Valmanya

Valmanya est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Valmanya

Le village en 2017.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Nicole Beaux
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66221
Démographie
Gentilé Valmanyencs, Valmanyenques
Population
municipale
34 hab. (2018 )
Densité 1,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 32′ 21″ nord, 2° 32′ 06″ est
Altitude Min. 692 m
Max. 2 720 m
Superficie 27,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Valmanya
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Valmanya
Géolocalisation sur la carte : France
Valmanya
Géolocalisation sur la carte : France
Valmanya

    Géographie

    Localisation

    La commune de Valmanya se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 34 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 13 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 13 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Baillestavy (3,0 km), La Bastide (4,6 km), Glorianes (6,0 km), Saint-Marsal (7,1 km), Prunet-et-Belpuig (7,9 km), Boule-d'Amont (8,0 km), Estoher (8,0 km), Taulis (8,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Valmanya fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « massif du Canigou »[10], d'une superficie de 11 746 ha, culmine à 2 784 mètres à l'extrémité orientale de la chaîne des Pyrénées. Il recèle de nombreuses espèces endémiques pyrénéennes dont certaines atteignent leur limite orientale et présente une gamme variée d'habitats naturels d'intérêt communautaire liés à l'étagement de la végétation[11].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[12] : la « vallée de la Lentilla » (2 851 ha), couvrant 2 communes du département[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[12] :

    • le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[14] ;
    • le « massif du Canigou » (19 263 ha), couvrant 15 communes du département[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Valmanya est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (29,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune tire son nom du latin Vallis qui a donné le français Vallée ou Val et le catalan Vall, et de Magna qui signifie « grande », passé en catalan sous la forme Manya. Il signifie donc « grande vallée ». Le village se trouve en effet sur une partie assez large d'une étroite vallée pyrénéenne[22].

    Des textes du Xe siècle et du XIe siècle mentionnent Valle Magna, qui est devenu au XIIe siècle Vall manya puis Vallmanya en catalan. L'adjectif ferrera y était parfois accolé, signalant les mines de fer. L'administration française a nommé officiellement la commune Velmanya, forme erronée qui a ensuite été corrigée en Valmanya[22].

    Histoire

    La première mention écrite de Vallmanya se trouve dans une bulle du pape Agapet II en 950 dans ce document sont énumérées les possessions de l’abbaye Saint-Michel de Cuxà dont Vallmanya avec sa forge et son hôtellerie. Jusqu'à la Révolution française l'abbé de Sant Miquel était seigneur de Vallmanya.

    L'activité était entièrement tournée vers l'exploitation du fer du Canigou et l'industrie métallurgique. Vallmanya possédait une forge qui fonctionnait grâce au système des trompes des Pyrénées. Le gros de l’activité se situa entre 1901 et 1930. Le déclin de l'industrie minière et la fermeture des mines de La Pinouse dans les années 1930 entraina un exode rural.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, Abdon Robert Casso[23] (1912-2002), ingénieur des Mines et militaire de carrière, et René Horte, instituteur créent le réseau Sainte-Jeanne dont l'activité principale consiste à faire passer en Espagne des personnes désireuses de rejoindre l'Espagne. En août 1944, ce réseau est anéanti et plusieurs habitants de Valmanya sont tués, torturés, et déportés.

    Le Réseau Sainte Jeanne dépendait du plus vaste Réseau Darius (appelé réseau Gallia avant 1944[24]) et Abdon Robert Casso exerce au sein de ce réseau et des FFI des missions en tant que commandant[25].

    En juillet 1944, le maquis FTP Henri Barbusse, composé de Résistants français et de guérilleros espagnols, s'installe dans les anciennes mines de fer de la Pinosa au-dessus de Valmanya.

    De là ce maquis mène une opération sur la trésorerie de Prades, s’emparant des fonds nécessaires à son activité et de trois collaborateurs qui sont fusillés. Les 1er et 2 août 1944, des troupes allemandes mènent une opération de représailles sur Valmanya, informés de l'emplacement du maquis par Nessim Eskenazi qui travaille comme informateur à la douane allemande. Ce dernier était allé repérer la position du maquis puis avait été fait prisonnier par les Résistants, puis a pris la fuite. Les maquisards et résistants du Réseau Sainte Jeanne, sur leurs gardes, mettent en place des postes de surveillance. Voyant le convoi allemand arriver de Vinça, ils l'attaquent à 500 mètres du village. En retardant les Allemands et les miliciens, le maquis permet à la population de fuir dans la montagne, mais Valmanya est finalement pillée et incendiée par les troupes allemandes. Quatre habitants qui n’avaient pas fui sont abattus, et une jeune femme subit les derniers outrages des soldats allemands.

    Simultanément des troupes allemandes attaquent le camp du maquis à La Pinosa : les maquisards et les guérilleros tentent de riposter mais la lutte est inégale et les Résistants se dispersent après trois heures de combats, faute de munitions. Le capitaine Julien Panchot, blessé, est torturé et achevé par les Allemands et les miliciens[26].

    Abdon Sennen Casso, père d'Abdon Robert Casso, qui avait lui aussi participé activement au Réseau Sainte Jeanne, est fait prisonnier par les Allemands pour être finalement déporté au camp de Buchenwald. Son fils le retrouve le 14 avril 1945 lors de la libération du camp de concentration avec un régiment américain qu'il avait intégré pendant sa progression vers l'Est. Abdon Robert Casso ramena son père chez lui à Valmanya pour y mourir entouré des siens. Abdon Sennen Casso, Chevalier de la Légion d'Honneur à titre posthume, a été officiellement déclaré Déporté Mort pour la France, et Français Libre.

    Abdon Robert Casso, poursuit après la guerre une carrière d'officier dans le Génie pour devenir plus tard le premier Général de la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris pour laquelle il ouvrit une colonie de vacances à Valmanya, faisant don de terres lui appartenant. Il devint maire du XVIIe arrondissement de Paris le 8 mai 1970[27]. Il a été élevé par le président de la République le 23 mars 1993[28] à la dignité de Grand Officier dans l'Ordre national de la Légion d'Honneur[29].

    A Paris, devant l'Etat Major de la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris, une Esplanade Général Casso a été inaugurée le 8 octobre 2011[30].

    L'Ecole des Mines d'Alès a inauguré en 2011 l'Institut des Sciences des Risques Robert CASSO, en hommage à Abdon Robert Casso et à sa carrière.

    La place située devant la mairie de Valmanya, au centre de la commune, porte le nom de Place du Général Casso.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1941 1944 Abdon Robert Casso   résistant
             
    septembre 1944   René Horte   Résistant, instituteur,
    nommé par le comité départemental de Libération
    1945 1947 Abdon Robert Casso   général de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, maire du 17ème arrondissement Paris
             
    mars 1977, réélu en 2008[31] et 2014[32] En cours Jean-Marc Monserrat   professeur en lycée professionnel

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1709 1720 1767 1774
    10 f10 f6 f35 f17 f223 H55 f
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2018, la commune comptait 34 habitants[Note 6], en diminution de 17,07 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    290234324309386386379390355
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    358349318325405327409327306
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4094214224012663061764457
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    516329323018264336
    2018 - - - - - - - -
    34--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 189 204 203 204 224 220 216 215
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : 22 janvier[41].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Vincent

    Monuments et lieux touristiques

    • Castell d'el Bruix, une ancienne tour à signaux située sur un piton rocheux qui domine le village. elle pourrait dater du XIe ou du XIIe siècle. Outre la tour il subsiste des vestiges de l'enceinte et de bâtiments qui étaient encore habités à la fin du XIXe.
    • Église paroissiale Saint-Vincent de Valmanya, édifice du XIIe siècle remaniée au XVIIIe siècle. Cette église renferme un retable de Paul Sunyer de 1730.

    Personnalités liées à la commune

    • Julien Panchot (1901-1944) : résistant français mort à Valmanya le 2 août 1944.
    • Louise Horte (1908-2008) : résistante et déportée ayant vécu à Valmanya.
    • Abdon Robert Casso (1912-2002) : ingénieur-docteur es-sciences, résistant et militaire né à Valmanya, ancien maire de la commune et du XVIIe arrondissement de Paris.

    Héraldique

    Blason
    Ecu carré en pointe : de gueules à une crosse abbatiale d'argent accompagnée à dextre, à senestre et en chef d'une fleur de lys d'or[42].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[9].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Valmanya », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Valmanya et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Valmanya et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Valmanya et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Valmanya », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    10. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Valmanya », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « site Natura 2000 FR9101475 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Valmanya », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « vallée de la Lentilla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « massif du Canigou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Basseda 1990, p. 744.
    23. « Mairie de Valmanya ».
    24. « réseau Gallia » (consulté le ).
    25. « Biographie du Général Casso, cf. page 17 ».
    26. Mairie de Valmanya, « Résumé de l'histoire de Valmanya ».
    27. « Légifrance ».
    28. « Légifrance - décret ».
    29. « Général CASSO, une vie au service de la France » (consulté le ).
    30. « Inauguration de l'Esplanade général Casso - AASPP 91 ».
    31. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    32. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    42. Site municipal
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