Guillaume Peltier
Guillaume Peltier, né le à Paris, est un homme politique français.
Ne doit pas être confondu avec Martin Peltier.
Pour les articles homonymes, voir Peltier.
Guillaume Peltier | |
Guillaume Peltier en 2016. | |
Fonctions | |
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Vice-président des Républicains[1] | |
En fonction depuis le (1 an, 10 mois et 26 jours) |
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Président | Christian Jacob |
Prédécesseur | Jean Leonetti |
Député français | |
En fonction depuis le (4 ans, 2 mois et 28 jours) |
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Élection | 18 juin 2017 |
Circonscription | 2e de Loir-et-Cher |
Législature | XVe |
Groupe politique | LR |
Prédécesseur | Patrice Martin-Lalande |
Conseiller départemental du Loir-et-Cher | |
En fonction depuis le (2 mois et 17 jours) |
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Avec | Virginie Verneret |
Élection | 27 juin 2021 |
Circonscription | Canton de Chambord |
Prédécesseur | Gilles Clément |
Conseiller régional du Centre-Val de Loire | |
– (5 ans, 6 mois et 14 jours) |
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Élection | 13 décembre 2015 |
Président | François Bonneau |
Groupe politique | Les Républicains (président) |
Porte-parole des Républicains | |
– (1 an, 11 mois et 7 jours) |
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Avec | Guillaume Larrivé Valérie Debord Brigitte Kuster |
Président | Nicolas Sarkozy Laurent Wauquiez |
Prédécesseur | Sébastien Huyghe Lydia Guirous |
Successeur | Lydia Guirous Gilles Platret Laurence Sailliet |
Maire de Neung-sur-Beuvron | |
– (3 ans, 3 mois et 13 jours) |
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Prédécesseur | Michel Legourd |
Successeur | Édith Bresson |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Paris |
Nationalité | Française |
Parti politique | FN (1996-1998) MNR (1998-2000) MPF (2001-2008) UMP (2009-2015) LR (depuis 2015) |
Diplômé de | Université Paris-Sorbonne |
Profession | Professeur du secondaire en histoire-géographie |
Après un passage au Front national de la jeunesse et au Mouvement national républicain, il adhère en 2001 au Mouvement pour la France, et en 2009 à l'Union pour un mouvement populaire – devenue par la suite Les Républicains.
Il est actuellement député, conseiller régional et vice-président des Républicains. Il est également vice-président du groupe LR à l'Assemblée nationale.
Situation personnelle
Jeunesse et famille
Guillaume Peltier grandit en banlieue parisienne dans une HLM de la porte de Vanves, au sein d'une famille de classe moyenne et de sensibilité de gauche[2] ; son père est artisan plombier et sa mère laborantine[3]. Il est étudiant en hypokhâgne au lycée Blomet (École normale catholique), en khâgne au lycée Lakanal à Sceaux (1995), puis à la Sorbonne (licence d'histoire en 1997 et maîtrise en 1998), avant de devenir professeur certifié d'histoire-géographie en septembre 1999. Il milite à l'UNI. Il est père de quatre enfants.
Carrière professionnelle
En , il est lauréat du CAPES. Il quitte ses engagements associatifs et politiques et est nommé professeur d’histoire-géographie au lycée public Philippe-Lebon à Joinville, dans la Haute-Marne. En , il est nommé professeur à Épernay.
En , il crée sa propre EURL de communication politique, institutionnelle et d'entreprise[4], baptisée Com1+ et dont les bureaux sont situés avenue de Grammont, à Tours[5]. Cette société publie La Lettre de l'opinion, un magazine numérique bimensuel de décryptage des enquêtes d’opinion[6]. En 2012, l’entreprise emploie près d'une dizaine de salariés et présente un chiffre d'affaires supérieur à un million d'euros[7].
À partir d', Guillaume Peltier devient intervenant à l'université d'Orléans en master 2 pour un cours intitulé « Conseil politique et communication »[8].
Il est invité permanent de la chronique politique de Ruth Elkrief sur BFM TV et d'Olivier Galzi sur i>Télé à partir de décembre 2011, Guillaume Peltier débat chaque semaine face à ses homologues du Parti socialiste. Chaque samedi, il affronte ainsi François Kalfon, spécialiste opinion du PS, dans le cadre de l'émission le Match de l'opinion[9].
Le , une perquisition a lieu à son domicile de Neung-sur-Beuvron dans le cadre d'une enquête pour délit de favoritisme et prise illégale d'intérêts présumé et de soupçons de non-respect par la ville de Menton des règles d'attribution des marchés, dossier dans lequel serait également impliqué Bygmalion (chacun aurait répondu à deux marchés semblables se situant juste en dessous du seuil de 15 000 euros qui aurait obligé à une mise en concurrence)[10],[11]. Le , il est placé en garde à vue dans le cadre de l'enquête pour délits présumés de favoritisme et prise illégale d'intérêts à la mairie de Menton[12]. La plainte qui est à l'origine de cette affaire est jugée « inepte » par Jean-Claude Guibal, maire de Menton. Aucune charge n’est finalement retenue contre lui[13].
Parcours politique
1996-2000 : débuts en politique aux FN et MNR
Guillaume Peltier adhère en 1996 au Front national de la jeunesse (FNJ), mouvement de jeunesse du Front national[2]. Sous la direction de Samuel Maréchal, père de Marion Maréchal-Le Pen, il est chargé de capter les jeunes catholiques traditionalistes courtisés par Bernard Antony. En 1996, il fonde avec Nicolas Bay l'association Jeunesse Action Chrétienté, un mouvement proche de l'organisation Ichtus[2] qui se mobilise contre le PACS et l'euthanasie.
En 1998, aux côtés de Jean-Yves Le Gallou ou Jean Haudry, il participe à un numéro de la revue Offensive pour une Europe enracinée, qui s'attache à démontrer que l'Europe tire ses racines de « la grande civilisation originelle et commune indo-européenne »[14].
Guillaume Peltier quitte le Front national en , déclarant ne pas vouloir se rendre « complice » de la croisade antimégrétiste[15].
Après la scission entre Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret, Guillaume Peltier prend parti pour le second et assiste au congrès fondateur du MNR à Marignane[2],[16],[17]. Il entre à la direction du Mouvement national de la jeunesse, l'organisation de la jeunesse du parti mégrétiste, en compagnie de Philippe Schleiter[18]. En il participe à la fondation du Front de la jeunesse[19].
Il est également, pendant quelques mois en 2000, secrétaire général de l'Alliance avec les chrétiens en politique (ACEP), une association politique de laïcs chrétiens, d'esprit œcuménique, dont il a été exclu.
2001-2008 : Mouvement pour la France
En , il se présente à Épernay sur la liste divers droite conduite par Franck Leroy. Après avoir approché Charles Millon, il rencontre en 2000 Philippe de Villiers[2]. Celui-ci le nomme responsable des jeunes du MPF l’année suivante, en 2001[2].
Il se met alors en congé de l'Éducation nationale et devient permanent du MPF[2]. Il est également nommé assistant parlementaire du député européen Thierry de La Perrière.
De 2001 à 2006, il est le premier président des Jeunes pour la France[20]. En 2002, après avoir obtenu 2,89 % des suffrages exprimés aux élections législatives dans la sixième circonscription de la Marne, il est condamné à un an d'inéligibilité par le Conseil constitutionnel, qui avait été saisi par la Commission nationale des comptes de campagne[21].
En 2003, il devient secrétaire général du MPF[2] en remplacement de Thierry de La Perrière[22], et conduit la liste MPF dans la circonscription Massif central-Centre lors des élections européennes de 2004 et co-dirige la campagne nationale de Philippe de Villiers au niveau national avec Thierry Coste[23]. Il recueille 6,62 % des voix et n'obtient aucun élu. Lors du référendum du 29 mai 2005 il est directeur de campagne du MPF et l'un des organisateurs du meeting du 21 mai, qui réunit environ 5 000 personnes au Palais des sports de Paris.
En , Guillaume Peltier est nommé porte-parole de la campagne présidentielle de Philippe de Villiers.
En 2006, le trésorier du MPF, Bruno Georges, décide également de démissionner. Guillaume Peltier est très critique à l'égard de la politique de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, qu'il qualifie à cette époque d'imposteur[2]. Se déclarant républicain, laïc et anticlérical, il affirme se battre « contre toutes les formes de communautarisme » et se sentir « plus proche des déclarations d'un Manuel Valls que des projets d'un Nicolas Sarkozy en la matière »[2].
Il est candidat aux élections législatives de 2007 dans la 1re circonscription d'Indre-et-Loire et obtient 5,92 % des voix. Selon Libération, Guillaume Peltier participe aux négociations avec Brice Hortefeux pour les accords UMP/MPF[24].
Lors de l'élection municipale de 2008 de Tours, il conduit une liste qui s'oppose notamment à celles du maire sortant PS Jean Germain et de l'ancien ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres, et recueille 8,44 % des suffrages. Donnedieu de Vabres refusant une fusion de sa liste avec la sienne, il décide par mesure de rétorsion de ne pas appeler à voter pour Donnedieu de Vabres au deuxième tour ; en réaction, alors qu'il avait été investi candidat officiel UMP aux élections cantonales sur le canton de Tours-Val-du-Cher, l'UMP décide de présenter un autre candidat, et Guillaume Peltier ne recueille que 21,87 % des voix, contre 54,68 % pour Gérard Gernot, le candidat PS, et 10,84 % pour Nourdine Tarkany, candidat officiel UMP-Nouveau Centre[25].
Il quitte, en mai 2008, son poste de secrétaire général du MPF, et en juin son poste de porte-parole. Le , La Nouvelle République du Centre-Ouest publie un article[26] où Guillaume Peltier annonce que l'« histoire avec le MPF » est « finie ».
Depuis 2009 : figure de l’UMP puis de LR
En juin 2009, il adhère à l'UMP[27]. Cette adhésion ne fait pas l'unanimité au sein du parti présidentiel en Indre-et-Loire[28]. Il est nommé responsable de la communication de la fédération UMP d'Indre-et-Loire en [29].
Investi candidat de l'UMP aux élections cantonales de 2011 dans le canton de Tours-Sud, Guillaume Peltier est battu de justesse par le socialiste sortant, Claude-Pierre Chauveau, qui le devance de 55 voix (50,71 % contre 49,29%)[30].
À partir de , il fait partie de la cellule Ripostes réunie autour de Brice Hortefeux pour défendre le bilan de Nicolas Sarkozy dans les médias dans la perspective de l'élection présidentielle de 2012[31]. Le , Guillaume Peltier est nommé secrétaire national de l'UMP chargé des études d'opinion et des sondages[16],[32].
Le , il est investi pour les élections législatives candidat UMP sur la première circonscription d'Indre-et-Loire[33] et intègre quelques semaines plus tard l'équipe de porte-paroles du candidat UMP à la présidentielle, Nicolas Sarkozy[34]. Ainsi, il rejoint Emmanuelle Mignon, conseillère stratégique de la campagne présidentielle, Guillaume Lambert, directeur de campagne, le conseiller Patrick Buisson, l'ex-sondeur Pierre Giacometti, Jean-Michel Goudard (ancien publicitaire d'Euro RSCG), mais aussi Henri Guaino et Franck Louvrier[35],[36].
À la suite de l'officialisation de la candidature de Nicolas Sarkozy, le , le président sortant mobilise une équipe de porte-paroles autour de Nathalie Kosciusko-Morizet, que Guillaume Peltier intègre. Les médias le considèrent alors comme faisant partie de ceux qui comptent dans l'équipe de campagne de Nicolas Sarkozy[37]. Très présent dans les médias il défend la stratégie et la ligne de campagne choisie par Nicolas Sarkozy, qui n'est « pas une stratégie droitière, mais une stratégie populaire » selon lui[38].
Il est battu aux législatives de 2012 par le candidat socialiste Jean-Patrick Gille, avec 58,20 % contre 41,80 %.
En juillet 2012 il lance le mouvement « La Droite forte » avec le conseiller régional d'Île-de-France Geoffroy Didier, et dépose la marque « La Droite forte » en vue du congrès de l'UMP[39],[40]. La motion arrive en tête avec 28 % des suffrages exprimés le , devant la Droite sociale de Laurent Wauquiez et la France moderne et humaniste de Jean-Pierre Raffarin[41]. En février 2013, dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient vice-président de l’UMP au titre des mouvements, lors de la seconde vague de nomination après celle de janvier, en plus du vice-président délégué Luc Chatel, en poste depuis novembre 2012.
Pour répondre à la « fête de la Rose » du PS, il crée « la fête de la Violette », un rassemblement de militants, cadres et élus de l’UMP qui a lieu chaque premier week-end de juillet en Sologne[42]. Le , pour sa première édition, 1500 militants sont réunis, et sont présents Jean-François Copé (président de l’UMP), Brice Hortefeux, ainsi que Bruno Le Maire comme invité d’honneur[43]. Le , pour sa deuxième édition, 2500 militants ont fait le déplacement, ainsi que Luc Chatel (président de l’UMP par interim), Brice Hortefeux, Frédéric Nihous ou encore Rachida Dati, invitée d’honneur[44].
Sa liste l'emporte lors des élections municipales de 2014 à Neung-sur-Beuvron (1 200 habitants), avec 61,85 % des voix lors de l'unique tour de scrutin[45]. Une semaine plus tard, le , il est élu maire par le conseil municipal. Le , il est élu président de la communauté de communes de la Sologne des Étangs (7 729 habitants), par 24 voix contre 3[46].
Le , il est nommé par le nouveau président de l'UMP, Nicolas Sarkozy, secrétaire national fonctionnel aux fédérations professionnelles et coordonnateur adjoint des élections régionales[47]. Le il est nommé porte-parole des Républicains, en tandem avec Guillaume Larrivé, Valérie Debord et Brigitte Kuster[48].
En , candidat sur les listes de Philippe Vigier dans le cadre des régionales en Centre-Val de Loire, il arrive en tête dans son département (34,08 % contre 33,73 au PS-EELV et 32,19 au FN), mais l'UMP-UDI échoue au niveau régional. Il devient ensuite président du groupe d'opposition au conseil régional.
Il soutient Nicolas Sarkozy pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé avec plusieurs personnalités conseiller politique. Lors du second tour il soutient François Fillon.
Le il est élu député dans la deuxième circonscription de Loir-et-Cher avec 53,93 % des voix au second tour[49], ce qui le conduit à quitter la mairie de Neung-sur-Beuvron pour cause de non-cumul des mandats. Dans la foulée, le , il est élu vice-président du groupe LR à l'Assemblée nationale[50],[51] et devient membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation. Le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, annonce en sa nomination comme membre d'un des groupes de travail (La démocratie numérique et les nouvelles formes de participation citoyenne) visant à réformer l'Assemblée nationale[52].
Il parraine Laurent Wauquiez pour le congrès des Républicains de 2017[53]. Le , à la suite de la victoire de Laurent Wauquiez, il est nommé deuxième vice-président des Républicains.
En 2017, il crée le mouvement Les Populaires, qui rassemble une vingtaine de députés LR[54].
En , Guillaume Peltier se présente comme n'étant « ni libéral, ni socialiste », mais « travailliste » : il souhaite que « la droite propose un New Deal sur le plan économique, fondé sur un triptyque : la baisse des dépenses publiques, la baisse des charges pour les entreprises et la hausse des salaires pour les travailleurs »[55]. Appelant à « faire valoir le travail plus que la finance », il préconise en 2018 une hausse de 10 à 20 % du Smic[55], provoquant une polémique au sein de la droite[56].
En , après l'élection de Christian Jacob à la présidence des Républicains, il devient vice-président délégué du parti[57].
Estimant disposer d'un « vrai réseau de sympathisants de droite », Guillaume Peltier lance le 2 avril 2021 le micro-parti « Ensemble avec Guillaume Peltier », afin de rassembler des sympathisants n'étant pas nécessairement membres du parti LR. Ce nouveau mouvement vise à prendre le relais de l'association « Les amis de Guillaume Peltier », que le député avait fondé en 2017 dans son fief de Sologne[58].
En mai 2021, il revendique sa proximité avec Robert Ménard, maire d'extrême droite de Béziers, et se voit désavoué par Christian Jacob. Il propose ensuite de rétablir la Cour de sûreté de l'État pour lutter contre le terrorisme islamiste, en retirant la possibilité d'y faire appel : cette proposition est publiquement rejetée par les principaux dirigeants de LR[59]. En juillet 2021, Christian Jacob retire le statut de numéro 2 de LR à Guillaume Peltier après ses propos concernant Robert Ménard ; il est remplacé par Annie Genevard[60]. Si officiellement il s'agit d'une réaction à cette dernière position, Guillaume Peltier considère pour sa part qu'il s'agit d'une conséquence de son ralliement à Xavier Bertrand ; il n'est plus no 2 de LR mais reste toutefois l'un des vice-présidents du parti[61].
Il est proche du président du conseil régional des Hauts-de-France Xavier Bertrand[62], qu'il soutient en vue de l'élection présidentielle de 2022[63].
Une vingtaine d'assistants parlementaires de Guillaume Peltier ont démissionné entre 2017 et 2021. D'après Le Monde, « rythme de travail effréné, demandes de tâches sans cesse urgentes, nombreux messages nocturnes, manque de considération expliquent cet intense turnover »[64].
Aux élections départementales de 2021, Guillaume Peltier est élu conseiller départemental dans le canton de Chambord, remportant ainsi avec Virginie Verneret le canton le plus peuplé de Loir-et-Cher, qui était détenu par la gauche depuis 42 ans. Dans la foulée, il est élu président du groupe de la majorité au conseil départemental de Loir-et-Cher[65].
Ouvrage
- Milieu de cordée, Plon, 2019.
Notes et références
- Vice-président délégué jusqu’au 6 juillet 2021.
- Christophe Forcari, « Popu mais content », Libération, (lire en ligne, consulté le )
- Élisabeth Chavelet et Ludovic Vigogne, « Guillaume Peltier - Geoffroy Didier, le jeune duo qui bouscule l’UMP », Paris Match, semaine du 3 au 9 janvier 2013, pages 86-89.
- Portrait Nouvelle République, 29 octobre 2008.
- « Guillaume Peltier est jeune, beau et vient du FN : le choix de l’UMP pour Tours », Rue89, 6 juin 2012.
- Saïd Mahrane, « Peltier, la nouvelle boîte à idées de l'UMP », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- « Le CV de Guillaume Peltier, le numéro deux de LR qui fait rejaillir les fractures à droite », sur LExpress.fr,
- Biographie succincte sur le site http://www.ladroiteforte.fr/, site consulté le 14/12/2012.
- Site consulté le 14/12/2012, sur son site officiel.
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- Vanina Le Gall, « Délit de favoritisme présumé : Guillaume Peltier perquisitionné », sur lanouvellerepublique.fr, La Nouvelle République du Centre-Ouest, (consulté le ).
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- Fin de garde à vue pour Peltier et un cofondateur de Bygmalion - Reuters.
- Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent), Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII, , 701 p. (SUDOC 197696295, lire en ligne), p. 641, n. 4.
- Renaud Dely, « Jeunes, musclés et mégrétistes », Libération, (lire en ligne, consulté le )
- Anne-Laëtitia Béraud, « L'ex-frontiste Guillaume Peltier nommé secrétaire national de l'UMP », 20 minutes, (lire en ligne, consulté le )
- Donnedieu: "droitisation de l'UMP" sur lefigaro.fr du 29 janvier 2012
- Magali Boumaza, Le Front national et la formation des jeunes : l’échec d’une tentative d’homogénéisation de cultures politiques, 2002
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- Ainsi, l'ancien ministre Renaud Donnedieu de Vabres s'y oppose, de même que le comité de la première circonscription d'Indre-et-Loire qui se déclare « favorable à l'adhésion de M. Peltier à l'UMP mais pas en Indre-et-Loire » : cf. « UMP Guillaume Peltier indésirable à Tours ? », La Nouvelle République du Centre-Ouest, 9 juillet 2009
- « Vous avez interviewé Guillaume Peltier, porte-parole adjoint de Nicolas Sarkozy et secrétaire national de l'UMP », sur www.20minutes.fr (consulté le )
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- Guillaume Peltier porte-parole adjoint Sur le site lanouvellerepublique.fr
- Présidentielle: l'équipe de Nicolas Sarkozy se dessine Sur le site .20minutes.fr
- EN IMAGES. Sarkozy : l’équipe de choc du président Sur le site leparisien.fr
- Guillaume Peltier la passion extrême des sondages Sur le site liberation.fr
- " La stratégie n'est pas droitière, elle est populaire " Sur le site lanouvellerepublique.fr
- Deux jeunes sarkozystes lancent "la Droite forte", Le Point, 23 juillet 2012.
- Geoffroy Didier : "Sans une droite forte, le FN nous battra en 2017", Le Point, 23 juillet 2012.
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- « Adepte du « travaillisme », Guillaume Peltier, numéro 2 de LR, épuise ses collaborateurs », Le Monde.fr, (lire en ligne)
- https://www.lanouvellerepublique.fr/loir-et-cher/commune/chambord/departementales-le-canton-de-chambord-bascule-a-droite-avec-guillaume-peltier
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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