Marcoux (Alpes-de-Haute-Provence)

Marcoux /maʁ.ku/ est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Marcoux.

Marcoux

Village de Marcoux et colline Saint-Michel.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Christian Boyer
2020-2026
Code postal 04420
Code commune 04113
Démographie
Gentilé Marcousiens
Population
municipale
457 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 07′ 45″ nord, 6° 16′ 39″ est
Altitude Min. 604 m
Max. 1 311 m
Superficie 32,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Marcoux
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Marcoux
Géolocalisation sur la carte : France
Marcoux
Géolocalisation sur la carte : France
Marcoux

    Le nom de ses habitants est Marcousiens[1].

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 7 km de Digne-les-Bains[2].

    Voies routières

    Commune desservie par la D 900.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Commune desservie par le réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence[3]

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

    • rivière la Bléone,
    • torrents le bouinenc, le bès,
    • ruisseaux le mardaric, de l'escure,
    • ravin de mouiroués.

    Marcoux dispose de la station d'épuration intercommunale de Digne nouvelle, d'une capacité de 35 000 équivalent-habitants[5].

    Géologie et relief

    Marcoux et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est situé à 730 m d’altitude[6]. La commune est traversée par la Bléone.

    La commune compte 1 035 ha de bois et forêts[1]. Elle comporte plusieurs entités distinctes :

    • le Liman (versant est) ;
    • la vallée de la Bléone dont le plan de Marcoux. La vallée s'élargit sur deux kilomètres de large, ce qui contraste avec la vallée de la Bléone en aval ;
    • la Grande Colle, relief situé entre la Bléone et le Mardaric, dont l'extrémité nord-est forme la colline Saint-Michel ;
    • la vallée de l'Escure, site caractéristique pour ses terres noires, et où passe une partie du raid VTT des Terres-Noires ;
    • la vallée du Bouinenc (empruntée par la route menant à Draix et Archail) et de la Cougourde.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est auquel appartient Marcoux est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Marcoux est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forêt ;
    • inondation (dans la vallée de la Bléone) ;
    • mouvement de terrain.

    La commune de Marcoux est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. La départementale RD900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune [9] et le Dicrim n’existe pas non plus[11].

    La commune a ressenti quelques tremblements de terre. Un seul l’a été fortement, en atteignant une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets), celui du 8 février 1974, dont l’épicentre était situé à Thorame[12],[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Marcoux est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,9 %), forêts (26,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19 %), terres arables (11 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1113 (de Marculfo), et provient d’un nom propre d’origine germanique, Marcolfus[21].

    Histoire

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Marcoux. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[22].

    Environ un siècle après l’abandon de l’organisation administrative de l’Empire romain, le territoire de Marcoux est signalé, dès 814, dans le polyptyque de Wadalde : deux colonges s’y trouvent[23]. Les moines de l’abbaye Saint-Victor de Marseille perdent ensuite leurs biens dans la commune. L’abbaye Saint-Honorat de Lérins y a aussi possédé un prieuré[24].

    En 1122, Guillaume Marcoux était seigneur de Marcoux[25].

    Le village et le château fort appartenaient aux évêques de Digne[26], jusqu’à la Révolution[23]. Les églises relevaient du chapitre de Digne, qui cède l’église paroissiale et les revenus attachés à l’évêque en 1476 (contre celle de Courbons)[23]. La communauté relevait de la baillie de Digne[23].

    Le château est vendu en 1525 par les évêques qui participent ainsi au paiement de la rançon de François Ier, fait prisonnier à la bataille de Pavie en 1525.

    Saint-Martin constituait un fief distinct au Moyen Âge[27].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[28]. La chapelle Saint-Martin est vendue comme bien national, et a disparu depuis[23].

    Comme de nombreuses communes du département, Marcoux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède deux, qui dispensent une instruction primaire aux garçons, la première étant située au chef-lieu[29] et la seconde au hameau des Granges[30]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[31], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Marcoux[32]. Si la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve aux Granges (achevée en 1883) et rénover celle du chef-lieu[33],[30], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Marcoux sont régulièrement scolarisées.

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture, qui s'était maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales malgré la crise phylloxérique[34], a depuis été abandonnée[35].

    En 1945, l’école des Granges est fermée, à cause de la désertification. Puis on la rouvre en 1950-1951, et en 1953. En 1954, elle s’installe dans un bâtiment neuf. Elle est finalement fermée au milieu des années 1960[30].

    Héraldique

    « D’azur à un château d’or sur une rivière d’argent »[36],[37].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 247 personnes, dont 14 chômeurs[38] (20 fin 2011[39]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (80 %)[40] et travaillent majoritairement hors de la commune (84 %)[40].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 16 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[41].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 14 en 2010. Il était de 12 en 2000[42], de 24 en 1988[43]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers les grandes cultures. Quatre exploitations pratiquent la polyculture[42]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) avait un peu augmenté, de 909 à 1 047 ha[43], avant de fortement régresser lors de la dernière décennie, reculant à 601 ha[42].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 établissements, n’employant aucun salarié[41].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 14 établissements (avec onze emplois salariés), auxquels s’ajoutent les cinq établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes[41].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[44], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[45]. Les structures d’hébergement à finalité touristique sont peu nombreux à Marcoux, et se limitent à des meublés labellisés[46] et non-labellisés[47]. Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil[48] : au nombre de 53, elles représentent logement sur cinq[49],[50].

    Restaurant Bistrot de pays Le Cheval blanc[51],[52].

    Politique et administration

    Municipalité

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1925  ? Hyacinthe-Frédéric Gay   Instituteur puis secrétaire de mairie
    mai 1945 1947 Louis Tron[53]    
    1947 1965 Albert Chabot UNR  
    1984 1989 Gaston Guieu    
    1994 2014 André Picard    
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Christian Boyer[54] DVG Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2017

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[55] :

    • total des produits de fonctionnement : 253 000 , soit 479  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 256 000 , soit 485  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 311 000 , soit 591  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 217 000 , soit 412  par habitant ;
    • endettement : 207 000 , soit 392  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 7,21 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,36 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,11 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 795 [56].

    Intercommunalité

    Marcoux fait partie :

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[58].

    En 2018, la commune comptait 457 habitants[Note 3], en diminution de 10,57 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    369309257301300319360363385
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    375346287280300317306288262
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    304270271288262214199184178
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
    189180166305390414402468478
    2012 2017 2018 - - - - - -
    516464457------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    78 feux28 feux

    L’histoire démographique de Marcoux, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1836 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1936, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[61]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1960. Marcoux connait ensuite une croissance rapide, triplant sa population en trente ans.

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[62] :

    • Écoles maternelles et primaires à La Javie, Digne-les-Bains,
    • Collèges à Digne-les-Bains,
    • Lycées à Digne-les-Bains.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[63] :

    Cultes

    Lieux et monuments

    Campanile de l’église Saint-Étienne.

    Le château, résidence d’été des évêques de Digne, est partiellement en ruines. Un papier peint de l’époque de Louis XIII y a été retrouvé. Une corniche de gypseries ornée d’entrelacs décore la grande salle[65].

    L’église Saint-Étienne (fin du XIIe/début du XIIIe siècle) est inscrite aux monuments historiques[66]. Un des contreforts date de 1434, un autre est construit dans les années 1960, avec la grande campagne de consolidation et de restauration (pose de tirants, réfection de la charpente). La nef à trois travées, voûtée en berceau, est longue de 21,6 m et large de 5,9 m. Le campanile du XIXe siècle est posé sur le clocher construit en 1888-1889[67]. Sa cloche date de 1699 (classée au titre objet[68]). L’autel, en bois doré, date du XVIIe siècle (classé[69]).

    La chapelle de la Peyrière est peut-être l’ancien prieuré Saint-Marcellin[23] (actuellement indiquée comme Sainte-Marthe).

    Le monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945[70].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Livres

    • Marie-Paule Baume, Tranches de vie à Marcoux du XIVe au XIXe siècle, Digne-les-Bains, Communauté de communes des 3 Vallées, 2003, (ISBN 2-9520539-0-1)

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    2. Lieux et itinéraires
    3. Réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence
    4. L'eau dans la commune
    5. Description de la station
    6. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 août 2012
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
    11. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 août 2011
    12. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Marcoux », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 2 août 2012
    13. BRGM, « fiche 40317 », Sisfrance, consultée le 2 août 2012
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 14919, p. 851.
    22. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    23. Daniel Thiery, « Marcoux », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 2 août 2012
    24. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
    25. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 221
    26. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 181
    27. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 196
    28. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298.
    29. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    30. Labadie, op. cit., p. 52.
    31. Labadie, op. cit., p. 16.
    32. Labadie, op. cit., p. 18.
    33. Labadie, op. cit., p. 11.
    34. Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
    35. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
    36. Banque du Blason
    37. Asse Bléone Verdon (Trois Vallées) : Marcoux, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    38. Insee, Dossier local - Commune : Marcoux, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    39. Insee, Dossier local, p. 8
    40. Insee, Dossier local, p. 7
    41. Insee, Dossier local, p. 16
    42. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    43. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    44. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    45. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    46. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    47. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
    48. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    49. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    50. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    51. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    52. Fédération nationale des bistrots de pays
    53. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    54. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    55. Les comptes de la commune
    56. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    61. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
    62. Établissements d'enseignements
    63. Professionnels et établissements de santé
    64. Paroisse Marcoux - Digne - Riez - Sisteron
    65. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 78
    66. « Eglise : inscription par arrêté du 7 juin 1927 », notice no PA00080430, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 11 juin 2010
    67. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 111-112
    68. Notice no PM04000782, base Palissy, ministère français de la Culture consultée le 11 juin 2010
    69. Notice no PM04000234, base Palissy, ministère français de la Culture consultée le 11 juin 2010
    70. Monument aux morts

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    1. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
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