Bruno Beschizza

Bruno Beschizza, né le à Saint-Mandé (Val-de-Marne), est un homme politique français et ancien officier de police.

Bruno Beschizza

Bruno Beschizza en 2015.
Fonctions
Maire d'Aulnay-sous-Bois
En fonction depuis le
(7 ans, 5 mois et 6 jours)
Prédécesseur Gérard Ségura
Conseiller départemental de Seine-Saint-Denis
élu dans le canton d'Aulnay-sous-Bois

(9 mois et 11 jours)
Élection 29 mars 2015
Prédécesseur Gérard Ségura
Successeur Mohammed Ayyadi
Conseiller régional d'Île-de-France
En fonction depuis le
(5 ans, 8 mois et 28 jours)
Élection 14 décembre 2015

(5 ans, 7 mois et 24 jours)
Élection 19 mars 2010
Président de l'EPT Paris Terres d'Envol
En fonction depuis le
(5 ans et 8 mois)
Prédécesseur Création de l'EPT
Premier vice-président de l'EPFIF
En fonction depuis le
(5 ans, 5 mois et 11 jours)
Prédécesseur Chantal Canales et Jean Lafont
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Saint-Mandé (Val-de-Marne)
Nationalité française
Parti politique UMP, puis LR
Profession policier

Membre du parti Les Républicains, il est conseiller régional d'Île-de-France de 2010 à 2015, maire d'Aulnay-sous-Bois depuis le 5 avril 2014 et président de l'Établissement public territorial Paris Terres d'Envol depuis le 11 janvier 2016.

Biographie

Enfance et famille

D'origine italienne, Bruno Beschizza est élevé dans une cité HLM de Montreuil en Seine-Saint-Denis.

Il est titulaire de la médaille de la Défense nationale. Il est auditeur de la 17e session de l'Institut national des hautes études de sécurité en 2006 et nommé chevalier dans l'ordre national du Mérite le [1].

Il est marié et père de cinq enfants[2].

Il est parrain de l'un des cinq enfants d’Alain Bauer et de l'un des fils de Manuel Valls[3].

Parcours dans la police

En 1983, il est admis au lycée militaire d'Aix-en-Provence où il reste six ans. Après un an de service militaire dans les forces françaises en Allemagne, il réussit en 1991 le concours d'officier de la police nationale et il est affecté comme lieutenant de police à la Compagnie d'intervention à Paris en 1992. Il est promu capitaine le 22 juillet 1998[4], commandant de police le 22 décembre 2004[5], nommé à l'emploi fonctionnel de commandant de police le 16 février 2009[6].

Il siège à partir de 1995 en tant qu'élu du personnel à la commission administrative paritaire pour le corps de commandement de la police nationale. En 1998, il est nommé membre du Conseil supérieur de la Fonction publique de l'État[7].

De novembre 1998 jusqu'au printemps 2010, il est secrétaire général du syndicat Synergie-Officiers[8].

2010 à 2013

Il est choisi par Nicolas Sarkozy et Valérie Pécresse pour être tête de liste UMP pour la Seine-Saint-Denis à l'élection régionale de 2010 en Île-de-France[9]. Il est élu conseiller régional d'opposition le . Au regard du code électoral qui dispose que « ne sont pas éligibles »[10] « les fonctionnaires des corps actifs de police dans les cantons où ils exercent ou ont exercé leur fonction depuis moins de six mois[11] » et Bruno Beschizza n'ayant jamais travaillé en Seine-Saint-Denis, il aurait dû être déchu de son mandat.

Ayant refusé le statut d'attaché d'administration centrale qui lui est proposé, il est nommé sous-préfet hors cadre, le code électoral disposant également que les sous-préfets ne peuvent être élus « dans le département où ils exercent ou ont exercé leur fonction depuis moins d'une année[12]. » Il est nommé sous-préfet hors-cadre par décret du président de la République Française, Nicolas Sarkozy en date du [13],[14],[15],[16], et est titularisé conformément à la loi le [17]. Cela lui permet de continuer à exercer un mandat politique tout en ne subissant pas d'incompatibilité avec son statut de fonctionnaire. Bruno Beschizza est promu par Manuel Valls au grade à accès fonctionnel d'administrateur général[18].

Fin 2010, avec l'arrivée de Jean-François Copé à la tête de l'UMP, Bruno Beschizza est nommé secrétaire national à l'emploi des forces de sécurité. Il est membre de la « cellule riposte » dirigée par Brice Hortefeux et joue le rôle de « porte-parole officieux » pour l'UMP avec Valérie Rosso-Debord, Sébastien Huyghe et Franck Riester[19]. Il se distingue notamment lorsque Jean-François Copé le charge à l'été 2011 de questionner le Parti socialiste sur l'affaire Guérini, lui donnant même la parole en pleine conférence de presse[20].

En juin 2012, il est choisi candidat pour les élections législatives par l'UMP dans la troisième circonscription (anciennement treizième circonscription) de Seine-Saint-Denis, ancrée à gauche. Le député-sortant Michel Pajon, maire de Noisy-le-Grand, y avait réalisé en pleine « vague bleue » lors des élections législatives de juin 2007, un score de 54,79 % au second tour. En 2012, Michel Pajon remporte l'élection avec 60,38 % des voix au second tour, contre Bruno Beschizza, qui recueille 39,62 %[réf. souhaitée].

En mai 2013[21], il est investi par son parti comme tête de liste UMP pour l'élection municipale de 2014 dans la ville d'Aulnay-sous-Bois, tenue jusqu'alors par le socialiste Gérard Ségura. Ce dernier avait conquis la ville en 2008 après 25 ans de gestion de la ville par des maires de droite. Il déménage alors de Rosny-sous-Bois[22] pour s'installer dans cette ville dont il convoite la mairie. Le , Bruno Beschizza est élu maire d'Aulnay-sous-Bois en obtenant un score de 60,70 % des suffrages exprimés lors du second tour des élections, contre 39,30 % pour son rival socialiste[23]. Durant sa campagne, il reçut le soutien de nombreux politiques de son camp comme le député-maire de Meaux et président de l'UMP Jean-François Copé[24], le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois Philippe Dallier[25], ou encore le sénateur et ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin[26].

Depuis 2014

Bruno Beschizza prend ses fonctions de maire le au cours d'un conseil municipal d'installation[27]. Sa première décision[28] est d'écrire une lettre adressée au nouveau ministre de l'Éducation nationale Benoît Hamon, au sujet de la réforme des rythmes scolaires engagée par Vincent Peillon en 2013. Le nouveau maire estime « ne pas pouvoir appliquer ce décret dans des conditions satisfaisantes »[29] et « demande le report de son application. »

Bien que la droite soit minoritaire en voix, il est élu président du syndicat intercommunal SEAPFA par 27 voix contre 10 au maire EELV de Sevran, Stéphane Gatignon, car ayant reçu le soutien du député-maire Front de gauche François Asensi[30].

Le 12 décembre 2014, élu président de l'UMP, Nicolas Sarkozy le nomme secrétaire national aux relations à la sécurité[31].

Après un temps d'hésitation[32], Bruno Beschizza se lance finalement dans la course des élections départementales 2015 à Aulnay-sous-Bois et est élu conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis le avec 65,57% des suffrages aux côtés de Séverine Maroun, sa première adjointe à Aulnay-sous-Bois[33].

Après son élection, il annonce quitter son mandat de conseiller régional[34] mais garde finalement son mandat[35],[36]. Toutefois, arguant d'un recours concernant son élection au conseil départemental, il ne démissionne du conseil régional que fin novembre 2015, quelques jours avant le renouvellement de cette assemblée[37]. Tête de liste départementale Les Républicains-UDI-MoDem en Seine-Saint-Denis, dans le cadre de l'élection régionale de 2015 en Île-de-France conduite par Valérie Pécresse, il est réélu et annonce cette fois vouloir démissionner de son mandat au département[37].

Le 11 janvier 2016, il est élu[38] président de l'établissement public territorial Paris Terres d'Envol (territoire T7) qui rassemble huit communes séquano-dionysiennes de la métropole du Grand Paris.

Il soutient Nicolas Sarkozy au premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé orateur national chargé de la sécurité[39]. Au second tour, il se range derrière François Fillon[40].

Le 31 mars 2016, il est élu premier vice-président de l'établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF) aux côtés de Valérie Pécresse[41].

S'opposant en novembre 2016 à une campagne d'affichage de prévention de la transmission du SIDA entre personnes du même sexe, il prend un arrêté demandant le retrait des affiches représentant deux hommes qui s'embrassent. Il est critiqué par son opposant le député Daniel Goldberg : « Une affiche d'une femme embrassant un homme n'aurait pas déclenché cet arrêté. Cela porte un nom : l'homophobie[42]. » Alors que le maire d'Aulnay-sous-Bois considère cet affichage « contraire aux bonnes mœurs et à la moralité (...) et [risquant de] heurter la sensibilité de l’enfance et de la jeunesse », le préfet de la Seine-Saint-Denis estime cet arrêté illégal et saisit le tribunal administratif pour obtenir son annulation[43]. Qualifié d’arrêté homophobe par huit élus d'opposition, Bruno Beschizza les poursuivra par une plainte en diffamation. Mais le maire d'Aulnay-sous-Bois sera définitivement débouté quatre ans plus tard par la Cour de cassation et devra verser aux élus 2500 € au titre des frais de procédure administratifs[44].

Après la requalification de « viol en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique » en « violences volontaires en réunion avec arme par personnes dépositaires de l’autorité publique » contre les quatre policiers soupçonnés d’avoir violemment interpellé un jeune homme de 22 ans à Aulnay-sous-Bois le , l'ancien syndicaliste policier Bruno Beschizza conteste cette incrimination moins grave envers les policiers mis en cause. La jeune victime présente une section du sphincter anal et une lésion du canal anal de dix centimètres de profondeur et des blessures au visage lui valant un premier arrêt de 60 jours d’interruption totale de travail[45].

En 2017, il dépose plainte pour diffamation contre un blog local qui l'accuse de complaisance avec des « imams salafistes », qu'il dénoncerait dans ses discours généraux. Cette plainte compte parmi sept autres procédures intentées contre treize blogueurs et opposants politiques depuis son élection comme maire, ce qui conduit en avril 2021 le tribunal correctionnel de Paris non seulement à relaxer le blogueur au titre de la bonne foi, mais aussi à condamner Bruno Beschizza à verser 9 000  d’indemnités aux prévenus, estimant que la procédure était abusive et visait à faire taire toute forme de critique[46].

Au printemps 2018, il soutient l'ouverture de l'école musulmane hors contrat Philippe Grenier par l'association 'Espérance musulmane de la jeunesse française. En septembre 2018, un dirigeant de cette association accuse l'Éducation nationale « d'apprendre la masturbation » aux enfants, et « les laïcistes » d'avoir « enlevé le hijab de l’école », « lancé une vendetta contre les bandanas, les jupes longues, les sorties scolaires », « mis en application les ABCD » de l’égalité et de vouloir mettre en place « des sorties scolaires dans les Gay pride »[47],[48].

Le , la liste qu'il conduit pour les élections municipales remporte le scrutin avec 59,33 % des voix[49] mais avec seulement 32,92% de taux de participation[50].

Franc-maçonnerie

Franc-maçon depuis 2000 en étant d'abord initié au Grand Orient de France, il devient vénérable de sa loge en 2004, il a fait partie de deux loges en Île-de-France. En 2008, il quitte le Grand Orient pour rejoindre la Grande loge de France, une obédience moins progressiste et plus spiritualiste. Jusqu'en 2010, il niait son appartenance maçonnique[51].

Décoration

Notes et références

  1. « PolitiqueS - Sécurité : la gauche sous surveillance », sur LCP Assemblée nationale
  2. Julien Rebucci, « Bruno Beschizza: portrait du nouveau porte-flingue de Nicolas Sarkozy », Les Inrockuptibles, (ISSN 0298-3788, lire en ligne)
  3. « Arrêté NOR INTC9800327A »
  4. « Arrêté NOR:INTC0400941A »
  5. « Arrêté NOR:INTC0930037A publié au bulletin officiel du ministère de l'Intérieur »
  6. « Seine-Saint-Denis : Bruno Beschizza, “gamin de Montreuil”, policier et tête de liste UMP », Le Monde, 8 février 2010.
  7. « Article L340 du Code électoral », legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  8. « Article L195 du Code électoral », legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  9. Franck Johannès, « L’Elysée tente de sauver le siège de Bruno Beschizza », lemonde.fr, (consulté le )
  10. « NOR:IOCA1009407D »
  11. Remous autour de la promotion de Bruno Beschizza, Le Parisien, 28 avril 2010
  12. Bruno Beschizza sera nommé sous-préfet, Le Figaro, 21 avril 2010
  13. Le conseiller régional Bruno Beschizza va devenir sous-préfet, NouvelObs, 22 avril 2010
  14. Beschizza (UMP) titularisé sous-préfet, Le Figaro, 28 avril 2012.
  15. Le Canard Enchaîné, 10 juillet 2013
  16. « Comment l'UMP organise sa riposte », sur www.20minutes.fr
  17. « Copé veut confronter le PS à ses «contradictions» »,
  18. 93600INFOS - Municipales 2014: L’UMP aurait un candidat officiel (Aulnay Libre)http://93600infos.wordpress.com/2013/05/29/municipales-2014-lump-aurait-un-candidat-officiel-aulnay-libre/
  19. « Bruno Beschizza à l'assaut d'Aulnay », Le Parisien, (lire en ligne)
  20. MonAulnay.com: Municipales 2014 : Bruno Beschizza élu maire d’Aulnay-sous-Bois - http://www.monaulnay.com/2014/03/municipales-2014-bruno-beschizza-elu-maire-daulnay-sous-bois.html
  21. Le Parisien: Jean-François Copé est venu remotiver les militants UMP - http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/jean-francois-cope-est-venu-remotiver-les-militants-ump-29-11-2013-3359741.php
  22. Le Parisien : Seine-Saint-Denis : six villes basculent à droite - http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-six-villes-basculent-a-droite-31-03-2014-3727247.php
  23. 93600INFOS: EXCLUSIF : Réaction de Jean-Pierre Raffarin, ancien premier ministre, suite à son déplacement à Aulnay-sous-Bois hier soir - http://93600infos.fr/info/2014/03/11/exclusif-reaction-de-jean-pierre-raffarin-ancien-premier-ministre-suite-a-son-deplacement-a-aulnay-sous-bois-hier-soir/
  24. MonAulnay.com: Conseil municipal du 5 avril : La liste des 20 nouveaux adjoints - http://www.monaulnay.com/2014/04/conseil-municipal-du-5-avril-la-liste-des-20-nouveaux-adjoints.html
  25. MonAulnay.com : Réforme des rythmes scolaires : la lettre du maire d’Aulnay au ministre de l’Éducation nationale - http://www.monaulnay.com/2014/04/reforme-des-rythmes-scolaires-la-lettre-du-maire-daulnay-au-ministre-de-leducation-nationale.html
  26. 93600INFOS: Bruno Beschizza, officiellement maire d’Aulnay-sous-Bois depuis samedi matin - http://93600infos.fr/info/2014/04/11/bruno-beschizza-officiellement-maire-daulnay-sous-bois-depuis-samedi-matin/
  27. « Le syndicat intercommunal bascule à droite », Le Parisien, édition 93, (ISSN 0767-3558, lire en ligne)
  28. « Nominations », u-m-p.org, 12 décembre 2014.
  29. Gwenaël Bourdon, « A Aulnay, l'UMP veut prolonger l'effet «municipales » », Le Parisien, édition 93, (ISSN 0767-3558, lire en ligne)
  30. « Départementales 2015: Le duo Beschizza-Maroun élu avec 65,57 % des voix à Aulnay-sous-Bois », sur 93600INFOS, (consulté le )
  31. « Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, quitte le Conseil Régional pour le département », sur Aulnaycap, (consulté le )
  32. « BESCHIZZA », sur www.iledefrance.fr (consulté le )
  33. « Malgré l’impossibilité juridique de cumuler, le maire d’Aulnay brigue la tête de liste 93 des régionales | MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) », sur MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) (consulté le )
  34. Gwenaël Bourdon, « Aulnay : Beschizza, conseiller régional démissionnaire… et réélu », leparisien.fr, (consulté le )
  35. Hervé Suaudeau, « Bruno Beschizza établit un record de cumul avec son nouveau mandat de Président de territoire », monaulnay.com, (consulté le )
  36. « Primaire à droite : l’équipe de campagne de Sarkozy se précise », lemonde.fr, 31 août 2016.
  37. Thomas Poupeau, « Les pro-Sarkozy se rangent derrière Fillon », leparisien.fr, (consulté le )
  38. « Communiqué de presse: Valérie Pécresse, Présidente du Conseil Régional d’Ile-de-France, Élue à l’unanimité, Présidente du Conseil d’Administration de l’EPF Ile-de-France », EPF Île-de-France (EPFIF), (lire en ligne, consulté le )
  39. Thomas Poupeau, « Aulnay : le maire interdit les affiches de prévention contre le Sida », leparisien.fr, (consulté le )
  40. « Aulnay-sous-Bois : le préfet saisit la justice pour faire suspendre l'arrêté du maire contre la campagne de prévention du Sida », francetvinfo.fr, (consulté le )
  41. Par Alex et re Arlot Le 5 avril 2021 à 16h56, « Campagne anti-sida : taxé d’homophobie, le maire d’Aulnay est définitivement débouté », sur leparisien.fr, (consulté le )
  42. Julia Pascual, « Soupçons de viol par des policiers : le maire d’Aulnay-sous-Bois dénonce « un détournement de vérité » », lemonde.fr, (consulté le )
  43. Arnaud Kubacki, « Le maire d’Aulnay-sous-Bois condamné à 9000 € d’indemnités pour procédure abusive », sur aulnaycap.com, (consulté le )
  44. « À Aulnay-sous-Bois, une école musulmane hors contrat très soutenue par le maire LR Bruno Beschizza », sur Marianne, (consulté le )
  45. « Aulnay-sous-Bois : une école privée musulmane pour éviter "les sorties scolaires dans les gay prides" », sur Marianne, (consulté le )
  46. Thomas Poupeau, « Municipales à Aulnay : le maire sortant LR Bruno Beschizza réélu dans un fauteuil », sur Le Parisien,
  47. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  48. Delphine Dyèvre et François Koch, « Dans le 93, débuts laborieux pour Beschizza, policier et franc-maçon », L'Express, (ISSN 0014-5270, lire en ligne)
  49. « Décret du 13 juillet 2018 portant promotion et nomination », sur legiondhonneur.fr (consulté le ).

Lien externe

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