Fleury (Aude)
Fleury (en occitan Perinhan ou Fluris, nommée également localement Fleury-d'Aude) est une commune française située dans le département de l'Aude en région Occitanie.
Fleury-d'Aude redirige ici.
Pour les articles homonymes, voir Fleury.
Fleury | |||||
![]() L'église Saint-Martin. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Narbonne | ||||
Intercommunalité | Le Grand Narbonne | ||||
Maire Mandat |
André-Luc Montagnier 2020-2026 |
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Code postal | 11560 | ||||
Code commune | 11145 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pérignanais | ||||
Population municipale |
3 801 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 74 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
7 055 hab. (2018) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 13′ 50″ nord, 3° 08′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 163 m |
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Superficie | 51,27 km2 | ||||
Unité urbaine | Fleury (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Narbonne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Basses Plaines de l'Aude | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | communefleury.fr | ||||

Ses habitants sont appelés les Pérignanais.
Géographie
Localisation
Située au nord de Narbonne, la commune est limitrophe du département de l'Hérault.
Elle est située à peu près à égale distance des villes de Narbonne et Béziers, l'autoroute A9 dite La Languedocienne passant juste au nord du village, elle se trouve dans le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Fleury se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
L'Aude est connue pour ses nombreuses crues violentes comme celle du 22 janvier 2020 à la suite de la tempête Gloria qui touche la commune[3].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne 6 des Autobus de Narbonne.
Toponymie
Au Moyen Âge, le village s'appelait Pérignan. Il fait partie de la baronnie de Pérignan[4].
Jean-Hercule de Fleury neveu du cardinal de Fleury Précepteur, puis principal ministre du roi Louis XV , obtient de la reine Marie Leszczynska que la baronnie soit érigée en duché en 1736.
Nous croyons devoir donner un témoignage éclatant à notre dit Cousin, le Cardinal de Fleury, de notre affection et de la satisfaction que nous avons de ses services & faire connaître à la postérité l’estime particulière que nous faisons de sa personne en accordant à sa famille un titre durable d’honneur & de distinction & en élevant à la dignité de Duc & Pair de France sous la dénomination de DUC DE FLEURY, notre aimé et féal Jean Hercule de Rosset, marquis de Rocozels, baron de Pérignan[5] Pérignan devient alors Fleury[6]. Ses descendants auront le titre de Ducs de Fleury, Seigneurs de Rocozel, Barons de Pérignan et Pairs de France.
Au cours de la Révolution française, la commune reprend provisoirement le nom de Pérignan.
Depuis 1814, la commune porte le nom de Fleury[7].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lespignan », sur la commune de Lespignan, mise en service en 1989[13]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[14],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,3 °C et la hauteur de précipitations de 620,7 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1949 et à 49 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,4 °C pour 1981-2010[18], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Fleury est une commune urbaine[Note 3],[20]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fleury, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 7 080 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[28]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[29],[30].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (39,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (43,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,8 %), cultures permanentes (25,9 %), zones humides intérieures (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), zones urbanisées (4,9 %), prairies (3,8 %), zones humides côtières (3,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,6 %), eaux maritimes (2,5 %), 1terres arables (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), forêts (0,7 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits

Les habitants du hameau des Cabanes de Fleury sont appelés : Cabanaïre.
La commune constitue une entité originale alliant trois sites en triangle, Fleury-d'Aude, le village historique dans les terres, Saint-Pierre-la-Mer, la station balnéaire sur le golfe du Lion et Les Cabanes de Fleury, l'ancien village de pêcheurs situé à l'estuaire de l'Aude. Les cabanes en bois n'existent plus depuis 1978 et la Pêche au Globe a cessé d'être pratiquée depuis 2011 environ .
La construction du pont barrage anti-sel en 1990, situé à 2 km des Cabanes de Fleury, permit au hameau d'être moins isolé, en permettant la liaison plus rapide avec le département de l'Hérault et les villages de Valras et de Vendres.
Un autre changement important survint aux Cabanes de Fleury en 1990, l’achèvement de la construction d'une nouvelle digue à l'embouchure de l'Aude qui permet de faciliter l'écoulement des nombreuses crues du fleuve, et par la même occasion lors de ces inondations de se rendre compte de la quantité de bois flotté et de déchets s'échouant sur la longue plage sablonneuse et sauvage des Cabanes de Fleury.
Histoire
Le site était habité au néolithique et certainement occupé à l'époque romaine.
Le village était jusqu’à la fin du Moyen Âge un village fortifié, un castrum, bâti sur une colline et surmonté du château des seigneurs du lieu. De nombreuses traces de remparts sont encore visibles aux abords de l’actuel boulevard qui ceinture le village, ainsi que de nombreux porches et portes permettant de pénétrer à l’intérieur de l’enceinte.
Les Cabanes de Fleury formait à l’origine un village de pêcheurs constitué de grossières cabanes de roseaux. Ce hameau se développa au début du siècle pour loger les pêcheurs et les ouvriers agricoles. il y avait deux domaines viticoles : Saint Louis d'Aude appartenant aux Salins du Midi , et le Domaine des Pins appartenant à la famille PESQUI, avec son Château , se détachant des vignes environnantes.
Après la Seconde Guerre mondiale, les premiers touristes commencèrent à fréquenter la plage et les bords de l'Aude. Le camping dit « sauvage » sur la plage des Cabanes de Fleury y perdura jusqu'en 1980. Les aménagements touristiques démarrèrent en 1981.
C’est de nos jours un port de plaisance et de pêche où l'on pratiquait encore la pêche au globe sur l'embouchure de l'Aude. Celle-ci s’arrêta vers 2011 avec la retraite du dernier pêcheur Jean Pierre Affre. C'est également un point de départ pour des promenades en mer et aussi avec le club Actinautic la pêche au gros.
La mode des bains de mer a amené le développement progressif de Saint-Pierre-la-Mer dans la commune de Fleury-d'Aude.
Un plan de juin 1846 atteste de la présence d'un hôtel des Bains[32].
Henri de Toulouse-Lautrec écrit à sa mère qu'il est régulièrement amené à Saint-Pierre afin de consolider ses jambes à la suite des accidents qu'il a subis en 1878[32].
Dans les années 1920, des habitants de Fleury-d'Aude louaient des chambres dans les hôtels « Nord », « Sud »[33] ; l'auteur Jean Girou en parle dans L'Itinéraire en Terre d'Aude (Causse Graille & Castelnau Imprimeurs-éditeurs, 1936).
Avant la guerre de 1939-1945, la belle saison voyait se monter un village de baraques sur la plage. Les soldats allemands évacuèrent la côte, rasèrent les constructions dont le casino, aménagèrent des défenses contre un éventuel débarquement. À la fin du conflit, la plage dut être déminée[33].
Il en fut de même aux Cabanes de Fleury , occupées durant 2 ans , et les bâtiments en partie détruits au départ des troupes d'occupation . Des baraques en bois furent construites avec du matériel de récupération afin de pouvoir loger ceux qui avaient été évacué .
Les années 1950-1960 virent la station se reconstruire et s'agrandir avec, en été, l'affluence quotidienne des villageois de l'intérieur et sur la plage, l'installation sauvage de campeurs avec les baraquiers[34].

En 1963, le « Plan Racine » planifia le bétonnage du golfe du Lion au détriment des milieux naturels et en 2009, les constructions empiètent sur la garrigue du massif de la Clape pourtant protégé. Elle est appréciée en tant que station balnéaire qui offre 6,5 km de plage de sable fin.
André-Luc Montagnier, élu maire de Fleury-d'Aude en juin 2020, lance en Octobre 2020 Côte Indigo, pour unifier les trois territoires de la commune(Fleury d’Aude,Saint Pierre la Mer et Les Cabanes de Fleury). Dans le cadre de cette revalorisation, la première tranche des travaux du front de mer « Clape au cœur » est programmée en janvier 2021 durant laquelle seront plantés des pins qui permettront de se rendre à la plage par la pinède.
Politique et administration
La commune fait partie de l'unité urbaine de Fleury.
Liste des maires
La campagne et l'élection municipales de 2008 a fait l'objet d'un film documentaire Un village en campagne réalisé par Yves Jeuland et diffusé une première fois sur France 3 le 13 juin 2009.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2018, la commune comptait 3 801 habitants[Note 5], en diminution de 0,31 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
La population du hameau des Cabanes de Fleury est d'environ 100 personnes en hiver .
Économie
- Viticulture : La-clape Languedoc (AOC).
- Tourisme : Nombreux restaurants sur les 3 lieux.
- Campings : 2 campings aux Cabanes de Fleury et 2 campings à Saint-Pierre-sur-Mer.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin, en partie romane.
- Chapelle Notre-Dame-de-Liesse (XVIIe).
- Chapelle des Pénitents de Fleury. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1982[38].
- Étang de Pissevaches.
- Gouffre de l'Œil-Doux.
- Plages de Saint-Pierre-la-Mer et des Cabanes de Fleury.
- Chapelle Notre-Dame-de-Liesse
côté sud-est côté sud-ouest
Personnalités liées à la commune
- Jean Hercule de Rosset de Rocozels de Fleury (1683-1748), premier duc de Fleury et pair de France.
- Raymond Cazanave (1893-1961), illustrateur et dessinateur de bande dessinée, né à Fleury.
Culture populaire
- Cinéma
En 1967, certaines scènes du Petit Baigneur de Robert Dhéry sont tournées aux Cabanes de Fleury dans la maison de la famille Rossignol, au lieu dit Chichoulet, avec de nombreux figurants de la région comme Roger Vidal et Louis Vié, véritable pêcheurs interprétant deux pêcheurs à la ligne dans une barque au bord de l'Aude.[réf. nécessaire]
Héraldique
![]() |
Blason | D'argent à un poirier de sinople posé sur une terrasse du même, fruité d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Fleury-d'Aude sur le site de l'Institut géographique national
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aude/carcassonne/inondations-aude-plage-fleury-aude-transformee-decharge-1560998.html
- « Duche_Fleury »
- « journals.openedition.org »
- « communefleury.fr »
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lespignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fleury et Lespignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lespignan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fleury et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Fleury », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- De Pérignan à Fleury-d'Aude, Chroniques Pérignanaises, 2009
- Caboujolette, François Dedieu, Dedieu éditeur, 2008 (ISBN 978-2-9528885-0-9)
- Le Carignan, Jean-François Dedieu, Dedieu éditeur, 2008, (ISBN 978-2-9528885-1-6)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Ancienne chapelle des Pénitents », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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