Durenque

Durenque est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Durenque (homonymie).

Durenque

Village de Durenque.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes du Réquistanais
Maire
Mandat
Régine Nespoulous
2020-2026
Code postal 12170
Code commune 12092
Démographie
Gentilé Durenquois(e)
Population
municipale
524 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 38″ nord, 2° 37′ 08″ est
Altitude Min. 553 m
Max. 908 m
Superficie 33,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Monts du Réquistanais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Durenque
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Durenque
Géolocalisation sur la carte : France
Durenque
Géolocalisation sur la carte : France
Durenque
Liens
Site web https://durenque.fr/accueil/

    Géographie

    Localisation

    Site

    Située en Aveyron, la commune de Durenque est au confluent des deux régions naturelles que sont le Ségala et le Lévézou.

    La commune de Durenque est composée du bourg central où vivent environ la moitié des habitants tandis que l'autre moitié vit dans des hameaux et lieux-dits tels que Cannac, Le Verdier, Fournols, La Carradie, Le Vitarel...

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Durenque.

    La commune est drainée par le Giffou, la Durenque, le Glandou, le Cône, la Nédouze, le Jabru, le ravin de Montméja, le ruisseau de Canals, le ruisseau de la Niade, le ruisseau de la Salvetat, le ruisseau de Mazet, le ruisseau d'Escorbis et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Giffou, d'une longueur totale de 46,2 km, prend sa source dans la commune de Villefranche-de-Panat et se jette dans le Céor à Saint-Just-sur-Viaur, après avoir arrosé 9 communes[2].

    La Durenque, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source près du lieu-dit Crassous dans la commune de Durenque[3]. Elle passe au Moulin de Roupeyrac, maison natale du poète François Fabié et rejoint le Giffou au Moulin de Clary près de la ville de Réquista.

    Le Glandou, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Auriac-Lagast et se jette dans le Céor à Cassagnes-Bégonhès, après avoir arrosé 4 communes[4].

    Le Cône, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune d'Auriac-Lagast et se jette dans le Giffou à Rullac-Saint-Cirq, après avoir arrosé 5 communes[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[6].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[7],[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[9],[10].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 006 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[13]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau de la commune[14], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

    ZNIEFF

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Durenque comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[18], l'« Agrosystème de Ginestous et de la Niade » (1 810 ha), couvrant 5 communes du département[19] , et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[18], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[20].

    Forêts

    La forêt du Lagast se compose d'un seul massif d'une superficie de 233 ha, dont 89 ha appelés forêt dominicale du Lagast sont gérés par l'ONF. Elle est implantée sur la commune de Durenque mais également les communes d'Auriac-Lagast et Alrance. Elle est classée espace naturel sensible de l'Aveyron du fait de l'importance et la richesse de sa faune et de sa flore qui lui vaut d'être un écosystème protégé. Cette forêt est composée en majorité de hêtres communs et de sapins pectinés. D'autres espèces végétales évolues dans cette forêt comme la bruyère, la callune ou encore la myrtille commune. Du côté de la faune, évoluent, entre autres l'écureuil roux, le pic noir et le blaireau d'Europe L' humus et les champignons sont également présents dans cet écosystème. Des sentiers balisés et une pyramide à son sommet (928 m) rendent cette forêt agréable pour la randonnée pédestre.

    La forêt de Roupeyrac s'étend sur plusieurs centaines d'hectares au départ du Moulin de Roupeyrac. Elle est aussi marquée par une biodiversité importante. Sa faune est notamment appréciée des chasseurs car on y trouve de nombreuses espèces comme des chevreuils, des cerfs, des faisans ou des sangliers. D'autres espèces y vivent comme le hérisson, le hibou ou encore le coucou qui donne son nom au lieu-dit Chante-coucou. Côté flore, la forêt est composée principalement de chênes et de hêtres communs. Un sentier poétique y est installé avec des poèmes de François Fabié pour allier littérature et nature.

    Biodiversité agricole

    Il ne faut pas oublier la biodiversité agricole qui fait vivre de nombreuses espèces animales et végétales. On trouve l'élevage ovin (brebis de Lacaune), et l'élevage bovin (Limousines, Aubrac, Prim'Holstein et Blondes d'Aquitaine). Il est important de noter également la présence de porcs et de chevaux. Côté basse-cour, évoluent encore dans certaines familles coqs, poules, canards, oies, lapins, dindes, dindons ou encore pigeons. La présence de quelques ruches permet aux abeilles de prospérer. La culture de blé, orge, seigle, triticale, luzerne, sarrasin, pomme de terres et autres plantes potagères permet de garder une flore importante en plus des arbres et haies présents le long des champs.

    Urbanisme

    Typologie

    Durenque est une commune rurale[Note 4],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Durenque.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,5 %), prairies (43,1 %), forêts (9,9 %), zones urbanisées (0,9 %), terres arables (0,5 %)[26].

    Planification

    La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[27].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Durenque est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[28],[29].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Durenque.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Giffou. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[30]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Céor-Giffou[31], approuvé le 9 février 2016[32].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[33].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[28], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[34]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[35]

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Durenque est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    La découverte d'une statue-menhir permet d'affirmer que l'occupation du sol Durenquois remonte au moins au néolithique. Il y a eu un dolmen sur les terres de Durenque. Le statue-menhir de Durenque est exposée au Musée François Fabié.

    Des sarcophages, peut-être d'origines mérovingiennes, ont été découverts dans l'ancien cimetière près de l'église, et les premières pierres du château datent certainement de l'époque carolingienne.

    Moyen-Âge

    Le village s'étoffa peu à peu autour de son fort dans une féodalité assez souple. La seigneurie de Durenque a appartenue pendant des siècles à la famille d'Arpajon. Le plus ancien seigneur répertorié est Bernard II d'Arpajon qui régna au XIIIe siècle. La seigneurie restera dans la famille des siècles avec notamment Hugues IV d'Arpajon, qui avait le titre de Prieur de Durenque. Jean V d'Arpajon, à la suite du décès de son frère Samuel Ier d'Arpajon, décide de vendre la seigneurie et le , elle est vendue 50 000 livres à la famille de Buisson de Bournazel. Cette famille était la plus riche et puissante du Rouergue, jusqu'à la Révolution française. Le dernier seigneur de Durenque fut Claude de Buisson de Bournazel, jusqu'à sa mort en 1792.

    Durenque semble être resté à la limite, voire en dehors des grandes zones de conflits religieux cathares et protestants. Le "Vieux Durenque" aurait-il néanmoins servi d'abri aux hérétiques chassés par le pillage et la persécution?  Les fondations semblent en effet profiler le contour d'une fortification. Certains pensent qu'il fût le refuge de Durenquois fuyant l'épidémie de peste qui sévit au XIVe siècle.

    De la Révolution à aujourd'hui

    Le château de Durenque fût mis à sac lors d'une émeute en 1793. Une tour circulaire resta en position dominante jusqu'au siècle dernier, mais il ne subsiste aujourd'hui qu'un carré de murs. Le village de Durenque, a eu en effet un élan révolutionnaire porté par Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps, premier maire du village et fervent montagnard.

    Le XIXe siècle a vu la naissance du célèbre ''poète et chantre du Rouergue'' François Fabié. Cet enseignant et poète, qui fut notamment professeur de Lettre Modernes aux lycée Charlemagne et proviseur du lycée Colbert. Il n'oubliera pas son enfance et sa région natale qu'il évoque très souvent dans ses recueils de poésie qui inspireront entre autres Marcel Pagnol.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Durenque est membre de la communauté de communes du Réquistanais[39], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Réquista. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[39]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Monts du Réquistanais pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[39], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[41].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Durenque, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[42] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[43]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice[44] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 76,8 %[45]. Régine Nespoulous, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [46].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[47]. Trois sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Réquistanais[48].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps   Géographe
    1792 1795 Pierre-Jean Cadars    
    1795 1798 François Galtier    
    1798 1799 Georges Alibert    
    1799 1801 Gabriel Delran    
    1801 1810 Jean-Luc Milhac    
    1810 1813 Henri Milhac    
    1813 1826 Jean-Amans Vigroux    
    1826 1832 Pierre-Jean Carrière    
    1832 1834 Henri Milhac    
    1834 1837 Antoine Alauze    
    1837 1848 Denis Milhac    
    1848 1853 Henri Milhac    
    1853 1855 Thimotée Angles    
    1855 1878 Henri Milhac    
    1878 1883 Thimotée Angles    
    1883 1884 Joseph Alauze    
    1884 1889 Honoré Dellac    
    1889 1889 Denis Coste    
    1889 1892 Frédéric Fabié    
    1892 1896 Joseph Angles    
    1896 1900 Léon Canac    
    1900 1908 Camille Fabre    
    1908 1909 Antoine Genieys    
    1909 1919 Camille Fabre    
    1919 1935 Marius Fabre    
    1935 1959 Marius Massol    
    1959 1975 Roger Nespoulous    
    1975 2001 Marius Cadars    
    2001 2008 Aimé Alvernhe    
    2008 2014 Vincent Baldet   Patron d'une PME
    2014 en cours Régine Nespoulous[49],[50]   Agricultrice sur moyenne exploitation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

    En 2018, la commune comptait 524 habitants[Note 5], en diminution de 4,03 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
    8005949471 0101 0681 0651 0039531 031
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 0101 0051 0071 0009909859851 0271 003
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    891917956951882915920862811
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    805724607566548535524--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Âge de la population

    La pyramide des âges, à savoir la répartition par sexe et âge de la population, de la commune de Durenque en 2009[55],[56] ainsi que, comparativement, celle du département de l'Aveyron la même année[57], sont représentées avec les graphiques ci-dessous.

    La population de la commune comporte 51,3 % d'hommes et 48,7 % de femmes. Elle présente en 2009 une structure par grands groupes d'âge plus âgée que celle de la France métropolitaine[Note 6]. Il existe en effet 56 jeunes de moins de 20 ans pour cent personnes de plus de 60 ans, alors que pour la France l'indice de jeunesse, qui est égal à la division de la part des moins de 20 ans par la part des plus de 60 ans, est de 1,06. L'indice de jeunesse de la commune est également inférieur à celui du département (0,67) et à celui de la région (0,89)[58].

    Pyramide des âges de Durenque en 2009 en pourcentage[55].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,7 
    12,1 
    75 à 89 ans
    15,7 
    18,5 
    60 à 74 ans
    18,4 
    22,8 
    45 à 59 ans
    21,7 
    16,7 
    30 à 44 ans
    15,0 
    14,6 
    15 à 29 ans
    12,7 
    14,9 
    0 à 14 ans
    15,7 
    Pyramide des âges de l'Aveyron en 2009 en pourcentage[57].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,7 
    10,2 
    75 à 89 ans
    14,2 
    16,9 
    60 à 74 ans
    17,5 
    21,6 
    45 à 59 ans
    20,3 
    18,9 
    30 à 44 ans
    17,8 
    15,1 
    15 à 29 ans
    13,4 
    16,7 
    0 à 14 ans
    15,1 

    Economie

    Agriculture

    Si l'agriculture reste une activité exposée à de nombreux aléas, elle offre aujourd'hui un confort de vie relativement équilibré pour la région.

    Mais la terre de bruyère resta longtemps un support difficilement cultivable, et la pauvreté conditionnait le quotidien du paysan d'autrefois. C'est à partir du XIXe siècle que l'apport de la chaux fertilisa considérablement les sols, et la culture comme l'élevage s'en trouvèrent nettement améliorés. C'est ainsi que blé, maïs, orge, luzerne... empiétèrent progressivement sur le seigle et l'avoine.

    Ovins et bovins perpétuent l'essentiel du cheptel Durenquois. L'élevage de porcs lui, s'est singularisé.

    Beaucoup d'arbres fruitiers fleurissent depuis toujours sur le territoire de Durenque, mais jamais aucun fruit ne fit l'objet d'une production contrôlée. Le verger des Crozes exploite désormais avec succès la culture de la pomme et de ses dérivés.

    On compte aujourd'hui plusieurs dizaines de fermes actives sur la commune.

    Artisanat et commerce

    Hormis la présence de quelques cabaretiers, l'histoire ne relate pas l'exercice de véritables métiers avant la fin du XIXe siècle. Ce n'est qu'à partir de cette période que des professions le plus souvent liées à l'agriculture mais aussi maçons, charrons, sabotiers, meuniers, boulangers... s'affirmèrent dans leurs spécialités respectives.

    Des artisans sont encore bien présents aujourd'hui à Durenque, mais comme de nombreuses agglomérations rurales, le village perd peu à peu sa dynamique économique. Est à souligner à ce titre la désertification regrettable de certains entrepreneurs locaux vers des zones plus urbanisées.

    On notera cependant avec intérêt le développement de l'entreprise Baldet (Menuiserie - Escaliers) qui montre sa détermination à conserver sur son territoire une vie active dans toute sa modernité.

    Vie de la commune

    Education

    Le village de Durenque possède un école maternelle et primaire publique : l'école François Fabié. Actuellement deux postes et demi sont occupés pour une cinquantaine d'élèves.

    Les collèges les plus proches se trouvent à Réquista ou Cassagnes-Bégognhès. Les lycées les plus proches se trouvent à Saint-Affrique ou Rodez.

    Santé

    La commune de Durenque possède un cabinet d'infirmières.

    Les médecins généralistes les plus proches se trouvent à Villefranche-de-Panat ou Réquista. Réquista possède une maison de santé, où en plus des médecins généralistes se trouvent chirurgien-dentiste, kinésithérapeute, ostéopathe, ortophoniste, sage-femme et diététicienne.

    Un vétérinaire exerce au village de Durenque.

    Transports

    La majorité du transport au sein de la commune est fait par automobile. Le village de Durenque possède une aire de covoiturage.

    La ligne d'autocar liO 219 rejoignant Réquista à Rodez possède un arrêt à Durenque.

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Luc-Primaube, l'aérodrome le plus proche est l'aérodrome de Cassagnes-Bégonhès, tandis que l'aéroport le plus près est l'aéroport de Rodez-Aveyron, à visée nationale et internationale.

    Sport

    Chasse et Pêche

    Culture

    Jeunes

    • M.J.C. de Durenque
    • Comité des fêtes
    • Associations des Parents d'élèves

    Troisième âge

    Manifestations

    • Fête votive (15 août) (Comité des fêtes)
    • Fête du pain (Juillet) (Syndicat d'intiatives)
    • Marché nocturne (Eté) (Syndicat d'initiatives)
    • Représentations théâtrales (Avril) (Les Trois Coups)
    • Bodéga (Avril) (Association des Parents d'élèves)

    ...

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    François Fabié, poète natif du village.
    • Justin Bessou (1845-1918), homme d'église et romancier occitan qui fut curé à Lebous, dont une partie de la paroisse s'étend sur la commune.
    • Amado Boudou[59] (1962-), vice-président (2011-2015) de la République d'Argentine dont la famille était originaire de la commune d'où elle est partie en 1903 pour s'installer à Pigüé, en Argentine.
    • Jean Boudou (1920-1975), romancier occitan qui fut, à deux périodes, instituteur à Durenque.
    • François Fabié (1846-1928), né au Moulin de Roupeyrac, poète chantre du Rouergue possédant un musée et une école à son nom sur la commune.
    • Nicolaï Greschny (1912-1985), peintre fréquiste qui réalisa la fresque de l'Église de Cannac.
    • Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps (1747-1843), ingénieur géographe de Louis XV et homme politique révolutionnaire qui fut le premier maire de Durenque.
    • Pierre Vaysse (1865-1939), enseignant parisien et créateur du journal Le Rouergue né sur la commune.

    Héraldique

    Blason
    Coupé : au 1 parti, d’argent, à une plume d’écrivain d’azur, cantonnée en chef dextre d’une anille de sable, et d’or, à un buisson de sinople; au 2 de gueules, à une harpe d’or, accostée de deux fleurs de lys de jardin d’argent.
    Détails
    Le coupé permet de mettre en avant deux composantes importantes du village : La partie supérieure pour sa géographie l'inférieure son histoire.

    La géographie de la commune est partagée entre les Causses du Lévézou (En argent) et les schistes du Ségala (En or).

    Le premier carré d’argent est chargé d’une plume d’écrivain et d’une anille afin d’honorer la mémoire de François FABIE, écrivain local dont sa maison du moulin de Roupeyrac est convertie en musée. La plume est d’azur pour l’étang réservoir du moulin.

    Le second carré d’or est aux armes de la famille Buisson-Bournazel, la dernière a posséder la baronnie de Durenque. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments. Le buisson offre également l’avantage de représenter les forêts qui couvrent le territoire communal.

    La partie inférieure, « de gueules à la harpe d’or » est aux armes de la famille d’Arpajon ancien, illustre famille de la région qui a possédé la baronnie de Durenque pendant longtemps. La remarque concernant la reprise des blasons de famille est valable ici aussi.

    Les fleurs de lys de jardin d’argent sont le symbole de Thérèse, la sainte patronne du village. Ils sont visibles sur l’un des vitraux de l’église.

    Les ornements sont deux gerbes de seigle d'or, mises en sautoir par la pointe et liées de gueules afin d'honorer l'activité agricole de Durenque, en faisant référence au Ségala.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.[60].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Dominique Azam), Requistar : Connac, Durenca, Ledèrgas, Rutlac La Sèlva, Sent-Jan / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Requistar, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 310 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-46-7, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF37644301)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. L'âge est la durée écoulée depuis la naissance. Il peut, selon l'Insee, être calculé selon deux définitions : l'âge par génération (ou âge atteint dans l'année ou encore âge en différence de millésimes), qui est la différence entre l'année de collecte de l'information et l'année de naissance, et l'âge en années révolues, qui est l'âge atteint au dernier anniversaire. Par exemple, à la date du 1er janvier 2012, un individu né le 10 octobre 1931 est âgé de 81 ans en âge atteint dans l'année et de 80 ans si l'on considère son âge en années révolues. Les résultats du recensement de la population sont désormais présentés en utilisant l'âge en années révolues.

    Références

    1. « Fiche communale de Durenque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Giffou »
    3. Sandre, « la Durenque »
    4. Sandre, « le Glandou »
    5. Sandre, « le Cône »
    6. « Les outils de gestion de la rivière », sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le )
    7. « SAGE du Viaur - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    8. « SAGE du bassin du Viaur - synthèse de l'état des lieux », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    9. « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    10. « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur https://www.epage-viaur.com/ (consulté le )
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Durenque et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Durenque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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    59. Amado Boudou
    60. « 12092 Durenque (Aveyron) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )
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