Vinassan

Vinassan est une commune française située dans le département de l'Aude, en région Occitanie.

Vinassan

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Narbonne
Intercommunalité Le Grand Narbonne
Maire
Mandat
Didier Aldebert
2020-2026
Code postal 11110
Code commune 11441
Démographie
Gentilé Vinassanais
Population
municipale
2 653 hab. (2018 )
Densité 296 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 16″ nord, 3° 04′ 29″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 142 m
Superficie 8,96 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Narbonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Basses Plaines de l'Aude
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Vinassan
Géolocalisation sur la carte : Aude
Vinassan
Géolocalisation sur la carte : France
Vinassan
Géolocalisation sur la carte : France
Vinassan
Liens
Site web Le site officiel de Vinassan

    Ses habitants sont appelés les Vinassanais.

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Narbonne située dans le massif de la Clape, au pied de coteaux boisés, couverts de vignes, d'amandiers et d'oliviers, dominant de quelques mètres la plaine narbonnaise. Belles et larges avenues ombreuses. Du haut des coteaux (altitude : 100 mètres) se déroule un panorama compris entre les Pyrénées et les Cévennes. Elle est traversée par l'autoroute A9 à laquelle elle donne le nom de l'aire de service de Narbonne-Vinassan.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Vinassan[1]
    Coursan Salles-d'Aude Fleury
    Narbonne Narbonne
    Armissan

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 11 des Autobus de Narbonne.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 15,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 611 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Narbonne », sur la commune de Narbonne, mise en service en 1989[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 652,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1949 et à 55 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vinassan est une commune rurale[Note 3],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vinassan, une unité urbaine monocommunale[17] de 2 646 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (34,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9 %), forêts (19 %), zones urbanisées (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), terres arables (3,5 %), prairies (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    L'importance et le développement de Vinassan ne datent que d'un demi-siècle. C'était auparavant un petit bourg groupé autour du château seigneurial, n'ayant pour toute ressource que le rendement du peu de terre des coteaux. La plaine était couverte de marais où poussaient à profusion le tamaris et la salicorne. En 1860, la population ne s'élevait qu'à 300 personnes.

    L'énergique labeur des habitants a transformé et assaini ces terrains marécageux en un riche vignoble.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Gilbert Alibaud    
    Léon Carabeilhe    

    (démission)
    Gabriel Pech PS  
    Osmin Camarasa[24] PS Géomètre
    en cours Didier Aldebert DVG Cadre
    Conseiller départemental du canton de Coursan (2015 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2018, la commune comptait 2 653 habitants[Note 5], en augmentation de 2,59 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    256198221298297269306318306
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    287317367383396519555694700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    735728717704801892832721704
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    6927718789801 4272 0042 1972 4992 661
    2018 - - - - - - - -
    2 653--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Vinassan accueille la Foulée des Pantigues, course à pied de 10 km à travers la Clape. Ce nom de pantigues est lié au surnom donné par les Armissanais, village voisin, pour les Vinassanais. Les pantigues sont des insectes que l'on trouvait autrefois dans les vignobles, leur nom scientifique étant éphippigère provençale.
    • L'Étoile sportive vinassanaise est l'équipe de rugby de la commune.

    Économie

    Viticulture

    La-clape Languedoc (AOC)

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église romane Saint-Martin

    L'église Saint-Martin de Vinassan, de style roman, à trois nefs, est magnifique. Elle a été reconstruite en 1896 sur l'emplacement de l'église du XIe siècle, dont on a conservé l'abside. Jolie chaire en bois sculpté. Fonts baptismaux remarquables.

    L'Abside a été inscrite au titre des monuments historiques en 1951[29].

    Saint-Martin, côté est.
    Saint-Martin, côté nord-est.

    Patrimoine civil

    La glacière de Vinassan

    Par un édit royal de 1659, Louis XIV autorise la construction de glacières sur le territoire de la France de l'époque. Elles étaient gérées par les fermiers généraux qui octroyaient ce privilège aux plus offrants lors d'enchères et pour une période de dix ans.

    Cet édit ne semble néanmoins pas être à l'origine de la construction de la glacière de Vinassan, car il est probable qu'elle soit antérieure de quelques années. Les textes portent trace de deux propriétaires : Louis Chastagnié, sieur Dandoville, en 1673, puis, sieur Gabriel de Sorgues, seigneur de Moujan et de Vinassan. La glacière a été abandonnée à la fin du XVIIIe siècle, période pour laquelle on ne connaît pas les propriétaires.

    Au XXIe siècle, le bâtiment, appartenant désormais à la commune de Vinassan, a fait l'objet de cinq chantiers de restauration de 2003 à 2007, avec les volontaires internationaux de Concordia. Cette restauration est l'œuvre d'un partenariat étroit entre la commune, le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, la région Languedoc-Roussillon et la maison de la Clape. La glacière se situe sur un parcours qui relie la montagne Noire à la mer en 130 km : la route de la Glace. La glacière de Vinassan ne fonctionnait déjà plus quand, au XIXe siècle, celles de la montagne Noire sont entrées en activité.

    En novembre, un meneur d'œuvre nettoyait la glacière à grandes eaux, car la propreté était gage d'une bonne qualité de la glace. L'eau s'évacuait ensuite par un orifice (touât) situé, pour celle de Vinassan, sous le couloir d'accès. Cette évacuation avait aussi son rôle à jouer lors de la fonte de la glace, au moment de sa conservation. Au fond de celle-ci était disposé un lit de branchage ou de sarments. Alors pouvait commencer la collecte de la glace qui se faisait à dos de mulets ou dans de nombreux tombereaux. Elle était recueillie dans les mares avoisinantes, le cours d'eau qui passait à proximité, des bassins aménagés à cet effet. Ici, on parvenait à remplir la glacière avec la glace récoltée aux alentours. À l'époque de Louis XIV, la France traverse une période très froide.

    Le remplissage s'effectuait par l'ouverture supérieure, la glace était tassée par les hommes afin de limiter au maximum les trop nombreuses bulles d'air qui provoquent la fonte. Les murs, très épais, étaient garnis de feuillage et de paille au fur et à mesure que la glacière était remplie, toujours dans un souci d'isolation thermique. Quand on considérait que la glacière était pleine, le vide restant était comblé par de la paille et la glacière était fermée. Elle restait sous haute surveillance, des contrôles et des prélèvements étaient effectués régulièrement. En sept mois, le volume de la glace pouvait diminuer de 50 %. En mai, un procès-verbal autorisait l'ouverture de la glacière et la vente pouvait commencer. La glace était alors évacuée par le couloir d'accès.

    Tout le travail lié à la glace se faisait la nuit, les hommes étaient éclairés par des bougies, même à l'intérieur du bâtiment. À l'extérieur, la glacière était entièrement recouverte de terre et de végétaux pour assurer la meilleure isolation possible. Le couloir d'accès est orienté au Nord, en forme de coude, avec trois portes successives.

    Vue supérieure de la glacière de Vinassan.

    Quelques chiffres et aspects techniques :

    • diamètre : 6 mètres
    • hauteur : 9 mètres
    • contenance : 100 tonnes de glaces

    Le bâtiment a été construit avec des pierres de grès et de calcaire, certains blocs de calcaire ayant été taillés pour les embrasures des portes. Le fond est un pavage de pierres non jointives, bloquées par de l'argile.

    La glacière est aujourd'hui libre d'accès[30].

    Autres monuments

    On trouve sur les collines environnantes de nombreuses traces de l'occupation romaine.

    • L'ancien château seigneurial, situé sur la place, a été divisé en habitations particulières. Il existe encore le grand escalier en pierre et d'autres vestiges.
    • Ruines intéressantes d'un vieux château féodal et de sa chapelle, perchés sur un mamelon dépendant du domaine de Marmorières.
    • Chêne-vert gigantesque, à 600 mètres du village, sur la route de Coursan qui malheureusement a été coupé pour laisser la place à des lotissements.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Razimbaud mentionné comme maire en 1762 dans les archives communales.
    • Jacques Razimbaud maire du village en 1833.
    • Montestruc : sur le tableau des maires de Vinassan depuis 1811, apparaît le nom de Montestruc de 1903 à 1913. Montestruc est réputé dans le monde de la science pour avoir contribué à la recherche du vaccin contre la lèpre. La municipalité de Vinassan lui a dédié une stèle sur l'avenue du même nom.
    • Rémy Pech est né en 1944 à Vinassan. Elève-instituteur, il intègre l´Ecole normale supérieure de Saint-Cloud. Agrégé, il soutient à 28 ans sous la direction de Pierre Vilar une thèse sur Entreprise Viticole, capitalisme en Languedoc méditerranéen. Il enseigne à l´université de Tours, puis à celle de Toulouse-Le Mirail qu´il préside de 2001 à 2006.

    Héraldique

    Blason
    D'azur, à une fasce fuselée d'argent et d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Narbonne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vinassan et Narbonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Narbonne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vinassan et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Vinassan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Les maires de Vinassan, sur FranceGenWeb
    24. « Osmin Camarasa, ancien maire, nous a quittés », L'Indépendant, (lire en ligne)
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    30. Vidéo de la glacière de Vinassan.
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