Saint-Mary (Charente)

Saint-Mary est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Mary.

Saint-Mary

Église de Saint-Mary.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Philippe Palard
2020-2026
Code postal 16260
Code commune 16336
Démographie
Gentilé Mariussois
Population
municipale
346 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 01″ nord, 0° 23′ 24″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 183 m
Superficie 21,86 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Mary
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Mary
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mary
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Mary

    Ses habitants sont les Mariussois et les Mariussoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Mary est une commune du nord-est de la Charente située dans la vallée de la Bonnieure, à km à l'ouest de Chasseneuil, dans le canton de Saint-Claud et 27 km au nord-est d'Angoulême.

    Le bourg est aussi à km au sud-ouest de Saint-Claud, 10 km au nord de La Rochefoucauld et 17 km à l'est de Mansle[2].

    La route principale de la commune est la D 27, route de Chasseneuil à Mansle qui longe la rive droite de la Bonnieure et passe à Artenac. Les autres routes perpendiculaires sont la .36 qui passe au village et va aux Pins au sud et à Cellefrouin au nord, et la D 175 qui va de Saint-Claud et Chavagnac au Pont-d'Agris. Ces deux routes traversent le Bois de Bel-Air. Il y a aussi la D 91 et la D 187 qui passent à Artenac.

    Une grande partie nord-est de la commune est occupée par le Bois de Bel-Air, forêt à cheval sur trois communes[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Saint-Mary est situé à l'est de la commune, et le village d'Artenac, légèrement plus important en taille, est situé à l'ouest[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Mary
    Valence La Tâche Cellefrouin
    Val-de-Bonnieure Chasseneuil
    Les Pins

    Géologie et relief

    Le terrain est calcaire jurassique (Callovien, et Oxfordien à l'ouest), dont on peut voir une belle coupe à la falaise d'Artenac bordant la Bonnieure. Mais il est recouvert de dépôts tertiaires, altérite et argile à silex, en provenance du Massif central tout proche (10 km à l'est)[4],[5],[6],[7].

    Le Bois de Bel-Air occupe ce terrain et le point culminant de la commune (183 m) se trouve au milieu de la forêt au nord, en limite avec les communes de La Tâche et Cellefrouin, aux Logis de Bel-Air (ancienne éolienne qui est un point géodésique). Le point le plus bas est à 75 m, situé sur la Bonnieure sur la limite ouest de la commune (chez Tabard). Le bourg s'étage entre 100 m et 120 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune de Saint-Mary est située sur la rive droite de la Bonnieure qui passe au sud.

    Le bourg est situé dans un profond vallon que parcourt le ruisseau de Marillac, affluent de la Bonnieure, et qui sépare en amont le Bois de Bel-Air de la Forêt de Chasseneuil.

    La nature karstique du terrain fait qu'il n'y a pas d'autre ruisseau sur la commune[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Mary est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,9 %), terres arables (28,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), prairies (9,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attesté par la forme ancienne Sanctus Marius en 1376[14].

    Selon certains, Marius était un abbé du VIe siècle, du monastère de Beuvoux (Bobacum), dans le diocèse de Sisteron, mort vers 555[15],[16].

    Selon d'autres, Marius était un ermite du IIIe siècle que la tradition donne pour le premier évangélisateur ou "apôtre" de la Haute Auvergne, avec son compagnon Mamet[17].

    Les seules autres communes en France dont le nom dérive de Marius sont Saint-Mary-le-Plain (Cantal) et Saint-May (Drôme)[15].

    Limite dialectale

    La commune est comprise dans le domaine de la langue d'oc, aux confins des dialectes limousin et marchois, proche aussi du domaine du poitevin, langue d'oïl, plus à l'ouest. Le Bois de Bel-Air joue en effet un rôle de frontière naturelle entre le Limousin (à l'est) et le Marchois (à l'ouest)[18],[19].

    Elle se nomme Sent Marí en occitan[20].

    Histoire

    Préhistoire

    Grotte et falaise d'Artenac.

    Saint-Mary est occupé par l'homme depuis la nuit des temps. La commune abrite en effet un site, la grotte d'Artenac, qui garde des traces d'occupation humaine vieilles de plus de 350 000 ans (deux fragments de crânes d'époque néandertalienne), les plus anciennes de toute la région du Centre-Ouest. Qui plus est, Artenac contient des vestiges du Néolithique final (vers 3000/2500 av. J.-C.) d'un tel intérêt que le site a donné son nom à la « Culture d'Artenac ».

    Époque gallo-romaine

    La commune est bordée à l'ouest et au nord par deux voies romaines. À l'ouest l'ancienne voie Angoulême-Bourges par Confolens et Argenton passait par chez Tabard et la Tâche. Au nord, l'ancienne voie de Chassenon à la Terne par Chasseneuil passait dans le Bois de Bel-Air à la limite de canton[21],[22],[23].

    La paroisse elle-même se constitua à une époque inconnue. Une installation humaine liée à un défrichement du Xe ou XIe siècle est possible mais l'aspect de la petite agglomération dominée par le château fait aussi penser à un bourg castral[réf. nécessaire].

    Moyen Âge

    La paroisse de Saint-Mary avait une certaine importance au Moyen Âge, ne serait-ce que par la position stratégique de son château (cité comme forteresse – fortalicium – en 1274 mais probablement plus ancien) qui surveille et défend la voie de passage par la vallée de la Bonnieure. On trouvait sur son territoire, outre l'église paroissiale aujourd'hui disparue, un prieuré qui dépendait de l'abbaye de Nanteuil (devenu église paroissiale après les guerres de religion), au moins cinq moulins, une léproserie, etc. La paroisse avait sa foire, mentionnée en 1322.

    Artenac serait une localité ancienne, autant que Civrac devenue Saint-Claud[22]. Il s'y tenait des foires importantes, aujourd'hui disparues[24].

    Citée au XVe siècle comme une châtellenie, Saint-Mary en avait toutes les caractéristiques dès le XIIIe siècle, formant une terre féodale cohérente dont le seigneur avait tous droits de haute, moyenne et basse justice, « honneurs », droit d'octroi, ban et corvées, dîmes inféodées, etc. La seigneurie avait ses officiers de justice, nommés par le seigneur (juge sénéchal, procureur, greffier, sergents), son notaire, un garde du scel (pour sceller les contrats), ainsi que sa mesure particulière, la « mesure de Saint Mary », qui avait cours également à Montembœuf. La cour de justice de Saint-Mary est citée vers 1325[25]. Plusieurs fiefs nobles existaient dans la paroisse, tenus par autant de vassaux du seigneur : Artenac, la Maison Noble, la Soudière, Montebride, la Faucherie, etc.[26].

    Au Moyen Âge, évidemment, la population est essentiellement rurale. Quelques documents anciens (fin XIIIe siècle) mentionnent des noms de tenanciers, dont certains sont dits « levants et couchants », c'est-à-dire de condition serve, et un « terrier » établi en 1538-1539 donne le nom des « manans et habitans de la terre, chastellanye et juridiction de Sainct Masry » qui doivent des cens, rentes et corvées au seigneur[27]. Au XVIIIe siècle, Saint-Mary comptait 203 feux, soit un peu plus de 1000 habitants.

    Sur le plan féodal, la seigneurie de Saint-Mary relevait à hommage lige de l'évêque d'Angoulême, à l'exception du château qui mouvait du « fief vicomtal », lequel était jusqu'en 1308 la propriété du comte d'Angoulême.

    Les premiers seigneurs connus de Saint-Mary sont les Regnauld, famille très ancienne de l'Angoumois, citée en 1034 et remontant sa filiation prouvée à Arnaud Regnauld, chevalier, qui passa un acte comme seigneur de Saint-Mary en 1186[28]. Il avait épousé vers 1175 une fille de Guillaume de Chabanais. Après quelques générations, Saint-Mary passa dans la famille cousine des Chabanais (vers 1265), puis successivement chez les Sallebrache (ou Célebrache), les Frondebœuf, les Barbezières et les Curzay.

    Le premier Curzay seigneur de Saint-Mary est Jean de Curzay qui avait épousé en 1491 Isabeau de Frondebœuf, principale héritière de la seigneurie, mais les familles citées plus haut restèrent par héritage possessionnées dans la paroisse, aussi Saint-Mary devint une co-seigneurie, dont les Curzay étaient cependant les seigneurs châtelains (ils tiennent le château et en rendent hommage). Les Regnauld, de leur côté, ont toujours à Saint-Mary des fiefs, des forêts, des moulins, des droits seigneuriaux divers ainsi que leur chapelle funéraire, qui avait été fondée vers 1285 par Pierre Regnauld, chanoine d'Angoulême et archidiacre de Saintonge. Témoins de leurs possessions du XIIe siècle, ces biens furent encore accrus par une alliance avec les Frondeboeuf dans les années 1450. De fait, les Regnauld s'intitulent parfois « seigneurs de Saint-Mary », nonobstant l'existence des Curzay avec lesquels leurs relations ne furent pas toujours sans difficultés.

    En fait, le mariage vers 1350 de Jean I Regnauld avec Marguerite de Confolens avait doté la famille de la seigneurie de l'Age-Bertrand (Chirac, Charente) qui était devenue son principal établissement. C'est de leur château de l'Age que les Regnauld gèrent désormais les intérêts qu'ils ont gardés à Saint-Mary, où ils ont une recette seigneuriale particulière confiée à un prévôt.

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1680[24].

    Après la Révolution

    Les Curzay resteront seigneurs en titre de Saint-Mary jusqu'au XVIIIe siècle, époque où la seigneurie passa par mariage dans la maison de Rocquart. Enfin, par acte du 12 juillet 1763 (passé devant Rioux, notaire), François Regnauld, marquis de la Soudière, descendant des premiers seigneurs de Saint-Mary, et déjà co-seigneur du lieu, acheta à François Saulnier de Pierre-Levée et à sa femme Anne de Rocquart (le fief venait d'elle) « la terre et seigneurie de Saint Masry... consistant dans la haute justice en toutte la terre dudict Saint-Masry, droit de directeté y joint, chasteau dudict lieu, préclôtures, droit de paisches, cens et rentes, dixme et agrier, moulins baneaux », etc.[29].

    Au mois d'avril 1794, Louis Regnauld, marquis de la Soudière et seigneur de Saint-Mary ayant émigré, sa femme Madeleine-Elisabeth de Maulmont, déclarée suspecte fut arrêtée, conduite à La Rochefoucauld puis transférée à Paris où elle fut condamnée à mort le 4 juillet par Fouquier-Tinville et guillotinée le jour même. Son corps fut jeté dans la fosse commune de Picpus. Pendant ce temps-là, la ci-devant seigneurie de Saint-Mary, divisée en 91 lots, était vendue comme bien national. À la Restauration, le rachat par Gabriel de la Soudière, fils aîné de Louis, du château et de quelques métairies reconstitua une partie du domaine familial. Deux générations plus tard, Louise de la Soudière, petite-fille de Gabriel, épousait en 1885 son cousin germain Fernand, marquis de Saluces, et lui apporta toute la fortune de ses parents. Le château de Saint-Mary fut vendu par leur fils Henry de Saluces en 1935[30].

    Époque moderne

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par un moulin à cylindres[24].

    Administration

    Mairie de Saint-Mary.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 novembre 2007 Annie Suraud    
    16 novembre 2007 En cours Élisabeth Guimard SE - puis PG Conservateur du patrimoine

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2018, la commune comptait 346 habitants[Note 2], en diminution de 3,08 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 0209921 051871848801944920882
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    795810760812763743687710606
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    598618534552513464459466452
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    468371315373365367367362348
    2018 - - - - - - - -
    346--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Mary en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    2,6 
    8,6 
    75 à 89 ans
    10,9 
    16,6 
    60 à 74 ans
    20,8 
    25,7 
    45 à 59 ans
    19,3 
    16,0 
    30 à 44 ans
    19,3 
    18,9 
    15 à 29 ans
    13,0 
    14,3 
    0 à 14 ans
    14,1 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Cellefrouin et Saint-Mary. Cellefrouin accueille l'école primaire, et Saint-Mary l'école élémentaire, située au Perry, comportant une classe. Le secteur du collège est Chasseneuil[37].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église de Saint-Mary.
    • L'église de Saint-Mary est un ancien prieuré qui dépendait de l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil, l'église paroissiale ayant disparu lors des guerres de religion. Cette église est remarquable par la pureté de ses formes romanes archaïques. Des passages sont aménagés entre les transepts et l'abside centrale, ce qui est assez rare dans la région[24].

    Patrimoine civil

    Château de Saint-Mary.
    • L'actuel château de Saint-Mary, situé dans le bourg en face de l'église, a remplacé une forteresse médiévale du XVIe siècle et a été construit en 1751[38]. Sa toiture a été refaite en ardoise au XIXe siècle[39].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Fougerat (1863-1932) : pharmacien, inventeur du sirop Rami, viticulteur et bienfaiteur, officier de la Légion d'honneur, est né à Saint-Mary.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 146
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 616.
    16. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    17. Jean Rieuf, Massiac et son canton, éditions Gerbert (Aurillac), 1971
    18. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
    19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 196
    22. André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 42-43
    23. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 160
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 339
    25. Cartulaire de Saint-Mary, acte 48
    26. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne)
    27. Archives départementales de la Charente, J 512
    28. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, famille Regnauld de La Soudière », (consulté le )
    29. Éric Percy-Marinier, Histoire et généalogie de la maison de Regnauld de la Soudière, P.S.R. Éditions, Loudun, 1995.
    30. Cl. Gigon, Les victimes de la terreur du département de la Charente, Angoulême, 1866.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Evolution et structure de la population à Saint-Mary en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    38. Saint-Mary, site de la Charente limousine
    39. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 116

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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