Ria-Sirach

Ria-Sirach [ʁija siʁak] (en catalan Rià i Cirac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Ria-Sirach

Vue de Ria

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Jean Maury
2020-2026
Code postal 66500
Code commune 66161
Démographie
Gentilé Rianencs, Siracaires ou Ria-Sirachois
Population
municipale
1 333 hab. (2018 )
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 36′ 34″ nord, 2° 24′ 02″ est
Altitude Min. 339 m
Max. 1 081 m
Superficie 12,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Prades
(banlieue)
Aire d'attraction Prades
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Ria-Sirach
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Ria-Sirach
Géolocalisation sur la carte : France
Ria-Sirach
Géolocalisation sur la carte : France
Ria-Sirach
Liens
Site web www.riasirach.fr

    Ses habitants sont appelés les Rianencs, les Siracaires ou les Ria-Sirachois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Ria-Sirach se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 42 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Codalet (1,4 km), Prades (2,1 km), Catllar (3,4 km), Villefranche-de-Conflent (3,5 km), Conat (3,6 km), Taurinya (3,8 km), Clara (4,4 km), Corneilla-de-Conflent (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Ria-Sirach fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    Sur le territoire de la commune s'ouvre la grotte des Ambouilla (ou Embulla) entrée principale du réseau André Lachambre, dont le développement dépasse les 35 kilomètres.

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 863 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Codalet », sur la commune de Codalet, mise en service en 1969[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 609,2 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 42 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[22],[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales »[25], d'une superficie de 2 437 ha, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire[26].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] : la « grotte de Sirach » (52 ha), couvrant 2 communes du département[28] et la « Trancade d'Ambouilla » (294 ha), couvrant 2 communes du département[29] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] :

    • la « vallée du Conflent » (5 742 ha), couvrant 12 communes du département[30] ;
    • le « versant sud du massif du Madres » (27 267 ha), couvrant 27 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Ria-Sirach est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Prades, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[35] et 9 572 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[36],[37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (64,4 %), forêts (20,1 %), zones urbanisées (5,9 %), cultures permanentes (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Les lignes 521 (Casteil - Gare de Perpignan), 524 (Fontpédrouse - Prades), 525 (Py - Prades) et 560 (Porté-Puymorens - Gare de Perpignan) du réseau régional liO desservent la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Rià i Cirac[41].

    Histoire

    La commune de Ria fut créée en 1822 par la réunion des communes préexistantes de Ria et de Sirach. Cependant, la paroisse de Sirach dépendait de Ria depuis le Haut Moyen Âge. Ria a fusionné avec Urbanya en 1973 pour créer la commune de Ria-Sirach-Urbanya. Les deux communes ont été rétablies en 1983, Ria prenant le nom de Ria-Sirach.

    Ria

    Dans le vieux village de Ria
    L'ancien haut-fourneau de Ria

    Citée dès le IXe siècle, la seigneurie de Ria devient possession de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa en 1134. Elle le reste jusqu'à la Révolution. Le village est établi sur une colline au sommet de laquelle s'élevait un château. Mentionné en 1195, endommagé en 1347 par les troupes du roi Pierre IV d'Aragon, restauré au tournant des XVIe et XVIIe siècles, il est définitivement détruit dans la deuxième moitié du XVIIe siècle[42].

    Au XIXe siècle, l'histoire de Ria est intiment liée à celle de l'industrie métallurgique. Datés de 1859, les hauts fourneaux au bois de Ria sont les premiers édifiés dans les Pyrénées-Orientales. Ils sont l'oeuvre de deux importants maîtres de forges : Rémi Jacomy (1818-1889), également promoteur des hauts fourneaux de La Nouvelle, dans l'Aude (1861), Prades (1876) et Codalet (1879) et Jacob Holtzer (1802-1862), à l'origine d'une lignée de maîtres de forges à Unieux, dans le département de la Loire. La fabrication des aciers d'Unieux à partir du fer des Pyrénées a été décrite par Emile Zola dans son roman Travail publié en 1901. Le dernier haut-fourneau de Ria est enfin le dernier des hauts fourneaux au bois fonctionnant en France, son extinction intervenant après la Seconde Guerre mondiale. De fait, les fontes au bois de Ria et des communes environnantes, de qualité exceptionnelle, rivalisent alors durablement avec les fers de Suède[43].

    Sirach

    À l'instar de Ria, Sirach fut possession de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa du Xe siècle à la Révolution[44].

    Politique et administration

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    La mairie, à Ria
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Jean Maury[45] ,[46] UMP  

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H). Celle-ci ne concerne que Ria.

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1709 1720
    40 f37 f26 f25 f16 f17 f23 f74 f73 f
    1767 1774 1789 - - - - - -
    556 H120 f118 f------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1358 : dont 11 f pour Llugols ;
    • 1365 : dont 11 f pour Llugols ;
    • 1378 : dont 7 f pour Llugols ;
    • 1424 : dont 18 f pour Llugols ;
    • 1709 : pour Ria et Sirach.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

    En 2018, la commune comptait 1 333 habitants[Note 9], en augmentation de 3,82 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7045486116899771 0041 0161 0021 000
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9598499778811 0381 0451 1151 095932
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    960913971928864872776782831
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0171 0571 0561 0681 0171 1261 1691 1751 257
    2017 2018 - - - - - - -
    1 3251 333-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Notes :

    • À partir de 1826, les habitants de Sirach sont recensés avec ceux de Ria.
    • Pour 1975 et 1982, la population recensée est celle de la commune de Ria-Sirach-Urbanya.
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[51] 1975[51] 1982[51] 1990[51] 1999[51] 2006[52] 2009[53] 2013[54]
    Rang de la commune dans le département 58 58 61 69 70 73 74 71
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : [55] ;
    • Fête communale : [55].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 000 [56].

    Entreprises et commerces

    Le village possède un supermarché Lidl et une boulangerie.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • Le château de Ria a été presque entièrement détruit au XVIIe siècle. Il n'en reste plus que la base des murs, fortement arasée. Il était apparemment composé de deux enceintes flanquées de deux bastions. Le site a été récemment fouillé[42].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Coupé : au 1) d’or à la croisette de gueules, au 2) de gueules à la fasce d’argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Ria-Sirach », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Ria-Sirach et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Ria-Sirach et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Ria-Sirach », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Codalet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Ria-Sirach et Codalet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Codalet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le Mois invalide (codalet)).
    16. « Orthodromie entre Ria-Sirach et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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    28. « ZNIEFF la « grotte de Sirach » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « ZNIEFF la « vallée du Conflent » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    44. Lucien Bayrou (direction), Entre Languedoc et Roussillon (1258-1659 : fortifier une frontière ?), Saint-Estève, Les Amis du Vieux Canet, , 447 p. (ISBN 2-9522019-0-0), p. 369-370.
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