Estoher

Estoher est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Estoher

Carte postale d'Estoher au début du XXe siècle.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Marie-Edith Peral
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66073
Démographie
Gentilé Estohanencs, Estohanencques
Population
municipale
142 hab. (2018 )
Densité 5,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 36′ 06″ nord, 2° 29′ 13″ est
Altitude 360 m
Min. 336 m
Max. 2 481 m
Superficie 26,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Estoher
Géolocalisation sur la carte : France
Estoher

    Ses habitants sont appelés les Estohanencs.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Estoher se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 35 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à km de Prades[3], sous-préfecture, et à 21 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Espira-de-Conflent (2,0 km), Finestret (2,7 km), Los Masos (3,0 km), Joch (3,7 km), Clara (3,9 km), Marquixanes (4,5 km), Rigarda (4,7 km), Baillestavy (5,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Estoher fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Hydrographie

    La rivière du Llech et trois ruisseaux traversent Estoher[9].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 814 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,5 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des relief[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Baillestavy », sur la commune de Baillestavy, mise en service en 1972[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 850,7 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 35 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[23].

    • le « massif du Canigou », d'une superficie de 11 746 ha, culmine à 2 784 mètres à l'extrémité orientale de la chaîne des Pyrénées. Il recèle de nombreuses espèces endémiques pyrénéennes dont certaines atteignent leur limite orientale et présente une gamme variée d'habitats naturels d'intérêt communautaire liés à l'étagement de la végétation[24] et au titre de la directive oiseaux[23]
    • le « canigou-conques de La Preste », d'une superficie de 20 224 ha, abrite une avifaune de montagne riche et diversifiée, tant au niveau des rapaces que des passereaux et des galliformes. Elle est également fréquentée régulièrement par deux couples de Gypaètes barbus et, en été, par un nombre conséquent de Vautours fauves en provenance du territoire espagnol[25].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26] : le « cirque des Cortalets » (191 ha), couvrant 2 communes du département[27] et la « vallée du Llech » (1 724 ha)[28] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : le « massif du Canigou » (19 263 ha), couvrant 15 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Estoher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,3 %), cultures permanentes (3,5 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Estoer[36].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Dagues    
    1792 1793 Joseph Llech-Llamousi    
    1792 1793 Mathieu Armagau    
    1793 1794 François Destaville    
    1794 1795 Bonnaventure Torrent    
    1794 1795 Jean Pavie    
    1796 1796 Gauderique Pailles    
    1796 1797 Joseph Llech-Llamousi    
    1797 1813 Bonaventure Taurinua    
    1813 1829 Jean Ixart    
    1829 1832 Joseph Falip    
    1832 1843 Pierre Pailles    
    1843 1856 Pierre Catala    
    1856 1871 Bonaventure Puig    
    1871 1874 Joseph Catala    
    1874 1899 Jean Felip    
    1899 1920 Étienne Illes    
    1920 1921 Gauderique Pailles    
    1921 1935 Étienne Mary    
    1935 1944 Jacques Illes   Nommé conseiller départemental en 1943[38]
    1944 1945 Charles Blandigneres    
    1945 1954 Jean Borreil    
    1954 1959 Jacques Illes    
    1959 1983 Jacques Gaurenne    
    1983 2008 René Figa    
    mars 2008 mars 2014 Marie-Édith Péral[39]    
    mars 2014 mai 2014 Jean-Jacques Jordi[40],[41]    
    mai 2014 2020 Louis Ques    
    2020 En cours Marie-Edith Péral PS Conseillère départementale depuis 2021

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720 1767
    21 f36 f21 f22 f25 f24 f79 f64 f426 H
    1774 1789 - - - - - - -
    387 H80 f-------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1358 : dont 8 f pour Llech et 13 f pour Sanès ;
    • 1365 : dont 10 f pour Llech et 8 f pour Sanès ;
    • 1378 : dont 4 f pour Llech et 5 f pour Sanès.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].

    En 2018, la commune comptait 142 habitants[Note 9], en diminution de 8,39 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    309410445474495539560532587
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    524496520521531503388402357
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    329332314284268225202202164
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    160165127115124134152154153
    2017 2018 - - - - - - -
    145142-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[46] 1975[46] 1982[46] 1990[46] 1999[46] 2006[47] 2009[48] 2013[49]
    Rang de la commune dans le département 130 153 179 160 160 156 157 159
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Il n'y a pas d'école à Estoher.

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 341 [51].

    Entreprises et commerces

    Église Saint-Étienne d'Estoher

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Patrimoine environnemental

    Héraldique

    Blason
    De gueules aux trois cailloux d’or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Estoher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Estoher », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. www.annuaire-mairie.fr
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Baillestavy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Estoher et Baillestavy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Baillestavy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Estoher et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estoher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    24. « site Natura 2000 FR9110076 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estoher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « cirque des Cortalets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « vallée du Llech » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif du Canigou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    40. Laura Causanillas, L'Indépendant, Le maire Jean-Jacques Jordi démissionne, 24 mai 2014
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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    48. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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