Cheilly-lès-Maranges

Cheilly-lès-Maranges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Cheilly-lès-Maranges

La commune et ses vignes.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Marc Labulle
2020-2026
Code postal 71150
Code commune 71122
Démographie
Gentilé Cheillais[1], Cheillyssois[2]
Population
municipale
557 hab. (2018 )
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 46″ nord, 4° 40′ 18″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 400 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chagny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Cheilly-lès-Maranges
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Cheilly-lès-Maranges
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Cheilly-lès-Maranges
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Cheilly-lès-Maranges
Liens
Site web cheilly-les-maranges.fr

    Géographie

    La commune de Cheilly-lès-Maranges est située dans la vallée des Maranges, dans le département de Saône-et-Loire à la limite du sud de la Côte-d'Or.

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    Mercey (hameau distant de 2,5 km, situé à l'ouest de la commune).

    Accès et transport

    Cheilly-lès-Maranges est située à moins d'un kilomètre du département de la Côte-d'Or, Santenay est située à deux kilomètres et Chagny est située à sept kilomètres. La commune comprend le village de Cheilly ainsi que le hameau de Mercey, et est traversée par les routes départementales D 133, D 143, et D 974.

    La halte SNCF de Cheilly-lès-Maranges est desservie par des trains régionaux à destination de Chagny et Chalon-sur-Saône d'une part, Saint-Léger-sur-Dheune et Montchanin d'autre part.

    Géologie et relief

    Village viticole, dans un paysage vallonné. Les coteaux du village (exposé sud/sud-est) ne suivent pas l'alignement de la Côte de Beaune, mais ils en possèdent la même origine et nature géologique[3]. Les sols sont de type argilo-calcaire et plus particulièrement légers et caillouteux[3].

    Hydrographie

    Pont de Santenay (vers 1850)
    sur la Cozanne.
    Canal du Centre et voie verte cyclable à Cheilly-lès-Maranges (vue en direction de Saint-Léger-sur-Dheune).

    La commune est traversée au nord par la rivière de la Cozanne qui se jette dans la Dheune à l'est de la commune. Le canal du Centre traverse aussi la commune à l'entrée du village.

    Climat

    Climat tempéré à légère tendance continentale avec des étés chauds et des hivers froids[4], avec une amplitude thermique assez importante entre ces deux saisons. Les précipitations sont assez hétérogène sur l'année, avec un mois de mai le plus pluvieux de l'année. Le vent qui souffle une partie de l'année est la bise.

    Valeurs climatiques de Dijon et Mâcon, car Cheilly-lès-Maranges est située entre ces deux villes.

    Dijon

    Pour la ville de Dijon (316 m), les valeurs climatiques jusqu'à 1990 :

    Relevés Dijon ????-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −1 0,1 2,2 5 8,7 12 14,1 13,7 10,9 7,2 2,5 −0,2 6,3
    Température moyenne (°C) 1,6 3,6 6,5 9,8 13,7 17,2 19,7 19,1 16,1 11,3 5,6 2,3 10,5
    Température maximale moyenne (°C) 4,2 7 10,8 14,7 18,7 22,4 25,3 24,5 21,3 15,5 8,6 4,8 14,8
    Précipitations (mm) 49,2 52,5 52,8 52,2 86,3 62,4 51 65,4 66,6 57,6 64,2 62 732,2
    Source : Infoclimat : Dijon (????-1990)[5]
    Mâcon

    Pour la ville de Mâcon (216 m), les valeurs climatiques de 1961 à 1990 :

    Relevés Mâcon 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,6 0,7 2,5 5,2 8,9 12,3 12,4 13,9 11,1 7,5 2,9 0,1 6,6
    Température moyenne (°C) 2,1 4 6,8 10 13,9 17,5 20,1 19,4 16,4 11,7 6 2,7 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 4,9 7,3 11,1 14,8 18,9 22,8 25,7 24,9 21,7 15,9 9,1 5,3 15,2
    Précipitations (mm) 66,3 60,9 58,7 69,4 85,9 74,7 58,1 77,1 75,7 71,7 72,7 70,4 841,4
    Source : Infoclimat : Mâcon (1961-1990)[6]

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Cheilly-lès-Maranges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,2 %), terres arables (20,7 %), prairies (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), zones urbanisées (5 %), forêts (3,8 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    L'origine du nom de Cheilly est dérivée de la forme gauloise du « sol pierreux », kal-jo, qui a donné en français caillou, mais aussi la chaille. Cette racine chaille apparait par ailleurs dans les noms de Chailly-sur-Armançon en Côte-d'Or ou Chailley dans l'Yonne, ainsi que dans les nombreux dérivés du type Chaillou ou Chailleuse fréquents en Bourgogne occidentale[14]. De ce fait, les différentes dénominations de Cheilly ont été par le passé Chesly, Chailly, Chailley , cheeillyo, Chaeilleyo, chaaliaco, Chaulleio, Chaaillei, chailleum en latin, conservant avec d'autres villages la forme écrite ou sonore « y », « ey », « é », témoin d'un passé celtique et gallo-romain où la villa rustica a donné naissance à un bourg ou un hameau.

    Le , le conseil municipal de Dezize, commune des Maranges, demande à changer son nom en Dezize-lès-Maranges, au motif d'éviter la confusion avec Decize situé dans la Nièvre[15]. Le changement de nom d'une commune est du ressort du Conseil d'État sur proposition du ministre de l'Intérieur, sur la base d'un dossier constitué de la demande du conseil municipal, de l'avis du sous-préfet, de l'avis du conseil général, et enfin du rapport détaillé du préfet[16]. L'administration a donc demandé l'avis du conseil municipal de Cheilly.
    Le conseil municipal de Cheilly, par délibération du , émit un avis défavorable au motif que la plus grande partie des Maranges est située sur la commune de Cheilly[15]. Par lettre du , le sous-préfet d'Autun a alors demandé au conseil municipal de Cheilly de bien vouloir reconsidérer sa décision.
    Finalement, dans sa séance du , le conseil municipal de Cheilly donna un avis favorable à la condition expresse que Cheilly prenne également le nom de Cheilly-lès-Maranges[15]. Ainsi l'autorisation fut donnée le , pour les communes de Cheilly et Dezize, avec avis favorable du Conseil d'État, par le président de la République Émile Loubet.
    Quelques semaines plus tard, le conseil municipal de Sampigny, commune située aussi dans les Maranges, fit sa demande le et a été autorisé, par décret du à prendre le nom de Sampigny-lès-Maranges[15].

    Histoire

    Préhistoire et antiquité

    L'occupation de la région proche est très ancienne et date au moins de la période néolithique. À deux kilomètres, sur le plateau de Chassey-le-Camp, on retrouve des traces d'installations sédentaires de paysans venus du Midi de la France. La production culturelle de cette population a donné son nom à une culture du néolithique moyen, le chasséen.

    Moyen Âge et Renaissance

    En 954, l'existence de Cheilly est avérée par un acte de Lothaire, avant-dernier roi carolingien, qui exempte d'impôt un dénommé Willenco (Guilain) et ses fils Widoni (Guy) et Norduino (Nordin) sur des biens dans le hameau de « Cheilly sur la Dheune[17] ».

    En 1253, Gautier, sire de Chaulleio, chevalier, tient en fief du duc Hugues IV de Bourgogne ce qu'il a aux villes de Cheilly et de Santenay et dépendances, tant en forteresses qu'en justice[15].

    En 1291, Pernel de Montenteaume, damoiseau, fils de Pierre de Montenteaume, chevalier, tient en fief du duc Robert II de Bourgogne, la maison forte de Marceium (Mercey), paroisse de Cheilly[15].

    En 1300, Robert Fusot, baron de Chaudenay, fait une fondation en faveur de l'église de Chagny, mais meurt dans l'année. Il laisse tous ses biens à son beau-frère Jean Pitois, seigneur de Monthelie, Couchet, Chaudenay, Chassagne, Cheilly et Cromey. La maison forte de Cheilly lui appartient. Il s'en dessaisit en faveur de Guillaume de Sampigny qui devient ainsi seigneur de Cheilly[15].

    En 1366, Guillaume de Sampigny, écuyer, tient du duc Philippe II le Hardi ce qu'il a à Santenay, ainsi que la moitié de la muraille de la maison forte avec ses dépendances et droits de justice, l'autre moitié de la muraille et dépendances de la Motte de Cheilly est tenue en fief par Marguerite de Navilly, dame de Tailly, à cause de son douaire et au nom de ses enfants, Robert et Jehan de Bichey[15].

    De même, Étienne dit Ruffin, damoiseau, tient du duc sa maison fortifiée située à Marceyo (Mercey), paroisse de Cheilly.

    En 1372, Guillaume de Sampigny vend terre et droits à la grand-mère de Nicolas Rolin qui ultérieurement en héritera. Après lui les terres et droits de Cheilly et autres lieux, vont se transmettre aux descendants par les femmes. Seront successivement seigneurs des lieux, les familles d'Épinac, de Pernes, Touloujon, et enfin Choiseul[15].

    Le , un accord est passé entre les héritiers de Nicolas Rolin pour sa succession, et Guillaume Rolin, sire de Beauchamp, reçoit ainsi les maisons et seigneuries de Cheilly[15].

    Période moderne

    Sous l'Ancien Régime, Cheilly faisait partie du bailliage de Beaune, de l'archiprêtré de Couches et du diocèse d'Autun.

    Le , la commune fit partie du canton de Dezize, sous le nom de Cheilly Mussey et le Moulin. Elle fut rattachée au canton de Couches le 17 frimaire an X ()[15].

    Période contemporaine

    S'il y avait autrefois une activité économique diversifiée notamment composée d'une bonnèterie et d'une usine à plâtre, mais aussi de plusieurs bouchers, de boulangers, de charbonniers, de charrons, d'épiciers, d'un perruquier, de sabotiers, de tailleurs de vêtements et de fabricants de tissus, ainsi que de maçons, charpentiers, menuisiers, scierie, tonnellerie, ferronnerie et nombre de cafés, la ville ne comptait plus à la fin du XXe siècle qu'une unique boucherie-charcuterie, un boulanger, et une épicerie.

    Cheilly comptait aussi quelques fermes qui ont toutes disparu désormais.

    Création de l'AOC Maranges en 1989[18].

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er de gueules à la clé d'or, au 2e d'or à la grappe de raisin de gueules tigée et feuillé de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Listes des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2008 Jean-Pierre Longeras   Instituteur à la retraite
    mars 2008 en cours Marc Labulle   formateur à la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Canton et intercommunalité

    La commune fait partie du Grand Chalon.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2018, la commune comptait 557 habitants[Note 2], en augmentation de 4,31 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    654747666851915896870871898
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    917990980948912964937879876
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    897858770682604576543513464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    433417385367394439484491497
    2013 2018 - - - - - - -
    534557-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune possède une école maternelle et une école primaire. Le collège se trouve à Chagny.

    Santé

    Médecin, infirmière et pharmacie les plus proches se trouvent à Santenay (21). L'hôpital se trouve à Chalon-sur-Saône.

    Sports

    Le rugby à XV par l'intermédiaire du club de rugby de la commune qui évolue en promotion d'honneur du championnat de Bourgogne et le tennis peuvent être pratiqués dans la commune. Le village possède un terrain de rugby et des courts de tennis.

    Cultes

    Catholique à l'église du village.

    Vie associative

    Il y a 14 associations dans le village : Blaise et Compagnie, Association pour l'histoire de Cheilly, Bibliothèque, La joyeuse pétanque, OCCM Rugby, Club de l'amitié Cheilly/Santenay, Société de secours mutuel Saint-Vincent, Société de secours mutuel Saint-Louis, Société de chasse, Comité des fêtes, Tennis Club et Vieilles soupapes des Maranges.

    Économie

    Il y a dans cette commune : un bureau de Poste, un café, une boucherie et quelques gîtes. Le village possède quelques artisans : une entreprise de géothémie-aérothermie-clim, un jardinier-paysagiste et un plombier. La principale activité dans cette commune est représentée par la viticulture, avec la présence d'une dizaine de viticulteurs :

    Domaine France DessaugeDomaine Christian Roy
    Domaine Philippe RoyDomaine Sandrine Beauvais
    Domaine Berger-Rive Gérard & FilsDomaine Jean-François Bouthenet
    Domaine Marc BouthenetDomaine Pierre Bresson
    Domaine Château de MerceyDomaine Chevrot et Fils

    Vignoble

    Ce village fait partie de l'appellation Maranges créée le , comprenant en tout 162 hectares dont 83 en appellation premier cru[23] et exploité presque exclusivement en vin rouge (cépage pinot noir).

    La production viticole sur 122 ha dont 42 ha classés en premier cru comprend aussi les AOC bourgogne hautes côtes de beaune, bourgogne aligoté, et crémant de bourgogne.

    Bien que l’aire de production soit située dans le département de Saône-et-Loire, Cheilly-lès-Maranges fait partie intégrante de la Côte de Beaune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Civils
    • la maison forte de Mercey ;
    • la Forteresse de Cheilly, propriété au XVe siècle du chancelier de Bourgogne Nicolas Rolin (qui en hérita par sa grand-mère), avant qu'elle ne passe, successivement, aux familles d'Épinac, de Pernes, de Toulongeon et, finalement, de Choiseul[24] ;
    • le lavoir de la fontaine Saint-Pierre (1880), inscrit à l'inventaire général des Monuments historiques le  ;
    • le lavoir de Saint-Pierre (1891), inscrit à l'inventaire général des Monuments historiques le  ;
    • la salle de fêtes.
    Religieux

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas Rolin, chancelier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne (XVe siècle).
    • Guillaume Rollin, sire de Beauchamp, descendant de Nicolas Rolin (XVe siècle).
    • Marius Roux (1883-1972), enseignant qui s'installa à Cheilly et y fut peintre amateur (il y exécuta quantité de dessins au pastel entre 1960 et 1970)[25].
    • Jeanne-Marie Reuillon (1898-1992) qui, après des études de lettres en Sorbonne et un séjour aux États-Unis, devint journaliste et écrivain sous le pseudonyme de Marie-Jeanne Viel ou de Jean Viel, spécialiste de littérature américaine et d'histoire politique française[26].
    • Paul Pauliat (1922-2008), né dans la commune, professeur agrégé de russe au Lycée Voltaire (Paris).

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Le Figaro et La Revue du Vin de France : Les vins de France et du monde (20 volumes), no 11 (Côtes de Beaune), 96 pages, Édité par La société du Figaro, Paris 2008, (ISBN 978-2-8105-0054-3)
    • Histoire de Cheilly et Mercey, Édité par l'Association pour l'Histoire de Cheilly, mars 2002.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
    2. habitants.fr
    3. Site du BIVB : Maranges
    4. André Dominé : Le vin, « La Bourgogne », p. 181.
    5. Archives climatologiques mensuelles - Dijon (????-1990)
    6. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1961-1990)
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Gérard Taverdet, Noms de lieux de Bourgogne, Editions Bonneton, Paris, 1994 ( (ISBN 2862531634)).
    15. Page sur l'histoire de Cheilly-lès-Maranges (Association pour l'histoire de Cheilly)
    16. Circulaire ministérielle du no 469, pour l'application de la loi municipale du .
    17. M.G. Delannoy, « Saint Loup de la Salle Histoire d'un village bourguignon », dans Trois Rivières, no 54, 2000, Groupe d'études historiques de Verdun-sur-le-Doubs.
    18. Passion vin : Page sur les Maranges
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Le Figaro et La revue du vin de france (2008) : Vins de France et du monde (Bourgogne : Côte de Beaune), page sur L'appellation, p.  18
    24. « Cheilly-les-Maranges », article d'Alain Dessertenne paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 151 de septembre 2007 (pages 6 à 9).
    25. Source : Promenade à Cheilly, sur les pas de Marius Roux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 192 (décembre 2017), pp. 20-21.
    26. Parmi beaucoup d'articles et de chapitres d'ouvrages historiques, citons Jean Viel,Paul Reynaud (Librairie Plon, 1940), Marie-Jeanne Viel, Histoire d'une reine: Queen Mary (Amiot-Dumont. 1953),Colette au temps des Claudine (Publications essentielles, 1985)
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