre, les membres de l’Institut s’appuient au plan historique sur une thèse de Schmitz[43], portant sur la « structure essentielle de la vie canoniale »[44]. Ils s’appuient également sur le plan canonique sur le fait que leurs constitutions, solennellement approuvées par un décret[45], mentionnent explicitement la vie canoniale et leur état de chanoine[46].

Quelques personnes ont contesté la possibilité de porter ce titre. La Commission pontificale Ecclesia Dei, supérieure hiérarchique de l’Institut, répond aux questions qui lui sont posées en un sens favorable, attestant que les prêtres de l’Institut peuvent être appelés « chanoine »[47].

L’usage s’est répandu assez largement parmi les prélats[48],[49] de parler des prêtres de l’Institut comme de chanoines. Un décret de la Pénitencerie Apostolique les nomme explicitement comme chanoines[50].

Habits sacerdotaux

L'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre a ses propres habits sacerdotaux reconnaissable par l'utilisation de leur bleu ciel caractéristique.

Province d’Italie

L'institut est surtout présent en Toscane.

Toscane

La Maison généralice et le séminaire saint Philippe Néri sont installés en 1991 sur la "via di Gricigliano", situé dans la commune de Pontassieve (archidiocèse de Florence), hameau du Sieci, d'où se retiraient les moines de Fontgombault après quinze années de présence. L’Institut a entrepris d’importants travaux de restauration des bâtiments[51] qui comprennent une villa ancienne[52], et a tout récemment refait la moitié des toitures du séminaire[53]. Actuellement, l’ensemble des bâtiments permet de loger environ 80 personnes; depuis 2009 l’I.C.R.S.P. indique avoir aménagé 17 nouvelles chambres pour loger des séminaristes[54].

À Florence, l’église des Saints-Michel-et-Gaétan est confiée à l’I.C.R.S.P. dont l’un de ses prêtres, le chanoine Pozza est recteur[55]. L'institut est implanté depuis 10 ans dans le diocèse de Livourne . Il y a une maison confiée aux Sœurs Adoratrices [56]et le chanoine Sigros est vicaire de la paroisse de Saint Sébastien où sont célèbrés la Messe et les Offices. [57]. Les diocèses de Pise et Volterra bénéficient de lieux de culte menés par les chanoines de l'institut.

Autres apostolats

L’I.C.R.S.P. a une maison à Rome[58], et dessert les dimanches et jours de fête l’église Gesu-e-Maria[59]. Sont également desservis trois autres diocèses en Italie : Naples, Orvieto et Alessandria[60].

Province de France

En 2020, la Maison provinciale de France, Saint-Joseph, est déplacée de Roquecor à Montagny-Sainte-Félicité, aux portes de Paris, permettant des plus grandes praticité et rapidité en termes de transport quant aux apostolats de la province dont celui de l’église Saint-Louis du Port-Marly[61] devenu plus proche. Les chanoines français, au nombre de 35 en 2020, desservent une quarantaine de lieux de messes et sont présents dans près d'une trentaine de départements.

Lille
Prieuré et école Notre-Dame-de-Fatima, à La Chapelle-d'Armentières.

Depuis leur prieuré de La Chapelle-d'Armentières, à proximité de Lille, les chanoines de l'ICRSP exercent leur apostolat, notamment au sein du groupe scolaire Notre-Dame-de-Fatima[62] qui est le seul établissement catholique et libre (hors-contrat) du Nord [63]. Les chanoines de l'institut dirigent, depuis 1998, cette école de 150 enfants (de la maternelle à la 5e pour les garçons et 4e pour les filles) qui base tout son enseignement sur les préceptes et l'expérience de l'Église catholique. L'école utilise des méthodes telles que la lecture syllabique, les mathématiques traditionnelles ou encore l’enseignement chronologique de l'Histoire. Celle-ci jouit d'une réputation lui accordant un bon niveau et semble bénéficier d'une image positive tout en gardant une ligne traditionaliste[64],[65]. Les chanoines œuvrent également, de concert, avec les Europa scouts.

Outre la chapelle du prieuré, les chanoines desservent l'église Saint-Étienne de Lille (depuis 2017, auparavant la chapelle des franciscaines), l'église Saint-Géry (à Brasménil, en Belgique), l'église Saint-Martin (à Dunkerque[66]) et, parfois, l'église Notre-Dame de Lourdes à la Chapelle d'Armentières.

Béziers

La chapelle Sainte-Rita[67] de Béziers est desservie par l’I.C.R.S.P..

Limoges

La chapelle Saint-Antoine-des-Papillons est desservie par le chanoine Florent Guimbretière[68].

Montauban

L’I.C.R.S.P. a une maison et un apostolat dans le diocèse de Montauban[69].

Montpellier

Le Cours Notre-Dame, situé à la Villa Sainte-Christine, est non loin du centre-ville[70]. Il rassemble environ 120 enfants. Cette école primaire est libre, hors contrat. Au regard de la liturgie, la messe dominicale et celle des fêtes d'obligation sont célébrées dans le centre-ville de Montpellier, à l'église Sainte-Eulalie, alors que les offices de la semaine sont assurés à la Villa Sainte-Christine. La schola grégorienne de Montpellier se trouve à Sainte-Eulalie.

Nice et Cannes

L’I.C.R.S.P. a une maison et plusieurs apostolats dans le diocèse de Nice[71], à Nice et à Cannes.

Toulouse

La chapelle Saint-Jean-Baptiste[72] est desservie depuis 2003 par un prêtre de l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, le chanoine de Ternay.

Rennes

L’I.C.R.S.P. a une maison à Rennes et dessert la chapelle Saint-François de Rennes, où officie le chanoine Tancrède Guillard.

Nîmes

L’I.C.R.S.P. dessert la chapelle sainte Eugénie de Nîmes à Nîmes[73].

Cahors

L’I.C.R.S.P. a une maison et plusieurs apostolats dans le diocèse de Cahors[74].

Rouen

L’I.C.R.S.P. dessert l’église Saint-Patrice à Rouen.

Saint-Brieuc

L’I.C.R.S.P. dessert la basilique Notre-Dame-de-l’Espérance à Saint-Brieuc.

Auros

L’I.C.R.S.P. a une maison et un apostolat dans l’archidiocèse de Bordeaux.

Reims

L'église Sainte-Jeanne-d'Arc de Reims, dans l'archidiocèse de Reims, est confiée à l'institut de façon régulière depuis 2020[75].

Autres apostolats

L’I.C.R.S.P. est également présent de façon régulière dans un certain nombre d’autres villes de France[76] :

Province des États-Unis
L'église Saint-François-de-Sales (Saint Louis).

Chicago

L’I.C.R.S.P. a installé à Chicago le siège de sa Province des États-Unis. L’I.C.R.S.P. avait entrepris la restauration de l’église du Christ-Roi qui a été entièrement détruite dans un incendie en . Cet incendie de grande ampleur a été couvert assez largement par la presse américaine[79],[80],[81], et même par des journalistes français[82]. Le Saint-Siège a écrit à Gilles Wach à cette occasion pour manifester sa compassion devant cette catastrophe[83].

Saint Louis

L’I.C.R.S.P. est présent[84] dans l’ancienne cathédrale de l’archidiocèse ; des ordinations se sont tenues dans cette église en 2014.

Wausau

L’église Saint-Michel-Archange de Wausau a été entièrement restaurée par l’I.C.R.S.P. ; les travaux de restauration se sont achevés par la dédicace de l’église par Raymond Burke.

Milwaukee

L’I.C.R.S.P. dessert l’église Saint-Stanislas à Milwaukee, où officie le chanoine Jaÿr.

Autres apostolats
  • Tucson, AZ
  • Santa Clara, CA
  • Oakland, CA
  • Kansas City, MO
  • Rockford, IL
  • Cahokia, IL
  • Sheboygan, WI
  • Green Bay, WI
  • West Orange, NJ
  • Bridgeport, CT

Gabon

L’I.C.R.S.P. est présent depuis 25 ans au Gabon, où il a exercé des apostolats dans la brousse (Mayumba, autour de Mouila, Meteck-Mavi) comme dans les villes (Mouila, Libreville). L’I.C.R.S.P. a fait construire de nombreuses chapelles et églises dans ce pays ; notamment une grand église à Libreville, non encore achevée, dont la façade a été inaugurée solennellement en en présence du chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba, du cardinal Raymond Burke et de l’archevêque de Libreville, Basile Mvé.

Irlande

L’I.C.R.S.P. restaure une église à Limerick et dessert plusieurs autres diocèses depuis la maison située dans le diocèse de Limerick[85],[86].

Angleterre

L’I.C.R.S.P. est implanté dans les diocèses de Shrewsbury et Lancaster où il dessert de grandes églises ; il dessert également plusieurs autres diocèses, dont l’archidiocèse de Liverpool.

Belgique

L’I.C.R.S.P. assume la direction d’une école, la BICS[87], à Bruxelles, ainsi que plusieurs apostolats à Bruxelles et Mons (Havré).

Ile Maurice

Depuis , l’I.C.R.S.P. dessert une église à l'île Maurice (Rose-Hill).

Espagne

L’I.C.R.S.P. dessert plusieurs apostolats à Madrid et dans les environs.

Suisse

Une maison des sœurs adoratrices qui est située au Noirmont dans le canton du Jura depuis 2014 et un apostolat sont implantés dans le diocèse de Bale.

Allemagne

L’I.C.R.S.P. dispose de plusieurs apostolats en Allemagne, principalement en Bavière et dans l’archidiocèse de Trêves, où se trouve également un couvent des sœurs adoratrices, le couvent Maria Engelport.

Suède

L’I.C.R.S.P. dessert plusieurs apostolats en Suède, à Stockholm et à Lund[88].

Japon

L’I.C.R.S.P. ne semble pas avoir d’apostolat régulier dans ce pays, mais l’un de ses prêtres, le chanoine Ueda[89], y a célébré des messes[90]..

Annexes

Références
  1. 4e paragraphe du décret Saeculorum Rex
  3. site des retraites
  4. 3e paragraphe
  5. un certain nombre d’extraits ont été publiés dans les éditoriaux des différents textes émanant de la communauté : notamment ou et surtout et suivants ; ou encore
  6. Constitutions de l'I.C.R.S.P. no 4 et 5 cf Presbyterorum Ordinis no 14 et Optatam Totius no 5
  7. Constitutions de l'I.C.R.S.P. no 6 cf page 4 :
  8. sur le site du Vicariat de la ville de Rome Constitutions de l'I.C.R.S.P. no 5 cf Redemptor Hominis no 21
  9. voir aussi .
  10. Ordonné prêtre en 1944, le père Lourdelet fut curé de Belloy en France entre 1965 et 2004, où il maintint la messe traditionnelle.
  11. Congregatio de Seminariis atque Studiorum Institutis, Ratio fundamentalis institutionis sacerdotalis, Normes fondamentales en vue de la formation des futurs prêtres, Rome 1970
  12. Les pères de l'Opus Mariæ deviendront par la suite les Chanoines réguliers de la Mère de Dieu.
  13.  ; voir aussi l’article de La Croix : « L’Institut du Christ-Roi a été fondé par deux prêtres français, le P. Gilles Wach, prieur général, originaire de Troyes (Aube) et ordonné pour le diocèse de Gênes (Italie), et le P. Philippe Mora, supérieur du séminaire international Saint-Philippe-Néri. Tous deux appartenaient à l’Opus sacerdotale, une association de prêtres diocésains attachés à la liturgie tridentine, constituée en 1964 en France « pour la défense de l’orthodoxie catholique et de la spiritualité sacerdotale »
  14. lettre de nomination comme vicaire général
  15. Roman Catholic Diocese of Mouila
  16. Gabonais issu d'une famille royale de l'ethnie Myènè. Ordonné prêtre le 12 mai 1946, Mgr Obamba est élu évêque de Mouila le 28 octobre 1976, pour succéder à Mgr Raymond de la Moureyre C.S.Sp. Il est consacré évêque le 30 janvier 1977 par le cardinal François Marty. Renonçant à son siège le 22 avril 1992, il est décédé à Libreville le 7 juillet 1996.
  17. et
  18. pages 6 à 9
  20. Frazione di Sieci :
  21. http://www.icrsp.org/Publicationsbis/Revue-2014/01-04.pdf page 2 avec référence aux constitutions de l’Institut no 3
  22. texte du décret d'érection page 3 en bas de la page
  23. , dans la même voie.
  26. http://www.artetmusique.org/page_artiste.php?id=christ_roi
  27. Par exemple http://www.icrsp.org/Apostolats/apostolats-europe.php?apostolat=Treis-Karden%20(Soeurs%20Adoratrices)
  28. Prêtres et diacres.
  30. Décret Saeculorum Rex du 7 octobre 2008
  31. Décret « Saeculorum Rex » du 7 octobre 2008 sur le site de la commission pontificale Ecclesia Dei : site de la commission pontificale rubrique information
  32. Article du site Riposte Catholique
  33. Article du 28 mai 2018
  34. du 7 octobre 2008
  35. Par Ordinaire, on entend en droit, outre le Pontife Romain, les Évêques diocésains et ceux qui, même à titre temporaire seulement, ont la charge d’une Église particulière ou d’une communauté dont le statut est équiparé au sien selon le canon 368, ainsi que ceux qui y jouissent du pouvoir exécutif ordinaire général, c’est-à-dire les vicaires généraux et épiscopaux ; de même pour leurs membres, les Supérieurs majeurs des instituts religieux cléricaux de droit pontifical et des sociétés cléricales de vie apostolique de droit pontifical, qui possèdent au moins le pouvoir exécutif ordinaire (Cf. CIC83, Can. 134 § 1).
  36. sur le site ignatiusinsight.com
  38. article dans le journal la Nef disponible sur le site de J.M.A.
  41. article sur le site de riposte catholique
  42. page des apostolats du site de l'Institut
  43. soutenue devant Mgr Patrick Valdrini, pro-recteur et professeur de droit canonique à l’université Pontificale du Latran, le 29 octobre 2014.
  45. Saeculorum Rex en l’occurrence
  46. Notamment leurs constitutions no 1 publiée et no 58 publiée
  47. Lettre de la commission pontificale Ecclesia Dei à ce sujet
  48. Mgr Giuseppe Sciacca (it), canoniste de la Signature Apostolique
  49. Le Père Abbé du Barroux : sermon du père abbé du barroux
  50. Le Cardinal Piacenza, pénitencier : décret de la Pénitencerie
  51. page des travaux sur leur site
  52. Ovidio Guaita, Le ville di Firenze, Newton Compton editori, Roma 1996.
  55. site Una Voce
  58. site du Vicariat de Rome
  61. site de l'Institut à Port-Marly
  62. Groupe scolaire Notre Dame de Fatima
  63. Groupe scolaire Notre Dame de Fatima
  64. La Voix du Nord du samedi 8 mai 2010 (éditions locales de la métropole lilloise).
  65. La Voix du Nord du samedi 3 avril 2010 (édition locale d'Armentières).
  67. site de l'Institut à Béziers
  68. site de l'Institut à Limoges
  69. et
  70. le Cours Notre-Dame
  72. Site de la Chapelle Saint Jean-Baptiste
  74. site de l'I.C.R.S.P. à Baladou
  75. Apostolat à Reims
  78. extraorleans.wordpress.com
  79. site dnainfo.com « Copie archivée » (version du 17 novembre 2015 sur l'Internet Archive)
  80. sur cbsnews
  83. Lettre de la commission pontificale Ecclesia Dei à l'occasion de l'incendie de l'église de l'Institut à Chicago
  84. L'Institut publie les détails de ces apostolats sur son site http://www.icrsp.org/Apostolats/
  85. site de l'I.C.R.S.P. en Irlande
  86. Restauration de l'ancienne église des Jésuites à Limerick un travail en cours
  87. site de l'école
  88. site de l'I.C.R.S.P. en Suède
  89. http://icrsp-jp.org
  90. article du site New Liturgical Movement

Articles connexes

Liens externes
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