Cellefrouin

Cellefrouin est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Cellefrouin

L'église abbatiale de Cellefrouin.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Marie-Annick Perche
2020-2026
Code postal 16260
Code commune 16068
Démographie
Gentilé Cellefrouinais
Population
municipale
568 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 28″ nord, 0° 23′ 29″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 189 m
Superficie 40,09 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Cellefrouin
Géolocalisation sur la carte : Charente
Cellefrouin
Géolocalisation sur la carte : France
Cellefrouin
Géolocalisation sur la carte : France
Cellefrouin

    Ses habitants sont les Cellefrouinais et les Cellefrouinaises.

    Géographie

    Localisation et accès

    Cellefrouin est une commune du Nord-Est de la Charente située km à l'ouest de Saint-Claud et 33 km d'Angoulême. Elle est la plus étendue du canton de Mansle.

    Le bourg de Cellefrouin est à 10 km de Chasseneuil-sur-Bonnieure, 11 km de Champagne-Mouton, 17 km de Mansle et 21 km de Ruffec[1].

    La commune est traversée d'est en ouest par la D 739 de Fontafie en direction de Rochefort entre Saint-Claud et Mansle qui traverse le bourg. Un réseau de routes départementales secondaires et de routes communales relient la commune aux communes voisines ; la D 36, la D 62, la D 91 se croisent près du bourg. La D 175 passe au sud-est à Chavagnac[2].

    La gare la plus proche est celle de Chasseneuil, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    Plus de cinquante hameaux sont disséminés sur toute l'étendue de la commune.

    Le hameau le plus important de la commune est Chavagnac, situé dans le sud-est, sur la route de Chasseneuil. Parmi les autres hameaux : le Temple, dans le nord-est de la commune ; les Pradelières, près de la route de Mansle ; Lascoux, sur la route de Saint-Claud ; le Madinteau et les Forges, dans le nord-ouest ; le Lac et Fonfaix, dans l'est ; Goutibert, sur la route de Beaulieu ; Chez Cherves ; les Ages ; le Maschinet, près du Son ; la Merlière ; Puychétif ; l'Homme de l'Épine, dans le nord, etc.[2].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol est calcaire et date du Jurassique moyen (Bajocien, Bathonien et Callovien à l'ouest). Les plateaux, sur une grande partie centrale de la commune, sont recouverts d'altérite et d'argile à silex, dépôts du tertiaire[3],[4],[5].

    Le Son parcourt toute la commune de l'est à l'ouest, dans une belle vallée, et la partage en deux parties à peu près équivalentes. La vallée est dominée de chaque côté par des plateaux élevés. Le point culminant de la commune est à une altitude de 189 m, situé au sud de la commune dans le Bois de Bel-Air. Le point le plus bas est à 81 m, situé sur le Son à la limite ouest. Le bourg est à 96 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    Le Son à Cellefrouin.

    Le Son parcourt toute la commune de l'est à l'ouest.

    Le ruisseau des Bourgons, affluent du Son-Sonnette coulant vers l'ouest, prend sa source dans la commune au sud du bourg dans le bois de Bel-Air.

    La Sonnette, deuxième affluent du Son-Sonnette, passe en limite nord-ouest de la commune[2].

    Le bourg comporte deux belles fontaines.

    Végétation

    Les bois couvrent plus du quart de la superficie totale et s'étendent principalement dans le sud, pour former le bois de Bel-Air.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Cellefrouin est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,7 %), forêts (34,4 %), prairies (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones urbanisées (0,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Cellam Fruinensem en 1025-1028[12], Cellae Fruini en 1110[13], Cella Froyni en 1197[14], Cella Froino en 1032[15].

    L'abbaye fut fondée vers 1025 par l'évêque de Périgueux avec l'aide de plusieurs habitants, dont un nommé Frouin, sans doute un seigneur local, qui donna son nom au monastère (cella)[16],[12]. L'abbé Rousselot émet l'hypothèse que le village existait peut-être avant le XIe siècle, sous le nom de Celle[17]. Au début du XXe siècle, on l’appelait encore dans la région de ce seul nom[18].

    Limite dialectale

    Linguistiquement, la commune est située dans le dialecte marchois qui est considéré comme une langue d'oc, et marque la limite avec la langue d'oïl (à l'ouest)[19],[20]. Son nom est Cela Froïn en occitan[21].

    Histoire

    L'ancienne voie romaine d'Angoulême à Argenton traversait la commune du sud-ouest au nord-est, et des traces en ont été retrouvées au pont du Grand Peyrat sur un ruisseau, en limite avec la commune de La Tâche. La voie traversait le Son près du bourg. Perpendiculairement, au sud de la commune et dans le bois de Bel-Air, passait une autre voie romaine, entre Chassenon et la Terne[22].

    Le bourg de Cellefrouin doit probablement son existence au monastère qui y fut fondé, vers l'an 1025 par Arnauld de Vitabre, évêque de Périgueux.

    Au cours du Moyen Âge, Cellefrouin se trouvait, avec Sainte-Colombe et Le Grand-Madieu, sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[23].

    Une petite commanderie templière, dite du Breuil, avait été implantée près du lieu-dit actuel du Temple, puis a été rattachée au XIVe siècle sous les Hospitaliers à la commanderie de Villegats.

    Cellefrouin était également le siège d'une châtellenie qui, vers la fin du XIIe siècle, appartenait à la puissante maison de La Rochefoucauld. Au XVIe siècle cette châtellenie comprenait les paroisses de Cellefrouin, La Tâche, Beaulieu et Ventouse. À cette époque, Louis Prévost de Sansac acquit les deux tiers de la châtellenie par un échange avec Louis de La Rochefoucauld, seigneur de Montendre. Dès lors, Cellefrouin ne fut plus qu'une dépendance de Sansac[16].

    L'état des paroisses de 1686 nous apprend que madame de Besse, comtesse de Sansac, est dame de cette paroisse de 318 feux où sont produits du grain et des châtaignes et où se pratique l'élevage[24].

    Une ancienne coutume a existé parmi les habitants depuis le Moyen Âge jusqu'à la Révolution. Chaque année, le jour de la Pentecôte, un habitant était élu baron et placé au milieu d'une table au fond de la halle. Il était accusé « d'avoir porté de l'eau dans une plaine à l'aide d'un crible, afin d'y faire noyer les lièvres, et d'avoir fait brûler les poissons dans la rivière. » On le jetait alors dans le Son, et une fois sorti de l'eau, il était dédommagé de trois livres pour sa peine. Il distribuait aussi des bouquets aux spectateurs, qui devaient le rémunérer. Ceux qui refusaient étaient aussi jetés à l'eau. Cette étrange coutume avait été condamnée par plusieurs arrêtés du Parlement, en particulier celui du qui donnait des peines sévères aux contrevenants[16].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2005 André Moreau    
    2005 En cours Jean Damerose SE Retraité directeur commercial
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 568 habitants[Note 2], en augmentation de 0,35 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 6281 8191 9342 0182 0432 0692 1172 0912 008
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    2 0471 8211 7501 8051 7771 7201 6741 6161 586
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5441 5591 1991 1401 1251 098958907840
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    730593580563508500551569568
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Cellefrouin en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,1 
    10,0 
    75 à 89 ans
    14,4 
    22,1 
    60 à 74 ans
    18,8 
    22,1 
    45 à 59 ans
    24,0 
    15,7 
    30 à 44 ans
    17,3 
    13,6 
    15 à 29 ans
    11,8 
    16,4 
    0 à 14 ans
    12,5 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Cellefrouin et Saint-Mary. Cellefrouin accueille l'école primaire, et Saint-Mary l'école élémentaire[31].

    Lieux et monuments

    Église Saint-Nicolas

    Façade de l'église et fontaine.

    L'église paroissiale Saint-Nicolas (également abbatiale Saint-Pierre), avec sa façade, est la plus ancienne de tout l'Angoumois, avec sa voûte du XIe siècle, sa coupole du XVIIe siècle; classée monument historique depuis 1907[32].

    Lanterne des morts

    Lanterne des morts.

    La lanterne des morts de Cellefrouin est une lanterne des morts située dans le cimetière de Cellefrouin, en haut du bourg, et elle représente le monument de ce genre le plus parfait en France.

    Ce petit monument, qui date du XIIe siècle, a environ douze mètres de hauteur. Il se compose d'un faisceau de huit colonnes dont quatre grosses et quatre plus petites. Ces colonnes sont supportées par un piédestal, qui repose sur un soubassement de cinq gradins. Une particularité très rare de l'édifice consiste en ce que les bases des colonnes sont munies de griffes. Les colonnes sont surmontées de huit assises en retrait, couronnées de dents triangulaires. La dernière assise consiste en une boule, qui supportait une croix, aujourd'hui brisée.

    Le cône supérieur est percé de quatre petites fenêtres rectangulaires, destinées à laisser rayonner autour de l'édifice la lumière du fanal. Vers le milieu du cône, on voit une cinquième ouverture, plus petite que les précédentes[16].

    Elle est classée monument historique depuis 1886[33].

    Personnalités liées à la commune

    • Colonel Jean Neuville, combattant guerre de 1914-1918, maire de Cellefroin après sa retraite. Époux de Cynthia Orticoni, infirmière major aux Armées pendant la guerre de 1914-1918, représentante d'une des plus anciennes familles de la noblesse de Corse[34].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 159.
    13. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 94,124
    14. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 24-26
    15. Histoire passion, « Cartulaire de l'abbaye Saint-Pierre de Cellefrouin », 1032-1048 (consulté le )
    16. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 102-103
    17. Pierre Jean Rousselot, Les modifications phonétiques du langage, étudiées dans le patois d'une famille de Cellefrouin (Charente), H. Welter, , 372 p. (lire en ligne), p. 153
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
    20. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    21. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 140
    23. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    24. Histoire passion
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Evolution et structure de la population à Cellefrouin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente
    32. « Église Saint-Nicolas », notice no PA00104267, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Lanterne des morts », notice no PA00104268, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. Jean-Christophe Orticoni, Nouvel Armorial Corse, éditions Jeanne Laffitte, 1992

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Abbé Rousselot, Les modifications phonétiques du langage étudiées dans le patois d’une famille de Cellefrouin, thèse, 1892.

    Liens externes

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