Georges Duby
Georges Duby, né le à Paris (Xe arrondissement) et mort le au Tholonet, est un universitaire et historien français.
Pour les articles homonymes, voir Duby.
Spécialiste du Moyen Âge, il est membre de l'Académie française et professeur au Collège de France de 1970 à 1991[1].
En 2019, son œuvre est publiée dans la « bibliothèque de la Pléiade ». Il est un des rares historiens à bénéficier d'un tel honneur, avec Hérodote, Thucydide, Froissard et Michelet[2].
Biographie
Famille et études
Georges Michel Claude André Duby est issu d'une famille d'artisans parisiens du 10e arrondissement. Son père a été teinturier et travaillé notamment pour le cinéma.
Il fait ses études secondaires à Mâcon[3] et est lauréat du Concours général de dessin. Il fait ensuite des études supérieures d'histoire et de géographie à la faculté de lettres de Lyon et est reçu 9e (sur 12) à l'agrégation d'histoire et géographie en 1942[4].
Carrière universitaire
Il commence sa carrière dans l'enseignement secondaire, puis est nommé assistant à la Faculté de lettres de l'université de Lyon à la Libération, enseigne quelque temps à Besançon, puis obtient la chaire d'histoire du Moyen Âge à la Faculté de lettres d'Aix-en-Provence en 1951. Il se fixe alors dans cette région.
Le samedi , Georges Duby soutient à la Sorbonne sa thèse de doctorat ès lettres, réalisée sous la direction de Charles-Edmond Perrin et intitulée La Société aux XIe et XIIe siècles dans la région mâconnaise (thèse publiée en 1953) ; sa thèse complémentaire étudie Les pancartes de l'abbaye cistercienne de la Ferté-sur-Grosne, 1113-1178. Outre Perrin, le jury est composé de Robert Fawtier et Pierre Petot, respectivement professeur d'histoire médiévale à la Sorbonne et professeur d'histoire du droit à la Faculté de droit de Paris[5]. Dans sa thèse, Duby utilise la masse considérable des documents de l'abbaye de Cluny pour expliquer « à fond » un espace particulier, le Mâconnais, reprenant l'exemple des monographies régionales produites alors par l'école géographique française[6].
En 1970, il est élu à la chaire d'histoire des sociétés médiévales du Collège de France, qu'il occupe jusqu'en 1991[7],[8].
Les archives (manuscrits et tapuscrits) qu'il a constituées au cours de sa carrière sont réunies dans le « fonds Duby » déposé pour l'essentiel par sa veuve Andrée Duby depuis 2003[9] à l'Institut mémoires de l'édition contemporaine[10]. Madame Andrée Duby est décédée le à l'âge de 96 ans[6].
Dans les dernières années de sa vie, Georges Duby, qui ne renia jamais ses origines mâconnaises, présida l'Institut de recherche du Val-de-Saône Mâconnais (IRVSM, installé à Mâcon, cours Moreau) fondé en 1992, dont il fut le premier président (1992-1994)[11].
Apport à l'histoire du Moyen Âge
Georges Duby a su dès le début de sa carrière renouveler la perception du Moyen Âge en adoptant des points de vue originaux. Sa rencontre avec la géographie est importante dans sa formation d'historien. Elle est alors, à la fin des années 1940, selon ses mots, une discipline où l'on est « le plus attentif à ce qui se produisait de plus neuf parmi les sciences de l'homme ». Cette filiation (André Allix, Roger Dion) l'amène à étudier l'histoire médiévale, mais, plus encore, à prendre en compte les paysages et les sociétés rurales de cette époque[12].
Plus particulièrement spécialiste des Xe, XIe, XIIe et XIIIe siècles en Europe occidentale, Duby contribue tout au long de ses ouvrages à renouveler les méthodes et les objets de la discipline historique. Auteur de vastes études (Guerriers et Paysans en 1973, L'Europe au Moyen Âge en 1979), il pousse encore plus loin ses recherches sur la société médiévale en reprenant la célèbre trifonctionnalité de Georges Dumézil (Les Trois Ordres ou l'Imaginaire du féodalisme en 1978), tout en renouvelant l'archétype de l'événement historique dans un livre aujourd'hui célèbre par le paradoxe apparent qu'il affirme dans son titre : Le Dimanche de Bouvines, sur la bataille de Bouvines, publié en 1973, est une célébration de l'événement, certes, mais surtout une analyse magistrale de son environnement et de ses conséquences[13].
Grand admirateur de Fernand Braudel[14], il appartient cependant à la troisième génération d'historiens de l'école des Annales, fondée en 1929 par Marc Bloch et par Lucien Febvre, notamment par ses apports à l'histoire des mentalités, constitutive de cette troisième génération[15].
Outre son intérêt non démenti pour la géographie relevé plus haut, Georges Duby s'illustre également par sa maîtrise de la langue française et par des apparitions à la télévision, dans le cadre d'émissions de vulgarisation inspirées par ses écrits, comme Le Temps des cathédrales (1976), ou dans le cadre de débats. Il a été président de la chaîne de télévision Arte France depuis sa création en 1986 jusqu'en 1989[15].
Georges Duby a beaucoup apporté au renouvellement de la compréhension de l'Histoire grâce au concept de représentation mentale. Avec d'autres penseurs, comme Marc Augé en anthropologie, il a reconnu et explicité la fonction de la représentation dans la constitution des ordres et des rapports sociaux, l'orientation des comportements collectifs et la transformation du monde social. À propos de l'imaginaire de la féodalité, Georges Duby parle de la représentation comme « membrure », « structure latente », « image simple » de l'organisation sociale assurant le passage vers différents systèmes symboliques[16].
Distinctions et récompenses
Distinctions
Les honneurs officiels récompensent son enseignement et ses nombreuses publications, dont le rayonnement dépasse très largement le cercle des spécialistes.
En 1974, il est élu membre ordinaire de l'Académie des inscriptions et belles-lettres[17]. Le , il est élu à l'Académie française, où il succède à Marcel Arland au 26e fauteuil[18]. Il est reçu sous la Coupole en 1988 par Alain Peyrefitte. La cérémonie est filmée intégralement par la télévision française et diffusée par la chaîne FR 3 . Il fut également membre associé de la British Academy, de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, de l'Académie hongroise des sciences, de la Royal Historical Society et de la Medieval Academy of America. Il est aussi membre étranger de l’Accademia nazionale dei Lincei et de la Société américaine de philosophie ; membre correspondant de l'Académie royale espagnole et de l'Académie des belles-lettres de Barcelone ainsi que membre élu de l'Academia Europaea[6].
En 1973, il est récompensé par le Prix des Ambassadeurs pour son livre Le dimanche de Bouvines. En 1977, il est aussi lauréat du Grand prix Gobert de l'Académie française pour son livre Le temps des cathédrales.
Docteur honoris causa
Georges Duby est docteur honoris causa de nombreuses universités, parmi lesquelles l'université de Cambridge, l'université d'Oxford, l'université d'Amsterdam, l'université de Montréal, l'université catholique de Louvain, l'université de Liège, l'université de Grenade, l'université catholique Jean-Paul II de Lublin, l'université de Saint-Jacques-de-Compostelle et l'American University of Paris[7].
Décorations
Georges Duby est récipiendaire des décorations suivantes[18],[7] :
- Commandeur de la Légion d'honneur.
- Grand officier de l'ordre national du Mérite.
- Commandeur de l'ordre des Palmes académiques.
- Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres.
- Chevalier de l'ordre du Mérite agricole.
- Officier de l'ordre d'Orange-Nassau (Pays-Bas).
Œuvres (sélection)
Note : une liste exhaustive des œuvres de Duby est disponible sur le site de l'Académie française[7],[18],[19].
Ouvrages universitaires
- La Société aux XIe et XIIe siècles dans la région mâconnaise, Paris, Éditions de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, 1953[20]. (Thèse de doctorat d'État).
- - Prix Gobert 1954 de l’Académie des inscriptions et belles-lettres.
- L'Économie rurale et la vie des campagnes dans l'Occident médiéval, Paris, Aubier, 1962, 2 volumes.
- - Prix Gobert 1963 de l’Académie des inscriptions et belles-lettres.
- Hommes et structures du Moyen Âge, Paris, Mouton, 1973[21] (rééd. en deux volumes : Seigneurs et Paysans et La Société chevaleresque, Paris, Flammarion, 1988).
- Guerriers et Paysans, VIIe – XIIe siècles : premier essor de l'économie européenne, Paris, Gallimard, 1973[22].
- Les Trois Ordres ou L'Imaginaire du féodalisme, Paris, Gallimard, 1978[23] (ISBN 2070286045).
- Le Chevalier, la Femme et le Prêtre : le mariage dans la France féodale, Paris, Hachette, 1981 (ISBN 2012790712).
- Guillaume le Maréchal ou Le meilleur chevalier du monde, Paris, Fayard, 1984[24] (ISBN 2070323447). Biographie de Guillaume le Maréchal, qui s'élève dans la hiérarchie féodale par ses dons jusqu'à devenir l'un des hommes les plus puissants du royaume d'Angleterre.
- Mâle Moyen Âge : de l'amour et autres essais, Paris, Flammarion, 1988, réédition de 2010, (ISBN 9782081236325).
- Dames du XIIe siècle, Paris, Gallimard, 1995-1996, 3 volumes (Nouvelle édition en un volume, Paris, Collection Folio histoire (no 295), Gallimard, 2020, 480 p.)[25] :
- I. Héloïse, Aliénor, Iseut et quelques autres
- II. Le souvenir des aïeules
- III. Ève et les prêtres
- Les Femmes et le pouvoir au XIIe siècle, conférence donnée au Collège de France le , CD audio, Houilles, Le Livre qui parle, 2009.
Ouvrages grand public
- L'An mil, coll. « Archives », Paris, éditions Julliard, 1967 (rééd. Gallimard, 1980 (ISBN 2-07-032774-4)).
- Le Dimanche de Bouvines (), Paris, Éditions Gallimard, coll. « Trente journées qui ont fait la France », 1973[26] (ISBN 2070322955). Duby y montre qu'un historien des Annales peut aussi, à l'occasion, traiter d'un événement : la bataille de Bouvines.
- Les Procès de Jeanne d'Arc (avec Andrée Duby), Paris, Gallimard, 1973.
- L'Europe au Moyen Âge (art roman, art gothique), Paris, Arts et Métiers Graphiques, 1981.
- An 1000, An 2000 : Sur les traces de nos peurs, Paris, éditions Textuel, 1999 (ISBN 978-2909317878)[27]
- Histoire de l'art
- Adolescence de la chrétienté occidentale, L'Europe des cathédrales et Fondement d'un nouvel humanisme, Genève, Skira, 1966-1967, 3 volumes ; repris en un volume sous le titre Le Temps des cathédrales : l'art et la société (980–1420), Gallimard, 1976 (ISBN 207029286X) – Grand Prix Gobert de l'Académie française 1977.
- Saint Bernard : l'art cistercien, Paris, Arts et Métiers graphiques, 1976.
Compilations
Participation à des ouvrages collectifs
- Atlas historique (dir.), Paris, Larousse, 1978. Nombreuses rééditions revues et augmentées.
- Histoire de la civilisation française (avec Robert Mandrou), Paris, A. Colin, 1958, 2 volumes.
- Histoire de la France, Des origines à nos jours (dir.), Paris, Larousse, 1970-1971, 3 volumes; rééd., Paris, Larousse, 2007, coll. "Bibliothèque historique", (ISBN 978-2035826367).
- Histoire de la France rurale (codir. avec Armand Wallon), Paris, Le Seuil, 1976, 4 volumes, [article bibliographique].
- Histoire de la France urbaine (dir.), Paris, Le Seuil, 1980-1985, 5 volumes
- Histoire de la vie privée (codir. avec Philippe Ariès), Paris, Le Seuil, 1985-1987, 5 volumes[29] (ISBN 2-02-008987-4)
- Histoire des femmes en Occident (codir. avec Michelle Perrot), Paris, Plon, 1990-1992, 5 volumes[30],[31].
Divers
- Dialogues (avec Guy Lardreau), Paris, Flammarion, 1980 (rééd. Les petits Platons, 2013 (ISBN 978-2082117036 et 2082117030)).
- L'Histoire continue, Paris, Odile Jacob, 1991, (ISBN 2738110428).
- Mes ego-histoires (livre édité à titre posthume par Patrick Boucheron et Jacques Dalarun), Paris, Gallimard, 2015[32].
Notes et références
- « Georges Duby », sur babelio.com.
- Patrick Boucheron, « Georges Duby est (encore) un collègue », L'Histoire, N° 467, janvier 2020, p. 18-19
- Le Goff 1997, p. 199.
- André Chervel, « Les agrégés de l'enseignement secondaire. Répertoire 1809-1950 », sur Ressources numériques en histoire de l'éducation (consulté le ).
- Revue historique, no 209, 1953, p. 209-212.
- Jacques Le Goff, « Georges Duby (1919-1996) », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 40, no 158, , p. 199-209 (lire en ligne).
- « Georges Duby », sur college-de-france.fr.
- « Les Cours du Collège de France », sur franceculture.fr, .
- Patrick Boucheron et Jacques Dalarun, Georges Duby, portrait de l'historien en ses archives, Paris, Gallimard, , 480 p. (ISBN 978-2-07-014920-9, lire en ligne).
- Fonds Duby à l'IMEC.
- « Un bilan et des regrets pour l'Institut de recherche », article paru dans Le Journal de Saône-et-Loire, édition du jeudi 5 mars 2020.
- Jean-Pierre Rioux, « Au grand soleil de l’historien Georges Duby », sur la-croix.com, .
- Robert Maggiori, « Georges Duby, l'histoire consacrée », sur liberation.fr, .
- Georges Duby, L'Histoire continue, Odile Jacob, coll. « Poches Odile Jacob », , p. 143.
- Jacques Stiennon, « Georges Duby (1919-1996) », Bulletins de l'Académie Royale de Belgique, vol. 8, no 12, , p. 567-576 (lire en ligne).
- Michelle Perrot, « Georges Duby et l’imaginaire-écran de la féminité », sur openedition.org, .
- « Georges Duby », sur aibl.fr
- « Georges Duby », sur academie-francaise.fr.
- On trouvera dans Histoire et société : mélanges offerts à Georges Duby, textes réunis par les médiévistes de l'université de Provence (Aix-en-Provence, Publications de l'université de Provence, 1992) la référence des articles publiés par ce savant dans diverses revues et publications.
- Jean Déniau, « Georges Duby, "La société aux XIe et XIIe siècles dans la région mâconnaise" », Géocarrefour, vol. 30, no 2, , p. 169-171 (lire en ligne).
- Robert Fossier, « Georges Duby, "Hommes et structures du Moyen Âge" », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 132, no 1, , p. 158-160 (lire en ligne).
- René Lacour, « Georges Duby, "Guerriers et paysans, VIIIe-XIIe siècles. Premier essor de l'économie européenne" », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 133, no 1, , p. 174-176 (lire en ligne).
- Giovanni Tabacco, « Georges Duby, "Les trois ordres ou l'imaginaire du féodalisme" », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 23, no 90, , p. 175-177 (lire en ligne).
- Jean Flori, « Georges Duby, "Guillaume le Maréchal ou le meilleur chevalier du monde" », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 30, no 120, , p. 371-373 (lire en ligne).
- Jean-Marc Bastière, « Trois raisons de relire Dames du XIIe siècle de Georges Duby », sur lefigaro.fr, .
- Bernard Guenée, « Georges Duby, "Le dimanche de Bouvines. 27 juillet 1214" », Annales. Histoire, Sciences sociales, vol. 29, no 6, , p. 1523-1526 (lire en ligne).
- Yves-Marie Labe, « Les "livres proches" de Textuel », Le Monde, 24 mai 1996.
- « Partager le goût de l’histoire. Georges Duby dans "La Pléiade" », sur lemonde.fr, .
- I : De l'Empire romain à l'an mil, (ISBN 2-02-008986-6) ; II : De l'Europe féodale à la Renaissance, (ISBN 2-02-008992-0) ; III : De la Renaissance aux Lumières, (ISBN 2-02-009293-X) ; IV : De la Révolution à la Grande Guerre, (ISBN 2-02-009455-X) ; V : De la Première Guerre mondiale à nos jours (ISBN 2-02-009679-X).
- Didier Lett, « Histoire des femmes, sous la direction de Georges Duby et Michelle Perrot », Médiévales, vol. 24, , p. 171-174 (lire en ligne).
- Clarisse Fabre, « "Histoire des femmes en Occident", par Clarisse Fabre », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Étienne Anheim, « Histoire d’un livre. Moi, Georges Duby, historien », sur lemonde.fr, .
Voir aussi
Bibliographie
- Maurice Agulhon, « Duby Georges (1919-1996) », sur Encyclopædia Universalis.
- Patrick Boucheron, « La lettre et la voix : aperçus sur le destin littéraire des cours de Georges Duby au Collège de France, à travers le témoignage des manuscrits conservés à l'IMEC », Le Moyen Âge, De Boeck, t. CXV, , p. 487-528 (lire en ligne).
- Patrick Boucheron (dir.) et Jacques Dalarun (dir.), Georges Duby, portrait de l'historien en ses archives : colloque de la Fondation des Treilles, Paris, Gallimard, , 472 p. (ISBN 978-2-07-014920-9, présentation en ligne).
- François Bougard, « Genèse et réception du Mâconnais de Georges Duby », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby », (lire en ligne).
- Laurent Feller, « Georges Duby et les Études d'histoire rurale », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby », (lire en ligne).
- Jean-Claude Helas, « Le vocabulaire de Georges Duby dans L’économie rurale et la vie des campagnes dans l’Occident médiéval », dans Benoît Cursente et Mireille Mousnier (dir.), Les Territoires du médiéviste, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753532212, lire en ligne), p. 45-70.
- Jacques Le Goff, « Georges Duby (1919-1996) », Cahiers de civilisation médiévale, no 158, 1997 (40e année), p. 199-209 (lire en ligne).
- Florian Mazel, « Pouvoir aristocratique et Église aux Xe – XIe siècles : retour sur la « révolution féodale » dans l'œuvre de Georges Duby », Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, no hors-série no 1 « Georges Duby », (lire en ligne).
- (en) Leah Shopkow, « Georges Duby (1919-1996) », dans Philip Daileader et Philip Whalen (dir.), French Historians, 1900-2000 : New Historical Writing in Twentieth-Century France, Chichester / Malden (Massachusetts), Wiley-Blackwell, , ...-610 p. (ISBN 978-1-4051-9867-7, présentation en ligne), p. 180-201.
Articles connexes
Liens externes
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- Ressources relatives à la recherche :
- Ressource relative à la littérature :
- (fr) Âge-no-27-1997_38009.html Georges Duby, historien esthète du Moyen Âge dans le magazine Label France ()
- (fr) André Masson et Georges Duby
- (fr) Benoît Marpeau, « L'historien, l'éditeur et l'œuvre : un itinéraire de Georges Duby », Les Cahiers du CRHQ, no 3, 2012, 27 p., [lire en ligne] sur le site HAL-SHS (Hyper Article en Ligne - Sciences de l'Homme et de la Société).
- (fr) Georges Duby : une histoire rajeunie sur le site consacré à Philippe Ariès.
- Georges duby : les leçons d'un concile dans le magazine L'Histoire 01/09/1995
- À la mémoire de Georges Duby par Pierre Bonnassie, Annales du Midi (1997)
- Ariel Suhamy, « Georges Duby, savant et populaire. Entretien avec Felipe Brandi », La Vie des idées (). (ISSN 2105-3030)
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