Ribérac
Ribérac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Ancienne sous-préfecture, la commune a été le chef-lieu du canton de Ribérac, puis en 2015, est devenue son bureau centralisateur.
Ribérac | |||||
![]() La mairie de Ribérac. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois (siège) |
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Maire Mandat |
Nicolas Platon 2020-2026 |
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Code postal | 24600 | ||||
Code commune | 24352 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ribéracois | ||||
Population municipale |
3 862 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 169 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 483 hab. (2017) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 52″ nord, 0° 20′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 54 m Max. 155 m |
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Superficie | 22,79 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Ribérac (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Ribérac (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités

À l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Ribérac, entièrement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle, est bordée à l'est par la Peychay qui la sépare de Saint-Méard-de-Drône.
Au nord de la commune, le sol en vallée de la Dronne est recouvert d'alluvions holocènes alors que les hauteurs sont composées de calcaires du Crétacé[1]. Son altitude minimale, 54 mètres, se situe à l'extrême nord-ouest de la commune, là où un petit bras de la Dronne quitte le territoire communal et sert brièvement de limite entre Comberanche-et-Épeluche et Vanxains. Le point culminant se trouve au sud, près du lieu-dit Enberry, en limite de la commune de Saint-Martin-de-Ribérac.
La ville de Ribérac est établie de part et d'autre du Ribéraguet, un petit affluent de la Dronne. Elle est située, en distances orthodromiques, 24 kilomètres au nord de Mussidan et 30 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Périgueux, à l'intersection des routes départementales 13, 20, 708 (l'ancienne route nationale 708 et 709 (l'ancienne route nationale 709).
La commune est également desservie au sud-est par la route départementale 5 et au nord-est par la route départementale 710 (l'ancienne route nationale 710).
Jadis, les lignes ferroviaires Magnac-Touvre - Marmande, La Cave - Ribérac et Ribérac - Parcoul-Médillac, aujourd'hui désaffectées, se croisaient à la gare de Ribérac.
Communes limitrophes

Ribérac est limitrophe de six autres communes. Son territoire est éloigné de 450 mètres de celui de Saint-Pardoux-de-Drône au sud-est, de moins de 500 mètres de celui de Bourg-du-Bost à l'ouest et de 650 mètres de celui de Celles au nord-est.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Ribérac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Ribérac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 4 767 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,2 %), prairies (17,7 %), terres arables (14,4 %), zones urbanisées (14,1 %), forêts (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui borde la commune au nord — à Ribérac, impactant ses rives, pouvant atteindre une largeur de 700 mètres au sud du lieu-dit la Rivière (situé en limite d'Allemans et de Villetoureix), ainsi que la partie aval de ses affluents la Peychay (les 1 800 derniers mètres) et le Ribéraguet (les 2 500 derniers mètres), ce dernier passant en centre-ville[24],[25].
Villages, hameaux et lieux-dits
- au Caillou
- aux Vignes
- Bazas
- Beauséjour
- Brandillou
- Chez Bréchou
- Chez Faye
- Chez Félix
- Chez Gadaud
- Chez Gone
- Chez Leclerc
- Chez Saudou
- Chez Simonet
- Enberry
- Engauthier
- Faye
- Félard
- Gayet
- Jalinier Bas
- Jalinier Haut
- Janicot
- Jean de Faye
- la Beauvière
- la Belaudie
- la Borderie
- la Charrouffie
- la Côte
- la Faurie
- la Foresterie
- la Fortune
- la Friture
- la Gaudinie
- la Grande Clavelie
- la Grande Ferrière
- la Manie
- la Petite Borderie
- la Petite Clavelie
- la Petite Ferrière
- la Pichie
- la Sarrazinie
- la Vergne
- Labonnelie
- Labrousse
- Lamothe
- Lavivinie
- le Bourboulou
- le But
- le Chalard
- le Four
- le Grolaud
- le Moulin de la Claque
- le Pavillon
- le Prunier
- le Ribéraguet
- les Bidoux
- les Bories
- les Chaumes
- les Fougères
- les Français
- les Francilloux
- les Gaulies
- les Jarisseaux
- les Levrauts
- les Montilloux
- les Ormes
- les Penelles
- les Peyronnets
- Maillepot
- Mangou
- Mérigaud
- Moulin de Vézignol
- Papalis
- Plaisance
- Puy de Bellevue
- Puy de Cros
- Ruisseau de Boulanger
- Saint-Martial
- Terradeau
- Toutifaut
- Vézignol
- Villatte
Toponymie

Dans les écrits, le nom apparaît au Xe siècle lié au château sous la forme Castellum Ribairac. On trouve ensuite successivement Ribeirac au XIIe siècle, Arribeyrac au XIIIe siècle puis Ribeyrac au XIXe siècle[26]. Son étymologie pourrait s'expliquer de deux façons différentes : soit à partir de riparius indiquant la présence de rives, soit dérivé du nom gallo-roman Rabirius suivi du suffixe -acum indiquant la propriété. Il correspondrait alors au « domaine de Rabirius »[26], ou simplement au « domaine de la rivière ».
En occitan, la commune porte le nom de Rabairac[27].
Sur la planète Mars, en , un affleurement rocheux, cible d'analyses effectuées par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisé d'après la commune[28].
Histoire
En 1790, Ribérac devient chef-lieu de district.
En 1793, la commune de Faye fusionne avec Ribérac[26].
Dès 1800, Ribérac devient l'une des quatre sous-préfectures de la Dordogne, fonction qu'elle perdra par décret-loi du 10 septembre 1926.
En 1851, une partie du territoire communal est démembrée pour créer la nouvelle commune de Saint-Martin-de-Ribérac.
Le , les Allemands prennent position à Ribérac et Mussidan, le général Walter Brehmer installant même son quartier général à Ribérac. Ils sillonnent la forêt de la Double orientale et déclenchent des incendies pour débusquer les maquisards[29].
Parmi la vingtaine de Français exécutés dans cette zone par les Allemands ce jour-là figuraient cinq habitants de Ribérac[Note 6], dont trois garagistes accusés d'avoir ravitaillé les véhicules des maquisards[29]. De nombreuses autres personnes arrêtées seront envoyées en déportation ou au STO[29].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Ribérac est le chef-lieu du canton de Ribérac qui dépend du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926, date de sa suppression, puis à l'arrondissement de Périgueux[30].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton qui devient plus étendu lors des élections départementales de mars 2015[31]. La commune en est le bureau centralisateur.
Intercommunalité
Fin 1998, Ribérac intègre dès sa création la communauté de communes du Ribéracois dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois, dont elle est également le siège.
Tendances politiques et résultats
Administrée par la gauche pendant 43 ans (Bernard Cazeau de 1971 à 2001, puis Rémy Terrienne après cette date), la ville de Ribérac passe à droite aux élections municipales de 2014, avec la liste de Patrice Favard, secrétaire départemental de l'UMP[32]. La liste d’Union de la Gauche (LUG) conduite par Nicolas Platon remporte les élections municipales de 2020.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 3 500 et 4 999 habitants au recensement de 2017, vingt-sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].
Liste des maires
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Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Ribérac relève[45] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages

Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[48].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2018, la commune comptait 3 862 habitants[Note 11], en diminution de 3,86 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Remarques
Ribérac a absorbé entre 1790 et 1794 les anciennes communes de Faye et de Saint-Martial-de-Dronne, et a cédé en 1851 Saint-Martin-de-Ribérac[30], ce qui explique la chute brutale de population (- 29 %) au recensement de 1851.
Pyramide des âges
En 2017, la population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (42,1 %) est en effet largement supérieur au taux national (25,5 %) et au taux départemental (35,9 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Son taux (55,3 %) est même supérieur d'environ trois points et demi au taux national (51,6 %) et au taux départemental (51,8 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2017, la suivante :
- % d’hommes = 46,6 % ;
- % de femmes = 53,4 %.
L'agglomération et l'aire urbaine
L'unité urbaine de Ribérac de Ribérac (l'agglomération) regroupe trois communes : Ribérac, Saint-Martin-de-Ribérac et Villetoureix[54], soit 5 483 habitants en 2017[55].
L'aire urbaine s'étend sur les mêmes communes[56].
Enseignement
La ville dispose de structures d'enseignement, public comme privé, allant de la maternelle jusqu'au lycée[57] :
Public
- École maternelle des Beauvières
- École primaire Jacques-Prévert
- École primaire Jules-Ferry
- Collège, LEP et lycée Arnaut-Daniel
Privé
- Maternelle, primaire et collège Notre-Dame
- Maison familiale rurale : enseignement secondaire.
Santé
Une maison médicale privée est en cours de construction à Ribérac et doit ouvrir en 2020[58]. Ouverte progressivement à partir du printemps, elle regroupera à terme, en juin 2020, au moins trente-cinq professionnels de santé, dont des médecins généralistes, des kinésithérapeutes, des infirmiers, des podologues, des sophrologues et permettra d'effectuer des dialyses.
Manifestations culturelles et festivités
Fin janvier ou début février de chaque année, la « Journée des collectionneurs » rassemble les amateurs de bandes dessinées, cartes postales, fèves, monnaies, timbres… En 2019 a lieu la 19e édition de cette manifestation[59]. Dans le parc de la mairie, chaque année au mois de mai ont lieu les floralies (16e édition en 2019[60]). En juillet a lieu un festival de musique, le Grand Souk (7e édition en 2015)[61] qui se déplace à l'étang de La Jemaye en 2016, remplacé à Ribérac par « Fest'in Ribérac »[62]. Chaque mois sauf en août : vernissage d'une exposition personnelle d'un artiste à l'Atelier Contempora. En août, grande foire à la brocante sur les places de la ville (27e édition en 2018[63]).
Marchés
Outre un important marché forain hebdomadaire toute l'année chaque vendredi et un marché alimentaire le mardi, de mai à septembre, la commune sert de cadre à des marchés saisonniers : marché aux noix à l'automne, marché de Noël, marché au gras et marché aux truffes en hiver[64].
Médias
Créée en 1981[65] et après avoir failli disparaitre en 2002 — son personnel a alors diminué de dix-sept à deux personnes —, la radio associative « Radio Liberté », qui desservait depuis Ribérac 45 000 auditeurs (en 2012), cesse d'émettre le en soirée pour cause de liquidation judiciaire[66].
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Ribérac ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2015[67], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 421 personnes, soit 36,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (271) a fortement augmenté par rapport à 2010 (228) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,0 %.
L'emploi sur la commune
En 2015, la commune offre 2 529 emplois pour une population de 3 932 habitants[68]. Le secteur tertiaire prédomine avec 45,4 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 39,7 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | Total | |
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Nombre d'emplois | 5 | 193 | 179 | 1 148 | 1 004 | 2 529 |
Pourcentage | 0,2 % | 7,6 % | 7,1 % | 45,4 % | 39,7 % | 100 % |
Source des données[68]. |
Établissements
Au , la commune compte 538 établissements[69], dont 353 au niveau des commerces, transports ou services, 91 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 43 dans la construction, 30 dans l'industrie, et 21 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[70].
Entreprises
En 2009, le groupe Albany international ferme son site de Ribérac où sont employées 91 personnes[71]. Cette usine implantée depuis 1895, fabriquait des feutres de papeterie[72].
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, deux situées à Ribérac se classent parmi les cinquante premières en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[73] :
- Société coopérative agricole du Ribéracois (commerce de gros interentreprises de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail) : 12e avec 44 502 k€ ;
- Société Lalande distribution Solandis (hypermarché) : 17e avec 40 590 k€.
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, sept sont implantées à Ribérac :
- dans le commerce[74],
- Société coopérative agricole du Ribéracois se classe 6e ;
- Société Lalande distribution Solandis 9e ;
- dans les services[75],
- Profil intérim (activité des agences de travail temporaire) 13e avec 7 239 k€ ;
- M.P.S. (activités des agences de travail temporaire), 25e avec 4 886 k€ ;
- dans le bâtiment et travaux publics (BTP)[76],
- Rémi Duvergt (travaux de menuiserie métallique et serrurerie) est 13e avec 5 899 k€ ;
- Jamot (travaux d'installation d'eau et de gaz) est 28e avec 3 828 k€ ;
- dans l'agroalimentaire, Aquitaine viande Limousin Périgord (transformation et conservation de la viande de boucherie) est 15e avec 8 851 k€[77].
Tous secteurs confondus, deux entreprises de Ribérac figurent parmi les cinquante premières de la Dordogne, en termes de chiffre d'affaires à l'exportation en 2015-2016[78] :
- Lucas-Milhaupt Ribérac (commerce de gros interentreprises de fournitures et équipements industriels divers), 14e avec 8 209 k€ ;
- Société coopérative agricole du Ribéracois, 15e avec 7 667 k€.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Ribérac remontant au moins au Xe siècle[79], détruit à la fin du XVIIIe siècle[80]
- Manoir de la Beauvière, XIVe, XVIe et XIXe siècles[81]
- Pigeonnier de la Grande Ferrière qui pourrait dater du XVIIIe siècle[82]
- Palais de justice du XIXe siècle de l'architecte Auguste Dubet[83]
- Pont du Chalard sur le grand bras de la Dronne, le plus proche de Ribérac, et pont de Saint-Jouy sur le petit bras, situés sur le chemin d'Angoulême. Le pont du Chalard a pris son nom du prieuré bénédictin du Chalard[84] auprès duquel il a été construit. Il est mentionné la première fois dans un texte de 1496, après que des violentes inondations de la Dronne ont détruit le pont antérieur. Les bénédictins percevant le péage du pont, le roi les a mis en demeure de le réparer. Les bénédictins n'ayant pas les fonds nécessaires, ils proposèrent d'abandonner le péage au comte de Ribérac si celui-ci prenait en charge la reconstruction. Les bénédictins quittèrent le prieuré. Le pont fut reconstruit mais il est démoli par les protestants au cours des guerres de Religion. La destruction et la reconstruction de pont du Chalard sont citées pour la première fois en 1616 en Conseil du roi à la suite d'une plainte des habitants de Ribérac. Un arrêt du Conseil du ordonne une levée de 20 000 livres pour la reconstruction du pont. Léon Dessalles a écrit que le pont devait être terminé en 1650. Émile Dusolier écrit qu'en fait, à cette date, rien n'était commencé car il a fallu recommencer par un nouvel arrêt du Conseil le . Les impôts nécessaires au financement des travaux n'ont commencé à être levés qu'en 1651. Le pont est complètement rétabli en 1663. Ce pont était encore en service en 1783 mais il est jugé alors délabré. Il a été doublé par un deuxième pont construit à 200 toises en amont. Une crue de La Dronne a renversé le nouveau et l'ancien pont en 1783. La traversée de la Dronne est alors assurée par un bac. Le Directoire de Ribérac est autorisé de s'emparer de ce bac en 1790. Le pont du Chalard est en cours de construction en 1794 par Élie Massoubre, entrepreneur. Le pont a dû être mis en service en l'an IV[85]. Le pont du Chalard de trois travées de neuf mètres d'ouverture et d'une longueur totale de 35,30 m et de 7,80 m de large, est en cours de reconstruction en 1812 sous la direction de Louis Vicat, ingénieur ordinaire des travaux publics nommé à Périgueux en 1809 sous les ordres de l'ingénieur en chef Lepère[86].
Le manoir de la Beauvière. Le pigeonnier de la Beauvière. Le pigeonnier de la Grande Ferrière. Le palais de justice. Le bâtiment de l'ancienne gendarmerie transformé en office de tourisme.
Patrimoine religieux
Avant la Révolution, le territoire de la ville de Ribérac était partagé entre trois paroisses dont les chefs-lieux étaient les villages de Saint-Martial, de Faye et de Saint-Martin. Pour des commodités de culte, trois églises annexes représentaient dans Ribérac ces églises paroissiales. L'église Notre-Dame représentait l'église Saint-Martial, l'église du Chalard représentait l'église de Faye, et l'église de la Trinité l'était pour l'église Saint-Martin. L'église Notre-Dame était la vieille chapelle féodale du château. Elle a été démolie pendant les guerres de Religion et reconstruite agrandie et était depuis 1500 une collégiale. L'église du Chalard était l'église du prieuré du même nom. L'église de la Trinité a été construite par François de Crémoux après 1725 et remise au culte vers 1731. Mais dès 1753, la charpente de l'église menace ruine et doit être réparée. L'église de la Trinité est un lieu de réunion publique, puis un Temple de la Raison pendant la Révolution. La commune envisage d'en faire l'église paroissiale mais finalement choisit l'église Notre-Dame. L'église est ensuite désaffectée, transformée successivement en dépôt de fourrage et de marché aux grains. Elle est démolie et remplacée par le théâtre municipal[87].
- Ancienne église Notre-Dame, ex-chapelle du château, XIIe siècle, devenue église collégiale en 1500 et église paroissiale à la Révolution jusqu'en 1935, transformée ensuite en salle d'expositions, inscrite au titre des monuments historiques en 1975[88],[89]
- Église Notre-Dame de la Paix, construite en 1933-1934 en style néo-roman selon les plans de l'architecte Jacques Laffillée, inscrite en 2000[90],[91] Cette église conserve un tableau de Jean-Paul Laurens[réf. nécessaire] : Jésus chassé de la Synagogue[92], déposé par l'État.
- Église Saint-Pierre de Faye, XIIe siècle, inscrite en 1946[93],[94]
- Église Saint-Martial du XIIe siècle de forme massive avec une chapelle latérale du XVIe siècle[95]
L'ancienne église Notre-Dame. L'église Saint-Pierre de Faye. L'église Saint-Martial.
Patrimoine naturel
Plusieurs zones de protection, principalement liées à la Dronne, sont délimitées sur le territoire communal.
Natura 2000
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Au nord de la commune, la Dronne et sa vallée représentent une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[96].
ZNIEFF
La vallée de la Dronne se subdivise en deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 protégées pour leur faune et leur flore spécifiques :
Sites
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Toujours le long de la Dronne, le site de la Rivière, (comprenant également le Grand Pont sur la commune de Villetoureix), est, sur plus de 56 hectares partagés avec les communes d'Allemans et Villetoureix, un site inscrit depuis 1991[101],[102].
Au nord-est, au sud de la route départementale 710, le site de la Beauvière est, sur près de sept hectares, lui aussi inscrit depuis 1974[103],[104].
Patrimoine culturel
La commune dispose d'un centre culturel : « Le Forum Culturel », d'une bibliothèque-médiathèque, d'un cinéma[105], d'un atelier-galerie : l'atelier Contempora qui présente des expositions permanentes et ponctuelles d'artistes du département, de la région, de France et de l'étranger, d'un cabinet des curiosités (environ une trentaine d'artistes par an - 5 757 visiteurs en 2011).
Une partie des scènes du film Vilaine (2008) de Jean-Patrick Benes et Allan Mauduit a été tournée à Ribérac[106].
Personnalités liées à la commune
- Arnaut Daniel, un des plus célèbres troubadours, né à Ribérac vers 1150 ; la cité scolaire de la ville porte son nom.
- Alexandre François Xavier Moreau, né à Ribérac le 29 février 1816, mort à Gradignan le 4 février 1897, curé à Rauzan, aumônier au lycée Montaigne de Bordeaux, fondateur du Secours Mutuel de Xavier Arnozan, directeur de l’orphelinat agricole du domaine de Monjous (pour 200 enfants) à Gradignan.
- Oscar Bardi de Fourtou, (1836 - 1897), né à Ribérac, homme politique, plusieurs fois ministre, fut maire de Ribérac de 1865 à 1870.
- Charles Ribière (1854-1921), né et inhumé à Ribérac, physicien, haut fonctionnaire, inspecteur général des Ponts et Chaussées, directeur des Phares et Balises.
- Joseph Bardi de Fourtou (1866-1945). Fils du précédent. Lieutenant-colonel du 4e régiment de chasseurs d'Afrique pendant la Grande Guerre. Général de brigade. Impliqué dans l'affaire Stavisky et radié de la Légion d'honneur de ce fait. Résistant, chef de l'Armée secrète dans les Alpes-Maritimes. Mort en déportation (Gillot et Maureau, "Résistants du Périgord", éd. Sud-Ouest, 2011).
- Francisco Contreras Valenzuela, poète, critique, essayiste et écrivain chilien, né à Quirihue en 1877, décédé à Paris en 1933. Il fut l'un des plus importants ambassadeurs de la littérature latino-américaine en Europe et inspira bon nombre d'illustres auteurs d'Amérique du Sud. Père du Mundonovismo, il collabora régulièrement aux côtés de Vallette et de Rachilde au Mercure de France. Marié à la Ribéracoise Andréa Alphonse (qui s'installa au Chili en 1936 jusqu'à sa mort en 1991), ils ouvraient chaque mardi leur salon de la rue Le Verrier à Paris aux personnalités culturelles et politiques. Ainsi, ils fréquentèrent le prince des poètes Paul Fort, Paul Léautaud, Picasso, Dali, Einstein ou encore Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine. Atteint de tuberculose, Francisco Contreras décéda en 1933 et fut inhumé à Ribérac dans le caveau de la famille de son épouse Andréa Alphonse. Ses cendres furent transférées au Chili en mars 2007, conformément à ses vœux et grâce à l'action conjointe et bénévole de Carlos Munoz Nunez de Santiago et de Nicolas Platon de Ribérac[107]. À cette occasion, des hommages lui ont été rendus à la Bibliothèque nationale de Santiago, à la maison des écrivains fondée par Pablo Neruda et dans sa ville natale de Quirihue où il repose, après 73 années d'oubli, auprès de son épouse et de son fils. Lors du retour de ses cendres, la Corporación Cultural Ribérac a été fondée par Luis Contreras Jara, Carlos Nunoz Munez et le Français Nicolas Platon. En saluant le geste réalisé par ce dernier, le congrès national du Chili a décidé de financer un monument à la mémoire du poète écrivain essayiste.
- Achille Urbain (1884-1957), né au Havre, s'installe à Ribérac avec ses parents en 1888, dans la rue qui porte aujourd'hui son nom (avenue du Professeur-Urbain, anciennement « chemin des Graves »). De formation vétérinaire, il dirigea le zoo de Vincennes de 1934 à 1946, et la ménagerie du Jardin des plantes de 1936 à 1946. Il dirigea le Muséum national d'histoire naturelle de 1942 à 1949.
- Maxime Charles (1908-1993), né à Ribérac, prêtre du diocèse de Paris, aumônier de la Sorbonne, fondateur du Centre Richelieu et de la revue Résurrection.
- Pierre Courtens, (1921-2004), artiste peintre, a vécu et est décédé à Ribérac.
- Jean-Pierre Escalettes, né en 1935, président (2005-2010) de la Fédération française de football (FFF), fut professeur d'anglais à Ribérac.
- Jean-Claude Daunat (1945-1999), coureur cycliste français des années 1960-1970, et industriel.
- Frédéric Brun (1957-), coureur cycliste professionnel de 1979 à 1991, est né à Ribérac.
Héraldique

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Blason | D'or à trois fasces de sinople, au sautoir d'argent chargé d'une étoile d'azur, brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Docteur Émile Dusolier, « L'Hôpital de Sainte-Marthe de Ribérac », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, , p. 315-327 (lire en ligne)
- Émile Dusolier, « Les seigneurs de Ribérac », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 62,
- fascicule 2, p. 104-115, suite (lire en ligne),
- fascicule 3, p. 178-189, suite (lire en ligne),
- fascicule 4, p. 256-262, suite (lire en ligne),
- fascicule 5, p. 298-314, suite (lire en ligne),
- fascicule 6, p. 358-364, suite et fin (lire en ligne) - Émile Dusolier, « L'église et la paroisse de Faye », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 64, , p. 352-363 (lire en ligne)
- Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome I : Du Moyen Âge à la fin de l'Ancien Régime, 1988, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-012-2)
- Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine, 1989, Éditions du Roc de Bourzac, (ISBN 2-87624-018-1)
- Annet Dubut, « Extraction des cercueils en plomb de l'église de Ribérac en 1793 », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 67, , p. 420-421 (lire en ligne [PDF])
- Annet Dubut, « Le comité provisoire de la ville de Ribérac en 1789 », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 70, , p. 230-233 (lire en ligne [PDF])
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la ville de Ribérac
- Ribérac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- L'un sera conduit à Allemans et fusillé dans l'après-midi, les quatre autres transférés à Saint-Martin-de-Ribérac et y seront fusillés dans la soirée.
- Pendant cette période, la commune n'était plus administrée par des maires mais par des officiers municipaux.
- Démissionnaire.
- Décédé en fonctions.
- Révoqué.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 28 août 2013.
- (en) Abigail Fraeman, Sol 3027: A New Hope, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
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- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Hervé Chassain, Ribérac : chute de la citadelle Cazeau, Sud Ouest édition Dordogne du 31 mars 2014, p. 13.
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- Depuis la Révolution jusqu'en 1947, la liste des maires est tirée du livre d'Émile Dusolier, Écrits sur l'histoire de Ribérac, tome II : L'époque contemporaine.
- Émile Dusolier, « Les Soubiran. François Soubiran, procureur de la commune de Ribérac sous la Révolution », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1938, tome 65, p. 234-249 (lire en ligne)
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
- Grégoire Morizet, Patrice Favard ou le symbole de Ribérac, Sud Ouest édition Périgueux du 7 avril 2014, p. 13.
- http://www.politiquemania.com/forum/vie-partis-f16/vie-interne-ump-les-republicains-t239-390.html
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- « Des têtes qui changent », Sud Ouest édition Dordogne, 29 juin 2020, p. 16.
- Harry Sagot, « Ribérac retrouve un maire socialiste après un seul mandat à droite », sur Francebleu.fr, (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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- Dossier complet - Unité urbaine 2010 de Ribérac (24202) - tableau POP T1, Insee, consulté le 19 novembre 2020.
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- Émilie Delpeyrat, « Une oasis dans le désert », Sud Ouest édition Dordogne, 16 octobre 2019, p. 14.
- « Dimanche, c'est le grand jour des collectionneurs », Sud Ouest édition Périgueux, 30 janvier 2019, p. 20.
- « Floralies sportives », Sud Ouest édition Dordogne, 16 mai 2019, p. 20.
- Hervé Chassain et Aimie Faconnier, « Retour gagnant à Ribérac », Sud Ouest édition Périgueux, 27 juillet 2015, p. 14.
- « Nouvelle ère au parc des Beauvières », Sud Ouest édition Dordogne, 15 juillet 2016, p. 20e.
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- Dossier complet - Commune de Ribérac (24352) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
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- « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
- « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
- « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
- « Château de Ribérac », notice no IA24000509, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 236, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
- « Manoir de la Beauvière », notice no IA24000540, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Pigeonnier », notice no IA24000557, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
- « Palais de justice », notice no IA24000521, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 mars 2011.
- Émile Dusolier, « Le prieuré du Chalard de Ribérac », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 49, , p. 94-108 (lire en ligne)
- Émile Dusolier, « Le pont du Chalard sur la Dronne », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 57, , p. 175-187 (lire en ligne)
- Courtin, Travaux des Ponts-et-Chaussées depuis 1800, ou Tableau des constructions neuves faites sous le règne de Napoléon Ier, en routes, ponts, canaux et des travaux entrepris pour la navigation fluviale, des desséchements, les ports de commerce, etc., Paris, Gœury libraire, (lire en ligne), p. 111
- Émile Dusolier, « Note sur l'ancienne église de la Trinité de Ribérac », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 49, , p. 173-182 (lire en ligne)
- « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA24000513, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Ancienne église Notre-Dame », notice no PA00082781, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Église Notre-Dame de la Paix », notice no PA24000026, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Église paroissiale Notre-Dame dite nouvelle église Notre-Dame », notice no IA24000510, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Église de Faye », notice no PA00082780, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Église paroissiale Saint-Pierre de Faye », notice no IA24000514, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- « Église paroissiale Saint-Martial », notice no IA24000515, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 mars 2011.
- Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 4 décembre 2009
- [PDF] « DIREN Aquitaine - Zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 4 décembre 2009
- « Carte de la ZNIEFF 2678 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 4 décembre 2009
- [PDF] « DIREN Aquitaine - vallée de la Dronne d'Épeluche à Saint-Aulaye »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 4 décembre 2009
- « Carte de la ZNIEFF 2673 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 4 décembre 2009
- Site de la Rivière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000100 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- Site de la Beauvière sur le site de la DIREN Aquitaine Consulté le 4 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000102 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 4 décembre 2009
- Site de la commune, (cliquer sur « Loisirs et vie associative ») ; consulté le 21 avril 2016.
- Vilaine (2008), L2TC.com - Lieux de Tournage Cinématographique, consulté le .
- (es) Francisco Contreras Valenzuela sur Linaje Contreras. Consulté le 3 décembre 2009
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