Franz-Olivier Giesbert

Franz-Olivier Giesbert (parfois abrégé « FOG »), né le à Wilmington (Delaware, États-Unis), est un journaliste, éditorialiste, biographe, présentateur de télévision et écrivain franco-américain, exerçant en France.

Pour les articles homonymes, voir Giesbert et FOG.

Franz-Olivier Giesbert

Franz-Olivier Giesbert en 2012.

Surnom « FOG »
Naissance
Wilmington (Delaware), États-Unis
Nationalité Français
Américain
Profession Journaliste, éditorialiste
Spécialité politique
Autres activités Présentateur de télévision et romancier
Médias
Pays France
Média Presse écrite
Fonction principale Ex-directeur de publication du Point
Télévision France 5

Après avoir été directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, puis directeur du Point, il est le directeur éditorial de La Provence depuis 2017.

Biographie

Jeunesse

Franz-Olivier Giesbert est le fils de Frederick Julius Giesbert, un Américain né à Chicago et de Marie Allain, une Française native d'Elbeuf en Normandie qui l'a rejoint en 1946 aux États-Unis, où ils se marient le 6 juin 1947, date symbolique du troisième anniversaire du débarquement allié en Normandie, auquel Frederick a participé le à Omaha Beach[1]. Ses parents lui donnent un prénom « aux origines mélangées : Franz à cause de Schubert, que Frederick écoute à longueur de journée, comme un écho à son origine allemande, et parce que le prénom est courant du côté de Chicago ; Olivier, parce que Marie aime l'arbre et sa consonance[1] ». Il est issu, par son père, d'une famille d'origine allemande, écossaise, autrichienne et juive, dont les membres ont immigré aux États-Unis à la veille et au début de la Première Guerre mondiale, et, par sa mère, d'une famille normande catholique propriétaire à Elbeuf d'une importante imprimerie régionaleModèle:Refnnec.

Dégoûté par le consumérisme américain, Frederick installe sa famille en 1952 en Normandie, à Elbeuf, où son beau-père lui propose un poste de dessinateur à l'imprimerie Allain[1]. Franz-Olivier reçoit une éducation catholique et de gauche[réf. nécessaire], élevé par sa mère, professeur de philosophie et adjointe du maire PS d’Elbeuf[réf. nécessaire] dans les années 1970, et par son père, dessinateur commercial passé par l'Art Institute of Chicago[2]. Il est le frère aîné de Jean-Christophe Giesbert.

À dix ans, il veut devenir écrivain et commence à écrire des nouvelles. Sous l'influence d'une mère très croyante, il suit une éducation religieuse dont il tire un fort attachement à la foi catholique et un vif intérêt pour les réformes de l'Église de Jean XXIII (il a d'ailleurs tenu une chronique régulière dans le magazine chrétien français Panorama[3]).

Si, durant son adolescence, il se montre, en réaction contre son père, un partisan déclaré de l'Algérie française, il affirme avoir ressenti, à l'arrivée de l'âge adulte, un bref attrait pour le communisme[réf. nécessaire]. Après avoir suivi sa scolarité au lycée André-Maurois (Elbeuf), il publie à l'âge de dix-huit ans dans Liberté-Dimanche (supplément de Paris-Normandie) son premier article, consacré à l'élection présidentielle américaine. Il refuse le poste de rédacteur en chef-adjoint du quotidien Paris-Normandie[4], que lui propose sa famille maternelle, Marie Allain étant l'un des trente-trois actionnaires du quotidien[5]. Sur les conseils de sa mère, il effectue des études de droit, avec l'intention d'entrer à l'ENA ou d'obtenir le diplôme d'avocat[réf. nécessaire]. Parallèlement, il collabore de 1968 à 1972, en qualité de pigiste, à la page littéraire de Paris Normandie[6].

Une vocation au journalisme précoce

À dix-neuf ans, il collabore aux pages littéraires de Paris Normandie, où il publie des entretiens avec Louis Aragon, Henry de Montherlant, Jules Romains, Maurice Genevoix, Alain Robbe-Grillet, etc[7].

Il entre en 1969 au Centre de formation des journalistes, où il se lie avec notamment Patrick Poivre d'Arvor. Marqué par les enseignements de François Furet, de Jacques Julliard et de Gilles Martinet, il effectue, durant l'été 1971, son stage de fin d'études aux services « Politique » et « Notre époque » du magazine Le Nouvel Observateur. Il obtient son diplôme la même année[8].

Débuts au Nouvel Observateur

Il est recruté au service politique sur recommandation de Jacques Ozouf, alors à la recherche de jeunes journalistes motivés et susceptibles de professionnaliser le service[2].

Il publie parmi ses premiers articles une interview de Michel Rocard, puis des reportages sociaux, des papiers sur la presse mais aussi sur Jacques Chaban-Delmas ou Edgar Faure. Il prend successivement en charge la droite et l'exécutif puis, à partir de 1974, la gauche notamment, le PS. Il traite parfois du PCF jusqu'en 1977, mais il est essentiellement attaché à la gauche non communiste (il interroge à deux reprises François Mitterrand en l'espace de deux mois). Parmi les autres hommes politiques à qui il donne la parole figurent Edgar Faure, Jacques Delors et Pierre Mauroy[6]. Ses liens avec ce dernier, alors numéro deux du PS, sont alors si importants qu'on le définit comme « mauroyiste ».

Aidé par Lucien Rioux, il collabore avec Pierre Mauroy à la rédaction du livre Les Héritiers de l'avenir (Stock, 1977), où le numéro deux du PS défend la crédibilité du Programme commun[9]. Il publie également une biographie (François Mitterrand ou La tentation de l'histoire) au Seuil en mars 1977[10].

Ses relations avec Mitterrand alternent alors entre des périodes de froid et de réconciliation, même si lui-même participe à la construction médiatique de Michel Rocard. Interviewant cinq fois l'ancien leader du PSU en un peu plus de deux ans (entre mai 1977 et septembre 1979), il couvre avec attention ses déplacements en province (« Rocard chez les sudistes », 19 mars 1979) ou à l'étranger (« Rocard à Washington », 9 juin 1980). Mais il donne aussi la parole à un écologiste comme Brice Lalonde à la veille des élections de 1977 et de 1978, ainsi qu'à des leaders du CERES. Il apparaît ainsi comme le moins politisé du service politique, un « OVNI ».[réf. nécessaire]

Un bref séjour aux États-Unis comme grand reporter

Lassé de la politique française, il souhaite devenir correspondant aux États-Unis. Olivier Todd et Jean-François Revel lui proposent d'entrer comme grand reporter à L'Express. Mais après s'en être ouvert à Jean Daniel et Claude Perdriel, il est finalement promu grand reporter (septembre 1979), puis correspondant aux États-Unis en janvier 1980. À la suite du départ de Thierry Pfister pour le cabinet de Pierre Mauroy (mai 1981), il est rappelé à Paris pour prendre la tête du service politique du magazine.[réf. nécessaire]

Des postes à responsabilité

Nommé en 1985[6] directeur de la rédaction d'un journal en pleine crise, il redresse Le Nouvel Observateur. Il y était considéré comme « de droite » par certains de ses journalistes[2].

En septembre 1988, il quitte Le Nouvel Observateur pour rejoindre Le Figaro, quotidien alors emblématique du Groupe Hersant. Sa mère s'était pourtant vivement opposée à Robert Hersant quand ce dernier avait racheté Paris-Normandie et le passage du grand hebdomadaire de gauche vers le grand quotidien de droite surprend beaucoup de gens, Giesbert ayant écrit à propos de Robert Hersant, dans Le Nouvel Observateur, le 12 juillet 1976 : « Cet homme est dangereux […] croisé de l'Occident […] ancien d'un mouvement antijuif et antimaçonnique[6] ». Jean Daniel dit avoir vécu son départ comme une trahison[2]. De 1988 à juin 2000, il est directeur des rédactions et membre du directoire du Figaro. Il redresse par ailleurs les ventes du Figaro Magazine[réf. nécessaire].

Il quitte ses fonctions en septembre 2000, et entre à l'hebdomadaire Le Point en qualité de directeur, sous l'influence de son fondateur Claude Imbert. Il croit dans les valeurs du travail d'équipe, aussi s'entoure-t-il de Michel Colomès, directeur de la rédaction et de Michel Richard comme directeur adjoint. Avec Philippe Bertrand, son directeur artistique, il décide de moderniser la maquette. Pour augmenter le nombre de lectrices, il fait évoluer la dernière partie du magazine, car les études montrent que davantage de femmes que d'hommes commencent leur lecture par la fin.[réf. nécessaire]

PDG depuis 2003 du groupe SEBDO Le Point, il permet au magazine de connaître un nouvel essor commercial, notamment auprès des catégories socioprofessionnelles les plus élevées. Misant sur l'indépendance d'esprit, les couvertures de l'hebdomadaire sont volontairement de plus en plus agressives. Sous sa houlette, les ventes du Point passent de près de 300 000 en 1999 à environ 415 000 en 2010.[réf. nécessaire]

Le ton ou l'impertinence du Point aurait déplu à Nicolas Sarkozy qui, en 2008, aurait demandé la tête de Franz-Olivier Giesbert à François Pinault, tout comme l'auraient fait auparavant François Mitterrand, Jacques Chirac et Dominique de Villepin[11]. En février 2012, François Pinault confirme l'information au magazine économique Challenges : « C'est à moi que Nicolas Sarkozy s'adressait pour me demander régulièrement de virer Franz-Olivier Giesbert de la direction du Point », explique le propriétaire de l'hebdomadaire, avant de préciser que l'immixtion présidentielle lui déplaît et le conduit au contraire à maintenir Giesbert, qu'il décrit comme un « excellent patron de presse, solide, créatif et paradoxal », dans ses fonctions[12].

L'intéressé entretient ou a entretenu des relations d'amitié avec plusieurs grand écrivains : Julien Green, Michel Tournier, Norman Mailer et J.M.G. Le Clézio, qu'il a interviewés souvent ou qui ont collaboré régulièrement aux journaux qu'il a dirigés[réf. nécessaire]. Il fréquente le club Le Siècle[réf. nécessaire] et est membre du jury du prix Renaudot, où il a été élu en juin 1998[13].

À la télévision

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Franz-Olivier Giesbert présente d'abord une émission hebdomadaire littéraire sur la chaîne câblée Paris Première, intitulée Le Gai Savoir. Cette émission a été récompensée par le prix Richelieu de l'association de la Défense de la langue française en mars 1999.

À partir de 2001, il travaille pour le service public, alternant les différentes chaînes de France Télévisions :

D'octobre 2001 à mi-2006, il présente tout d'abord l'émission littéraire Culture et Dépendances sur France 3.

De septembre 2006 à mi-2009, il prend en charge une émission politique Chez FOG sur France 5 avant de revenir à l'actualité culturelle en 2009 et 2010 lorsqu'il présente Vous aurez le dernier mot sur France 2, le vendredi à 23 h.

À partir de et jusqu'en , il anime, sur France 2, Semaine critique !, une nouvelle émission culturelle diffusée les vendredis soirs. Grâce à la chronique de Nicolas Bedos, l'émission a pu atteindre jusqu'à 10 % de part de marché mais reste en deçà des attentes.

Depuis , il anime 2012, les grandes questions sur France 5. Cette émission se poursuit en 2013 sous le titre Les Grandes Questions[14].

Depuis la rentrée 2012, il anime en première partie de soirée sur France 3 l'émission Le Monde d'après, un magazine de société qui traite de sujets économiques une fois par mois, le lundi soir[15].

Il participe ponctuellement en tant qu'invité à l'émission quotidienne C dans l'air sur la chaîne publique France 5.

En septembre 2017, il rejoint la bande de chroniqueurs de l'émission Les Terriens du dimanche ! de Thierry Ardisson[16].

À la radio

Le , Franz-Olivier Giesbert rejoint Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier sur RTL[17].

En presse écrite

En mai 2017, Franz-Olivier Giesbert devient directeur éditorial du journal La Provence[18], nommé par Bernard Tapie après que celui-ci a pris possession du journal. En septembre 2017, à la suite de nombreux incidents, le syndicat national des journalistes, pose la question « Avez-vous encore confiance en Franz-Olivier Giesbert ? » à la rédaction. Sur 180 journalistes, un peu moins de la moitié prennent part au vote, 74 journalistes répondent « non », 6 votent « oui » et 7 votent blanc[19],[20].

Controverses

La Tragédie du président

Certains observateurs[21] ou hommes politiques se sont émus du caractère particulièrement critique de son essai intitulé La Tragédie du président, paru en mars 2006. Franz-Olivier Giesbert y révèle en effet certains aspects de la vie privée de Jacques Chirac, profitant, selon ses détracteurs, de vingt ans de proximité avec celui-ci pour révéler des secrets bien gardés[réf. nécessaire], ce type de détails restant habituellement off (c'est-à-dire non diffusés)[22].

L'auteur avait quant à lui justifié son choix de publier ces informations issues de ses conversations avec Jacques Chirac au motif que le métier des journalistes étant de « faire la lumière sur tout », « si l'on veut garder sa part d'ombre, il ne faut pas fréquenter les journalistes »[23].

En mai 2006, un journaliste de La Dépêche du Midi relève au sujet des notes utilisées par Franz-Olivier Giesbert pour son livre que « Ses fameux cahiers à spirales font mouche sans complaisance, à l'exception de Nicolas Sarkozy, miraculeusement épargné (on ne sait jamais, s'il devenait président !) »[21], car va suivre l'élection présidentielle française de 2007, à l'issue de laquelle Nicolas Sarkozy est élu président.

Un article complaisant du Point

Le , Franz-Olivier Giesbert est entendu par la police pour la publication en 2005 d'un article jugé complaisant par le juge Philippe Courroye et paru dans son journal Le Point sur le milliardaire français Iskandar Safa, recherché par la justice[24]. Marc Francelet, un collaborateur du Point aurait été payé 150 000 euros, ce qu'il a nié, pour mettre en contact l'homme d'affaires français et le journal afin de l'interviewer alors qu'Iskandar Safa était en pleine tourmente judiciaire[25]. Quelques jours plus tard, Marc Francelet a été mis en examen pour corruption et détenu pendant deux semaines[réf. nécessaire]. Iskandar Safa a, quant à lui, obtenu un non-lieu et été blanchi par la justice[réf. nécessaire].

Prix Renaudot 2007

Le , Franz-Olivier Giesbert a été accusé par Christophe Donner, favori pour l'obtention du prix, d'avoir « manipulé » les délibérations du jury du prix Renaudot au profit de Daniel Pennac, qui l'a finalement emporté[26]. Giesbert a nié avoir manipulé les délibérations.

Émission Des paroles et des actes du 12 avril 2012

En fin d'une double émission Des paroles et des actes du 12 avril 2012 (soit une semaine avant le premier tour de la présidentielle), Franz-Olivier Giesbert enflamme le web par de longues tirades tournant en dérision la légitimité des petits candidats de la présidentielle de 2012[27],[28],[29]. Il a également choqué en disant que Nicolas Sarkozy, le président sortant, a été « très bon ». Sur Twitter, le hashtag #FOG a d'ailleurs fait partie des sujets les plus discutés[29].

Les Nouveaux Chiens de garde (film documentaire 2012)

Franz-Olivier Giesbert est l'une des personnes visées par Les Nouveaux chiens de garde, un documentaire français sorti en janvier 2012 qui explore la collusion entre les médias français et le pouvoir politique français[30].

Condamnations judiciaires

  • Le 2 mars 2010, le Tribunal de Grande Instance de Paris condamne, entre autres, Franz-Olivier Giesbert pour la publication illicite d’extraits de procès verbaux dans l’affaire Bettencourt. En septembre 2017 la Cour d'appel de Bordeaux les relaxe[31].
  • Le 3 mars 2011, Franz-Olivier Giesbert est condamné (2500€) par le Tribunal de Grande instance de Paris pour la publication d'une chronique injurieuse à l'égard de Bernard Cassen signée par Bernard-Henri Lévy et pour s'être soustrait à l’obligation de publier un droit de réponse en tant que directeur de publication[32].
  • Le 24 janvier 2014, Franz-Olivier Giesbert est condamné pour "diffamation publique envers un groupe de personnes à raison de leur origine ou nationalité chinoise"[33]; après cette condamnation, il quitte volontairement la présidence du Point, ne s'estimant plus « l'homme de la situation »[34].
  • Le 27 avril 2017, la cour d’appel de Paris confirme la condamnation en diffamation du magazine Le Point, qui avait accusé en février 2014 Jean-François Copé d'avoir volé l’UMP. Franz-Olivier Giesbert est condamné à 1 500 euros d’amende[35].

Vie privée

De sa première union le 14 juin 1974[36] avec Christine Fontaine, graphiste, il a trois enfants, Aurélien, Claire et Alexandre (dirigeant du groupe de restauration Daroc[37],[38]) ; divorcé, il se remarie en 2000 avec Natalie Freund, avec qui il a deux enfants, Julien et Lena[39].

Il a entretenu une liaison de quatre ans avec la femme d'affaires, milliardaire et mécène syrienne Nahed Ojjeh[40],[41].

Il est le compagnon de la directrice de la rédaction (2002-2014) de Elle, Valérie Toranian[42].

Par ailleurs, il se définit comme végétarien « à géométrie variable »[43],[44].

En 2010, dans son roman semi-autobiographique Un très grand amour, il dévoile avoir eu un cancer de la prostate en 2003, traité avec succès[45].

Romans

Essais politiques et historiques

  • 1977 : François Mitterrand ou la tentation de l'histoire
  • 1987 : Jacques Chirac
  • 1991 : Le Président
  • 1993 : La Fin d'une époque
  • 1996 : Le Vieil Homme et la Mort
  • 1996 : François Mitterrand, une vie
  • 2006 : La Tragédie du président
  • 2011 : M. le Président : Scènes de la vie politique (2005-2011)
  • 2012 : Derniers carnets - Scènes de la vie politique en 2012 (et avant), Flammarion, 2012 (ISBN 978-2-0812-8256-8)
  • 2016 : Chirac, une vie
  • 2016 : Une journée avec..., Pocket / Le Point, (dir. avec Claude Quétel)
  • 2017 : Le théâtre des incapables, Albin Michel
  • 2017 : Une journée particulière, Perrin / Le Point, (dir. avec Claude Quétel)
  • 2021 : Bernard Tapie. Leçons de vie, de mort et d'amour, Les Presses de la Cité

Essai personnel

  • 2018 : La dernière fois que j'ai rencontré Dieu, Gallimard, 192 p.

Essais en faveur de la cause animale

  • 2014 : L'animal est une personne, pour nos sœurs et frères les bêtes[47]
  • Franz-Olivier Giesbert (dir.) et et huit autres auteurs, Manifeste pour les animaux, Paris, Autrement, , 144 p. (ISBN 978-2746736115, présentation en ligne)[48]

Notes et références

  1. Marion Van Renterghem, FOG, Don Juan du pouvoir, Flammarion, , 271 p. (lire en ligne).
  2. Marion Van Renterghem, « Franz-Olivier Giesbert : le journalisme sans foi ni loi », Le Monde, (lire en ligne).
  3. Panorama, Le mensuel chrétien de spiritualité (site web officiel).
  4. Portrait dans le magazine Elle, le 6 mai 2009 .
  5. Jacqueline Remy, Le Nouvel Observateur. 50 ans de passion, Pygmalion, , p. 121.
  6. Emmanuel Ratier, Encyclopédie politique française, Faits et documents, , p. 300.
  7. Benoît Vochelet, « Franz-Olivier Giesbert, l'Américain d'Elbeuf », Paris Normandie, .
  8. « Liste complète des anciens élèves », Association des anciens élèves du Centre de formation des journalistes.
  9. La vision du progrès économique du numéro deux du PS y apparaît essentiellement productiviste et quantitative : « L'acquis est énorme, surtout économique. […] Les victoires technologiques soviétiques, l'essor du pays a été prodigieux. Dans la plupart des domaines : 275 millions de journaux sont distribués chaque jour et dévorés par un public avide de connaissances. […] Le bilan économique de l'URSS n'en est pas moins positif. »
  10. Laurence Plenis, La Biographie politique comme processus de construction d'une image, Paris I, mémoire de DEA de sociologie politique, 1998, p. 122.
  11. « Nicolas Sarkozy veut la tête de Franz-Olivier Giesbert », Nouvelobs interactif, 21 juillet 2008.
  12. Airy Routier, « François Pinault : la vie après la vie », Challenges, no 287, 9 février 2012, p. 51.
  13. « Giesbert au jury Renaudot. », Le Monde, (lire en ligne).
  14. Les grandes questions, Télérama.
  15. Le Monde d'après, France 3.
  16. « Jeremstar, Natacha Polony… Nouveaux chroniqueurs de Thierry Arisson dans Salut les terriens », non-stop-zapping.com, 6 juillet 2017.
  17. « Franz-Olivier Giesbert et Thierry Ardisson rejoignent Laurent Ruquier », sur RTL.fr (consulté le ).
  18. Florian Guadalupe, « Franz-Olivier Giesbert devient directeur de La Provence », PureMédias, 3 mai 2017.
  19. Laurent Mauduit, « Franz-Olivier Giesbert désavoué par les journalistes de La Provence  », Mediapart, (lire en ligne, consulté le ).
  20. « La Provence : avez-vous encore confiance en Franz-Olivier Giesbert ? », France Info, (lire en ligne, consulté le ).
  21. Off ou pas off? La Dépêche du Midi 23/05/2006
  22. Franz Olivier Giesbert : « Je n'avais jamais connu une telle violence en politique », 20 Minutes, 30 mars 2006.
  23. Franz-Olivier Giesbert, La Tragédie du président : scènes de la vie politique (1986-2006), Flammarion, 2006, 414 p. (ISBN 978-2080689481), p. 9.
  24. « Franz-Olivier Giesbert entendu par la police au sujet de l'achat d'un article complaisant par un milliardaire », Le Monde, 11 avril 2007.
  25. Marion Van Renterghem, FOG, Don Juan du pouvoir, Flammarion, , p. 147.
  26. Marie Desnos, « Littérature: La guerre des prix », Le Journal du dimanche, 12 novembre 2007.
  27. Giesbert se lâche sur France2 ; il est taclé sur le Net. Arrêt sur images.
  28. Franz-Olivier Giesbert, éclaireur du peuple et Guignol de l’info en campagne (+ verbatim). Acrimed 2012
  29. « Il faut que Franz-Olivier Giesbert arrête de fumer la moquette », Le Monde 13/04/2012.
  30. Toutou sur les medias, Libération.
  31. « Affaire Bettencourt: l'ex-majordome et cinq journalistes définitivement blanchis », sur Le Point.fr, (consulté le ).
  32. « « Le Point » condamné à cause de Bernard-Henri Lévy », sur Monde-Diplomatique.fr, (consulté le )
  33. « « Le Point » condamné pour diffamation pour un article sur les immigrants chinois », sur Le Monde.fr, (consulté le )
  34. Franz-Olivier Giesbert : « Je ne suis plus l’homme de la situation », Télérama du 13 janvier 2014.
  35. « Affaire Bygmalion. Le Point condamné après ses accusations contre Copé », ouest-france.fr, 27 avril 2017.
  36. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte 1992.
  37. Hadrien Gonzales, « Alexandre Giesbert remet le couvert », sur lefigaro.fr,
  38. « De la cuisine à la mezzanine, le Da Roco primé », sur leparisien.fr, .
  39. (en) International Who's who of Authors and Writers, Europa Publications, Taylor & Francis Group, , p. 268.
  40. « Nahed Ojjeh, fille de général, sœur de défecteur, veuve de marchand d'armes, Syrienne... », L'Orient-Le Jour, .
  41. Julien Nenault, « Les folles nuits des Noailles », Vanity Fair no 9, mars 2014, p. 200-209.
  42. Guillaume Gendron, « Valérie Toranian, d’ici et d’aïeule », Libération, (lire en ligne).
  43. Gallimard, « Rencontre avec Franz-Olivier Giesbert, à l'occasion de la parution de L'Abatteur » entretien réalisé en 2003, consulté le 11 octobre 2014.
  44. On n'est pas couché, France 2, émission du 11 octobre 2014.
  45. Giesbert se met à nu dans "Un très grand amour" L'Express
  46. « Franz-Olivier Giesbert reçoit le prix Duménil », Le Magazine littéraire, 17 juin 2010.
  47. « L'animal est une personne », sur fayard.fr (consulté le ).
  48. Laurent Joffrin, « Giesbert et la bête », sur liberation.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Marion Van Renterghem, FOG, Don Juan du pouvoir, Flammarion, , 271 p. (lire en ligne)

Article connexe

Liens externes

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