Graçay
Graçay est une commune française située à la pointe centre-ouest du département du Cher, en limite de l'Indre et dans la région Centre-Val de Loire.
Graçay | |||||
Mairie de Graçay. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Vierzon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Charles 2020-2026 |
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Code postal | 18310 | ||||
Code commune | 18103 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Graçayais | ||||
Population municipale |
1 441 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 08′ 37″ nord, 1° 50′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 164 m |
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Superficie | 31,82 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vierzon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vierzon-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.gracay.info/ | ||||
Géographie
Localisation
Graçay est située dans l'extrémité ouest du département du Cher, à 6 km au nord de Vatan (Indre). Le village se trouve à 2 km de l'autoroute A20.
Communes limitrophes
Anjouin (Indre) |
Genouilly | |||
Saint-Outrille (Indre) |
N | Nohant-en-Graçay | ||
O Graçay E | ||||
S | ||||
Reboursin (Indre) |
Meunet-sur-Vatan (Indre) |
Luçay-le-Libre (Indre) |
Urbanisme
Typologie
Graçay est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (3,4 %), forêts (2,2 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Histoire
Au Moyen Âge, Graçay était une importante seigneurie.
Selon La Thaumassière[8], les seigneurs princes de Graçay devaient l'hommage à l'abbaye de Massay, et leur famille, au nombre des grandes dynasties féodales du Berry, comporta :
- - Renaud/Regnaud Ier, époux d'Arsende, d'où - Renaud II (fl. en 1002 et 1007), lui-même père de - Sulpice (et aussi d'Arengarde, Milesende et Arsende) ; Sulpice engendre - Geoffroy Ier, mari d'Arengarde, d'où un fils dont le nom reste ignoré mais qui maria Eme et fut père de - Renaud III, fl. 1108, investi de la forteresse de St-Palais sous Louis VII aux dépens de l'archevêque Pierre auquel il finit par la rendre, lui-même père ou frère - d'Etienne Ier, baron de Graçay, fl. 1125 et 1145, un des fondateurs de l'abbaye de Loroy en 1125, et de l'abbaye d'Olivet en 1146 en expiation d'avoir brûlé St-Satur en 1144, mari d'Asceline de St-Palais[9] et père de - Renaud IV, baron de Graçay, qui épousa 1° Gaudrée et 2° Denise ;
- Le fils de Renaud IV et Gaudrée, - Pierre Ier († à la fin du XIIe siècle), prit pour femme Arembour, d'où un fils cadet nommé Geoffroy, et l'aîné, Etienne II († vers 1220/1223), qui libéralise en 1204 le prix du vin dans sa baronnie et atténue en /1221 la rigueur du servage en abolissant le droit de mortaille ; de sa femme Marquise de Macé, Etienne II eut - Pierre II, baron de Graçay († ap. 1248), qui donna une charte de franchises à Graçay en et convola avec Luce/Luquette, d'où Guillaume de Graçay (le cadet, vicaire de l'église Notre-Dame de Graçay), et Etienne (III) (l'aîné, † vers 1248 prédécédé, i.e. † avant son père ; époux de Mahaut de Genouilly-La Maisonfort ; - Etienne IV, frère aîné d'Hervé de Graçay, succéda à son grand-père Pierre II avant 1285, et, de sa femme Alix de Lisle épousée vers 1310, dame de La Ferté-Nabert, Vouzon et Lamotte-Beuvron, Cléry, vicomtesse de Blois à Lisle (fille d'Isabeau de La Ferté et Renaud de L'Isle), eut probablement :
- - Pierre III († ap. 1340), qui se maria deux fois, avec 1° Adel(a)ine de Lavardin de Savigny (elle teste en 1309), puis 2° Marguerite de St-Palais († vers 1326), et survécut à ses deux conjointes : d'où Renaud V (du 1°), et (du 2°) : Etienne ; Pierre, sire de Sauveterre, souche de la branche de La Maisonfort ; et autre Pierre, sire de l'Isle et de La Ferté-Nabert, marié à Isabeau de Sancerre, fille de Louis II, remariée veuve à Guichard Ier Dauphin de Jaligny ; - Renaud V († ap. 1355) enfanta - Renaud VI et Jeanne de Graçay († 1360 ; mariée sans postérité 1° en 1350 à André (III) de Chauvigny-Châteauroux de Levroux de St-Chartier († 1356) et 2° en 1357 à Arnaud de Cervole).
- Branche cadette de La Maisonfort : Pierre de Sauveterre et La Maisonfort, fils cadet de Pierre III, fl. 1395, épouse 1° Jacquette de La Châtre, puis 2° Perrenelle de Groux-Boust, d'où : (du 2°) Jean de Graçay (x Marguerite de Sully d'Ainay, d'où Jean et Pernelle de Graçay) ; et (du 1°) Jean Ier de La Maisonfort († vers 1422), père de Jean II (sa mère est Jeanne (de) Guisay, fille d'Hugues/Hugonin (de) Guisay et de ladite Pernelle de Groux-Boust qui était donc la belle-mère dans les deux sens du terme de Jean Ier ; la fratrie de Jean II comptait Pierre, Léonard, et Jeanne de Graçay, femme de Pierre de Bonnay) ; Jean II fut père d'Antoine (fl. 1468,1475), Jacques (x Jeanne de Roüy/de Rouhy de Menetou, d'où Olive de Graçay qui lègue en 1498 La Maisonfort à son parent Claude de La Châtre de Nançay, arrière-grand-père du maréchal Claude II), Marguerite (x Jean de Rouy) et Isabelle de Graçay (x Philippe Potin).
Renaud VI, évoqué ci-dessus, dernier baron prince de Graçay et dernier mâle de la branche aînée de sa Maison, vendit sa seigneurie au duc Jean de Berry les et contre 7 500 francs d'or et 300 francs de rente viagère[10], et ce dernier la céda au chapitre de la Ste-Chapelle de Bourges qu'il fonda en 1392 et que ledit chapitre prit en charge en 1405. En 1757, Louis XV transfèra cette possession à la cathédrale de Bourges, la Ste-Chapelle disparaissant peu à peu physiquement entre 1693, 1756 et 1775.
La suzeraineté sur Graçay avait été acquise par Philippe Auguste par le traité du Gaillon de 1195[11], et donnée en dot par Jean sans Terre à sa nièce Blanche de Castille pour qu'elle l'apportât, avec de nombreux droits sur le Bas Berry, à son mari le futur Louis VIII, épousé en 1200.
Témoins de l'époque féodale, des remparts médiévaux, une motte seigneuriale, et l'abside Saint-Martin de l'église de la fin du XIe siècle.
La communauté de Coulon, indépendante de Graçay à l’époque, connait un important essor démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 111 feux en 1709 à 162 en 1726[12]. La communauté de Saint-Phallier est elle en crise démographique, comme le reste de l’élection d’Issoudun, puisqu’elle passe de 45 feux en 1709 à 43 en 1726[13]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[14].
Avant 1806, la commune a absorbé celles voisines d'Avexi, de Coulon et de Saint-Phâlier ; cette dernière porta provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de La Liberté[15].
La commune fut desservie, de 1904 à 1939, par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des tramways de l'Indre qui reliaient Issoudun et Vatan à Vierzon.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Graçay[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Vierzon-2.
Intercommunalité
Graçay et Saint-Outrille ont créé fin 1993 la communauté de communes de Graçay Saint-Outrille, qui a pris la dénomination de communauté de communes des Vallées vertes du Cher Ouest à la suite de l'adhésion de nouvelles communes en 2000.
Cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes Vierzon Pays des Cinq rivières, la nouvelle intercommunalité créée le portant le nom de communauté de communes Vierzon Sologne Berry.
Le , celle-ci a fusionné avec la communauté de communes les Villages de la Forêt pour former la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Distinctions et labels
Dans son palmarès 2016, le conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[19].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].
En 2018, la commune comptait 1 441 habitants[Note 3], en diminution de 1,23 % par rapport à 2013 (Cher : −2,64 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture
Économie
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[23].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame : sur le pilier sud à l'entrée du chœur se trouve la statue de la Vierge d'Avexy, rescapée de deux actes de vandalisme en 1793 et 1905.
Son chœur se prolonge sur le déambulatoire par trois belles chapelles rayonnantes. L'ensemble est éclairé par 122 vitraux plus la rosace, dont 86 sont des dons des diocèses de France à l'image de leur saint patron. Le clocher abrite trois cloches qui datent de 1872.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1992[24].
- L'abside Saint-Martin. Au Moyen Âge, Graçay possédait six églises : quatre extra-muros dont Saint-Outrille et deux intra-muros dont Saint-Martin.
Il reste cette abside qui fut construite à la fin du XIe siècle. C'était un prieuré dépendant de l'abbaye de Massay.
Pillée au moment des guerres de religion, elle servit de club, puis de salpêtrière pendant la Révolution française.
À la fin du XVIIIe siècle, la nef et le clocher s'écroulèrent. Au cours d'une première tranche de travaux, un chantier de fouilles mit au jour des sépultures et permit de définir exactement le plan de l'église. Contrairement à la plupart des édifices, elle est orientée nord-est et non est-ouest. De pur style roman, elle était construite sur le plan bénédictin avec une abside profonde, flanquée de deux absidioles débouchant sur un transept. On en voit les fondations à l'extérieur. L'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1930[25].
- Le dolmen de la Pierre Levée également appelé la Grosse Pierre, il est d'époque néolithique et situé au village Aux Pois.
En grès très dur, sa table mesure 2,40 m de diamètre sur 0,80 m d'épaisseur, appuyée sur deux pierres sur chant. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1889[26].
- Château de Coulon classé et partiellement inscrit au titre des monuments historiques en 1994[27].
- Remparts anciennement allée des Tilleuls.
- La Pierre levée
- Musée de la photographie
Personnalités liées à la commune
- Arnaud de Cervole fut administrateur de la Baronnie de Graçay ;
- Jacques Bailly (1629-1679), né à Graçay, miniaturiste et graveur, peintre du roi, arrière-grand-père de Jean Sylvain Bailly, premier maire de Paris ;
- Alphonse Chigot (1824-1917), artiste peintre né à Graçay ;
- Edgard Ballon (1886-1963), athlète international français, y est né.
Héraldique
Blason | D'azur au lion d'or. |
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Détails | Armoiries des anciens seigneurs de Graçay[28]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la ville
- Site de l'Office de Tourisme des Vallées Vertes à Graçay
- Graçay sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Graçay (18103) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Graçay », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Graçay et sa Maison, p. 639-648 », sur Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La Thaumassière, à Bourges et chez Jacques Morel à Paris, 1689.
- Les Saint-Palais qu'on rencontre désormais, à partir d'Etienne († après mars 1227), semblent avoir une étroite parenté avec les Graçay : on rencontre chez eux les mêmes prénoms, Etienne, Renaud, Pierre... Il est tentant de voir en eux une branche cadette des Graçay, St-Palais ayant pu leur venir d'Asceline, la femme d'Etienne Ier de Graçay... Les St-Palais auront Vatan (par échange avec Philippe Auguste en 1220 contre des droits sur Issoudun ; Etienne de St-Palais était l'héritier des Issoudun pour un tiers : cf. Recherches sur la ville d'Issoudun, par Armand Pérémé, 1847, p. 116), et Buxeuil.
- « Graçay, p. 263-278, notamment p. 265-266 », sur Nouvelle Histoire du Berry, t. V, par Félix Pallet, à Bourges, 1785.
- Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l'Indre, 2009, p. 13
- Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168
- Olivier Zeller, op. cit., p. 170
- Zeller, op. cit., p. 145 et 153
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Phâlier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Un gymnase en hommage à Henri Beaufol », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « C'était l'inauguration la plus émouvante, samedi. Celle du gymnase qui porte aujourd'hui le nom d'Henri Beaufol, qui fut maire de Graçay de 1988 à 1995 ».
- Véronique Pétreau, « Sans regret, Jean-Pierre Charles voit disparaître sa communauté de communes des Vallées vertes », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Église Notre-Dame », notice no PA00096949, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Martin de Graçay », notice no PA00096808, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen de la Pierre Levée », notice no PA00096807, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Coulon », notice no PA00132553, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Pallet, Félix, "Nouvelle histoire du Berry", 1785, p.28
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