Decize

Decize est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle est labellisée Cité de Caractère de Bourgogne Franche-Comté depuis 2019.

Decize

Le pont de la Vieille Loire et la ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Nevers
Intercommunalité Communauté de communes Sud Nivernais
(siège)
Maire
Mandat
Justine Guyot
2020-2026
Code postal 58300
Code commune 58095
Démographie
Gentilé Decizois
Population
municipale
5 267 hab. (2018 )
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 49′ 43″ nord, 3° 27′ 41″ est
Altitude Min. 183 m
Max. 243 m
Superficie 48,22 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Decize
(ville-centre)
Aire d'attraction Decize
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Decize
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Decize
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Decize
Géolocalisation sur la carte : France
Decize
Géolocalisation sur la carte : France
Decize
Liens
Site web ville-decize.fr

    Géographie

    Localisation

    Située à 198 m d’altitude, Decize est un chef-lieu de canton.

    Site touristique fluvial à la jonction du canal du Nivernais et du canal latéral à la Loire, Decize se situe dans le Sud-Nivernais, aux portes du Morvan. Elle se trouve à une trentaine de kilomètres de Nevers et de Moulins et à 260 km de Paris.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    (liste non exhaustive)

    • Crécy-les-Forges -
    • Chalon
    • Le village de Brain
    • Saint Maurice

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    Géologie et relief

    La ville repose sur le bassin houiller de Decize-La Machine.

    Hydrographie

    La commune est au confluent de l'Aron et de la Loire. La Loire, venant de Lamenay-sur-Loire, reçoit sur sa rive droite le bras mort de la Vieille Loire, puis la rivière Aron. Depuis l'Aron, le canal du Nivernais joint le bassin de la Loire à celui de l'Yonne. Sur la rive gauche de la Loire, le canal latéral à la Loire joint Digoin et Briare. Au port de la jonction, ce canal communique avec la Loire.

    Climat

    Relevé météorologique de Decize de 1948 à 1999
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,5 −0,2 1,6 4 7,7 10,8 12,7 12,4 9,8 6,5 2,4 0,3 5,6
    Température maximale moyenne (°C) 5,9 8,1 12 15,4 19,7 23 26 25,5 21,9 16,4 10 6,5 15,9
    Précipitations (mm) 66,8 60,2 55,1 60 84 68,2 50,8 66,5 75,8 71,4 73,1 76,8 808,7
    Nombre de jours avec précipitations 14,8 13,5 12,8 12,5 14,4 11,6 9,9 10,7 11,5 12,6 14,3 15,4 154

    Urbanisme

    Typologie

    Decize est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Decize, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 7 279 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Decize, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,7 %), terres arables (14,9 %), forêts (14,4 %), zones urbanisées (6,1 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Placé au carrefour de voies fluviales et terrestres, le site de Decize a favorisé l'implantation humaine[réf. souhaitée]. Les premières traces d'activité remontent au Néolithique, comme en témoignent les silex retrouvés.

    Époque celtique

    À l’époque celtique, Decize est un oppidum des Éduens, connu sous le nom de Decetia. La première mention de Decetia nous est donnée par Jules César, dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules.

    Selon ses commentaires (Livre VII, chapitre XXXIII), César y aurait réuni le sénat de la cité pour résoudre le conflit opposant Convictolitavis et Cotos, deux chefs éduens, pour la magistrature suprême (vergobret). César choisit Convictovitalis comme magistrat suprême des Éduens, pensant ainsi en faire des alliés.

    La ville est une des stations de la table de Peutinger[11].

    Moyen Âge

    Le Moyen Âge est l'époque qui nous a laissé le plus de traces de Decize. Installé au départ sur une île de la Loire, le bourg s'est rapidement étendu de part et d'autre du fleuve.

    On raconte qu'au milieu du VIe siècle le corps de l'évêque Aregius, mort à Nevers, fut placé dans une barque qui, sans aucune aide, aurait remonté la Loire jusqu’à Decize, où il fut enterré[12]. Sous le nom de Saint-Aré, il devint donc le protecteur de la ville et le saint patron de la paroisse.

    Les comtes de Nevers y font établir un château, aujourd'hui en ruines, et des murs d'enceinte dont témoigne encore la porte du Marquis d'Ancre.

    Au XIe siècle, des bénédictins se sont installés dans la ville et y ont fondé le prieuré Saint-Pierre, qui passera plus tard (au XVIe siècle) aux mains des religieux Minimes, qui reconstruisirent une partie des bâtiments du couvent et de l'église.

    Temps modernes

    De 1691 à 1694, Marcelline Pauper (1666-1708) va fonder dans la ville une succursale des Sœurs de la Charité de Nevers pour soulager la misère du peuple. Au XVIIIe siècle, la ville subit de nombreuses transformations. Guillaume Godard, 1er maire de Decize de 1772 à 1779 et conseiller du roi à la connétablie de France, organise la construction du pont sur la Vieille Loire et pose la première pierre en 1775 (le pont fut achevé en 1783). Lors d'une famine, et pour donner du travail aux indigents, il fait construire la promenade des Halles en y faisant planter des platanes dont certains existent encore aujourd'hui. La promenade fut inscrite en 1932 au titre des sites naturels classés[réf. nécessaire].

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté provisoirement les noms de Decize-le-Rocher et de Rocher-la-Montagne[13].

    Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

    Entre 1790 et 1794, les communes voisines de Brain, Saint-Maurice-les-Decize et Saint-Prive-les-Decize sont rattachées à Decize[13].

    XXe siècle

    La Résistance a fait exploser le pont dans la nuit du 9 au .

    En 1946, l'Atelier technique aéronautique de Rickenbach de la SNECMA est transfèré à Decize. Il s'agit d'ingénieurs allemands (et leurs familles) travaillant sur la conception des moteurs à réaction sous la direction d'Hermann Östrich. A partir de 1947, ils sont progressivement installés sur le site de Villaroche en Seine-et-Marne.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Maire: Justine Guyot (2020-2026)

    Liste des maires

    La mairie.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

    En 2018, la commune comptait 5 267 habitants[Note 4], en diminution de 7,42 % par rapport à 2013 (Nièvre : −4,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3092 7292 5032 4533 0683 1953 3553 4793 994
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 0694 3624 5944 5384 5114 9275 1014 9775 134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 9905 0804 8164 4494 3844 3084 1344 7655 039
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    6 5947 1757 5287 4376 8766 4565 9755 9035 831
    2013 2018 - - - - - - -
    5 6895 267-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17]. |recens-prem=2008 |nombr.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les grandes cheminées (UCD).
    • Anvis (industrie du caoutchouc).
    • Anciennes Houillères de Decize (fermées en 1974).
    • Usine Céramique de Decize (UCD) créée par Joseph Boigues.

    Culture locale et patrimoine

    Civils

    • Ville fleurie : deux fleurs.
    • Château de Decize : ruines du château des comtes puis ducs de Nevers
    • Remparts
    • Promenade des Halles
    • Porte du Marquis d’Ancre
      La porte du Marquis d'Ancre est la dernière porte à pont-levis de l’enceinte fortifiée de la ville. Elle fut construite par Pierre de Courtenay, comte de Nevers, en 1194 puis remaniée en 1468. Elle faisait partie de la troisième enceinte et des tours de défense située aux extrémités du pont sur la Loire. Il s'agissait d'une des portes d'entrée de Decize.
    • Échauguette.
    • Tour de l' Horloge
    • La source de Saint-Aré, exploitée par la Société des eaux minérales de Decize (qui entreprit en 1913 des travaux avec l'Académie de médecine, laquelle autorisa l'exploitation le ) et dont l'embouteillage cessa en 1971[18].

    Religieux

    Selon la légende, le corps de saint Aré aurait été déposé au VIe siècle dans un oratoire au bord du fleuve. L'église aurait ensuite été érigée à cet endroit. L'église paroissiale dotée d'une crypte a été érigée par la suite sur celui-ci.
    Saint Aré était évêque de Nevers au VIe siècle, on sait qu'il participa aux conciles d'Orléans (549) et de Paris (552). À sa mort son corps fut déposé selon ses souhaits dans une barque sur Loire. La barque aurait miraculeusement remonté le courant au lieu de le descendre et se serait arrêtée à Decize, où l'évêque devenu saint fut inhumé.
    On dit que dès sa mort, de nombreux pèlerins seraient venus à Decize sur son tombeau. Le culte de saint Aré perdura jusqu'au XVe siècle. Après la révolution, ses reliques furent éparpillées, puis en partie restituées en 1875, date à laquelle elles furent placées dans une nouvelle châsse.
    Au XIXe siècle, les mariniers lui firent édifier une chapelle au bord de la Loire. Les parties les plus anciennes de l'église, la crypte et le chœur, sont datées en partie du VIIe siècle mais la majeure partie de l'église date du XIIe siècle. Bénitier en bronze du XVe siècle. Des modifications ont été apportées aux XVIe s. (portail) et XIXe s. (nef). La seule partie romane encore visible est le chœur.
    L'église est classée monument historique depuis 1875. Ouverte tous les jours[19].

    • Ancien couvent des Minimes

    Le couvent des Minimes est un ancien prieuré bénédictin datant du XIe siècle : le prieuré Saint-Pierre de Decize. Le comte Landry de Nevers (†1028) donne le prieuré Saint-Pierre à l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre[20] (le prieuré existe donc déjà avant 1028). Le prieuré s'associe en 1250 avec l'abbaye de Saint-Martin d'Autun[21] dont en l'abbé Guillaume de Fontangy fait 1295 réparer à ses frais le prieuré, qui appartient à son couvent, moyennant certaines cessions[22]. La construction du couvent commence dans la seconde moitié du XIe siècle et se poursuit au XIIe siècle. Des bâtiments d'origine, il nous reste le plan, les soubassements et une partie du chœur roman de l'église conventuelle.
    En 1559, un incendie ravagea la ville, l'église et le couvent des Minimes ne furent pas épargnés. Mais il semble qu'à cette époque le couvent était abandonné.
    Il fut racheté en 1621 par les Minimes, qui reconstruisirent la nef de l’église, écroulée, et les bâtiments du couvent en 1629.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    « D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bordure componée d'argent et de gueules. »

    Decize a obtenu un blason en 1383. Il lui a été donné par le Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, et son épouse Marguerite de Flandres.[réf. nécessaire]

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Decize », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Decize », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Pierre Nouvel, « Les voies romaines en Bourgogne antique : le cas de la voie dite de l’Océan attribuée à Agrippa », dans Actes du 20e colloque de l’Association Bourguignonne des Sociétés Savantes, Saulieu, 16-17 octobre 2010, (lire en ligne), p. 8.
    12. Jean-Louis Beaucarnot, Bourgogne, Paris, Hachette, coll. « GUIDES BLEUS », , 439 p..
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Decize », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. Michel Pauty, Du 19e siècle à aujourd'hui, les destins contrastés de nos stations thermales, revue « Pays de Bourgogne » n° 232, avril 2012, pp. 21-31.
    19. Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme & Loisirs
    20. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 2, Auxerre, Perriquet, , 923 p. (lire en ligne), p. 57.
    21. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte N° LX.
    22. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte N°LII.
    23. « Cote L0578009 », base Léonore, ministère français de la Culture.
    24. « Bienheureux Martyrs de 1792 », sur www.martyrsde1792.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Louis Mathieu Poussereau, Histoire de Decize et ses environs, édition originale, 1891, Issoudun, Eug. Motte, in-8° de 114.p.

    Liens externes

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