Draix

Draix est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Draix

Draix

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Victor Serra
2020-2026
Code postal 04420
Code commune 04072
Démographie
Population
municipale
113 hab. (2018 )
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 07″ nord, 6° 20′ 37″ est
Altitude Min. 760 m
Max. 2 280 m
Superficie 23,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Seyne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Draix
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Draix
Géolocalisation sur la carte : France
Draix
Géolocalisation sur la carte : France
Draix

    Géographie

    Draix et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Les communes limitrophes de Draix sont La Javie, Prads-Haute-Bléone, Thorame-Basse, Tartonne, Archail, Marcoux et Le Brusquet.

    Situé dans le département des Alpes de Haute-Provence, le village de Draix se rattache à l’arrondissement de Digne-les-Bains.

    Transports

    La route qui y mène (route départementale 22) serpente dans la vallée du Bouinenc sur plusieurs kilomètres. Le village est situé à 900 m d’altitude[1].

    Relief

    La montagne du Cheval Blanc domine la commune. Principal col : col de la Cine.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de La Javie auquel appartient Draix est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[2], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3]. La commune de Draix est également exposée à deux autres risques naturels[3] :

    • feu de forêt ;
    • mouvement de terrain.

    La commune de Draix n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[4].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[4] et le Dicrim n’existe pas non plus[5].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (castri de Drais). Ernest Nègre ne se prononce pas sur l’origine et le sens du nom, qu’il relie au préceltique *Drassi. Pour Charles Rostaing et les Fénié, le nom est formé sur la racine oronymique (désignant une montagne)*TR- + -ag-[6],[7],[8].

    Le nom du sommet du Cucuyon (1886 m), est formé sur la racine préceltique *Kug-, un oronyme (toponyme de montagne), avec redoublement et ajout d’un suffixe diminutif[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Draix est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (41 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 43 personnes, dont cinq chômeurs[17] (cinq fin 2011[18]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (29 sur 38)[19] et travaillent majoritairement hors de la commune (33 actifs sur 38)[19].

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) ne comptait aucun établissement[20].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et deux emplois salariés[20].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique[21]. Il était de trois en 1988, avec une surface agricole utile (SAU) de 283 ha[22].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait deux établissements (sans aucun emploi salarié), auxquels s’ajoute un établissement du secteur administratif, salariant deux personnes[20].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est faible pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[23], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non marchande[24]. Elle se compose de meublés[25], et de quelques résidences secondaires : au nombre de 11 (dont trois avec plus d’un logement), elles représentent un logement sur cinq[26],[27],[28].

    Histoire

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Draix. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[29].

    Environ un siècle après que l’organisation administrative de l’Empire romain disparaisse complètement, le polyptyque de Wadalde cite en 814 un Travigio et un Sinido qui appartenaient à l’abbaye Saint-Victor de Marseille et sont identifiés avec Draix[30].

    Une motte castrale est élevée au XIe siècle au lieu-dit la Tour[31]. La localité appartenait au chapitre de Digne depuis le XIVe siècle. Le village de la Roche-de-Draix lui est rattaché au XVe siècle[32] et les deux fiefs existants sont eux aussi fondus en un seul[30]. Les deux communautés relevaient de la viguerie de Digne[30].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[33].

    Comme de nombreuses communes du département, Draix se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède deux, installées au chef-lieu et au hameau de la Rouine, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[34]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[35], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Draix[36]. Si la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve au chef-lieu[37], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Draix sont régulièrement scolarisées.

    La commune fusionne avec celle d’Archail (Archail-Draix) du au [38].

    Héraldique

    Blasonnement :
    « D’azur à un crible d’or »[39],[40].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945   Émile Barlatier[41]    
             
    1983 (?)   Rosin Lyons[42]    
    avant 2005 2014 Jean-Marie Beltrando[43],[44] DVG Employé
    2014 En cours Victor Serra[45]   Employé

    Intercommunalité

    Draix a fait partie, de 2003 à 2016, de la communauté de communes de Haute Bléone. Depuis le , elle est membre de la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

    En 2018, la commune comptait 113 habitants[Note 3], en augmentation de 15,31 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    144163152143150176145150150
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    157146150153137121122118109
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    939297925361423537
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009
    364150928083867878
    2014 2018 - - - - - - -
    108113-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    15 feux7 feux

    L’histoire démographique de Draix est marquée par la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle. Ensuite, de la fin du XVIIIe siècle à 1872, elle est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé jusqu'en 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[49]. Le mouvement de dépopulation ne va pas au-delà années 1930 : une « étale plancher » est atteinte, un peu au-dessus de trente habitants, avant une nouvelle période de croissance allant des années 1960 à nos jours.

    Lieux et monuments

    À proximité du hameau de la Rouine, au lieu-dit la Roche, se trouvent les ruines d’une tour médiévale[50]. La chapelle de la Rouine a été restaurée[1]. Elle contient une statue de la Vierge à l’Enfant, et date du milieu du XVIIe siècle[30].

    Le village est surplombé par une petite église romane Saint-Pons[51],[30] (datée de 1854[51]), sur la place centrale, avec saint Antoine comme patron[30]. Église paroissiale, elle possède une distribution des espaces intérieurs originale : une coupole surbaissée, au centre de l’édifice, est précédée et suivie de deux travées étroites. L’abside est voûtée en cul-de-four[51]. Le tableau de la Crucifixion, fin XVIe-début XVIIe siècle, est qualifié de « post-primitif » pour l’allure statique et non réaliste de leur figuration[52]. Un ciboire en argent est classé monument historique au titre objet (XVIIIe siècle[53]).

    En contrebas de l'église se trouve la mairie, et près de cette dernière, le lavoir du village.

    Ce qui fut l'école du village, sur la place, est maintenant une habitation[1].

    Il subsiste quelques ruines d’un établissement que la légende attribue aux Templiers, mais que rien ne permet de relier avec fiabilité à l’ordre de chevalerie qui a suscité maintes légendes[54].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    2. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    3. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 19 juillet 2012
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    5. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 19 juillet 2011
    6. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 275
    7. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 1154.
    8. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 26.
    9. Fénié & Fénié, op. cit., p. 20
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Insee, Dossier local - Commune : Draix, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    18. Insee, Dossier local, p. 8
    19. Insee, Dossier local, p. 7
    20. Insee, Dossier local, p. 15
    21. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    22. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    23. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    24. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    25. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
    26. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    27. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    28. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    29. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    30. Daniel Thiery, « Draix », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 19 juillet 2012
    31. Parc naturel du Luberon, Autour de l’An Mil en pays de Forcalquier, catalogue d’exposition, 2007, p 31
    32. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 173
    33. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    34. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    35. Labadie, op. cit., p. 16.
    36. Labadie, op. cit., p. 18.
    37. Labadie, op. cit., p. 11.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
    40. Banque du Blason
    41. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    42. Rosin Lyons est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Pierre Boussel (MPPT) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4795, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    43. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Cruis à Hospitalet(L’) (liste 3), consulté le 8 mars 2013
    44. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    45. « Maire de Draix (04420) - Nom, âge, date de naissance, profession du maire de Draix », sur Mon-maire (consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
    50. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 311
    51. Raymond Collier, op. cit., p 381-382
    52. Raymond Collier, op. cit., p 477
    53. Arrêté du 30 décembre 1991, « Ciboire », notice no PM04000623, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    54. Joseph-Antoine Durbec (préf. Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p 134
    • Portail des communes de France
    • Portail des Alpes-de-Haute-Provence
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.