Marquixanes

Marquixanes [maʁkiʃan] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Marquixanes

Vue générale du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Anne-Marie Canal
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66103
Démographie
Gentilé Marquixanais
Population
municipale
564 hab. (2018 )
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 38′ 34″ nord, 2° 29′ 11″ est
Altitude Min. 244 m
Max. 568 m
Superficie 4,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Marquixanes
Géolocalisation sur la carte : France
Marquixanes

    Ses habitants sont appelés les Marquixanais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Marquixanes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 34 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à km de Prades[3], sous-préfecture, et à 24 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Eus (2,3 km), Arboussols (2,4 km), Espira-de-Conflent (2,9 km), Los Masos (2,9 km), Finestret (3,5 km), Vinça (3,5 km), Joch (4,2 km), Rigarda (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Marquixanes fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[6].

    Communes limitrophes de Marquixanes[7]
    Arboussols
    Eus Vinça
    Los Masos Estoher Espira-de-Conflent
    Situation de la commune

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 244 et 568 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 795 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eus », sur la commune d'Eus, mise en service en 1994[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 500,9 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 34 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[22] : les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » (1 147 ha), couvrant 5 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Marquixanes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,5 %), forêts (24 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), cultures permanentes (11,2 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 8] (2,2 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Marquixanes, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.

    La ligne 520 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Prades.

    Toponymie

    Formes du nom

    La première mention du nom en 1007 est Marchexanes[31]. On rencontre ensuite Matrechexanas en 1025 et Madrechexanes en 1035[32], suivies au XIIe siècle des formes Marechexanes et Marchexanes. On a aux XIVe et XVe siècles Marcaxanes et Marquexanes, au XVIIe siècle Marcaxanes et Marqueixanes. Le nom actuel, Marquixanes, s'impose à partir du XVIIIe siècle[33].

    Marquixanes est une francisation du catalan Marqueixanes, prononcé [məɾki'ʃanəs] ou [məɾkə'ʃanəs][34].

    Étymologie
    Panneau d'entrée de Marquixanes.

    Histoire

    Le nom du village apparaît pour la première fois dans les textes en 1007, alors qu'un certain Miron et son épouse font don de terrains situés à Marquixanes au profit de l'abbaye Saint-Martin-du-Canigou[31]. Une première église est bâtie au XIe sur les restes d'un soubassement terrassé par les romains. De cette petite église romane, il ne reste presque rien. Une deuxième église plus grande, construite au XIVe siècle d'après la thèse des architectes venus étudier les lieux en 2014, aurait également disparu[35]. Autour de la première église s'est installée une cellera en trois périodes. Une première enceinte a d'abord enserré quelques celliers construits dans le périmètre du cimetière, espace consacré censé être à l'abri des pillages. Les récoltes y sont engrangées. En 1172 le roi Alphonse d'Aragon donne l'autorisation de construire un deuxième rang de fortification . Ce rempart protège un périmètre plus important et abrite des celliers supplémentaires. Il est en galets disposés en arête-de-poisson[36]. En 1245 Jaume premier, roi d'Aragon accorde le privilège de construire de nouvelles fortifications. Les celliers ont été utilisés pour conserver les récoltes jusqu'au XIXe. Ce n'est qu'à cette époque que quelques celliers ont été convertis en maisons. Certains d'entre eux servent encore de remise dans les années 2010[37].

    Dans sa forme actuelle l'église est dédiée à sainte Eulalie. Elle date du XVIIe siècle, le clocher porte la date de 1611.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1793 Jean Carbonell    
    1793 1795 Bonaventure Vergès    
    1795 1795 François Vallmary    
    1795 1796 François Mas-Molins    
    1796 1800 Jean Carbonell    
    1800 1810 Xavier Queyra    
    1810 1815 Ambroise Mas-Marie    
    1815 1815 Bonaventure Ferran    
    1815 1826 François-Xavier de Compte    
    1826 1828 Joseph Solera    
    1828 1831 Joseph Mas-Maler    
    1831 1846 Jean Izern    
    1846 1848 Pierre Vergès    
    1848 1856 Maurice Mas    
    1856 1858 Jean Solera    
    1858 1865 François Dorandeu-Solera    
    1865 1873 François Mas-Illes    
    1874 1903 Jean Petit    
    1903 1908 François Escape    
    1908 1919 François Dorandeu    
    1919 1924 Pierre Llagonne    
    1925 1944 Joseph Dorandeu    
    1944 1947 Martin Fons    
    1947 1959 Laurent Fabre    
    1959 1966 Émile Pauco    
    1966 1977 Lucien Baillette    
    1977 1983 Jules Debeyre    
    1983 2001 Gérard Dorandeu    
    2001 2014 Gérard Capdet    
    2014 En cours Anne-Marie Canal[39]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1709 1720
    27 f26 f13 f13 f27 f24 f25 f84 f82 f
    1767 1774 1789 - - - - - -
    505 H102 f110 f------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2018, la commune comptait 564 habitants[Note 9], en augmentation de 2,73 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    474488564571561581589619583
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    576536532530570564509491480
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    446461480446393416412386405
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    388363333307299397513541551
    2018 - - - - - - - -
    564--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 115 101 109 119 111 108 107 107
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : [47] ;
    • Fête communale : [47].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 365 [48].

    Culture locale et patrimoine

    Église Sainte-Eulalie

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Auguste Mas (1854-1908) : homme politique mort à Marquixanes.

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er d'argent au chef de sinople, au 2e de gueules plain.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aymat Catafau, Les celleres et la naissance du village en Roussillon, Presse Universitaire de Perpignan, 1998

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Marquixanes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Marquixanes et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Marquixanes et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Marquixanes et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Marquixanes », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Eus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Marquixanes et Eus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Eus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Marquixanes et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Marquixanes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Jean Tosti, Le Roussillon passé et présent : Marquixanes
    32. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    33. Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
    34. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    35. Le patrimoine de Marquixanes , hypothèse de constructions successives de trois églises
    36. Patrimoine de Marquixanes, deuxième rang de fortification
    37. Aymat Catafau, les celleres et la naissance du village en Roussillon , PUP, paragraphe Marquixanes
    38. MairesGenWeb, liste des maires de Marquixanes
    39. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    48. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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