Vendres
Vendres [vɛn.ð̞ʁes][1] (en occitan Vèndres ['βɛn.ð̞res]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Vendres | |||||
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![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes la Domitienne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Perez 2020-2026 |
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Code postal | 34350 | ||||
Code commune | 34329 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vendrois | ||||
Population municipale |
2 712 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 16′ 14″ nord, 3° 13′ 30″ est | ||||
Altitude | 25 m Min. 0 m Max. 64 m |
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Superficie | 37,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Béziers-1 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Mairie de Vendres | ||||

Ses habitants sont appelés les Vendrois.
Géographie

Vendres est une commune située dans l'ouest du département de l'Hérault, à l'embouchure de l'Aude. dans la plaine viticole du Biterrois, à 8 kilomètres au sud de Béziers. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aude.
Communes limitrophes
Géologie et relief
- Le territoire communal comprend trois espaces nettement différenciés :
- Le nord est couvert de vignes. La majorité des vignes sont exploitées par des vignerons coopérateurs. Il existe de grands domaines viticoles : La Vidalle, La Grange Basse, La Savoie Neuve, Le Puech Blanc ou encore Clapiès et Sainte-Germaine. Cet espace est dominé par des collines, les puechs en occitan, comme le puech Saint-Massal (33 mètres d'altitude) et le puech Paradis. Plusieurs de ces collines, datant du Miocène (Barre du Puech Blanc, Puech des Bains, Castelnau, Puech Massal, Puech Paris...) sont recouvertes par une végétation de garrigue typique dont l'inventaire est en cours, comme à Lespignan (voir lien externe).
- A l'est, s'étend le plateau de laz Vistoule......
- Le village de Vendres, construit sur une éminence, domine un vaste étang.
- Au sud du village, l'étang de Vendres limité au sud par l'Aude, et plus loin le massif de la Clape. L'étang mesure environ six kilomètres du nord au sud, moins de quatre kilomètres d'ouest en est. L'altitude ne dépasse pas deux mètres et le centre de l'étang est au même niveau que la mer. C'est une vaste zone humide peuplée d'une faune particulière (nombreux canards sauvages) et colonisée par une flore qui résiste à une certaine salinité des eaux. L'étang est une zone de chasse pour les amateurs de gibier d'eau. Au nord de l'étang, des ruines antiques appelées Temple de Vénus mériteraient d'être mieux mises en valeur. L'étang communique avec la mer Méditerranée par le Grau de Vendres.
- La zone littorale. Le sud-est de la commune est bordé par la mer Méditerranée. Un large cordon dunaire, dépassant parfois quatre mètres de haut, protège les terres sablonneuses situées à l'intérieur. Sur ces terres, des domaines viticoles (Le Nouveau Monde, Monplaisir, La Yole, Les Sablons…) créent des vins intéressants (surtout les rosés et les blancs). Vers l'ouest, on trouve des campings. Sur le territoire de la commune, il n'y a pas eu d'aménagement de station balnéaire. Cependant, le port du Chichoulet, situé au Grau de Vendres, à l'embouchure de l'Aude, a été dynamisé grâce à la conchyliculture.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Verargues », sur la commune de Vendres, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à 0 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 743,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- le « Plateau de Vendres », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 4,8 ha[16] ;
- la « Basse Plaine de l'Aude », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 1 464,1 ha[17],[18].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].
Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats[20] : la « basse plaine de l'Aude ». Occupant une superficie de 4 500 ha, ce site comprend un ensemble de zones humides du littoral méditerranéen avec des milieux dunaires de faible étendue et des sansouires en arrière plage[21]. Il s'agit d'un site majeur pour la Pie-grièche à poitrine rose qui a des effectifs voisin de la moitié des effectifs nationaux et pour des espèces nicheuses dépassant le seuil des 1 % de leur population nationale : Butor étoilé , Blongios nain, Héron pourpré, Busard des roseaux, Échasse blanche, Aigrette garzette, Sterne pierregarin, Sterne naine, Lusciniole à moustaches et Rollier d'Europe[22].
Trois autres sites relèvent de la directive habitats[20] :
- le « cours inférieur de l'Aude », d'une superficie de 5 358 ha, permet la reproduction d'espèces migratrices vulnérables (Alose feinte, Lamproie marine), en forte régression depuis la prolifération des ouvrages sur les cours d'eau[23] ;
- les « collines du Narbonnais », d'une superficie de 2 149 ha, formé par une succession de reliefs qui surplombent et délimitent la plaine de la basse vallée de l'Aude, où une végétation typique méditerranéenne de garrigue et de pelouses sèches ainsi qu'un boisement de pins d'Alep se sont développés[24] ;
- le « mare du plateau de Vendres », d'une superficie de 17,56 ha, cuvette inondable sur un plateau siliceux, installée au milieu des vignes, abritant l'une des six seules populations de Marsilea strigosa en France[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[26] :
- les « collines nord de Lespignan » (81 ha), couvrant 2 communes du département[27] ;
- les « collines sud de Lespignan » (116 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
- le « Cordon dunaire des Montilles » (161 ha)[29] ;
- l'« étang de Vendres » (1 647 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aude et deux dans l'Hérault[30] ;
- le « plateau de Vendres » (849 ha), couvrant 2 communes du département[31] ;
- les « Trouées de Castelnau » (50 ha)[32] ;
Urbanisme
Typologie
Vendres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[35],[36],[37].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[40]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[41],[42].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (25,9 %), zones humides intérieures (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), eaux continentales[Note 8] (8,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,9 %), prairies (4,7 %), zones humides côtières (2,7 %), zones urbanisées (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), terres arables (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %), forêts (0,5 %), eaux maritimes (0,1 %)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes : portum quæ Narbo ad Veneris nutrit (Ausone, Épitre V), villa Veneris, 991, via de Veneris (avant 1100), castello ... in terminio de Veneris (vers 1140) , parrochia St Stephani de Venres (1210), in loco regio de Venere (1378), Vendres (1571). Lieu de culte gallo-romain qui tire son nom d'un temple dédié à Vénuʂ[44].
Histoire

Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[45],[46].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes la Domitienne et du canton de Béziers-1.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2018, la commune comptait 2 712 habitants[Note 9], en augmentation de 0,41 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[54] | 1975[54] | 1982[54] | 1990[54] | 1999[54] | 2006[55] | 2009[56] | 2013[57] |
Rang de la commune dans le département | 94 | 119 | 125 | 108 | 100 | 97 | 93 | 82 |
Nombre de communes du département | 343 | 340 | 343 | 343 | 343 | 343 | 343 | 343 |
Économie
Conchyliculture, viticulture (Languedoc (AOC), coteaux-de-narbonne, coteaux-du-libron, coteaux-d'ensérune),
Enseignement
Vendres fait partie de l'académie de Montpellier.
Sports
Club de rugby à XV, l'Entente Vendres-Lespignan Hérault, finaliste en 2007 du championnat de France de rugby à XV de 2e division fédérale.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Étienne (XIVe siècle)
- Le vieux village.
- Le Temple de Vénus, vestiges datant de l'Antiquité, situé au nord de l'étang.
- Les ruines d'une villa romaine (entre La Vidalle et la Savoie Neuve).
- Le moulin de Cassan.
- L'étang de Vendres.
- La source chaude sulfureuse du Puech Blanc.
- La fontaine gazeuse du Puech Blanc.
- Le port conchylicole du Chichoulet, au Grau de Vendres.
Héraldique
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Les armoiries de Vendres se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
- Félix Mouret (né en 1861) : archéologue français, qui a découvert de nombreux vestiges de l'oppidum d'Ensérune, entre 1915 et 1928.
- Richard Castel joueur de rugby à XV.
- René Séguier joueur de rugby à XV.
- Jean-Pierre Pesteil joueur de rugby à XV.
- René Rossignol footballeur.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- La prononciation actuelle est restée proche de la prononciation occitane.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Verargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Vendres et Vendres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Verargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vendres et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « la « Basse Plaine de l'Aude » », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vendres », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101435 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110108 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101436 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101439 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101431 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vendres », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « collines nord de Lespignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « collines sud de Lespignan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Cordon dunaire des Montilles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« étang de Vendres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Vendres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Trouées de Castelnau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 407
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/031/031303.html.
- Révoqué par le régime de Vichy.
- Notice MATHIEU Paul, Aimé, Raoul par Richard Vassakos, version mise en ligne le 6 avril 2020, dernière modification le 7 avril 2020
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Édouard Baret, « Un village du pays biterrois au XIVe siècle : Vendres, 1373-1384 », Cahiers d'histoire et d'archéologie, t. 6, , p. 383-394
- Monique Bourin et Vincent Challet, « Temps, lieux et supplices : les mémoires paysannes à l'épreuve de l'enquête (Vendres, fin du XIIIe siècle) », Annales du Midi, t. 125, no 282, , p. 239-262
- Simone Garraud, Histoires d'eaux Montady, Capestang, Vendres : étangs et canaux, coll. « Mémoire d'Oc » (no 73), , 75 p.
- Histoire et histoires : Vendres en Languedoc, S.l., s.n., , 44 p.
- Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Vendres, Montpellier, Mission Archives 34, , 117 p.
- P. Salmon, Vendres, village du biterrois au XVe siècle d'après un terrier de 1446, S.l., s.n., , 81 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Vendres (1326-2005) [16,46 ml]. Cote : 329 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Vendres
- Vendres sur le site de l'Institut géographique national
- Vendres sur le site de l'Insee
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