Genouilly (Cher)

Genouilly est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Genouilly.

Genouilly
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt
Maire
Mandat
Michel Legendre
2020-2026
Code postal 18310
Code commune 18100
Démographie
Gentilé Genouillois
Population
municipale
674 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 11′ 31″ nord, 1° 53′ 10″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 176 m
Superficie 34,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Vierzon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vierzon-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : Cher
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : France
Genouilly
Géolocalisation sur la carte : France
Genouilly

    Géographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Prée, La Molène et Le Perry arrosent Genouilly. L'étang des Sceps est formé par les eaux qui sourdent dans un vaste terrain communal et qui sont retenues par une longue digue.

    Urbanisme

    Typologie

    Genouilly est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), forêts (6,2 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Geniulacum ou Genoliacum à l'époque gallo-romaine, Genoili en 1264, Genoilhi en - 1371)[réf. nécessaire].

    Histoire

    On trouve à Genouilly des traces d’une prospérité très ancienne.

    Les Montrées plantées de pins maritimes sur une quarantaine d'hectares, ont fait l’objet de fouilles : de nombreuses haches de silex taillé ou poli ainsi que des pointes de lances ont été exhumées. À 100 m d’une butte de terre appelée le Mouton (vraisemblablement déformation de Motton), il a été découvert deux stèles de pierre, l’une en latin, l’autre en grec à la mémoire de Oclos notamment. Ces stèles sont exposées au musée de Bourges.

    Le Mouton aurait été aménagé au Moyen Âge en forteresse pour observer le mouvement des Normands qui envahissaient la France (à la fin du IXe siècle, pillages des abbayes de Dèvres à Saint-Georges-sur-la-Prée et de abbaye Saint-Martin de Massay).

    Dès le Moyen Âge, on a extrait le minerai de fer à ciel ouvert. Ce minerai a été fondu et façonné à Genouilly (lieu-dit les Forges). Des quantités énormes de mâchefer ont servi à la réfection des routes, chemins et cours de ferme de la commune. On voit dans les champs des emplacements circulaires où s’étend une épaisse couche de mâchefer. Sur la place de la Trancherie ainsi qu’au Chézeau, la couche est évaluée à 2 mètres. À Maurepas, on observe des carrières à ciel ouvert. Près de la Coudre, des champs sont dénommés le Minerai.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Graçay[8]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Vierzon-2[9].

    Intercommunalité

    La commune est devenue membre en 2000 de la communauté de communes de Graçay Saint-Outrille créée fin 1993, et qui a alors pris la dénomination de communauté de communes des Vallées vertes du Cher Ouest.

    Cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes Vierzon Pays des Cinq rivières, la nouvelle intercommunalité créée le portant le nom de communauté de communes Vierzon Sologne Berry.

    Le , celle-ci a fusionné avec la communauté de communes les Villages de la Forêt pour former la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1988 1995 Stéphanie de Jouvencel[10]    
    1995 2001 Jean-Claude Marais    
    2001 2008 Christian Huet    
    2008 En cours Michel Legendre[11],[12]   Ancienne profession intermédiaire

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14].

    En 2018, la commune comptait 674 habitants[Note 3], en diminution de 3,02 % par rapport à 2013 (Cher : −2,64 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2091 0601 1541 1931 2041 2611 1941 3181 454
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4561 4641 4961 4671 3861 4071 3901 4161 400
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3421 3411 2641 1441 0621 0031 001924911
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    821722705721762755727723719
    2013 2018 - - - - - - -
    695674-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La communauté est en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 239 feux en 1709 à 163 en 1726[16]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[17].

    Économie

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[18].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Symphorien de Genouilly

    L'église Saint-Symphorien de Genouilly[19] fut inscrite sur l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1927. L'édifice présente un style de transition entre roman et ogival : au XIIe siècle une nef fut construite (sans transept) suivie d'un chœur et d'une abside, puis au XIIIe siècle fut élevé le clocher-porche et enfin au XVIe siècle les murs latéraux du chœur furent éventrés pour donner passage à deux chapelles.

    Seuls le chevet et le chœur ont donc conservé les caractéristiques romanes de la fin du XIIe siècle. L'abside, tournée vers l'est, hémisphérique à l'intérieur, est couverte de trois voûtains rayonnants soutenus par deux arcs d'arête, elle est éclairée par des fenêtres encadrées de chapiteaux à feuilles d'acanthe (l'un de ces chapiteaux est surmonté d'un sommier carré enveloppé d'étroites feuilles d'acanthe). Cette abside s'ouvre sur le chœur par un arc doubleau longé de deux tores ornés de macarons semi-sphériques.

    L'autel, daté du XVIIIe siècle, ainsi que les stalles proviennent de la chapelle du château de Maisonfort. Le chœur est limité par quatre arcades en tiers point dont certaines reposent sur des groupes de colonnes. Les chapiteaux sont couverts d'arabesques et d'élégants rinceaux dont l'un, près de la nef, représente un acrobate la tête en bas, personnage forcément grotesque accompagné de deux animaux sauvages. Il est clair que ces chapiteaux strictement romans font contraste avec les ogives qu'ils reçoivent : une telle cohabitation de styles n'est pas rare en Berry. La voûte du chœur est très bombée, ce qui tend à démontrer l'influence de l'architecture angevine à l'époque gothique : les quatre branches d'ogives présentent une analogie frappante avec celles de la cathédrale Saint-Maurice d'Angers par la large bande rehaussée de fleurettes à quatre pétales accompagnée de deux tores. Côté nef, quelques claveaux sont décorés de petites têtes vues de face. Autrefois, cette nef possédait une voûte en berceau de bois mais cette dernière a été dénaturée au XIXe siècle et remplacée par des voûtes en pierre recouvertes d'ogives en plâtre.

    La nef débouche à l'est sur le clocher-porche datant du XIIIe siècle, puissante tour carrée munie de contreforts au long glacis, jadis ajourée de quatre baies brisées et surmontée d'un beffroi dont la flèche fut remplacée vers 1900 par la toiture quadrangulaire actuelle.

    Le portail de la façade primitive (c'est-à-dire avant la construction du porche) est décoré de voussures reposant sur des colonnettes aux chapiteaux à crochets.

    Les deux chapelles latérales furent offertes au XVIe siècle par les seigneurs de la Maisonfort : Gabriel de la Châtre de Nançay et sa troisième épouse Jeanne Sanglier dont on peut voir l'écusson sur la clé de voûte de la chapelle sud. Ces chapelles possèdent quatre branches d'ogives retombant sur des culs-de-lampe historiés, décorés de pampres, de feuillages, d'angelots (chapelle nord), de motifs en coquilles, d'un oiseau fantastique (chapelle sud). Ces chapelles sont suivies d'absidioles à pans coupés et correspondent au chœur roman par deux grandes arcades en tiers-point. Elles reçurent en 1536, grâce à la générosité du seigneur de la Maisonfort, Claude Ier de la Châtre (fils cadet de Gabriel), et de son épouse Anne Robertet (fille de Florimond Ier Robertet), cinq verrières. Ces vitraux ont été classés aux monuments historiques en 1892. Ils furent restaurés une première fois au XIXe siècle puis au début du XXe siècle mais dans de mauvaises conditions. Des travaux de restauration (1975-1978) ont permis de les recomposer selon le modèle original tout en y ajoutant quelques panneaux contemporains.

    Dans la chapelle nord, près de la sacristie, on peut voir dans un lobe un fin travail représentant un ange vêtu de vert avec des ailes rouges et jouant de la harpe. On lit AVE MARIA, il s'agit donc de l'ange de l'Annonciation. Juste au-dessous, sur l'entablement, on peut lire le nom des saints figurant dans les lancettes : saint Cosme et saint Antoine.
    Dans le vitrail suivant, on admirera sainte Anne (patronne de la donatrice) apprenant à lire à la Vierge (la partie inférieure de la lancette et de l'entablement datent du XVIe siècle). Puis, à droite, on peut voir sainte Marguerite portant la palme du martyre et dans l'oculus, au-dessus, la Vierge de l'Annonciation.
    Dans la troisième verrière de la chapelle nord, on voit sainte Marthe foulant le dragon et à droite les litanies de la Vierge, enfin, dans l'oculus correspondant, on peut admirer le Christ portant la croix de résurrection.
    Le vitrail de l'abside représente saint Claude, patron du donateur, la partie supérieure du personnage ainsi que l'entablement datent du XVIe siècle. Dans la chapelle sud, il s'agit de Jean-Baptiste et de sainte Suzanne.

    Les vitraux de l'église Saint-Symphorien de Genouilly présentent bien des sujets de parenté avec ceux de l'atelier de Jean Lécuyer, maître verrier à Bourges au XVIe siècle. Son vitrail le plus réputé est visible à l'église Saint-Bonnet : il s'agit de l'éducation de saint Claude, vitrail exécuté en 1544.

    Dans la chapelle sud, on s'attardera sur le monument funéraire datant de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle. C'est probablement le maréchal Claude II de la Châtre, fils de Claude Ier de La Châtre-La Maisonfort, qui le fit élever pour son aïeul, Gabriel de la Châtre de Nançay. En 1614, le corps du maréchal y fut déposé avant d'être transporté à Bourges en grande pompe. Ce cénotaphe consiste en un enfeu surmonté d'un beau cadre de pierre de style Renaissance (les parties basses ont été mutilées) et repose sur de puissantes pattes de lion. Les consoles sont décorées de rinceaux ; la voûte à caissons carrés comporte des rosaces variées. Quant à l'encadrement, il est orné de pilastres cannelés enrichis d'attributs guerriers (heaume, cuirasse, cuissards, gantelets, boucliers). La plaque qui était au centre a été remplacée par la plaque commémorative des morts de la Première Guerre mondiale, ce qui a modifié le caractère de ce cénotaphe.

    Avec le prieuré de Grandmont Fontblanche, l'église paroissiale Saint-Symphorien représente le principal élément du patrimoine artistique de Genouilly[19].

    Prieuré de Fontblanche

    Situé à 2 km du bourg de Genouilly, le Prieuré de Fontblanche (ou celle de Fontblanche) est l’un des plus anciens de l’ordre érémitique de Grandmont puisque sa fondation, par le seigneur de Graçay, Renaud IV, remonterait entre 1140 et 1145. En 1317 le prieuré de Fontblanche fut uni avec le prieuré de Châteauneuf-sur-Cher (commune de Corquoy)[20]. Dès lors, il connut une période de lente désaffection et subit de graves déprédations avec, en particulier en 1650, l’incendie du bâtiment ouest et du cloître en bois. À l’extinction de l’ordre de Grandmont prononcée par le pape Clément XIV en 1772, la celle de Fontblanche était déjà transformée en bâtiments agricoles. Elle a été vendue comme bien de première origine en 1791.

    Classé Monument Historique en 1980, le prieuré a fait l’objet d’importants travaux de restauration pendant plus de dix ans[21]. Du quadrilatère primitif, il ne reste aujourd’hui que trois corps de bâtiment, avec la chapelle au nord, les ailes est et sud.

    La chapelle du prieuré possède une nef dont la voûte en berceau brisé est intacte. Le cœur comprend une abside ouverte par une remarquable voûte à nervures et éclairée par un triplet à larges embrasures intérieures. L’aile est renferme au rez-de-chaussée une salle capitulaire qui s’ouvre sur la cour du cloître par une porte encadrée de deux baies à triple colonnettes. De l’ancienne salle des convers, il ne subsiste que la grande porte ouverte dans le pignon sud. Le long de la chapelle existe encore le passage au cimetière (dit « passage des morts »). L’étage de ce bâtiment est occupé par l’ancien dortoir des moines éclairé à l’est par de petites et étroites fenêtres à large embrasure intérieure. C’est actuellement, avec le prieuré de Comberoumal à Saint-Beauzely (Aveyron), l’un des plus beaux dortoirs grandmontais. L’aile sud comprenait le réfectoire des moines dont on peut voir encore quelques fenêtres d’origine.

    Autres lieux
    • La salle : propriété du duc Jean Ier de Berry depuis 1371 et lieu de résidence habituel de la duchesse. Ce manoir (Ostel de Genoilhi) dont il ne reste aujourd'hui que des traces était spacieux et ses annexes comportaient les chambres des serviteurs, les écuries, les chenils ainsi qu'une chapelle de style roman.
    • Le château de la Maisonfort, propriété privée partiellement protégée au titre de Monument historique[22], est un édifice de briques et de pierres, de style Renaissance[23], construit de 1586 à 1595 à l'initiative du maréchal Claude II de la Châtre, baron de la Maisonfort, à la place de l'ancienne forteresse féodale, dite maison forte où il était né et dont subsistent quelques éléments. Promu maréchal de France en 1594, Claude de La Châtre fut l'un des plus valeureux chevaliers de son époque, dont la forte personnalité et la légende ont illustré l’histoire de la commune. Le fief de La Maisonfort venait des Graçay ; Olive de Graçay, fille de Jacques de Graçay et de Jeanne de Roüy/de Rouhy de Menetou, l'apporte à son mari Jean de Menou du Mée(z) (épousé en 1455 et † en 1496 sans postérité)[24], et teste en 1498 en faveur de sa parentèle : Claude de La Châtre de Nançay (fils de Pierre de La Châtre et de Marie de Roüy de Menetou) et sa femme Catherine de Menou de Villegongis de Boussay (une parente de Jean de Menou du Méez. Claude de La Châtre-Nançay et Catherine de Menou sont les parents de Gabriel de La Châtre, rencontré plus haut, et donc les arrière-grands-parents du maréchal Claude).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher
    10. indiquée en fonctions en 1988, Brigitte Coulon, Gérard Coulon, « Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913 », Berry no 7, automne 1988, ISSN 0985-1569, p. 8
    11. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    12. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168
    17. Zeller, op. cit., p. 145 et 153
    18. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
    19. Actes des visites guidées de l'église de Genouilly, Solange Coupat, 1998. Cet article est visible dans la chapelle nord de l'église : il est issu des études menées par Suzanne Aléon et Solange Coupat en 1998 et a permis d'organiser les premières visites guidées de l'édifice
    20. Michel Fougerat Ordre de Grandmont
    21. Philippe Dewost Prieuré de Fontblanche
    22. Base Mérimée PA00096802
    23. Voir une photographie du château de la Maisonfort
    24. « Famille de Menou, p. 6 et 16 », sur Racines & Histoire.
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