Catllar
Catllar [kaja] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Catllar (homonymie).
Ne pas confondre avec la ville espagnole El Catllar.
Catllar | |||||
Village de Catllar. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Conflent-Canigó | ||||
Maire Mandat |
Josette Pujol 2020-2026 |
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Code postal | 66500 | ||||
Code commune | 66045 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Catllanais | ||||
Population municipale |
777 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 97 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 38′ 04″ nord, 2° 25′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 288 m Max. 771 m |
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Superficie | 8,02 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Prades (banlieue) |
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Aire d'attraction | Prades (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Pyrénées catalanes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Catllanais. Son nom en catalan est Catllà.
Géographie
Localisation
La commune de Catllar se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 39 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 2 km de Prades[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Prades (1,8 km), Codalet (2,6 km), Eus (3,1 km), Ria-Sirach (3,4 km), Molitg-les-Bains (3,5 km), Los Masos (3,5 km), Campôme (4,2 km), Marquixanes (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Catllar fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 802 hectares. L'altitude varie entre 288 et 771 mètres[7].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Hydrographie
La Têt marque une partie de la limite méridionale de la commune. Un de ses affluents, la Castellane, traverse Catllar en son milieu, en provenance à l'ouest de Molitg-les-Bains, et en direction de la rive gauche de la Têt au sud, où elle conflue à proximité du Mas Riquer[6].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Codalet », sur la commune de Codalet, mise en service en 1969[14]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 609,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 39 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie [23]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[24],[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[26] : le « versant sud du massif du Madres » (27 267 ha), couvrant 27 communes du département[27].
Urbanisme
Typologie
Catllar est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Prades, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[31] et 9 572 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (68,4 %), forêts (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (5 %), cultures permanentes (2 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route départementale D 619, en provenance au nord depuis Campoussy, suit le cours de la Castellane et traverse Catllar en son milieu. Elle poursuit son tracé en direction du sud, vers Prades[6].
Catllar est aussi le point de départ de la route départementale D 24, qui se dirige vers l'est en direction d'Eus[6].
La ligne 523 du réseau régional liO relie la commune à Prades depuis Mosset.
Toponymie
- Formes du nom
La première mention du lieu est Villa Castellani au Xe siècle. On retrouve ensuite Castellano au XIe siècle, Vila et Castrum de Castlano aux XIIe et XIIIe siècles, Callano et Calla aux XIVe et XVe siècles, Catlla en 1612, Catllar en 1628 et de nouveau Catlla au XVIIe siècle[37].
La commune est connue en 1793 sous le nom de Catlla et en 1801 sous le nom de Catllar[7].
En catalan normalisé, le nom de la commune de nos jours est Catllà[38].
- Étymologie
Les formes anciennes du nom étant suivies du suffixe -anum, cela laisse supposer un toponyme issu du nom du possesseur du lieu. Deux hypothèses sont alors possibles.
- Une première, peu probable, renvoie à un nom de personne d'époque romaine, Castelius, lui-même issu du latin castellum désignant un château. Ce nom, répandu dans le sud de la France a donné de nombreux Castella et Castellane. Mais Castelius est un nom rare dans les pays catalans à l'époque romaine, et de plus rien dans les vestiges archéologiques ne donne d'indices sur la présence d'un domaine d'époque romaine en ce lieu[37].
- Une deuxième, plus plausible, identifie une villa à l'époque médiévale ayant pris le nom de son possesseur, Castellanus, issu de Castellu et désignant un châtelain. Ce nom est courant dans la région au IXe siècle, puisque c'est aussi le nom du fondateur de l'abbaye Sainte-Marie d'Arles-sur-Tech, à proximité, et qu'il existe une autre Villa Castellani, au Xe siècle dans le massif des Albères[37].
Il est aussi à l'origine du nom de la rivière de Catllà, la Castellane[37].
Une étymologie erronée a rattaché le nom de la localité au latin castellare (château), terme pourtant absent de tous les documents anciens concernant le nom de cette localité. Cette erreur, apparue dès le XIIIe siècle, est à l'origine de la graphie reprise par l'administration française au XVIIe siècle puis officiellement adoptée au XIXe siècle, Catllar, et encore en usage à ce jour. Toutefois, cela n'a pas d'incidence au niveau de la prononciation car, le r final ne se prononçant pas en catalan, les formes Catllà et Catllar sont homophones[39],[37].
Politique et administration
Canton
Dès 1790, la commune de Catllar est incluse dans le canton de Prades, qu'elle ne quitte plus par la suite[40].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Note : 1774 : dont 1 f pour Saint Jaume près Catlla et 1 f pour Saint Creux près Catlla.
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].
En 2018, la commune comptait 777 habitants[Note 7], en augmentation de 9,9 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[49] | 1975[49] | 1982[49] | 1990[49] | 1999[49] | 2006[50] | 2009[51] | 2013[52] |
Rang de la commune dans le département | 105 | 93 | 77 | 83 | 91 | 92 | 94 | 96 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Manifestations culturelles et festivités
- Fête estivale : 23 juillet[53].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 27 528 €[54].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- L'Arca de Calahons, est un site constitué de deux dolmens et une tombe néolithique situés à Catllar, limite avec Molitg-les-Bains et Eus[55].
- L'Église Saint-André de Catllar, d'origine romane. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1973[56].
- Église Sainte-Marie de Riquer, église romane également. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1983[57].
- La chapelle Saint-Jacques de Calahons[58].
- Chapelle de Catllar.
- Chapelle Notre-Dame des Voltes.
Personnalités liées à la commune
- André Marty (1886-1956) : homme politique dirigeant du parti communiste français ayant vécu à Catllar à partir de 1953 où il loua une ancienne bergerie qu'il fit aménager en maison d'habitation[61] ;
- Georgette Clerc (1912-1986) : militante communiste et résistante française ayant vécu à Catllar.
Culture populaire
- Littérature
Le roman Jep de l'écrivain Émile Pouvillon (1840-1906) se déroule à Catllar[62].
Héraldique
Blason | Écu carré en pointe : d'or à quatre pals de gueules, au château de trois tours couvertes d'argent, celle du milieu plus haute, portillé du même, brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Albert Cazes, Les Églises de la Vallée de Molig, Villefranche-de-Conflent, coll. « Guide touristique Conflent », , 44 p. (notice BnF no FRBNF36267693)
- (ca) « Catllà », dans Catalunya romànica, t. VII : La Cerdanya. El Conflent, Barcelone, Fundació Enciclopèdia Catalana,
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Catllar sur le site de l'Institut géographique national
- Le site Histoire de Mosset contient des éléments concernant Catllar.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Catllar », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Catllar et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Catllar et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Catllar », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Catllar et Codalet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Codalet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- « Orthodromie entre Catllar et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Catllar », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « versant sud du massif du Madres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Prades », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Prades », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Liste des maires de Catllar sur le site MairesGenWeb
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Un maire oublié à Catllar en 1815, 9 août 2015
- Revue de thérapeutique médico-chirurgicale, Volume 1869
- Bulletin: Documents officiels, statistique, rapports, comptus rendus de missions en France et à l'etranger, Volume 17 ;Volume 1898
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Jean Abélanet, Itinéraires mégalithiques : dolmens et rites funéraires en Roussillon et Pyrénées nord-catalanes, Canet, Trabucaire, 2011, 350 p. (ISBN 9782849741245).
- « Eglise Saint-André », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Ancienne église Notre-Dame du Riquier », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Une étude sur Saint-Jacques de Calahons et son site préhistorique a été publiée dans Catlla, un village, une histoire, par Jean Tosti, Yves Blaize, Yvan Marquié. Des articles concernant la chapelle, signés Yvan Marquié, sont parus dans le Fil à soi, journal de l'association"Els Amics de Catlla".
- https://www.saint-jacques.info/calahons/calahons.htm
- http://www.catllar.fr/balades/13-balades/51-le-sentier-des-cabanes.html
- La bibliothèque et les archives d'André Marty in Le Mouvement social : bulletin trimestriel de l'Institut français d'histoire sociale, avril 1964
- Bulletin de la Société de géographie de Toulouse, mars 1951
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