Bouin (Vendée)

Bouin ([bwɛ̃]) est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Les habitants de Bouin sont les Bouinais(es).

Pour les articles homonymes, voir Bouin.

Bouin

L'église Notre-Dame.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Communauté de communes Challans-Gois Communauté
Maire
Mandat
Thomas Gisbert de Callac
2020-2026
Code postal 85230
Code commune 85029
Démographie
Gentilé Bouinais
Population
municipale
2 157 hab. (2018 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 28″ nord, 2° 00′ 02″ ouest
Altitude m
Min. 0 m
Max. 6 m
Superficie 52,25 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-de-Monts
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Bouin
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Bouin
Géolocalisation sur la carte : France
Bouin
Géolocalisation sur la carte : France
Bouin
Liens
Site web Site officiel

    Avant la création des départements, Bouin faisait partie des Marches Bretagne-Poitou avec une appartenance commune à la Bretagne et au Poitou sur le plan temporel, et à la Bretagne (diocèse de Nantes) sur le plan spirituel.

    Nombre de Bouinais comprenaient - ou parlaient - encore à la fin du XXe siècle le patois maraichin d'origine poitevine[1].

    Géographie

    Le territoire municipal de Bouin s’étend sur 5 225 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 2 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 6 mètres[2],[3].

    Bouin est située au cœur du Marais breton vendéen située sur l'axe Nantes-Noirmoutier. L'activité salicole a longtemps été l'activité principale de Bouin (Bouin était la commune la plus productrice de sel de tout le marais breton vendéen), et de la Baie (Baye) de Bretagne, telle qu'appelée à l'époque. Aujourd'hui l'ostréiculture (180 exploitants, huîtres Vendée Atlantique) et l'aquaculture sont devenues les activités principales de l'ancien marais salant.

    Au nord-ouest de la Vendée, Bouin vit au rythme de la culture du mollusque. Construit à l'embouchure d'un étier, où se rejoignent les canaux du marais, l'étroit port abrite les embarcations des pêcheurs et ostréiculteurs du village. Quand la saison bat son plein, d'août jusqu'à mars, les 180 ostréiculteurs de la commune sont dehors presque douze heures par jour pour récolter, trier et nettoyer les huîtres. Ils les vendent ensuite notamment sur les marchés nantais, dont les emplacements se transmettent de génération en génération. Les huîtres de la baie de Bourgneuf, charnues et croquantes, figurent parmi les plus recherchées de France. Pendant longtemps, Bouin a cherché à gagner des parcelles de terre sur la mer. Grâce à la construction d'une digue de trois kilomètres entre 1959 et 1962, des polders ont été créés et ont ainsi permis à la culture des huîtres de s'étendre. Sur ces terres « artificielles », la commune a aussi installé un parc de huit éoliennes, un des plus puissants de l'Hexagone, qui alimente en électricité 20 000 foyers de la région[4].

    Les communes entourant Bouin sont Les Moutiers-en-Retz, Bourgneuf-en-Retz, Bois-de-Céné, Saint-Gervais et Beauvoir-sur-Mer.

    Elle est la commune la plus au sud de la Bretagne historique. Le lieu est notamment cité comme limite méridionale de la Bretagne dans l'édition 1843 du Dictionnaire historique et géographique de la Bretagne[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Bouin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,1 %), zones humides intérieures (31,8 %), terres arables (21,2 %), zones humides côtières (4,6 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Le nom de la commune vient soit d'un domaine agricole "Villa Bono" de l'époque gallo-romaine, soit d'un mot gaulois signifiant frontière qui marquerait la limite entre les tribus gauloises Ambilatres au nord et les Pictons au sud. Ce mot se retrouve également dans une commune des Deux-Sèvres pour marquer l'ancienne limite entre les Santons et les Pictons.

    La forme ancienne L'Isle de Bouin ou Boing figure dans les archives anciennes.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Île-Marat[16].

    En poitevin, la commune est appelée Bougn[17].

    Histoire

    Le 7 juin 567, un raz de marée couvrit entièrement l'île et y fit périr tous ses habitants.

    En 577, quelques dizaines de foyer vinrent s'installer à divers endroits de l'île. Pour se protéger de l'océan, ils durent construire des montes de terre remplacés peu à peu par les digues actuelles.

    En 820, l’île de Bouin est prise et brûlée par les Vikings.[réf. nécessaire][18]

    En 1473, elle fut brûlée par des soldats français qui venaient faire la guerre à la Bretagne. Venant du sud, il brûlèrent la première paroisse bretonne qu'ils rencontrèrent. Ce fut donc l'Isle de Bouin.[réf. nécessaire][19]. Le roi de France, qui vient de brûler Bouin, trouve la ville voisine de Machecoul déserte à son approche : il voulait y faire une entrée triomphale, mais il parcourt la ville vide, car personne ne vint à sa rencontre. Les Machecoulais sont restés cachés dans leurs maisons, apeurés [réf. nécessaire].

    En 1714, Bouin est érigée en baronnie[5].

    Dès le haut Moyen Âge, des salines s’étiraient tout au long des côtes de l’Atlantique. La plupart appartenaient aux monastères qui ont su tirer profit de cet "or blanc" : par exemple les principales salines de l’abbaye cistercienne de Buzay se trouvaient dans l’île de Bouin. Les très nombreuses chapellenies de la région, elles possédaient dans l’île de Bouin, un total de 8 891 "aires saunantes", parmi elles celle des Trois Maries[20] ou celle de Saint-Julien-le-Martyr par exemple[21].

    Le , un arrêt du Conseil d'État prescrit que Bouin demeure sous la juridiction de l'Amirauté des Sables d'Olonne[5].

    Avant 1790, Bouin appartenait aux Marches Bretagne-Poitou, relevant de la Bretagne et de la sénéchaussée de Poitou au temporel, et de la Bretagne (diocèse de Nantes) au spirituel[22].

    Le 25 janvier 1799, un important tremblement de terre détruit de nombreuses maisons[23]. Les jours qui suivirent connurent des répliques.

    La poldérisation

    Avant la création de la digue protégeant le Marais breton des raz-de-marée, Bouin était sur une île : l'Ile de Bouin. Grâce à la digue il y a eu une poldérisation avec le gain de terre sur la baie de Bourgneuf.

    En 2003 sont construites huit éoliennes sur les polders de Bouin. Ces éoliennes sont parmi les premières installées en France. Depuis elles sont devenues de véritables attractions amenant les touristes sur la digue, dans le marais de Bouin et au Port-du-Bec. Elles sont capables d'alimenter 20 000 foyers[24].

    Une des éoliennes de 62 m s'est écrasée au sol lors du passage de la tempête Carmen le [25].

    Patrimoine bâti

    Bouin possède de belles demeures anciennes, telles que l'ancien château du Sénéchal de Poitou (derrière l'église), l'ancien présidial (devenu la mairie) et l'hôtel du Sénéchal de Bretagne (dans la Grand'Rue).

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à la nef d'or, grée et mâtée du même, avec une voile et un pennon d'argent, voguant sur une mer de sinople, cantonnée à dextre en chef d'une étoile aussi d'or posée en bande.

    Ce blason figure sur l'un des vitraux de l'église Notre-Dame de Bouin

    Politique et administration

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790  ? René-Julien Hardouin[26]   Chirurgien
    Chef du soulèvement vendéen à Bouin en 1793
    Les données manquantes sont à compléter.

    (décès)
    Achille Le Cler Droite Propriétaire
    Conseiller général, élu dans le canton de Beauvoir-sur-Mer (1892-1910)
    Président du conseil général de la Vendée (1893-1910)
    Les données manquantes sont à compléter.
    André Rousteau Radical Conseiller général, élu dans le canton de Beauvoir-sur-Mer (1919-1925)
    Ludovic Lancelot Conservateur Conseiller général, élu dans le canton de Beauvoir-sur-Mer (1925-1940)
    Les données manquantes sont à compléter.

    (décès)
    Raoul Pélote[27] PRL puis DVD Conseiller général, élu dans le canton de Beauvoir-sur-Mer (1945-1960)

    (décès)
    Raoul Pélote
    (fils du précédent)
    DVD puis
    UDF-CDS
    Retraité de l’ostréiculture
    Conseiller général, élu dans le canton de Beauvoir-sur-Mer (1960-1998)
    Jean-Yves Gagneux[28] DVD Retraité de l’ostréiculture
    En cours Thomas Gisbert de Callac[29] LR Chef d’entreprise
    Expert en mobilier et objets d’art
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    En 1779, la commune comptait 3 000 communiants (selon Ogée : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, première édition)[30].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 2 157 habitants[Note 3], en diminution de 0,37 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0002 0182 0522 5362 6402 5062 6122 8062 800
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 8392 8442 9012 7762 7922 7592 8142 7672 670
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6382 8462 8362 4352 3772 3172 2672 2272 059
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 1332 1462 2372 2922 2682 2422 2062 2012 196
    2013 2018 - - - - - - -
    2 1652 157-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,6 %, 15 à 29 ans = 13,5 %, 30 à 44 ans = 18,4 %, 45 à 59 ans = 22,5 %, plus de 60 ans = 30,1 %) ;
    • 52,4 % de femmes (0 à 14 ans = 13,7 %, 15 à 29 ans = 12,2 %, 30 à 44 ans = 17,5 %, 45 à 59 ans = 19,9 %, plus de 60 ans = 36,7 %).
    Pyramide des âges à Bouin en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ans ou +
    1,8 
    9,8 
    75 à 89 ans
    16,6 
    19,5 
    60 à 74 ans
    18,3 
    22,5 
    45 à 59 ans
    19,9 
    18,4 
    30 à 44 ans
    17,5 
    13,5 
    15 à 29 ans
    12,2 
    15,6 
    0 à 14 ans
    13,7 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    7,3 
    75 à 89 ans
    10,6 
    14,9 
    60 à 74 ans
    15,7 
    20,9 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,4 
    30 à 44 ans
    19,3 
    17,3 
    15 à 29 ans
    15,5 
    18,9 
    0 à 14 ans
    17,4 

    Lieux et monuments

    Chapelle

    Personnalités liées à la commune

    • Patrie de Charles Renoux.
    • René-Julien Hardouin (1739-1795), premier maire de Bouin en 1790, chef du soulèvement vendéen à Bouin en 1793.
    • Sébastien Luneau (1800-1880,) député de la Vendée et bienfaiteur de la ville de Bouin.
    • Emmanuel Lansyer (né en 1835 à Bouin, mort en 1893), grand peintre paysagiste, a légué son œuvre et sa maison à la ville de Loches (musée municipal gratuit).
    • Achille Le Cler, fondateur de la société des Polders.
    • Pierre Marchand (1939-2002), éditeur, créateur de Gallimard Jeunesse.
    • Yvon Traineau, fondateur de "L'École de Bouin", avec Franchto, G. Planet etc.
    • Francois Touzeau (1795-1866) Maire de Bouin, de 1848 à 1860

    Animations

    La Fête des gobeurs d'huîtres, également appelée kermesse, est nommée ainsi par l'apparition de l'épreuve des gobeurs d'huîtres, créée en 1963, où les concurrents doivent, en tenue d'ostréiculteur, déguster le plus d'huîtres possible en un temps donné. De plus cette fête est complétée par d'autres attractions comme le lapinodrôme (où un lapin doit entrer dans une case portant votre numéro), une roue de la fortune (telle celle utilisée dans l'émission La roue de la fortune), un jeu de bowling, une grande tombola dont le premier prix est une vache nommée Gratte-huître, un défilé de voitures anciennes et de chars, un grand stand de dégustation d'huîtres et en soirée un dîner champêtre avec moules marinières, huîtres, saucisses grillées aux mojettes pendant un spectacle folklorique, un bal gratuit et beaucoup de stands pour les enfants.

    Cette fête a lieu le premier dimanche d'août de chaque année.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le premier dictionnaire du patois de la Vendée par Charles Mourain de Sourdeval réa-noté par Pierre Rézeau dans une édition du livre en 2003
    2. « Commune 10715 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    3. « Bouin », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    4. GEO no 397 de mars 2012 p. 119.
    5. Dictionnaire historique et … - Google Livres Ogée, Marteville et Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, édition de 1843, tome 1er.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 53.
    18. Annales Royales, Hanovre, éd. Kurze, , p. 154..
    19. le patrimoine des communes de la Vendée, édition flohic
    20. Le nom provient du culte des Trois Maries, répandu au Moyen Âge
    21. http://www.shpr.fr/?Les-moines-et-le-sel-de-la-Baie
    22. , d'après les registres paroissiaux de Bouin.
    23. http://www.sisfrance.net/fiche_scan.asp?numevt=440015&chrono=7195
    24. « Parc éolien - Mairie de Bouin », sur Mairie de Bouin (consulté le ).
    25. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/challans-85300/tempete-carmen-eolienne-de-bouin-au-sol-ce-serait-une-mini-tornade-5480134
    26. Julien Rousseau, Charette, chevalier de légende.
    27. Pélote, Raoul - Dictionnaire historique des vendéens, sur le site des Archives départementales de la Vendée
    28. « Bouin : Jean-Yves Gagneux élu maire », Ouest-France, .
    29. « Thomas Gisbert a pris le fauteuil de maire, vendredi », Ouest-France, .
    30. Ogée : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, première édition
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 », sur insee.fr (consulté le ).
    36. "Bouin, isle de mer au milieu des terres" par Thomas GISBERT-GUINGUENE DE CALLAC, Éditions l’Étrave, 2003
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