Baillestavy
Baillestavy (catalan: Vallestàvia) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Baillestavy | |||||
Vue du village et de la nouvelle église Saint-André | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Conflent-Canigó | ||||
Maire Mandat |
Éric Mahieux 2020-2026 |
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Code postal | 66320 | ||||
Code commune | 66013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Baillestavyen(ne)s | ||||
Population municipale |
117 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 6,5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 33′ 56″ nord, 2° 31′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 468 m Max. 1 720 m |
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Superficie | 17,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune de Baillestavy se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 34 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 10 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 16 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Valmanya (3,0 km), Glorianes (3,8 km), Estoher (5,1 km), La Bastide (5,6 km), Finestret (5,8 km), Joch (5,9 km), Espira-de-Conflent (6,2 km), Rigarda (6,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Baillestavy fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].
- Situation dans le Conflent.
- Situation de Baillestavy.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 789 hectares. L'altitude varie entre 468 et 1 720 mètres[8]. Le centre du village est à une altitude de 640 m[9].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1972 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,2 | 0,3 | 2,5 | 4,5 | 7,5 | 10,6 | 12,8 | 12,9 | 10 | 7,1 | 3 | 0,7 | 6 |
Température moyenne (°C) | 5 | 5,8 | 8,4 | 10,4 | 13,6 | 17,2 | 19,9 | 19,7 | 16,4 | 12,6 | 8,1 | 5,4 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,8 | 11,3 | 14,4 | 16,3 | 19,7 | 23,8 | 27,1 | 26,6 | 22,8 | 18 | 13,2 | 10 | 17,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,5 15.01.1985 |
−11 11.02.1986 |
−9,6 11.03.10 |
−4 14.04.1998 |
−2 13.05.1985 |
1 02.06.1975 |
4 18.07.1974 |
3,8 28.08.1974 |
0 30.09.1974 |
−6 23.10.1974 |
−8,8 22.11.1998 |
−9,2 09.12.1980 |
−15,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22 02.01.03 |
23,8 27.02.19 |
27,5 24.03.01 |
30,2 08.04.11 |
33 29.05.01 |
39,4 28.06.19 |
37,2 06.07.1982 |
36,4 12.08.03 |
34,5 06.09.1988 |
31,2 01.10.1997 |
25,2 07.11.1995 |
22 16.12.1989 |
39,4 2019 |
Ensoleillement (h) | 142,9 | 168,1 | 220,9 | 227 | 263,9 | 312,4 | 339,7 | 298 | 241,5 | 168,6 | 148,8 | 136,5 | 2 668,2 |
Précipitations (mm) | 80,3 | 51,3 | 53,4 | 90,5 | 96,9 | 54,4 | 38,8 | 56,6 | 59,6 | 96,3 | 82 | 90,6 | 850,7 |
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « massif du Canigou »[17], d'une superficie de 11 746 ha, culmine à 2 784 mètres à l'extrémité orientale de la chaîne des Pyrénées. Il recèle de nombreuses espèces endémiques pyrénéennes dont certaines atteignent leur limite orientale et présente une gamme variée d'habitats naturels d'intérêt communautaire liés à l'étagement de la végétation[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[19] :
Urbanisme
Typologie
Baillestavy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,8 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès par la RD 13.
Toponymie
- Formes du nom
Le nom catalan de Baillestavy est Vallestàvia.
Le nom apparait en 949 sous la forme de Valle Stavia. Le lieu est mentionné en 1607 sous le nom de Ballastavia[9].
La commune est connue en 1793 comme Ballestavi et en 1801 sous les noms de Bellestavey et Baillestavy[8].
- Étymologie
Le nom vient du latin Vallis Stavia[28]. Trois significations sont possibles :
- la vallée des estives ;
- la vallée de l'étable (du latin stabula) ;
- la vallée de Stabius (nom de personne).
La dernière interprétation semble la plus probable[29].
Histoire
Le site de Baillestavy est occupé depuis l'Antiquité du fait de la présence de minerai de fer. L'exploitation se poursuit jusqu'au XIXe siècle et au moins deux forges étaient encore en activité au début du XVIIe siècle (en 1607 : les dos fargues de Ballestavia)[9]. L'une d'elles a donné son nom à l'un des deux hameaux du village.
Baillestavy est mentionnée pour la première fois dans une charte datée du dans laquelle le comte de Cerdagne Sunifred II fait don du lieu de Valle Stavia à l'abbaye Saint-Michel de Cuxa qui, certainement, poursuivit l'exploitation des mines de fer[9].
L'ancienne église Saint-André apparaît en novembre 1011 dans une bulle du pape Serge IV énumérant les possessions de l'abbaye Saint-Michel de Cuxa, dont elle fait partie (« Vallem Stabiam cum ecclesia Sancti Andreae », soit « Baillestavy avec l'église Saint-André »)[30]. Le château est quant à lui mentionné pour la première fois en 1254 sous le nom de castrum de Vallestavia[9]. Au XVIIe siècle, l'ancienne église est abandonnée après qu'elle a été supplantée par un nouveau lieu de culte, également dédié à saint André, qui s'élève dans le village, à l'emplacement de l'ancien château seigneurial[30] (dont le donjon est transformé en clocher).
Au XVIIe siècle, Baillestavy est en plein cœur de la guerre du sel et de la rébellion des Angelets, dont Joan Miquel Mestres, originaire de la commune, est un des acteurs principaux[31].
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Baillestavy est incluse dans le canton de Vinça, qu'elle ne quitte plus par la suite[32].
À compter des élections départementales de 2015, la commune de Baillestavy rejoint le nouveau canton du Canigou.
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2018, la commune comptait 117 habitants[Note 6], en augmentation de 7,34 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 201 | 175 | 198 | 200 | 195 | 185 | 184 | 180 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Il n'y a pas d'école à Baillestavy.
Économie
L'économie est essentiellement agricole et l'on trouve à Baillestavy une dizaine d'éleveurs (bovins, caprins, porcins, volailles et ânes catalans)[48].
Le village dispose d'un commerce multi-fonctions : café-restaurant, épicerie, presse, tabac et bibliothèque municipale[49].
Quelques artisans sont également installés à Baillestavy : un maçon, un ferronnier et un céramiste[50].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Le patrimoine bâti de Baillestavy est de type[51] religieux ou industriel.
- Ancienne église Saint-André, église romane située dans le cimetière.
- Nouvelle église Saint-André, église du XVIIe siècle située à La Torre.
- Fours à griller le minerai, situés sur la route de Valmanya.
- Fours à chaux de Rabolledes.
Personnalités liées à la commune
- Joan Miquel Mestres, dit l'Hereu Just (mort en 1670) : un des plus célèbres Angelets de la terra.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Baillestavy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baillestavy et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baillestavy et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baillestavy et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Baillestavy », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Baillestavy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101475 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Baillestavy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Canigou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Pyrénées catalanes, section étymologie
- Jtosti.com, section étymologie
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-8599-8244-7).
- Site de la mairie, section Histoire
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- MairesGenWeb pour les maires depuis 1959
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Baillestavy, le 8 juin 1815, 20 janvier 2014
- http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article93961, notice GUERRE Jean, Marc, Roch par André Balent, version mise en ligne le 2 novembre 2010, dernière modification le 4 avril 2017.
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- Jacques Taurinya Quintane est l'un des 500 élus ayant parrainé la candidature de José Bové à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République.
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- L'Indépendant du 14/09/12
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