Bozouls

Bozouls (Boason en occitan), est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Bozouls

Bozouls et son canyon

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Communauté de communes Comtal Lot et Truyère
Maire
Mandat
Jean-Luc Calmelly
2020-2026
Code postal 12340
Code commune 12033
Démographie
Gentilé Bozoulais, Bozoulaises
Population
municipale
2 886 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 11″ nord, 2° 43′ 13″ est
Altitude Min. 355 m
Max. 711 m
Superficie 69,69 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Causse-Comtal
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bozouls
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Bozouls
Géolocalisation sur la carte : France
Bozouls
Géolocalisation sur la carte : France
Bozouls
Liens
Site web Site officiel

    Les habitants de Bozouls sont les Bozoulais(es)[1].

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Bozouls se trouve au centre-nord du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole des Grands Causses[2].

    Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Rodez[3], préfecture du département, et à 17 km de Sébazac-Concourès[4], bureau centralisateur du canton de Causse-Comtal dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bozouls[5].

    Les communes les plus proches sont[6] : Bessuéjouls (6,2 km), Gabriac (6,2 km), Espalion (6,7 km), Rodelle (7,8 km), Sébrazac (7,9 km), Montrozier (8,7 km), Saint-Côme-d'Olt (9,0 km), Coubisou (9,2 km), Bertholène (9,6 km).

    La commune de Bozouls, appelée parfois « la porte du Haut Rouergue », est vaste. Sa superficie avoisine les 7 000 hectares. Elle appartient, dans son ensemble, au Causse situé au nord de Rodez. Le bourg a la particularité de s’être construit autour d'un canyon naturel, creusé par la rivière du Dourdou et qui fait penser à un site naturel fortifié. L'habitat s'est développé au bord des parois vertigineuses et occupe également le long promontoire ou se dresse l'église romane de Sainte-Fauste. Ce site classé Espace naturel sensible[7] peut en effet, grâce à son abîme impressionnant, le Trou de Bozouls, revendiquer l’une des toutes premières places parmi les curiosités naturelles de la région[8].

    Paysage et relief

    Le village a été construit autour du méandre d'une petite rivière, le Dourdou. Cette rivière a creusé, dans la roche calcaire, une gorge en forme de fer à cheval de 400 m de diamètre et de 100 m de profondeur, en haut duquel une partie du village se trouve. Ce site est appelé le Trou de Bozouls.

    Climat

    Relevé des températures (Météo France)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) 0,2 0,4 2,6 4,7 8,6 11,9 14,3 14,1 11,1 8,3 3,6 1,1
    Température moyenne (°C) 3 4 6,4 8,5 12,6 16,2 18,8 18,9 15,4 11,9 7,6 4
    Température maximale moyenne (°C) 6 7 11 13 17 22 26 26 20 15 9 7
    Source : Météo France

    Hameaux

    Commune de Bozouls

    Le territoire communal compte de nombreux villages :

    • Aboul, ancien prieuré de Saint-Jean Baptiste dépendant de l'abbaye de Vabres, rattaché au XIIe à la commanderie des Hospitaliers des Canabières. Église romane (XIIe) avec clocher (remonté vers 1878) à la croisée du transept. Curieuses colonnes géminées dans le chœur. Portail avec chapiteaux à entrelacs et main bénissante au-dessus. Ancienne dévotion à saint Jean-Baptiste. À proximité, ancien château des commandeurs : édifice de la Renaissance avec tourelle en poivrière. Seigneurie de Louis de Rieu (1604), puis des Campselves. Passage de la draille de Rodez.
    • Alac, massif de basalte. Petite exploitation de phosphorite, qui n'eut pas de suites (XIXe). Dolmens ;
    • Aubignac, domaine de la commanderie du Temple d'Espalion. Les Bessière-Bastide en furent les fermiers au début du XVIIIe siècle C'était sous la Révolution la plus grande ferme du district de Rodez. Elle devint la propriété des Passelac (général d'Empire, sous-préfet d'Espalion), qui y construisirent un château. Dolmens dans les environs.
    • Barriac, prieuré de Saint-Pierre-ès-liens, donné en 1318 à l'archidiacre de Conques. Église reconstruite en 1877 par Vanginot. Grotte dans les environs.
    • Le Bruel, grande ferme du XVIIIe siècle avec tour de la Renaissance. Seigneurie des Méjanès au XVIIIe.
    • Les Brunes, petit château de J.G. Bonenfan (1789) agrandi au XIXe.
    • Brussac, prieuré de Saint-Vincent, à la nomination de l’évêque (XIIe). Seigneurie de la famille Brussac (XIIe-XVe), puis de la famille de Glandière, acheté en 1960 par Raymond Jouery, marchand. Grosse tour.
    • Le Colombier, domaine des Ursulines d'Espalion à la fin du XVIIIe. Puis demeure de la famille Boisse, en partie construite par Adolphe Boisse, géologue et député, auteur de l'Esquisse géologique du département de l'Aveyron, et par son fils, le contre-amiral Emile Boisse de Black (1848-1926).
    • Curlande anciennement Turlande, seigneurie de la famille Goudal de la Pradelle (1649-XVIIIe siècle).
    • Gavernac, village natal des frères Denys Puech (1852-1942), directeur de la Villa Médicis de 1921 à 1933, et Louis Puech. Passage de la draille d'Espalion à Rodez.
    • Gillorgues, prieuré de Saint-Amans, à la nomination de l’évêque. La paroisse s'étendait sur l'actuelle commune de Montrozier. Seigneurie du comte de Rodez ;
    • Mas-Majou ; résidence d'une branche de la famille de Roquefeuil (XVIIIe) ;
    • Les Molinières ; beaux bâtiments et tours construits en 1632. Demeure des familles d'Alboy, puis Jouery et des Fleyres (XVIIe-XVIIIe). Chapelle domestique fondée en 1624. Le lieu relevait de la paroisse de Sainte-Eulalie ;
    • Peyrolles, tour de quatre étages. Résidence de la famille de Peyrolles (XIIIe-XIVe), puis de la famille de Fleyres (XVIIe-XVIIIe), puis de la famille de Thezan. Lieu de naissance du général Passelac. Chapelle domestique fondée en 1654.
    • Puech del Jou, massif volcanique avec vestiges gallo-romains. Jou pourrait rappeler le nom de Jupiter (Podium Jovis) ;
    • Séveyrac, grange forte de l'abbaye de Bonneval (XVe siècle) au bord de la grande draille des transhumants. Elle fut donné à l'abbaye par les comtes de Rodez. Les Frayssinous en furent fermiers à la fin du XVIIIe siècle La grange et le domaine furent vendus comme Bien National en 1792. J.-B. Frayssinous les racheta. Chapelle domestique ;
    • La Viguerie ; découverte en de la statue d'un personnage gaulois au torque.

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Bozouls.

    La commune est drainée par le Dourdou de Conques, le ruisseau d'Astruges, le ruisseau de Gibrou, le ruisseau de Brieulac, le ruisseau de Farayroles, le ruisseau de Fignac, le ruisseau de Rieutord et par divers petits cours d'eau[9].

    Le Dourdou de Conques, d'une longueur totale de 83,7 km, prend sa source dans la commune de Lassouts et se jette dans le Lot à Conques-en-Rouergue, après avoir arrosé 12 communes[10].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[11],[12],[13].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 115 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[16]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau de la commune[17], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[18], à 10,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22]. Les « Vieux arbres de la haute vallée de l'Aveyron et des abords du Causse Comtal », d'une superficie de 1 630 ha, est un secteur à très large dominance bocagère comprenant un réseau dense de haies et de bosquets riches en vieux arbres, riche par la présence de nombreux coléoptères dont Osmoderma eremita, de loin la plus grosse population connue en Midi-Pyrénées[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Bozouls comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3],[24] :

    • l'« Agrosystème de Grioudas » (335,4 ha)[25]
    • les « Bois et pelouses d'Envaux » (60,2 ha)[26];
    • le « Causse Comtal, bois de Vaysettes et de la Cayrousse » (1 796 ha)[27];
    • la « Vallée du dourdou à Bozouls » (163,6 ha)[28].

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[24] :

    • le « Causse comtal » (13 496 ha), qui s'étend sur 9 communes[29];
    • la « Vallée du Dourdou » (5 964 ha), qui s'étend sur 16 communes de l'Aveyron[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Bozouls est une commune rurale[Note 5],[31]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[32],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[34],[35].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Bozouls.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,2 %), zones agricoles hétérogènes (38,4 %), forêts (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), zones urbanisées (2,6 %), terres arables (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[36].

    Planification

    La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[37]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[38].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bozouls est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[39],[40].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Bozouls.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Dourdou de Conques. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[41]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Dourdou de Conques Amont»[42], approuvé le 27 octobre 2014[43].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[44].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[39]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[45]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[46]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[47].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[48].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Bozouls est classée à risque moyen à élevé[49].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Divinité au torque et au poignard, dite « dieu de Bozouls »

    L'occupation préhistorique fut dense : le Causse Comtal parait être une des régions de France où la densité des dolmens est la plus forte. Leur présence autour de la draille confirme l'ancienneté de cette voie. L'occupation romaine fut également très forte : seize noms en "ac" au moins dans la commune de Bozouls, les vestiges affleurent dans tous les coins.

    La forme ancienne du nom est Baodone puis Boazon, prononcée Bouozou[réf. nécessaire]. Bozouls est un ancien oppidum placé sur un promontoire aux falaises verticales, dans une boucle du Dourdou : les restes d'un ancien mur, fait de blocs cyclopéens montrent bien que le promontoire sur lequel s'élève l'église Sainte-Fauste était barré. Au-dessous se trouve le fameux abîme, dit le Trou de Bozouls. Une statue de personnage gaulois trouvée près de la Viguerie, en 1958, suffirait à prouver, s'il était nécessaire, que l'installation de l'homme en ces lieux est ancienne.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Bozouls est membre de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[50], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Espalion. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[51].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[50]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Causse-Comtal pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[50], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[52].

    Élections de 2020

    Tête de listeSuffragesPourcentageCMCC
    Jean-Luc Calmelly100579,19 %216
    Jean-Paul Cabanettes26420,8 %20

    Le conseil municipal de Bozouls, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[53], pour un mandat de six ans renouvelable[54]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 23[55]. Les vingt-trois conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 55,34 %, se répartissant en vingt et un issus de la liste conduite par Jean-Luc Calmelly et deux issus de celle de Jean-Paul Cabanettes[56]. Jean-Luc Calmelly, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [57].

    Les six sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère sont alloués à la liste de Jean-Luc Calmelly[56].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1900 1908 Pierre Vieillescaze    
    1908 1935 Paul Causse    
    1935 1945 Eugène Vieillescaze    
    1945 1964 Arsène Ratier    
    1964 1995 André Baudon UDF Maire
    • Conseiller Général de l'Aveyron
    1995 2008 Gérard Descrozaille   Maire
    2008 En cours Jean-Luc Calmelly[58],[59]   Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[61].

    En 2018, la commune comptait 2 886 habitants[Note 7], en augmentation de 4,68 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6012 3062 7032 5662 8762 8552 5862 5972 771
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5992 6122 5772 5112 5582 4862 5152 3022 250
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1211 9721 9041 7221 7921 8121 7591 6231 511
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 6161 7011 8172 0322 0602 3292 7232 7522 828
    2018 - - - - - - - -
    2 886--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee à partir de 2006[63].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine naturel

    • Le Trou de Bozouls, qui fait la réputation du village.

    Édifices religieux

    • Église Sainte-Fauste de Bozouls  Inscrit MH (1920)[64] : église romane du XIIe siècle, bâtie de grès rose sur le promontoire rocheux du site. Elle comprend une nef de cinq travées et deux collatéraux forts étroits et un chœur entouré d'un déambulatoire. Les collatéraux ont été construits ultérieurement pour soutenir les murs. En effet, la masse de la voûte commençait à écarter le haut des murs. En observant bien la voûte, on remarque bien que la verticalité des murs n'est pas parfaite.
    • Église Sainte-Fauste d'Aboul  Inscrit MH (1987)[65] construite au XIIe siècle par les Hospitaliers.
    • Église Saint-Amans de Gillorgues.
    • Ancienne grange monastique de Séveyrac  Inscrit MH (2003)[66].
    • Chapelle du Saint Esprit : Édifice du XIIIe de style roman, jadis dans l’ancien cimetière des pauvres. Restes de fresques (Sainte Catherine et Saint Georges) (propriété privée).
    • Chapelle Sainte-Catherine de Sainte-Catherine : Au départ de la route vers Barriac, fondée en 1307 mais de style roman. Ancienne dévotion. Il y aurait eu à côté une léproserie.
    • Église Saint-Pierre-ès-Liens de Barriac.
    • Église Saint-Vincent de Brussac.
    • Église Saint-Pie-X de Bozouls : située sur le plateau, rive droite du Dourdou, première pierre bénite en 1962, elle fut réalisée par l’architecte J.P Pecquet. Sa vaste nef dépouillée semble projeter son étrave vers le soleil levant. Le clocher, tel un campanile à l’italienne est détaché de la massive bâtisse.

    Édifices civils

    • Tours : elles sont situées de part et d’autre du goulet d’étranglement par lequel le ravin de l’Alrance débouche dans les gorges du Dourdou. Cette échancrure naturelle était un passage obligé et pratique pour accéder au niveau du Dourdou et le franchir sur un pont situé légèrement en amont. Il est probable que les deux tours subsistantes faisaient partie d’un ensemble surveillant le passage et l’accès à la côte de l’Hospitalet.
    • Quartier dit du « château » : il comprend l’ensemble des maisons construites sur l’éperon rocheux, au milieu du méandre du Dourdou, où se trouve l’église Sainte Fauste, et où s’élevait jadis un château, résidence secondaire des comtes de Rodez. Si le château a été probablement démantelé, il reste les vestiges d’un rempart barrant l’accès au promontoire côté Sud, seul côté ne bénéficiant pas des protections naturelles de l’escarpement des falaises. L’appareil des « blocs cyclopéens » encore en place, permet d’évoquer une origine très ancienne. Une deuxième fortification devait s’élever près de la place du Portalet (le petit portail). Les temps devenant plus sûrs, le quartier s’étendit alors à l’extérieur des fortifications vers le Sud..
    • Fontaine d’Alrance : une des grandes sources des causses aveyronnais, après celles de Sorgues et de Salles la Source. Elle est une exsurgence pérenne qui alimente le village en eau potable jusqu’au milieu du XXe siècle d’où son nom de fontaine.
    • Le lavoir est alimenté par la fontaine de l’Alrance.
    • Site archéologique du dolmen de la Fontaine-aux-Chiens  Inscrit MH (1994)[67].
    • Jardin d'agrément dit parc du château de Vayssettes, inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel[68] (visite du parc gratuite)[69].

    Bozouls dans l'Art

    Personnalités liées à la commune

    • Cécile_de_Rodez Comtesse de Rodez,Armagnac et Fezensac habitait le château.
    • Bonne_de_Berry née en 1367 princesse capétienne de la dynastie Valois résidait au château.
    • Famille de Fleyres seigneurs et barons de Bozouls entre le XVIe et le XVIIIe siècle.
    • Denys Puech, sculpteur, y est né en 1854.
    • Louis Puech, homme politique, frère du précédent, y est né en 1852.
    • Raoul Cabrol, caricaturiste, y est né en 1895.
    • Henri Canonge, ingénieur agronome, ancien directeur de la CNMCCA, y a vécu et y a été président de l'amicale des enfants du canton de Bozouls.
    • Jean-Antoine Passelac, né au hameau de Peyrolles en 1773 et mort à Aubignac le . Maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis et officier de la légion d'honneur.
    • Adolphe Boisse, 1810-1896 homme politique et ingénieur, député de l’Aveyron et géologue : ses travaux d'exploration géologique dans l'Aveyron ont largement inspiré les créateurs du musée « Terra Memoria » à Bozouls. Il possédait le château du Colombié.
    • Hans Vleugels, né à La Haye en 1924 artiste peintre
    • Gille Saby accordéoniste né le

    Héraldique

    Blasonnement :
    Tiercé en pairle : au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au deuxième de gueules au léopard lionné d'or, au troisième barré d'or et de gueules de six pièces.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Boason : Gabriac, La Lobièira, Mont Rosièr, Rodella / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Boason, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 235 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-17-3, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36679010)
    • R. Combal, S. Fraissine et J. Maruéjouls, Un trésor de découvertes : Bozouls, Conques, Marcillac : Aveyron, Bozouls, Pôle d'économie du patrimoine Dourdou, Causse, Rougier, , 47 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm (ISBN 2-9524468-0-6, notice BnF no FRBNF40144090)
    • Jean-Michel Cosson, Le Dictionnaire de l'Aveyron, Barcelone, Loubatières, , 464 p., ill. en noir et blanc, couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-86266-471-5)
    • René Mignon, Géologie et Patrimoine du Rouergue, Rodez, CRDP de Midi-Pyrénées, , 248 p., ill. en noir et en coul, couv. ill. en coul. ; 28 cm (ISBN 978-2-86565-398-0, notice BnF no FRBNF41057913)
    • Albert Ginisty, Monographie de Bozouls, Éditions Subervie, 1969.

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    63. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    64. « Église Sainte-Fauste », notice no PA00093972, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. « Église d'Aboul », notice no PA00093971, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. « Ancienne grange monastique de Séveyrac », notice no PA12000028, base Mérimée, ministère français de la Culture;
    67. « Site archéologique du dolmen de la Fontaine-aux-Chiens », notice no PA00132658, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. « Jardin d'agrément dit parc du château de Vayssettes », notice no IA12000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. Maison forte de Vayssettes - Bozouls, sur chateau.over-blog.net.
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