Libreville
Libreville est la capitale politique et administrative du Gabon, la première ville du pays en nombre d’habitants et le chef-lieu de la province de l'Estuaire.
Ne doit pas être confondu avec Freetown.
Libreville | |
Héraldique |
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Libreville vue du ciel | |
Administration | |
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Pays | Gabon |
Province | Estuaire |
Démographie | |
Gentilé | Librevillois(e) |
Population | 703 940 hab.[1] (2013) |
Géographie | |
Coordonnées | 0° 23′ 24″ nord, 9° 27′ 15″ est |
Divers | |
Site(s) touristique(s) | Pointe-denis |
Localisation | |
Sa population étant estimée à 703 940 habitants en 2013[1], c'est la ville la plus peuplée du Gabon, représentant à elle seule la moitié de la population du pays. La population totale du Gabon est estimée à 1 688 000 habitants en 2015[2].
Géographie
Situation
Libreville est située sur l'estuaire du Gabon, sur la côte nord-ouest du pays. Par ailleurs, c'est la forme de caban marin que représente la capitale gabonaise et sa proche région, qui donna l'idée aux explorateurs portugais qui la découvrirent en 1472, de la nommer Gabão. Par extension, c'est plus tard que le pays tout entier prendra l'appellation Gabon. L'embouchure du delta du fleuve Komo qui se jette dans le golfe de Guinée, baigne sa périphérie sud, tandis qu'au nord, la forêt et la mangrove règnent sur un vaste espace quasi inhabité qui s'étend jusqu'au parc national d'Akanda.
Relief
Libreville est placée sur un relief accidenté, parsemé de multiples collines et de vallons traversés par des cours d'eau plus ou moins importants qui se jettent dans l'estuaire du Gabon (estuaire du Komo). Parmi les cours d'eau les plus connus, on peut citer l'Arambo, la Nomba, Batavéa. À l'origine, Libreville est établie sur une bordure côtière qui s'enfonce à plus de 10 km vers les terres. Même si la mangrove ne recouvre qu'à peine 2 % de la superficie de Libreville, au sud (dans la région du pont Nomba), la capitale gabonaise est régulièrement la proie de grandes inondations des terres habitées, surtout lors de la saison des pluies[3].
Libreville est également entourée d'une immense étendue de forêt dont le prolongement est parfois visible dans certaines aires de la capitale comme à Sibang, Ondôk ou encore Mindoubé, tout comme le nord de la capitale dont la forêt classée (la Mondah) s'étend au-delà de la périphérie nord, sur la route du Cap Estérias, jusque dans le domaine des palétuviers. La côte atlantique qui s'étend du nord au sud de la capitale est jalonnée de plages de sable.
Climat
Libreville a un climat tropical de savane avec hiver sec (d'après la classification de Köppen)[4]. La température moyenne annuelle est de 26,3 °C et les précipitations sont en moyenne de 1 970,6 mm par an[4]. Juillet est le mois le plus sec avec 14 mm de précipitations et octobre le mois le plus humide avec 307 mm de précipitations[4].
Histoire
Le , le capitaine de corvette Édouard Bouët-Willaumez, est nommé gouverneur du Sénégal à Gorée. Il est chargé de réprimer le commerce des esclaves, et va très vite, au nom de la France, établir des comptoirs qui seront ses dépendances administratives et conclure de nouveaux « traités » de commerce et de protection avec les différents villages-royaumes de la côte. Sous son administration, le , arrive dans l'estuaire l'expédition venue de Gorée, chargée de créer le poste français du Gabon qui deviendra bientôt Libreville. Elle est dirigée par le capitaine de corvette Mauléon, commandant le brick Le Zèbre, accompagné du brick l’Églantine et du navire de commerce Le Diligent portant des maisons démontables et du matériel. Un blockhaus, le poste d'Okolo, est établi sur l'emplacement cédé par le roi Louis, près de la future mission catholique. Okolo, fondé par le roi Denis, est situé non loin dans l'estuaire, à l'est du village de Glass, où le Révérend John Leighton Wilson, arrivé au Gabon le , a établi sa mission protestante américaine sur un site connu sous le nom de Baraka (qui est aujourd'hui un quartier du Libreville moderne). Le le roi Glass signe un traité avec Darricau. Le 1er avril est signé au poste d'Okolo le traité général avec les chefs de l'estuaire, le roi Denis Rapontchombo, Quaben, Georges, Louis, François (de l'île de Coniquet), Kringer, Datyngha, Petit-Denis et Quavène. Le poste d'Okolo reçoit probablement à cette date le nom de Fort d'Aumale. Le garde du génie Dubuc prend le commandement du fort en janvier. Il est avéré que les rois sont loin de se rendre compte de la portée de leur engagement[5].
Le nom de « Libreville » est donné pour la première fois par Bouët-Willaumez au village fondé en 1849 derrière les futurs bâtiments officiels du Plateau destinés à remplacer le fort d'Aumale. Le village est créé afin d'accueillir les esclaves vilis libérés du navire négrier brésilien nommé l'Elizia, arraisonné au large des côtes de Loango alors que la traite négrière, formellement interdite depuis 1848, se poursuivait dans le Golfe de Guinée. Les esclaves libérés, 27 hommes de 13 à 24 ans, 23 femmes de 18 à 22 ans et 2 enfants d'un an sont embarqués à Gorée le dans l'Adour et parviennent fin avril au Gabon. Deux sont tués dans une révolte. Les Français les font se marier, et élire un maire, Mountier. Ils sont installés par couples dans les cases du village de Libreville le [5].
Dès lors, Libreville servira de point de départ à la colonisation française du Gabon vers la fin du XIXe siècle, tout d'abord avec la seconde vague marquée par l'installation au fort d'Aumale (dont les vestiges ont servi à l'édification de la cathédrale Sainte-Marie) de missionnaires catholiques spiritains de la Congrégation du Saint-Esprit du père Jean-Rémi Bessieux. Au début du XXe siècle, Libreville devint la capitale du Congo français, avant de perdre ce statut au profit de Brazzaville en 1904.
En , Libreville est le théâtre des affrontements meurtriers de la fin de la campagne du Gabon[6]. Libreville, et le Gabon sous administration coloniale, choisissent de rallier le camp de la France libre, contre celui des colons vichystes. C'est de Libreville que partiront de nombreux combattants de la Liberté incorporés dans la Force L qui deviendra plus tard, la 2e division blindée du Maréchal Leclerc, et rejoindra le Tchad où il est nommé par le général de Gaulle, commandant militaire du Tchad. La colonne traversera l'Afrique du Nord pour libérer la France sous occupation en 1944.
En 1956, Léon Mba est élu maire de Libreville (le premier maire de Libreville). Il deviendra quelques années plus tard le premier président de la République gabonaise jusqu'à sa mort en . L'indépendance du Gabon est proclamée le 17 août 1960 dans la future capitale. Un mausolée est érigé en sa mémoire à Libreville, boulevard Léon Mba.
Demeurée une simple bourgade jusqu'à la proclamation de l'indépendance, Libreville connait ensuite un essor important, en particulier depuis la fin des années 1970 lorsque le gouvernement lance une série de grands travaux : construction et mise en service du chemin de fer Transgabonais (1978), le stade Omnisports Président Bongo est édifié pour accueillir les Premiers jeux de l'Afrique centrale qui eurent lieu du au , ces jeux réunirent près de 2 000 athlètes de dix pays dans les huit disciplines sportives suivantes : athlétisme, basket-ball, boxe, cyclisme, football, handball, judo et volleyball. Et la construction des premiers bâtiments de l'université à Libreville (1970).
En 1977, Libreville abrite le 34e sommet de l'Organisation de l'unité africaine (OUA). La ville est également marquée dès les années sombres de la dictature, par une série de meurtres, d'assassinats d'opposants politiques et de disparitions mystérieuses jamais élucidées dont celle de Germain Mba en 1971. Elle est le théâtre d'émeutes en 1990 (intervention militaire française, « l'Opération Requin »), en 1994 après la défaite à la première élection présidentielle post-monopartiste du principal opposant Paul Mba Abessole, arrivé en deuxième position, et 1998. En 2003, André Dieudonné Berre (en) est élu maire de Libreville, succédant à Paul Mba Abessole, opposant historique (1996-2003) rallié au président Bongo. Le 14 juillet 2021, Christine Mba Ndutume est élue maire de Libreville, et installée le 16[7].
Liste des maires
- À partir de 1847 : Mountier[réf. nécessaire]
- - : Léon Mba (élu président du conseil municipal)[8]
- - : Lubin Martial Ntoutoume Obame (président de la délégation spéciale)[8]
- - : Léon Mbiame Mba (président de la délégation spéciale)[8]
- - : Léon Mbiame Mba (élu maire par le bureau politique du Parti démocratique gabonais)[8]
- - : Samuel Minko (président du conseil municipal nommé par décret présidentiel)[8]
- - : Lubin Martial Ntoutoume Obame (président du conseil municipal nommé par décret présidentiel)[8]
- - : Jean Aveno Davin (président du conseil municipal nommé par décret présidentiel)[8]
- - : Claude Damas Ozimo (président du conseil municipal nommé par décret présidentiel)[8]
- - : Paul Mba Abessole (élu par le conseil municipal)[8]
- - : André Dieudonné Berre (en) (élu par le conseil municipal)[8]
- - : Alexandre Ayo Barro (élu par le conseil municipal)[8]
- - : Jean-François Ntoutoume Emane
- - : Rose Christiane Ossouka Raponda[9]
- - : Léandre Nzué[10]
- - : Serge William Akassaga (maire intérimaire)[11]
- à partir du : Eugène Mba[12]
Démographie
La capitale gabonaise regroupe environ la moitié des habitants du pays. Sa croissance démographique est rapide et son développement assez anarchique, les infrastructures urbaines ne suivant pas le rythme des constructions nouvelles. Libreville est une cité cosmopolite où se côtoient toutes les ethnies du Gabon, des immigrés d'Afrique centrale et de l'Ouest (Nigérians et Béninois notamment), des Européens, des Libanais, des Marocains et, de plus en plus, une population asiatique d'origine chinoise. Les habitants les plus défavorisés habitent dans des bidonvilles connus sous le nom de matitis[13] ou encore Mapanes (akébé et kinguélé, par exemple).
Langues
Lieux de culte
Parmi les lieux de culte, il y a principalement des églises et des temples chrétiens : Archidiocèse de Libreville (Église catholique), Assemblées de Dieu, Église Évangélique du Gabon [15]. Il y a aussi des mosquées musulmanes.
Économie
Libreville est également un important centre de commerce du bois (okoumé principalement) dans la sous-région d'Afrique centrale. Une importante zone industrielle et portuaire desservie par le transgabonais et des camions grumiers se trouve à la périphérie sud de Libreville, dans la commune d'Owendo. Elle abrite d'importantes infrastructures minières, portuaires et industrielles. Le port minéralier exporte la production de manganèse du Haut-Ogoué qui y parvient par le chemin de fer Transgabonais. En plus des services centraux de l'État, la capitale gabonaise regroupe de nombreuses activités tertiaires. À Mont-Bouët se trouve le plus grand marché du pays avec ses centaines de commerçants au détail. Il existe cependant deux grands hypermarchés, l'un dénommé Mbolo (« bonjour » en langues gabonaises) et le Géant CKDO.
Enseignement supérieur
Libreville abrite deux des trois principales universités du pays, dont la plus ancienne, l'université Omar Bongo (UOB) qui regroupe des milliers d'étudiants et l'Université des Sciences de la santé. On compte également parmi les établissements d'enseignement supérieur, l’École nationale des eaux et forêts (ENEF) dont les bâtiments se situent au Cap Estérias, à la périphérie de la capitale, l'Institut Supérieur de Technologie (IST) ou l'École nationale d'administration (ENA). Libreville abrite également l'Institut Africain de l'Informatique (IAI), projet sous-régional de formation des cadres en informatique dont les ambitions projettent à long terme de former des ingénieurs en informatique des pays signataires. Aussi, sans oublier la présence d’établissements privés d'enseignement supérieur : Institut des Techniques Avancée (ITA), l’université Africaine des Sciences (UAS) spécialise dans la formation des filières en droit.
Santé
Il existe deux hôpitaux généraux[16] et l'hôpital d'instruction des armées Omar Bongo Ondimba[17]. Le complexe hospitalier Jeanne Ébori a été détruit fin aux fins de reconstruction d'un établissement hospitalier plus moderne[18] et a donné naissance à la Fondation Jeanne Ebori depuis 2017.
Principaux quartiers de Libreville
La Pédiatrie Alenakiri IAI La Sni Avorbam Ambowè
- Cocotiers
- Hauts de gué-gué
- Bas de gué-gué
- Akébé
- Angondjé
- Okala
- Ancien-Sobraga
- Nzeng-Ayong
- Sotega
- Dragon
- Kinguélé
- Venez-Voir
- La Peyrie
- Cité Damas
- La Sablière
- Mindoubé I et II
- Glass
- Batavéa
- Baraka
- Ambilambani(Taro-bar)
- Louis
- Battery IV
- Awendjé
- Oloumi
- Rio
- Kalikak
- Bellevue I et II
- Charbonnages
- Plein-ciel
- Lalala (à droite et à gauche)
- Atsib-Ntsos
- Cité Pompidou
- 3 quartiers
- Plaine Oréty
- Razel
- Bel-air
- Diba diba
- Pointe clair
- Ondogo
- Samétone
- quartier bakota
- Alibandeng
- Pk12
- Lalala Dakar
- IAI
- Gros Bouquet
Architecture
Quelques édifices sont visités par les touristes, tels que les colonnes de l'Église Saint-Michel de N'kembo, quelques très rares bâtiments de l'ère coloniale en centre-ville, l'immeuble du Musée national des arts et traditions sur le boulevard du bord de mer, les installations de la cathédrale Sainte-Marie et les vestiges de la première mission catholique du père Jean-Rémi Bessieux au Gabon. Toutefois Libreville a beaucoup souffert de la spéculation immobilière liée au boom pétrolier des années 1970 et 1980, et a perdu pratiquement tout son patrimoine historique et son identité architecturale.
Pour la période récente, le bâtiment qui abrite le Sénat du Gabon est un lieu important de l'architecture moderne locale[19].
Transports
Transport en commun
La Société gabonaise de transport (SOGATRA)[20] gère la desserte des différents quartiers de Libreville et des différentes villes périphériques. Depuis sa création en 1996, la Sogatra éprouve d’importantes difficultés de fonctionnement malgré les nombreuses aides allouées par l’État Gabonais[21]. Le vieillissement du parc automobile de la société et l'insuffisance ou l’incompatibilité des pièces de rechange pour les bus occasionnent un important ralentissement de l'activité de l'entreprise. Les difficultés pour mettre en place un service de transports en commun efficace dans la capitale gabonaise se traduit par une rareté des bus en bon état, un temps d'attente très long (10 à 30 minutes) et un service médiocre pour les passagers[22],[23]. Le renouvellement de son parc automobile doit lui permettre d'accompagner l'expansion de la ville et le développement socio-économique du pays[23].
Transport ferroviaire
Libreville est reliée à Franceville par le Transgabonais (chemin de fer gabonais). La gare ferroviaire d'Owendo est la tête de ligne ouest. La ville d'Owendo ainsi que le port d'Owendo disposent d'un axe routier permettant de transférer le fret de la gare au port. De nombreuses entreprises sont implantées le long de cet axe[24].
Transport aérien
Libreville abrite le principal aéroport du Gabon : l'Aéroport international Léon Mba. Cet aéroport existe depuis les années 1950[25]. Plusieurs aménagements successifs ont permis à la structure d’accueillir au fil du temps les différents types d’appareils que l'on trouve dans les airs. L'aéroport peut accueillir des très gros porteurs depuis la fin des années 1960.
Une vingtaine de compagnies aériennes desservent Libreville[26]. Le trafic de passagers s'établit à 773 442 en 2011[27], tandis que le trafic de fret oscille entre 12 000 et 25 000 tonnes par an ; il a été de 21 000 tonnes en 2011[27].
La construction d'un second aéroport[28] est en projet dans le cadre des grands chantiers de développement des infrastructures du pays. Il doit être implanté au nord de la capitale, sur le site de Malibé 2. Il devrait générer de nombreux emplois et permettrait au Gabon d'être aux normes de sécurité internationales en matière d'aviation civile. En 2014, le projet est encore à la phase de recherche de partenaire[29].
Une base militaire française permanente occupée par le 6e RIMa (camp De Gaulle) est installée au Nord de la capitale gabonaise, ainsi que la base aérienne 01 (base militaire aéroportée gabonaise).
Sport
La ville compte plusieurs clubs de football dont Boca Football Club de Libreville, Delta Téléstar Gabon Télécom FC, USM Libreville, Sogéa FC, Missile Football Club et Football Canon 105 de Libreville.
Notes et références
- Direction générale de la statistique, Résultats globaux du Recensement général de la population et des logements de 2013 du Gabon (RGPL-2013), Libreville, , 195 p. (lire en ligne), chap. II. (« Effectif, structure par âge, répartition spatiale et évolution de la population »)
- (en) « Data Query - Total Population by sex (thousands) », United Nations, Department of Economic and Social Affairs, Population Division (2015). World Population Prospects: The 2015 Revision, custom data acquired via website
- « Une pluie diluvienne cause des inondations à Libreville », sur gabonreview.com, (consulté le ), « même les coins où l’on se sentait à l’abri de l’inondation ont tôt fait d’être envahis, pour peu que la pluie dure plus d’une heure et avec intensité »
- Hubert Deschamps, « Quinze ans de Gabon (Les débuts de l'établissement français, 1839-1853) », Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 50, n°180-181, troisième et quatrième trimestres 1963, p. 283-345 (lire en ligne)
- Roman Adrian Cybriwsky, Capital Cities around the World: An Encyclopedia of Geography, History, and Culture, ABC-CLIO, États-Unis, 2013, p. 154
- sur Gabonreview, 16 juillet 2021. Voir aussi: , Stive Roméo Makanga, sur Kongossanews.info, 26 août 2021.
- « Anciens maires », sur Mairie de Libreville, (consulté le ).
- Romain Gras, « Gabon : Rose Christiane Ossouka Raponda, de la mairie de Libreville au ministère de la Défense », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- Georges Dougueli, « Gabon : dix choses à savoir sur Léandre Nzué, le maire de Libreville », sur Jeune Afrique, (consulté le ).
- Ho chi minh dit, « Mairie de Libreville : Jusqu'où ira l'intérim d'Akassaga? », sur Gabonreview.com | Actualité du Gabon |, (consulté le )
- « Gabon: Eugène Mba devient le nouveau maire de Libreville », sur RFI, (consulté le )
- Hubert Freddy Ndong Mbeng, Les matitis : mes pauvres univers en contre-plaqué, en planche et en tôle, Saint-Maur, Sépia, , 127 p. (ISBN 2-907888-17-X)
- La langue française dans le monde, 2014, Éditions Nathan, p. 30
- Britannica, Gabon, britannica.com, États-Unis, consulté le 28 juillet 2019
- CHUL et CHUA, centres hospitalo-universitaires de Libreville et d'Angondjé
- http://hiaobo.org/
- Steve Jordan, « Jeanne Ebori : le jour le plus long », Gabon review, (lire en ligne)
- « Inauguration du palais du Sénat à Libreville », sur infoplusgabon.com,
- http://gabonews.ga/index.php/component/content/article/79-societe/1082-nouveaux-bus-de-la-sogatra-les-librevillois-en-veulent-davantage-reportage-
- « http://www.gaboneco.com/show_article.php?IDActu=17771 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- « http://www.gaboneco.com/show_article.php?IDActu=6585 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- « http://www.africatime.com/gabon/nouvelle.asp?no_nouvelle=512486&no_categorie=UNE »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Orphé Boutet, « Gabon : Les travaux avancent entre la gare SETRAG et le Port d'Owendo »
- http://www.adlgabon.com/fr/aeroport-libreville.php
- « Compagnies », sur adlgabon.com, Aéroport de Libreville
- « Historique & Mission », sur adlgabon.com, Aéroport de Libreville
- http://gabonews.ga/index.php/actualite/economie/2239-le-site-du-futur-aeroport-international-dandem-kango-visite-par-paul-biyoghe-mba
- « Nouvel aéroport de Libreville : un groupe chinois présente son plan au Premier ministre », sur gabonlibre.com, (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Fidèle Allogho-Nkoghe, Quartiers informels et politique de la ville : les logiques d'aménagement à Libreville (Gabon), Paris, L'Harmattan, , 196 p. (ISBN 978-2-343-00347-4, lire en ligne)
- Patrick Ceillier et Jean-Emile Mbot, A Libreville, c'était hier, Libreville, Editions du Luto, , 191 p. (ISBN 978-2-912603-14-2, OCLC 401661247)
- Guy Lasserre, Libreville, la ville et sa région (Gabon, A.E.F.) : étude de géographie humaine, A. Colin, Paris, 1958, 346 p. (texte remanié d'une thèse complémentaire de Lettres)
- Louis Perrois, Les chefs-d'œuvre de l'art gabonais au Musée des arts et traditions de Libreville, Rotary club de Libreville-Okoumé, Libreville, 1986, 154 p.
- (en) Maria Petringa, Brazzà, a life for Africa, Bloomington, IN, AuthorHouse, , 256 p. (ISBN 978-1-4259-1198-0).
- Recensement et enquête démographique : 1960-1961 : résultats pour Libreville, Service de coopération de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Impr. Servant-Crouzet, Paris, 1962, 50 p.
Liens externes
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