Saint-Claud

Saint-Claud (Sent Claud en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Claud

La place du Marché, au centre du bourg.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Pascal Dubuisson
2020-2026
Code postal 16450
Code commune 16308
Démographie
Gentilé Saint-Claudais
Population
municipale
1 056 hab. (2018 )
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 46″ nord, 0° 27′ 56″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 222 m
Superficie 26,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Claud
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Claud
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Claud
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Claud

    Ses habitants sont les Saint-Claudais et les Saint-Claudaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Claud est un chef-lieu de canton du nord-est de la Charente situé à km au nord-est de Chasseneuil et 36 km d'Angoulême.

    Le bourg est aussi à km à l'ouest de Roumazières-Loubert, 12 km au sud de Champagne-Mouton, 21 km au sud-ouest de Confolens, 22 km à l'est de Mansle, 25 km au sud-est de Ruffec, 62 km de Limoges[2].

    Saint-Claud est au croisement de deux routes, la D 951, portion de la route Centre-Europe Atlantique qui va de Bordeaux ou La Rochelle, Saintes et Angoulême à Guéret, Montluçon et Mâcon par Chasseneuil et Confolens, et la D 739, au trafic moindre, qui va de Limoges à Rochefort par Fontafie (N 141) et Mansle.

    Du bourg démarre aussi la D 28 qui va vers Champagne-Mouton.

    Des routes départementales de moindre importance sillonnent aussi la commune : D 172, D 174, D 175, D 346, ainsi que de nombreuses routes communales[3].

    De par la population, la commune ne vient qu'au deuxième rang de son canton, après Chasseneuil.

    Hameaux et lieux-dits

    Quelques gros hameaux parsèment la commune : Chalais, Chez Tarlot ou Négret (orthographié aussi Negret), Chez Chadiat, Chez Mancier, le Breuil (au nord-est du bourg), etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune se situe sur les derniers plateaux calcaires du Bassin aquitain en allant vers la Charente limousine.

    Les plateaux datent du Jurassique inférieur et sont recouverts d'altérite et argile rouge à silex, dépôts tertiaires en provenance du Massif central tout proche (à Genouillac), principalement sur la moitié orientale de la commune[4],[5],[6].

    Le terrain karstique a donné naissance à un petit gouffre, situé Chez Tarlot.

    Le relief est un plateau d'altitude moyenne 190 m, avec une vallée assez profonde et aux parois assez marquées qui est celle du Son. Le point le plus bas, en aval près de Chalais, en est de 107 m, et le point le plus élevé, 222 m, à la chapelle de Négret[3].

    Hydrographie

    Le bourg de Saint-Claud surplombe la vallée du Son, qui traverse la commune d'est en ouest. Le Son rejoint la Sonnette pour former le Son-Sonnette qui se jette dans la Charente en amont de Mansle.

    La Sonnette sert de limite septentrionale à la commune[3].

    Climat

    Comme dans une grande partie du département, le climat est océanique aquitain, mais légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

    Végétation

    La commune est assez boisée[réf. nécessaire]. Le reste se partage entre polyculture (céréales) et élevage (ovins, bovins).

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Claud est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (25,9 %), terres arables (24,7 %), forêts (24,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), zones urbanisées (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes latinisées sont Sanctus Clodoardus au XIIIe siècle[13], Sanctus Clodoaldus en 1345[14].

    Saint-Claud s'appelait Civrac ou Sivrac (Severiacum) avant le XIIe siècle[15].

    L'origine du nom de Saint-Claud serait celle d'un ermite, Clodoald, qui a vécu toute sa vie ici et a été enterré à l'église et dont on peut voir encore le tombeau. La légende aurait ensuite fait la confusion avec Clodoald (saint Cloud), fils du roi Clodomir au VIe siècle et petit-fils de Clovis et de Clotilde, qui, alors qu'il fuyait ses oncles, se serait reposé près de la fontaine de Champlâpre[16],[17].

    Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Claud-la-Montagne ou Clos-la-Montagne[18].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois[19]. Elle se nomme Sent Claud en occitan[20].

    Histoire

    Au Moyen Âge, Saint-Claud abritait un prieuré dépendant de l'abbaye de Charroux, dans lequel était vénéré l'ermite Clodoald. Ce dernier a été cité par l'évêque Girard pour régler un différend entre l'abbaye et le prieuré.

    La chapelle prieurale où a vécu cet ermite était située sur la route de Nieuil dans la vallée du Son. Cette chapelle, de reconstruction récente, était dédiée à saint Sulpice avant d'être nommée saint Eutrope, du nom de la fontaine toute proche. Cette chapelle faisait encore jusqu'à récemment l'objet d'un pélerinage paroissial chaque .

    Au cours du Moyen Âge, Saint-Claud se trouvait, avec Le Grand-Madieu et Cellefrouin, sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[21].

    Saint-Claud a été ensuite le siège d'une châtellenie dépendant de la baronnie de La Rochefoucauld[22]. L'ancien château était situé à l'Age.

    Le tombeau de saint Claud, situé dans l'église actuelle, a été brisé lors des guerres de religion. Il est pris dans un massif de maçonnerie appartenant à l'église primitive, compris dans la basilique refaite au XVe siècle par les La Rochefoucauld, dont on peut voir les armes à l'intérieur comme à l'extérieur du bâtiment.

    Au nord de la commune, Négret était une ancienne paroisse, dont l'église, refaite aux XVe et XVIe siècles, remonte au XIe siècle. Des processions du Limousin y avaient lieu chaque année le pour vénérer saint Blaise.

    Le village de Chalais avait aussi un prieuré dépendant de l'abbaye de Charroux; il a été réuni à ceux de Saint-Claud et de Chavagnac (paroisse de Cellefrouin) après les guerres de religion.

    Au tout début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par plusieurs moulins dans la vallée du Son.

    Des foires assez importantes avaient lieu au bourg le 26 de chaque mois.

    Entre 1910 et 1954, la commune était aussi traversée par la voie ferrée de Roumazières à Ruffec et elle y possédait une gare[16].

    Administration

    Rattachements administratifs

    Jusqu'à 2014, Saint-Claud était chef-lieu du canton de Saint-Claud. À la suite de la loi du du redécoupage des cantons français, ce canton a été rattaché au nouveau canton de Charente-Bonnieure lors des élections départementales de 2015.

    Liste des maires

    La mairie, place de la République.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1904 1945 Louis-Jean-Georges Feuillet    
    1953 1981 Roger Rémondet    
    1995 2008 René Potevin UMP  
    2008 2014 Joëlle Chardat SE Cadre des préfectures en retraite
    2014 2019 Joël Baudet SE  
    2019 En cours Pascal Dubuisson SE  

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 1 056 habitants[Note 2], en diminution de 4,78 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 9852 8001 8601 5501 9952 1152 1082 1032 041
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 8811 9381 7701 8221 9151 8721 8051 8061 729
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 7401 6521 4981 5251 4131 3941 2471 1401 093
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    1 0511 0041 1281 1281 0621 0941 0561 0571 056
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Claud en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,7 
    11,5 
    75 à 89 ans
    16,1 
    12,8 
    60 à 74 ans
    14,9 
    25,2 
    45 à 59 ans
    21,6 
    17,6 
    30 à 44 ans
    17,4 
    17,4 
    15 à 29 ans
    14,4 
    15,1 
    0 à 14 ans
    14,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarque

    Saint-Claud absorbe Negret avant 1801[25].

    Économie

    Commerces

    Commerces d'alimentation au bourg.

    Hôtels, restaurants, chambres d'hôtes.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Saint-Claud possède une école élémentaire publique comprenant quatre classes, dont une de maternelle. Le secteur du collège est Chasseneuil[29].

    Sports et activités

    La piscine municipale découverte est ouverte en été les après-midi sauf lundi.

    Le marché est le vendredi matin.

    Le club de football, Sporting Club de Saint-Claud, compte deux équipes seniors évoluant en 4e et 5e division de district.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Le prieuré Saint-Sulpice qui dépendait de l'abbaye Saint-Pierre de Cellefrouin lui a été donné en 1050. Dans la crypte, le sarcophage brisé datant du XIe siècle serait la tombe de Saint-Claud. Elle a ensuite été appelée Saint-Eutrope, du nom de l'évêque de Saintes. L'église construite à la fin du XIVe siècle est inscrite monument historique depuis 1925[30].
    • La chapelle de Négret, située à km au nord-est du bourg, et son mémorial à la Résistance[31].

    Patrimoine civil

    • Le viaduc ferroviaire de la Sonnette est situé en limite de commune avec Le Grand-Madieu[32]. Il était emprunté par l'ancienne voie ferrée de Ruffec à Roumazières qui passait par Champagne-Mouton et Nieuil. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 2004[31].
    • Le château de la Boussardie et le manoir de Signac dominent la vallée du Son et font face au bourg.
    • La fontaine auprès de laquelle Clodoald aurait vécu serait la fontaine de Champlâpre (ou Champelage), située près du bourg sur la route du Grand-Madieu. On lui prête depuis des vertus curatives[16].
    • La fontaine Saint-Eutrope située au pied de la Chapelle sur la route de Nieuil a la même réputation que la précédente[16].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules semé d’étoiles d’or au lion couronné du même brochant sur le tout[33]

    Devise: « C'est mon plaisir ».

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 282
    14. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne), p. 301
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    16. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 322-323
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 593.
    18. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    19. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    22. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, , p. 122, lire en ligne sur Gallica
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Evolution et structure de la population à Saint-Claud en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    30. « L'église de Saint-Claud », notice no PA00104495, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Site du Pays Charente Limousine
    32. « Viaduc de la Sonnette », notice no PA16000030, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 », (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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