Hassan II

Hassan II (en arabe : الحسن الثاني et en berbère : ⵍⵃⴰⵙⴰⵏ ⵡⵉⵙⵙ ⵙⵉⵏ), né le à Rabat et mort le dans la même ville, est un homme d'État marocain. Il est roi du Maroc du à sa mort. Appelé Moulay Hassan en tant que prince héritier (variantes : Moulay El Hassan[1], Moulay Al Hassan[1]), il est le fils du sultan et futur roi Mohammed V.

Pour les articles homonymes, voir Moulay Hassan et Hassan II (homonymie).

(fr) Hassan II
(ar) الحسن الثاني
(ber) ⵍⵃⴰⵙⴰⵏ ⵡⵉⵙⵙ ⵙⵉⵏ

Hassan II en 1981.
Titre
Roi du Maroc

(38 ans, 4 mois et 27 jours)
Couronnement
Premier ministre Lui-même
Ahmed Bahnini
Mohamed Benhima
Ahmed Laraki
Mohammed Karim Lamrani
Ahmed Osman
Maati Bouabid
Mohammed Karim Lamrani
Azzedine Laraki
Mohammed Karim Lamrani
Abdellatif Filali
Abderrahman El Youssoufi
Prédécesseur Mohammed V
Successeur Mohammed VI
Premier ministre du Maroc

(2 ans et 1 mois)
Monarque Lui-même
Gouvernement Hassan II 3
Prédécesseur Ahmed Bahnini
Successeur Mohamed Benhima
Président du Conseil de gouvernement du Royaume marocain

(2 ans, 4 mois et 18 jours)
Monarque Lui-même
Gouvernement Hassan II 1 et 2
Prédécesseur Mohammed V
Successeur Ahmed Bahnini
Prince héritier du Maroc

(29 ans, 7 mois et 22 jours)
Monarque Mohammed V
Prédécesseur Aucun
Successeur Moulay Abdellah
Biographie
Hymne royal Hymne national
Dynastie alaouite
Nom de naissance El Hassan ben Mohammed Alaoui[réf. nécessaire]
Date de naissance
Lieu de naissance Rabat (Protectorat français du Maroc)
Date de décès
Lieu de décès Rabat (Royaume du Maroc)
Nature du décès Infarctus du myocarde[réf. nécessaire]
Sépulture Mausolée Mohammed-V
Nationalité Marocaine
Père Mohammed V
Mère Lalla Abla
Fratrie Moulay Abdellah
Conjoint 1) Lalla Fatima
2) Lalla Latifa
Enfants Deuxième épouse :
princesse Lalla Meryem
Mohammed VI
princesse Lalla Asmaa
princesse Lalla Hasnaa
prince Moulay Rachid
Héritier Sidi Mohammed
Religion Islam sunnite
Résidence Palais royal de Rabat

Monarques du Maroc
Premiers ministres du Maroc

Il est enterré au mausolée Mohammed V de Rabat, où reposent son père et son frère Moulay Abdellah. Son fils Sidi Mohammed lui a succédé sous le nom de Mohammed VI.

La dynastie alaouite du Maroc

Hassan II est le vingt et unième monarque de la dynastie alaouite, qui règne sur le Maroc, depuis le milieu du XVIIe siècle ; il est le deuxième qui ait porté le titre de roi (malik), au lieu de celui de sultan.

Selon la tradition, la lignée des Alaouites serait originaire de Yanbū‘ an-Nakhīl, oasis de la côte d’Arabie sur la mer Rouge et descendrait du prophète Mahomet par la voie de sa fille Fatima (d'où le titre de chérif et l'expression « empire chérifien » utilisée autrefois pour désigner le Maroc).

Jeunesse

Prince héritier

Le prince héritier Moulay El-Hassan et son père Mohammed V, en 1950.

Le prince Moulay El-Hassan reçoit, au palais royal de Fes, les premiers enseignements de la science coranique, auprès de professeurs comme Moulay Tayeb El Alaoui[réf. nécessaire]. Il a également Mehdi Ben Barka comme professeur de mathématiques. Après des études universitaires à Rabat et à Bordeaux (France), le roi obtient, en 1951, le diplôme d'études supérieures en droit public.

Moulay El-Hassan est très tôt initié aux arcanes du pouvoir et de la diplomatie. En 1943, il assiste, aux côtés de son père, à la conférence d'Anfa où il rencontre Sir Winston Churchill et Franklin Roosevelt. Cette conférence des Alliés se tenait à la veille de la libération de l'Europe. En 1947, le prince participe au voyage historique de Mohammed V à Tanger, et assiste au discours de son père qui, alors qu'il s'était accommodé de façon pragmatique pendant des années du statut de protectorat, prend conscience (sous l'influence de Roosevelt) de la portée des mouvements indépendantistes à travers le monde, réclame l'indépendance du pays, son unité, son intégrité territoriale et son adhésion à la Ligue arabe. Il lance lui-même un appel aux jeunes les invitant à se mobiliser pour la libération. En 1952, il participe au discours du Trône, considéré comme la charte du nationalisme marocain contre le protectorat.

L'année suivante, il est exilé avec le sultan en Corse à Zonza, puis à Madagascar, avant de rentrer le . L'indépendance acquise en 1956, son père le nomme chef d'état-major des forces armées royales - il réprime, à ce titre, le soulèvement du Rif - avant de le proclamer officiellement prince héritier le .

Roi du Maroc

Accession au trône

Le , à la mort de Mohammed V, Moulay El-Hassan est proclamé roi du Maroc sous le nom de Hassan II.

Début de règne

Dès son ascension au pouvoir, Hassan II décide de s’appuyer sur l’élite politique, administrative et militaire formée par la France à partir des années 1930. Celle-ci, généralement francophile et résolument anti-istiqlalienne, comprend notamment Mohamed Oufkir[2].

En , il fait adopter une constitution sur mesure, mal acceptée par les partis politiques - le roi, proclamé commandeur des croyants, est une personnalité « inviolable et sacrée ».

Une vague de répression s'abat alors sur l'opposition de gauche, suivie, après les émeutes de Casablanca et au Rif en 1965, par cinq ans d'état d'exception. En , les manifestations de lycéens protestant contre une loi limitant l’âge de l’accès aux lycées sont réprimées avec violence : des centaines de jeunes sont tués en quelques jours[2]. Le de cette même année, Mehdi Ben Barka, est enlevé au boulevard Saint-Germain à Paris (devant la brasserie Lipp), puis secrètement assassiné. De nombreux militants de l'UNFP sont emprisonnés et certains dirigeants du parti condamnés à mort[3].

Dans le même temps, il poursuit l'unification du royaume et la consolidation de son indépendance et de son intégrité territoriale : libération de la province de Tarfaya (1958) et de l'ancienne colonie espagnole, la province de Sidi Ifni (1969).

Pour Hassan II, le danger viendra ensuite de l'armée. Le , alors qu'il organisait une réception à l'occasion de son anniversaire, près de 600 soldats[4] pénètrent dans les enceintes du palais royal de Skhirat, faisant plus d'une centaine de morts (dont l'ambassadeur belge), dans une tentative de coup d'État. Le , c'est le général et ministre de l'Intérieur et de la Défense Mohamed Oufkir qui monte une attaque aérienne contre l'avion du souverain alors que celui-ci rentre d'un voyage en France. Oufkir, selon la thèse officielle, se suicide (pourtant, on retrouvera la dépouille d'Oufkir avec cinq balles dans le dos). À chaque fois, Hassan II en réchappe. Il faudra attendre encore trois ans pour que le roi trouve enfin un terrain d'entente avec son opposition, son armée et, sans doute, son peuple.

Il emprisonnait certains de ses opposants, et leurs familles, et les faisait torturer dans les caves de la Sûreté à Rabat[5].

Selon le média Orient XXI[2], en 1975, Alexandre de Marenches, directeur du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage français (SDECE) aurait imaginé la « marche verte » (en direction de la colonie espagnole du Sahara occidental) comme moyen de mobilisation du peuple marocain autour de son monarque. Elle permettrait également à ce dernier de se débarrasser d’une partie de l’armée marocaine, perçue comme une menace potentielle[2].

Politique étrangère

Hassan II et le secrétaire américain à la Défense Caspar W. Weinberger.

Sur les questions diplomatiques, il est proche des États-Unis sans pour autant s'opposer frontalement à l'Union soviétique. Il adopte par ailleurs une approche ambiguë au sujet des conflits opposant Israël à certains pays arabes. D'après Yediot Aharonot pour le journal The Times of Israel, il aurait fait enregistrer au profit du Mossad les travaux d’une réunion secrète des dirigeants arabes destinée à évaluer leurs capacités militaires ; enregistrements qui seront déterminants pour Israël lors de la guerre des six jours[6]. En revanche, il envoie en 1973 au Golan un contingent se battre aux côtés des Syriens lors de la guerre d'octobre 1973[6]. Il suspend l'adhésion du Maroc à l'Organisation de l'unité africaine et entre en conflit avec le président burkinabé Thomas Sankara en raison de la décision de celui-ci de reconnaitre la République arabe sahraouie démocratique[7].

Il entretient de très bons rapports avec la France, y compris avec une partie de son élite médiatique et financière. Ainsi, 1988, le marché de la grande mosquée de Casablanca, un projet considérable financé via des contributions obligatoires, est accordé à son ami Francis Bouygues, l'un des plus puissants hommes d'affaires français[2]. Son image en France est écornée après la parution en 1990 de Notre ami le roi de Gilles Perrault, dans lequel l'écrivain décrit les conditions de détention au bagne de Tazmamart, la répression visant les opposants de gauche et Sahraouis, les assassinats politiques, mais aussi la situation sociale et la pauvreté dans laquelle vit la majorité des Marocains[2].

Islam, christianisme et judaïsme au Maroc

Hassan II en 1983.

En ce qui concerne les chrétiens, Hassan II accomplit un geste qui n'était pas seulement un symbole. En effet, il admit monseigneur Norbert Calmels (1908-1985), un dignitaire du Vatican et ami du roi, à l'Académie royale. Cet ecclésiastique originaire du département de l'Aveyron, en France, était chargé d'opérer le rapprochement entre l'islam et le christianisme. Aujourd'hui, le clergé catholique, quoique réduit, est non seulement libre d'exercer son culte, mais est également rétribué par les pouvoirs publics[réf. nécessaire].

L'initiative la plus spectaculaire, fut l'invitation adressée au pape Jean-Paul II à venir visiter le Maroc. Le , au grand stade de Casablanca, le souverain pontife s'est adressé à plus de 80 000 jeunes Marocains en affirmant que les « chrétiens et les musulmans ont beaucoup de choses en commun, en tant que croyants et en tant qu'hommes [...] et que, dans le passé, nous nous sommes mal compris, nous nous sommes souvent opposés, et nous avons dépensé beaucoup trop d'énergie dans des querelles et dans des guerres. Je crois au fait que Dieu nous pousse aujourd'hui à changer nos vieilles méthodes ».

Hassan II citait souvent cette sourate du Coran (l'Araignée): « N'engagez des controverses avec les gens du livre que de la manière la plus honnête, à moins que ce soient des hommes mauvais. Dites : nous croyons aux livres qui nous ont été envoyés, ainsi qu'à ceux qui vous ont été envoyés. Notre Dieu et le vôtre est un. Nous nous résignons entièrement à Sa volonté ».

La communauté juive marocaine comptait plusieurs centaines de milliers de personnes et était présente au Maroc depuis le iie siècle av. J.-C. Après la proclamation de l’État d’Israël en 1948, les relations se tendent et des émeutes antijuives éclatent à Oujda et à Djerada. Ces événements conduisent environ 60 000 juifs à quitter le Maroc pour Israël entre 1955 et 1956. Ces départs se poursuivent jusqu’à ce qu’en 1961, le roi Hassan II autorise officiellement les juifs marocains à émigrer en Israël. Environ 80 000 d'entre eux, généralement très pauvres, partent à la suite de l'autorisation du Roi[8].

Enfin, après la guerre israélo-arabe de 1973, dans un climat de plus en plus hostile, 40 000 juifs du Maroc partent s’installer en France. Il résulte de ces différentes vagues migratoires que le Maroc ne compte aujourd'hui plus qu'un nombre infime de personnes de confession juive, estimé à environ 3000, qui vivent aujourd'hui principalement dans la région de Casablanca[9].

Fin de règne et mort

Son portrait apparaît dans tout le pays, sur les avenues, chez les commerçants qui peuvent être inquiétés par la police s'il n'est pas bien mis en évidence[10]. Mais ce ne sera qu'à la fin des années 1980, après une nouvelle série d'émeutes (au nord particulièrement, région plongée dans la précarité) et la montée en force de l'islamisme, que son régime commence lentement à se libéraliser. Les réformes constitutionnelles de 1992 et 1996 atténuent ainsi le caractère absolutiste de la monarchie. En février 1998, enfin, Hassan II nomme un opposant de toujours, le socialiste Abderrahman el-Youssoufi, au poste de Premier ministre chargé d'assurer « l'alternance ».

Parmi les actions emblématiques menées par le roi, on compte la politique de l'eau, avec la construction de grands barrages dans le pays afin de garantir l'approvisionnement en eau de la population, de l'agriculture, de l'industrie, etc[11]. Grâce à cette politique, le Maroc compte 139 grands barrages (2015) avec une capacité de mobilisation des eaux de surface égale à 17,6 milliards de mètres cubes. Cette politique se poursuit toujours avec, en moyenne, la mise en exploitation de 2 à 3 nouveaux barrages chaque année[12]. L'un des barrages construits à l'est du pays dans le cadre de ce plan fut baptisé barrage Hassan II.

Le roi Hassan II et Ahmed Reda Guedira (1990).

Redoutable manœuvrier, jamais aussi à l'aise que dans le jeu complexe de la diplomatie régionale et internationale, ce roi auquel rien n'était interdit - surtout pas les plaisirs d'une vie terriblement dispendieuse - décide de tout derrière les murailles de ses palais, véritables cités interdites.

À partir des années 1990, une opération de grande envergure pour la privatisation des entreprises publiques est menée par le roi et André Azoulay, le conseiller économique de la monarchie. Le groupe français Accor a ainsi pu acquérir six hôtels de la chaîne marocaine Moussafir et la gestion du palais Jamaï de Fès. Cette opération de privatisation permet d’une part aux notables marocains proches du pouvoir de contrôler les entreprises publiques les plus en vue, et, d’autre part, aux sociétés françaises d’opérer un retour en force dans l'économie du pays[13]. La famille royale acquiert notamment le groupe minier Monagem[13].

Moderniste et traditionnel, féodal et politicien madré, fin stratège conciliant Occident et Orient, mais aussi capable d'arbitraire et d'extrême dureté, Hassan II meurt après un règne de près de 40 ans, le 23 juillet 1999, à l'âge de 70 ans, et laisse à son fils, Mohammed VI, un Maroc structuré et uni. Mais aussi un royaume où les disparités sociales et les inégalités demeurent criantes et à l'héritage lourd.

Obsèques et inhumation

Les funérailles de Hassan II à Rabat le furent l'occasion de grandes manifestations de ferveur populaire et de soutien à la monarchie. Lors de la procession funèbre, le cortège est enveloppé par une masse de deux et demi à trois millions de personnes venues rendre un dernier hommage à leur roi. Cet événement est retransmis en direct par plus de 80 chaînes de télévision, dont les principales chaînes arabes et occidentales, représentant 65 pays. Des délégations et des représentants de plus de 60 pays viennent à Rabat pour lui rendre un dernier hommage. Plusieurs chefs d'État participent aux obsèques et font partie du cortège funéraire. Hassan II repose depuis dans le mausolée de son père à Rabat, avec son frère cadet Moulay Abdellah.

Distinctions

Décorations

Hassan II
Formules de politesse
Indirecte Sa Majesté
Directe Sire
Alternative Votre Majesté

Décorations marocaines

Décorations étrangères

Honneurs

Il a obtenu plusieurs Doctorat honoris causa :

Famille

Le roi du Maroc Mohammed V avec ses six enfants : de gauche à droite, Lalla Aïcha, Moulay El Hassan (futur Hassan II), Lalla Malika, Moulay Abdellah et Lalla Nuzha ; plus, sur ses genoux, Lalla Amina (Madagascar, 1954).

Le père d'Hassan II est Mohammed V du Maroc, sa mère Lalla Abla bent Tahar.

Hassan II a cinq sœurs et un frère :

Hassan II a eu cinq enfants avec Lalla Latifa Hammou, portant tous la qualification d'altesse royale :

Publications

  • Le Défi, Paris, Albin Michel, 1976, 288 p.
  • La Mémoire d'un Roi, Paris, Plon, 1993, 304 p. Entretiens avec Éric Laurent.
  • Le Génie de la modération : Réflexions sur les vérités de l'Islam, Paris, Plon, 2000, 353 p. Entretiens avec Éric Laurent. Préface de Mohammed VI.

Notes et références

Notes

    Références

    1. Voir le communiqué officiel en français reproduit dans « Naissance du prince héritier », L'Économiste, Casablanca, no 1515, (lire en ligne, consulté le ). Il y est écrit : « Sa Majesté le Roi […] a décidé de donner à Son Altesse Royale le Prince héritier, le prénom de Moulay Al Hassan, du prénom de son auguste grand-père Feu Sa Majesté Hassan II […] » (couramment appelé ainsi avant qu'il ne devienne roi).
    2. « Maroc. Hassan II, « pote » et despote », sur orientxxi.info,
    3. Saïd Bouamama, Figures de la révolution africaine, La Découverte,
    4. www.actuel.ma
    5. Jeanne Fouet-Fauvernier, Écritures de la survie en milieu carcéral. Autobiographies de prisonniers marocains des « années de plomb », L’Harmattan, Paris, 2019, 304 pages. Article Arezki Metref Hassan II et son jardin secret Le Monde diplomatique mai 2020, p. 25
    6. « Guerre des Six-Jours : Nouvelles révélations sur le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël », sur Le Desk,
    7. Amzat Boukari-Yabara, Une histoire du panafricanisme, La Découverte, , p. 300
    8. Nora Togni, « Pourquoi les juifs du Maghreb sont-ils partis ? », sur Orient XXI,
    9. « Bibliographie sélective des travaux de Jacques Taïeb », dans Juifs au Maghreb, Editions de l'Éclat, (ISBN 978-2-84162-342-6, lire en ligne), p. 243
    10. Pascal Bonnard, « La figure du roi dans l’espace public, enjeu politique et reflet d’une société | Blog AlterEurope » (consulté le )
    11. Maroc, la mobilisation des eaux de surface par les barrages
    12. Bilan de la politique de l'eau au Maroc (fr)
    13. « Maroc. Le roi, son or et le groupe Managem », sur orientxxi.info,
    14. Université Cheikh-Anta-Diop, « Liste des docteurs honoris causa de l'UCAD », sur http://www.ucad.sn (consulté le )
    15. « Hassan II », sur Skyrock, (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    Le sultan du Maroc et son fils Hassan au magasin Panhard des Champs-Élysées (1934).

    Liens externes

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