Los Masos

Los Masos [los mazos] (en catalan Els Masos) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Los-Masossiens.

Los Masos

Vue générale de Llonat à Los Masos

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Guy Cassoly
2020-2026
Code postal 66500
Code commune 66104
Démographie
Population
municipale
978 hab. (2018 )
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 37′ 22″ nord, 2° 27′ 46″ est
Altitude Min. 297 m
Max. 571 m
Superficie 5,71 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Prades
(banlieue)
Aire d'attraction Prades
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Los Masos
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Los Masos
Géolocalisation sur la carte : France
Los Masos
Géolocalisation sur la carte : France
Los Masos

    Géographie

    Localisation

    La commune de los Masos se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 36 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Eus (2,5 km), Marquixanes (2,9 km), Espira-de-Conflent (3,0 km), Estoher (3,0 km), Prades (3,3 km), Catllar (3,5 km), Codalet (3,9 km), Finestret (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Los Masos fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

    Communes limitrophes de Los Masos[6]
    Eus
    Prades Marquixanes
    Clara-Villerach Estoher
    Situation de Los Masos.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

    Le canal de Bohère, Los Masos

    Hydrographie

    Los Masos est traversé par deux ruisseaux, le Roure au centre, qui va vers Lloncet, et le Llisco. Celui-ci prend sa source sous le Roc Mosquit à 1 600 m d'altitude et traverse Clara avant d'arriver à Los Masos par La Sacristie et Ballanet.

    L'eau a toujours été un problème pour le village et ses habitants ont été appelés les bouches sèches (ou les boques axugues en catalan). Vers 1863 fut construit le canal de Bohère. Il s'étend sur 42 km de Serdinya jusque vers Marquixanes, près du lac de Vinça. Il a permis un arrosage facile des cultures et, donc, une diversification. Aujourd'hui, la production fruitière est majoritaire.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eus », sur la commune d'Eus, mise en service en 1994[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 500,9 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 36 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Los Masos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Prades, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[26] et 9 572 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[29],[30].

    Le village est très étendu et compte quatre hameaux : Llonat, Lloncet, Ballanet et La Sacristie. Dans les temps anciens, un autre hameau s'y trouvait également, appelé Le Roure.

    Ce dernier avait son église, son cimetière et ses maisons mais, vers 1632, à la suite d'un glissement important de terrain, dû certainement à des infiltrations d'eau, tout fut détruit et il ne reste que quelques pans de murs de l'église dédiée à Saint Michel.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,2 %), forêts (22,6 %), zones urbanisées (10,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9 %), cultures permanentes (6,6 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est els Masos[32]. Le mot los masos signifie un ensemble de maisons ou de mas. C'est la seule commune française dont le nom commence par un article non-français (los).

    Llonat est le principal hameau de la commune. C'est là que se trouvent la mairie et l'église.

    Lloncet s'appelait auparavant Joncet, qui signifie lieu planté de joncs. L'appellation Lloncet a été décidée pour éviter la confusion avec un autre village dans le département, nommé également Joncet. Mais elle est artificielle.

    L'ancien nom de Ballanet est Avellanet qui indique un endroit planté de noisetiers.

    Quant à La Sacristie, son nom, Favars, remonte au XIIIe siècle. Le hameau appartenait à l'abbé de Saint-Martin qui dépendait de la Grande Sacristie de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa. Le rattachement à Los Masos date de 1790.

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Politique et administration

    Canton

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Administration municipale

    La mairie.

    La mairie est située à Llonat.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Michel Marcé    
    1791 1792 Jean Marcé    
    1792 1792 Emmanuel Vigaros    
    1792 1793 François Maler    
    1793 1806 Jean Selva    
    1806 1812 Barthélémy Boher    
    1812 1813 François Maler    
    1813 1824 Michel Maler    
    1824 1830 Sylvestre Selva    
    1830 1830 Mathieu Boher    
    1830 1832 Michel Maler    
    1832 1844 Sylvestre Selva    
    1844 1846 Michel Maler    
    1846 1848 Augustin Mas    
    1848 1866 Mathieu Boher    
    1866 1870 Nicolas Maler    
    1870 1873 Antoine Navarre    
    1873 1892 François Cassoly    
    1892 1900 Bonaventure Mas    
    1900 1908 Michel Maler    
    1908 1929 Augustin Cassoly    
    1929 1947 Daniel Selva    
    1947 1953 Joseph Selva    
    1953 1983 Jean Payré    
    mars 1983 en cours[34] Guy Cassoly[35],[36],[37] PCF Conseiller général du Canton de Prades (1998-2015)

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1424 1470 1515 1553 1709 1720 1767 1774
    2 f3 f12 f11 f18 f40 f36 f270 H43 f
    1789 - - - - - - - -
    62 f--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1358 : dont 2 f pour La Sacristie ;
    • 1424 : dont 3 f pour Llonat ;
    • 1789 : dont 12 f pour La Sachristie.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2018, la commune comptait 978 habitants[Note 6], en augmentation de 8,07 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    403319347375404382369352361
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    330360393364375377416396372
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    345391416358355330320304309
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    322288299414515562641876948
    2018 - - - - - - - -
    978--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
    Rang de la commune dans le département 123 116 102 98 97 95 92 89
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : [46].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 403 [47].

    Entreprises et commerces

    Église de la Nativité-de-Notre-Dame de Los Masos

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Égalité Cazenove (1907-1981) : Joueur de rugby à XV né à Los Masos, champion de France de rugby en 1938 avec l'USAP ;
    • Léo Figuères (1918-2011), résistant et homme politique, enterré à Los Masos.
    • Blanche Selva (1884-1942), pianiste, pédagogue et compositrice française.
    Rue portant le nom de la musicienne Blanche Selva, hameau de Ballanet, Los Masos

    Héraldique

    Blason
    D'or à quatre pals de gueules, à la grappe de raisin pamprée et feuillée au naturel, brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de los Masos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Los Masos et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Los Masos et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de los Los Masos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Eus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Los Masos et Eus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Eus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Los Masos et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de losMasos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de losMasos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des espaces protégés sur la commune de losMasos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2020 de Prades », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    27. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de losPrades », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    33. Liste des maires sur MairesGenWeb
    34. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    35. G. Cassoly a parrainé la candidature de Robert Hue à l'élection présidentielle de 1995, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 1995.
    36. G. Cassoly a parrainé la candidature de Robert Hue à l'élection présidentielle de 2002, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
    37. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    47. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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