Sérignan

Sérignan [se.ʁi.ɲɑ̃] est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Sérignan

Collégiale Notre-Dame-de-Grâce

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Maire
Mandat
Frédéric Lacas
2020-2026
Code postal 34410
Code commune 34299
Démographie
Gentilé Sérignanais
Population
municipale
7 053 hab. (2018 )
Densité 257 hab./km2
Population
agglomération
16 516 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 51″ nord, 3° 16′ 42″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 24 m
Superficie 27,45 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sérignan
(ville-centre)
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béziers-1
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sérignan
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Sérignan
Géolocalisation sur la carte : France
Sérignan
Géolocalisation sur la carte : France
Sérignan

    Géographie

    Carte

    Communes limitrophes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 590 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Verargues », sur la commune de Vendres, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 743,9 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 37 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Trois espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[21] :

    • « la Grande Maire », d'une superficie de 422 ha, une petite surface des milieux naturels typiques des côtes basses languedociennes : un cordon dunaire constitué des dunes typiques méditerranéennes de l'avant-dune, à la dune blanche et à la dune grise (dune fixée)t en bon état de conservation et, en arrière de ce cordon, une zone humide avec des formations imbriquées en mosaïque (sansouires, lagunes et prés salés) [22] ;
    • « les Orpellières », d'une superficie de 143 ha, un ensemble représentatif des côtes languedociennes avec un long cordon dunaire ininterrompu constitué de dunes blanches et de dunes grises, protégeant des prés salés (jonchaies, pannes dunaires, sansouires et localement des formations de steppes salées à Limonium ferulaceum[23] ;


    et un au titre de la directive oiseaux[21] :

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[25] :

    • le « domaine des Orpellières » (200 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
    • « la Grande Maïre » (388 ha), couvrant 2 communes du département[27] ;
    • le « lido de la Grande Maïre » (15 ha), couvrant 3 communes du département[28].
    • « l'Orb entre Béziers et Valras » (82 ha), couvrant 4 communes du département[29].
    • les « mares du Clos Marin » (4 ha)[30].
    • la « plaine des Drilles » (215 ha)[31] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Sérignan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sérignan, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[35] et 16 516 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[36],[37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[40]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[41],[42].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,9 %), terres arables (10,3 %), zones urbanisées (10,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,2 %), zones humides côtières (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %), eaux maritimes (0,8 %), eaux continentales[Note 7] (0,4 %), forêts (0,2 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Surignano en 960, Surignanus en 969, in Sirignano en 990, de Serrignano, de Sirignano en 1069, de Serignano en 1137, de Serinha en 1368[44].

    Son nom viendrait de celui d'un centurion romain Surinius[44], Surinus ou Serenus qui aurait reçu une villa, en récompense de ses mérites, sur l'emplacement du village + suffixe (-i)-anum[45]..

    Soit, dérive de Sarragna signifiant « lieu clos / lieu de péage » , ce qui peut s'expliquer par un comptoir maritime destiné à recevoir les taxes des bateaux qui remontaient l'Orb.

    La commune se nomme Serinhan [se.ri.'ɲan] en Occitan[46].

    Histoire

    L'existence d'une petite seigneurie, installée dans un château aujourd'hui disparu, et protégée par des remparts est attestée dès le Xe siècle.

    En 1209, Sérignan fut pillée lors de la croisade contre les albigeois[47].

    En 1286, après la bataille du col de Panissars, les troupes aragonaises de l'Amiral de Lauria pénètrent en France et incendient la ville. Cet épisode a laissé son nom à la rive gauche de l'Orb : le champ de la guerre.

    Après cet épisode tragique, le village se reconstruit.

    Le , le territoire de la commune de Sérignan est divisé en deux communes distinctes : Sérignan et Valras-la-Plage (nommée ainsi à l'époque)[48].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1817   Jacques Amat    
    maire en 1834   M. Brousse   Conseiller général
    1847   Pierre Tindel    
    1893 21 mars 1902 Étienne Crouzat    
    17 mai 1900 21 mars 1902 Célestin Abbes    
    22 septembre 1944 18 mai 1945 Jean Combescure    
    25 octobre 1947 mars 1965 Jean Combescure    
    mars 1965 mars 1989 Marius Castagné PCF  
    mars 1989 mars 2008 André Gélis UDF-PR puis UMP  
    mars 2008 En cours Frédéric Lacas DVD Médecin
    Président de la Communauté d'Agglomération
    Béziers-Méditerranée (2014-2020)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

    En 2018, la commune comptait 7 053 habitants[Note 8], en diminution de 0,01 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3171 3891 5961 7551 9972 1002 1412 1472 254
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3102 4082 4422 4192 3923 0483 4943 5133 485
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5093 3503 2223 5933 6402 8472 6832 3932 717
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 7882 9503 2143 8845 1736 1346 5226 7406 934
    2018 - - - - - - - -
    7 053--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le lycée méditerranéen Marc Bloch[53], construit selon les normes BBC a ouvert ses portes en 2013[54].

    Économie

    Le tourisme

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    La plage et le retour des pêcheurs : carte postale (fin du XIXe siècle - début du XXe)

    Sérignan, par la proximité de son cordon littoral, a depuis longtemps une vocation touristique. La grande plage de sable fin a accueilli les Biterrois dans les premiers temps du tourisme balnéaire. Ce développement a été particulièrement important sur la rive droite de l’Orb, qui deviendra par la suite la commune de Valras-Plage. Sur la rive gauche, le grau de la Maïre - jusque-là domaine des pêcheurs - a attiré également de nombreux baigneurs, alors que la vigne occupait encore une part importante du sol à l’arrière du cordon dunaire.

    Les années soixante ont connu le début d’un tourisme organisé, avec la mise en place des premiers campings destinés à l’accueil des populations venues de loin. Pour installer ces établissements, des forages dans la nappe Astienne furent nécessaires afin de pouvoir disposer d’eau potable. Parallèlement, fut mis en place un système écologique d’épuration des eaux usées, qui autorisa le développement d’une végétation rare sur ce secteur, en éliminant tout rejet à la mer. Les précurseurs du tourisme balnéaire sérignanais ont arraché des pieds de vigne pour gagner de l’espace et accueillir une clientèle internationale. Ainsi, alors que les grands projets immobiliers prenaient corps sur le littoral héraultais, sous l’impulsion de la Mission d’Aménagement, Sérignan et Sérignan-Plage poursuivaient leur développement à travers les campings.

    Le naturisme

    Dans les années soixante-dix, à la demande d’un groupe de naturistes et après un vaste débat au sein de la commune, ainsi que parmi les membres de la paroisse allait naître un complexe naturiste en bord de mer. Il est aujourd'hui composé de deux campings naturistes, d'un village d'hôtellerie de plein air, d'une association et d'une plage naturiste d'un kilomètre[55].

    Le port de plaisance

    Le port de plaisance de Sérignan offre une capacité d’accueil de plus de 320 anneaux maritimes et 60 appontements en rivière. Il fut créé en 1971 et est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Béziers Saint-Pons.

    Soucieux du respect de l’environnement, le Conservatoire du littoral a fait l’acquisition des terrains des Orpellières, sauvegardant ainsi le front de mer de toute urbanisation future. D’un point de vue économique, le tourisme constitue la principale richesse de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Chœur de la collégiale Notre-Dame-de-Grâce

    Lieux et monuments

    Historiques
    • La collégiale Notre-Dame-de-Grâce, classée monument historique en [56] ;
    • La rue Saint-Roch ou Carriéra de Saint-Roch : Cette rue, qui portait le nom éponyme du saint de Sérignan, les façades de certaines maisons abritaient dans les niches des statues du saint[57] ;
    • Château de Sérignan ;
    • Selon le compoix de 1760 art 308, il existait en plus du château appartenant à Mme de Poulpry, une maison dans lequel est à présent un moulin à huile[58] ;
    • Le pont rouge : Remplaçant le bac qui allait d'une berger à l'autre[59]. Un premier pont suspendu est construit en 1851 d'une portée de plus de 80 mètres. Le pont actuel, datant de 1908, est reconstruit sur la base des culées existantes. Deux piles ont été bâties dans le lit de cours d'eau afin de maintenir le tablier métallique composé de trois travées dont la longueur totale de l'ouvrage est de 81 mètres[60].
    Naturels
    • Les plages ;
    • Sérignan-Plage et La Maïre ;
    • Le cours d'eau de l'Orb.
    Tourisme
    • La passerelle Saint Roch : Dédiée à un accès piétonnier, cette passerelle permet le passage du cours d'eau de l'Orb afin d'accéder au cœur du village sans l'encombrer d'une circulation routière[60] ;
    • Le Musée régional d'art contemporain Occitanie ;
    • La Cigalière : salle de spectacle, cernée par des colonnes de Daniel Buren ;
    • Le domaine protégé des Orpellières, orné des peintures murales de Dado ;
    • La Maison du tourisme.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules, au sautoir losangé de sinople et d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Un plat de pomme de terre à la santangiolèse

    Gastronomie

    La diversité des origines des habitants de Sérignan fait que sa gastronomie est souvent le résultat de la fusion culinaire. Ainsi, Les patanes à la santangiolèse (ou patates à la mode de Saint Ange) sont une spécialité des Sérignanais originaires de Cetraro en Italie.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    9. « Orthodromie entre Sérignan et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    15. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    22. « site Natura 2000 FR9101433 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR9101434 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR9112022 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Monique Bourin, Notre-Dame de Grâce à Sérignan : une collégiale en Languedoc, Sérignan, Ville de Sérignan, , 176 p.
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    • Alain Molinier, Une paroisse du Bas-Languedoc : Sérignan, 1650-1792, Montpellier, impr. Déhan, coll. « Mémoires de la Société archéologique de Montpellier » (no 12), , 216 p.
    • Shinya Mukai, « Une communauté villageoise face à l'insécurité : la défense de Sérignan (Hérault) dans la deuxième moitié du XIVe siècle », Annales du Midi, t. 128, no 294, , p. 219-245

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