Bassevelle

Bassevelle est une commune française située dans la communauté de communes du Pays fertois, au nord-est de Seine-et-Marne dans l'arrondissement de Meaux et en région Île-de-France. Elle fait partie de l'aire urbaine de Paris.

Bassevelle

La mairie-école.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Jean-Marie Van Landeghem
2020-2026
Code postal 77750
Code commune 77024
Démographie
Gentilé Bassevellois
Population
municipale
377 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 38″ nord, 3° 17′ 16″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 206 m
Superficie 17,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Bassevelle
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
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Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
Bassevelle
Liens
Site web bassevelle.fr

    Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 377 habitants.

    Connue pour ses célèbres fêtes de la Moisson autrefois organisées entre 2002 et 2008 attirant des milliers de personnes l'espace d'un week-end, la commune a su entretenir et maintenir son côté rural tout en poursuivant un développement raisonnable.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 13,7 kilomètres à l’est de La Ferté-sous-Jouarre[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est située sur un plateau briard aux frontières limitrophes de l'Aisne au nord, de la Marne à l'est ; son altitude varie entre 104 et 206 mètres[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Bassevelle.

    La commune est située entre les rivières de la Marne au nord et du Petit Morin au sud-ouest. Son réseau hydrographique se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • le ru de la Fonderie[2], qui conflue avec le Petit Morin ;
    • le ru du Bois, km[3], affluent du Petit Morin ;
    • le ru des Étangs , 3,1 km[4], qui conflue avec le ru d'Avaleau ;
    • le fossé 01 de la Grande Masure[5].

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,29 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 2,6 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 767 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -3,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 57 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Bassevelle comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[14], les « Bois de Boitron et Alentours du Ru de la Fonderie » (144,27 ha), couvrant 4 communes du département[15] , et un ZNIEFF de type 2[Note 3],[14], la « vallée du Petit Morin de Verdelot à la Ferte Sous-Jouarre » (4 988,89 ha), couvrant 15 communes du département[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Bassevelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[24].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 102 lieux-dits administratifs répertoriés[25].

    Morphologie

    La commune est composée de 23 hameaux, situés pour la grande majorité autour des deux départementales principales 55 et 407, issus des anciens fiefs et prieurés qui formaient le territoire. Ces hameaux sont ceux du Petit-Villiers, des Groseillers, du Petit Bassevelle, du Bourg, des Maillots, des Pauliers, de la Maltournée, de la Belle Idée, de la Boue, de Salnove, Ferme de l'Île, de la Noue, de la Fosse-Arbois, de la Croix-Verte, de la Croisellote, de Vapre, du Bois Cornouaille, de Fromentières de Montplaisir, la Verdure et du Cabaret rouge.

    Les hameaux dits principaux recueillant la plus grande part de la population, des arrêts de bus ou des services ambulants sont la Belle Idée, le Petit Villiers, le Bourg, Cabaret Rouge, la Boue, la Maltournée, la Fosse Arbois, les Maillots/Verdure, les Pauliers/Croix-Verte, le Petit-Bassevelle et la Noue-Brayer. Quant aux hameaux de Salnove, Vapré, Fromontières, Bois-Cornouaille, la Ferme de l'île, les Mousseaux et la Fosse-Arbois, ils constituent des corps de fermes habités ou non.

    Parmi les 23 hameaux, on compte deux hameaux uniques totalement consacrés à un domaine précis : le hameau de la Croiselotte, ancien corps de ferme reconverti en 1996 par le club aérien des Canards Sauvages en base aérienne consacré à l'ULM, au parapente et au Deltaplane[26], et le hameau Montplaisir, le seul parc d'étude et de réflexion présent en France. Il en existait 31 autres dans le monde en 2010[27].

    Logements

    En 2011, le nombre total de logements dans la commune était de 150, alors qu'il était de 140 en 2006[a 1].

    Parmi ces logements, 134 (89,1 %) étaient des résidences principales, 6 (4,2 % des résidences secondaires) et 10 (6,6 %) des logements vacants. Parmi ces 150 logements, 142 (94,8 %) représentaient des maisons individuelles et 7 (2,1 %) des appartements[a 2]. Le nombre de propriétaires de leur logement était de 100 habitants (74,8 %) les locataires étaient quant à eux 31 (22,9 %) et 3 habitants (2,3 %) bénéficiaient d'un programme de gratuité de logement mis en place par l'État[a 3].

    Développement

    En 2012, la commune se dotera de son propre PLU chargé de son aménagement et de son développement, remplaçant de ce fait l'ancien POS en date de 1987 qui ne répondait plus aux nouveaux besoins. Cette démarche obligatoire s'appuie sur la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du , dite loi SRU[28].

    Actuellement, deux à trois logements[29] se construisent sur le territoire chaque année, plus principalement sur les hameaux de la Belle Idée, et du Petit-Villiers qui sont les plus peuplés. Dès 2013, le hameau de la Belle-Idée va continuer à connaitre des constructions de logements en y accueillant un lotissement de cinq maisons. Une situation identique pour le hameau des Maillots qui accueillera lui aussi un lotissement de cinq maisons.

    La toute récente place de la mairie n'en sera pas en reste puisqu'elle devrait elle aussi accueillir une quinzaine de logements dès 2014. Le développement de ces futurs lotissements est stratégique. En effet ils seront construits dans les hameaux principaux bénéficiant d'arrêt de bus et d'une proximité directe aux deux principaux axes de circulation que sont la D 407 et la D 55. La mairie souhaite donc axer ses plans de développements urbains autour des transports publics et des accès routiers[30]. Ces programmes consistent à soutenir l'augmentation raisonnable mais essentielle pour le village de ses habitants qui stagne depuis 1962 entre 350 et 360 habitants, tandis que sa voisine Bussières a connu ces dernières années une augmentation soutenue de sa population bien qu'en légère baisse depuis 2010.

    Cependant, Bassevelle, fait partie du SCoT réunissant le Pays fertois et Le Pays de l'Ourcq depuis maintenant quatre ans. Ce programme vise le développement majeur des deux intercommunalités en jouant sur la proximité des agglomérations de Meaux, Marne-La-Vallée et Paris touchant aux domaines économiques (emplois, industries, commerces), touristiques, démographiques et de transports. L'estimation de la population d'ici 2015 est vue en hausse à +1,16 % comprise entre 450 et 500 habitants soit 90 à 100 habitants supplémentaires en 3 ans[31].

    De plus, la proximité soulignée de ces agglomérations et surtout le taux foncier encore correct du secteur attire beaucoup plus d'habitants que ne le prévoyaient les statistiques, prenant de court le département et les autorités chargées du développement urbain. La révision du SDRIF de la région Île-de-France en 2012, table quant à lui sur une population comprise entre 500 et 1500 habitants entre 2015 et 2030 bien au-delà des espérances que s'était fixée la commune. La révision interne du PLU devra faire face à ce nouvel enjeu et cet afflux de la population. Pour rappel, le nord seine-et-marnais devrait d'ici 2030 connaître une hausse importante de sa population d'environ 150 000 habitants.

    Voies de communication et transports

    Selon l'Insee, en 2011, 65,9 % de la population déclarait se déplacer régulièrement par le biais d'une voiture, 19,2 % par les transports en commun et 3 % avec un deux-roues. Enfin, 7,8 % de la population déclarait ne pas avoir de moyen de transport et 4,2 % déclarait ne se déplacer qu'à pied.

    Accès routiers

    Bassevelle est accessible depuis la D 603 (ex-RN 3) à La Ferté-sous-Jouarre puis par la D 407 en direction de Châlons-en-Champagne ainsi que depuis Nogent-l'Artaud par la D 222 et par Provins et Rebais depuis la D 55.

    Par la sortie no 18 (Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux) de l'autoroute A4, la commune est accessible en vingt minutes.

    Transport en commun

    La commune fait partie de la zone 5 du passe Navigo en Île-de-France. Elle dispose de cinq arrêts de bus (Petit-Villiers, Belle Idée, Groseillers, Mairie-École et La Noue Brayer), desservis par quatre lignes de bus dont une régulière (ligne 33) et trois scolaires (26, 32, 34S) connectant la commune aux collèges et lycées de La Ferté-sous-Jouarre et de Coulommiers mais surtout à la gare de La Ferté-sous-Jouarre disposant de la ligne P du Transilien et de treize autres correspondances en bus.

    Cette gare qui dispose de nombreuses correspondances comme la ligne SNCF Transilien Paris-Est (Paris Est - Meaux - Château-Thierry) reliant la gare de Meaux en quinze minutes et la gare de l'Est en 40 minutes. La ligne express 62 qui relie l'accès au RER A et TGV à la Gare de Marne-la-Vallée - Chessy (Parcs Disneyland) en 35 minutes, ou encore la ligne 67 du réseau de bus Seine-et-Marne Express qui relie l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle et sa gare TGV et RER desservie par le RER B en 55 minutes. Ainsi, la commune est reliée par le biais des transports publics en une heure en moyenne, des pôles majeurs de transport, économique et de loisir du département et d'une grande gare parisienne.

    Par ailleurs, par la ligne P du Transilien, la commune se trouve aussi à moins de km des autres gares SNCF de Nanteuil - Saâcy (ligne 32) et Nogent-l'Artaud - Charly.

    En 2012, 250 voyageurs en moyenne voyageaient chaque jour sur la ligne 33 du lundi au vendredi, ce qui représente environ 66 000 voyages annuels.

    Transport spécialisé

    Depuis 2009, le département a mis en place un service spécialisé payant nommé Pam 77 en remplacement de l'ancien dispositif Transdom 77. Il est destiné aux personnes souffrantes d'un handicap et souhaitant se déplacer par le biais de véhicules aménagés et d'assistants. Ce service fait partie du réseau Pour Aider à la Mobilité d'Île-de-France, créé par le STIF et la région Île-de-France. Il est géré par FlexCité 77 pour le compte du conseil général de Seine-et-Marne dans le cadre d'une délégation de service public. Le Pam 77 représente près de 100 000 voyages par an[32].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionnée sous les formes Bachevel en 1186[33],[34] ; Bacevel en 1275[35],[34] ; Bassevel en 1469[36],[34] ; Bassevel en Brie en 1505[36],[34] ; « La seigneurie de Bassevelle en Brie » en 1599[37],[34].

    Histoire

    En 1789, Bassevelle faisait partie de l'élection de Soissons et de la généralité de Paris[réf. nécessaire].

    Époque contemporaine

    Dans la nuit du 18 au , le bombardier Avro Lancaster B III JB318 DX-L parti de la base de RAF East Kirkby (Lincolnshire) pour bombarder des installations ferroviaires à Revigny-sur-Ornain dans la Meuse est abattu par un chasseur de nuit[38] et s'écrase sur le territoire de la commune au lieu-dit la Boue[39].

    Politique et administration

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays fertois (créée en 2001) et de l'arrondissement de Meaux.

    Liste des maires successifs

    Maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981  ? Daniel Rondeau    
    juin 1995 En cours Bernard Richard[40]   retraité

    Instances judiciaires et administratives

    Le poste de gendarmerie le plus proche est celui de La Ferté-sous-Jouarre / Charly-sur-Marne / Rebais à moins de dix minutes de la commune, de même que le poste de secours à La Ferté-sous-Jouarre / Viels-Maisons / Rebais.

    Bassevelle relève du tribunal d'instance de Meaux, du tribunal de grande instance de Meaux, de la cour d'appel de Paris, du tribunal pour enfants de Meaux, du conseil de prud'hommes de Meaux, du tribunal de commerce de Meaux, du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris[41].

    Le territoire est sous la charge de la sous-préfecture de Meaux (Torcy en cas de fermeture momentanée) et la préfecture de Melun.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Bassevelle ne dispose pas d'assainissement collectif[44],[45].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[47],[48].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[44],[49],[50].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Bassevellois[40].

    Selon le plan de prévision du SCoT Pays fertois-Ourcq d'ici 2015, la population devrait-être comprise entre 450 et 500 habitants (+90-150 habitants supplémentaires) soit une hausse de 1,16 % par rapport à 2009[31].

    Par ailleurs, entre 2015 et 2030, c'est la révision du nouveau SDRIF 2012 « Grand Paris » qui table lui sur une hausse importante de la population qui devrait à terme être comprise entre 500 et 1 500 habitants, soit l'équivalent d'une augmentation de presque 1000 habitants en 15 ans.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

    En 2018, la commune comptait 377 habitants[Note 6], en augmentation de 10,23 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    365348347368411438442464432
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    458459440418432399422412412
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    392372368314316357341352362
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    363333235235333354352352351
    2013 2018 - - - - - - -
    342377-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2011, on comptait 185 hommes et (53 %) et 164 femmes (47 %). Depuis 2008 avec les nouvelles populations installées, la commune est en cours de rajeunissement.

    Pyramide des âges en 2008
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0 
    90 et +
    0 
    4 
    75 à 90
    16 
    32 
    60 à 74
    24 
    32 
    45 à 59
    44 
    36 
    30 à 44
    16 
    48 
    15 à 29
    36 
    32 
    0 à 14
    20 

    Enseignement

    La commune fait partie de l'académie de Créteil et de la zone C pour les congés scolaires. En 2010, la commune comptait 86 élèves ou étudiants de la maternelle à l'université[57]. 20 personnes disposaient du brevet des collèges (8 %), 32 personnes disposaient du baccalauréat général ou professionnel (12,9 %), et 79 personnes disposaient d'un BEP/CAP (31,7 %) et enfin 49 personnes ne disposaient d'aucun diplôme (16,9 %). L'importance des BEP/CAP sur la commune est due au fait que la majorité de la population du XXe siècle résidant dans la commune n'avait les moyens ou la vocation d'intégrer des études supérieures, le travail manuel dans l'artisanat et l'agriculture étant privilégié et sollicité, l'ancrage rural était important jusqu'aux années 1980. En 2013, les 2/3 des collégiens obtenaient leur brevet des collèges, et près de 90 % des terminales de la commune toute filière confondue obtenait leur baccalauréat. Bien que ces chiffres soient en nette hausse dans le second degré, beaucoup de jeunes ne désirent pas continuer de longues études dans le supérieur.

    Par ailleurs, elle est adhérente d'un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) avec la commune voisine de Bussières. L'école regroupe toutes les sections maternelles ainsi que la classe de CP et possède également la cantine, gérée par l'association des Marmitons. L'école de la commune de Bussières regroupe les CE1, CE2, CM1 et CM2. Lors de l'année scolaire 2011-2012, les deux écoles réunissaient près de 125 enfants au total[58]. Le département dans le cadre de son plan « SCOL-R » a mis en place une ligne scolaire baptisée « S7725005 » destinée à relier les deux écoles de Bussières et Bassevelle et tous les arrêts de bus des communes pour faciliter le récupérage des enfants pour les parents n'ayant pas de véhicules. Cette ligne est gérée par le transporteur Marne et Morin. Avec l'arrivée des nouvelles populations sur les deux communes, il est prévu à la rentrée 2013 l'ouverture d'une garderie pour les enfants à l'école de Bassevelle.

    Pour le secondaire, les élèves sont rattachés aux collèges de La Ferté-sous-Jouarre dont pour la majorité le collège La Rochefoucauld, faisant office de collège de secteur. Ils peuvent également sur demande intégrer le collège des Glacis qui est le deuxième établissement public de la ville, ou encore le collège privée Sainte-Céline, situé dans le centre-ville. Avec la saturation des collèges de la ville, le département a mis en place une ligne scolaire spéciale nommée « S7740003 », créée à la rentrée 2012 et gérée par le transporteur Darche-Gros, ayant pour but de desservir le collège Jean-Campin de La Ferté-Gaucher (hors secteur à une vingtaine de kilomètres de la commune) qui propose une formation classique ainsi qu'une formation SEGPA destinée pour les élèves en difficultés. Cette ligne dessert les communes de Bassevelle, Orly-sur-Morin, Bellot et Rebais.

    Concernant les lycées, les jeunes sont dirigés vers le lycée de secteur Samuel-Beckett de La Ferté-sous-Jouarre mais peuvent également rejoindre le lycée privée et général Sainte-Céline. Cependant, la plupart se dirigent vers les établissements de Meaux (cité scolaire Coubertin, Moissan, Baudelaire, Jean-Vilar, Jean-Rose, Bossuet) et de Coulommiers (Ferry et Cormier) qui offrent des formations plus larges et complètes. De plus, La commune se trouve à proximité de 3 CFA à Meaux, Ocquerre et Coulommiers pour ceux souhaitant une formation professionnelle différente à celles proposées dans les lycées généraux, techniques et professionnels.

    Par la suite les lycéens titulaires du baccalauréat, poursuivent leurs études dans les facs de secteur au université Paris-Est - Pôle de Marne-la-Vallée (Champs-sur-Marne), à l'université Paris 8 (Saint-Denis - Vincennes) et à l'UPEC (ex-Paris-12) (Créteil). Mais également vers les universités et écoles de Paris. Dans la commune, 50 personnes ont poursuit des études dans le supérieur dont 38 (15,2 %) dans des études courtes (inférieur à 3 ans), et 12 (4,8 %) dans des études longues (supérieur à 3 ans).

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis 2002, Bassevelle organise tous les trois ans la célèbre fête de la Moisson rencontrant un franc succès. Lors de cet événement, des démonstrations de matériaux anciens y sont présentés, des techniques anciennes, dégustation de produit du terroir, messes commémoratives, stands, ateliers, concours et défilés très appréciés du public ainsi que les présentations des derniers engins en vogue dans l'agriculture française.

    Les et , entre 7 000 et 10 000 personnes sont venus assister à cette fête ces années là. Le , entre 5 000 et 7 000 personnes sont venus assister à cette fête cette année-là[59].

    Régulièrement, des messes et concerts sont célébrés dans l'église Sainte-Croix, grâce à son orgue daté de 1788. Des concerts musicaux et divers événements tels que les commémorations du 14-Juillet ou les fêtes de Noël pour les enfants de l'école sont donnés au foyer communal de Bassevelle.

    Également, d'autres événements tels que des brocantes sont organisés de temps à autre.

    Santé

    Dans un département confronté au Désert médical, la commune reste épargnée du manque de services hospitaliers et médicaux, de nombreuses communes situées à moins de dix kilomètres proposent pharmacies, médecins, et ambulances. Des services essentiellement basée dans les communes de La Ferté-sous-Jouarre, Jouarre, Saacy-sur-Marne, Saint-Cyr-sur-Morin et Charly-sur-Marne.

    En cas d'accident grave, Le SAMU est en lien direct avec la caserne des pompiers de La Ferté-sous-Jouarre et l'hôpital de Coulommiers situé à 24 km de Bassevelle pour un temps d'intervention rapide de l'ordre de 8 à 10 minutes selon la localité dans la commune. Par ailleurs, d'autres hôpitaux sont présents à Château-Thierry (23 km) et à Meaux (30 km). Des hôpitaux réservés aux soins spécialisés sont également présents à Villiers-Saint-Denis (11 km) et aux personnes âgés à Jouarre (km). Des cliniques privées assurent également leurs services de soins à Meaux et Mareuil-lès-Meaux.

    Sports et loisirs

    La commune dispose d'un club intercommunal de gymnastique (CIG) ainsi que d'un club de vol libre situé dans le hameau des Groseillers. Par ailleurs, elle dispose d'un terrain omnisports (terrain de football, de basket-tennis-handball) et d'un coin pour les enfants (« cage à écureuil » et bac à sable). Bassevelle est parcourue par le chemin de randonnée no 3 de la boucle Sud-Est[60] sur une distance de 30 km depuis La Ferté-sous-Jouarre.

    Presse écrite

    La presse écrite locale couvre Bassevelle et ses environs. Le journal Le Parisien édition Seine-et-Marne fait figure du quotidien majeur du département. Plus localement, Le journal hebdomadaire La Marne basée à Meaux couvre entièrement le Nord du département en consacrant 2 à 4 pages au canton fertois. Le journal Le Pays Briard qui traite l'actualité de la Brie seine-et-marnaise, consacre une à deux pages aux actualités du canton fertois également. Même si Bassevelle bénéficie d'une forte identité briarde, il n'en est pas sans rappeler sa forte proximité à la Champagne (Pavant, Charly-sur-Marne, Nogent-l'Artaud), le journal L'Union relate de temps à autre les actualités du village dans les pages concernant les cantons de Chateau-Thierry et Charly-sur-Marne.

    Télévision

    Au niveau de la télévision, on trouvait également une chaîne locale nommé Meaux TV77, approuvé par le CSA à émettre dès le [61], mais à la suite d'une cessation de paiements le dernier, un jugement du , le tribunal de commerce de Melun a prononcé la conversion de la procédure de redressement judiciaire de la société TV77 en procédure de liquidation judiciaire faute de repreneurs potentiels. La chaîne était disponible sur la TNT (canal 20) ainsi que sur internet.

    Concernant la télévision plus générale, Bassevelle est couverte par la TNT depuis le , et dépend de l'émetteur de télévision de Méry-sur-Marne. Cependant, elle peut parfois subir les perturbations d'autres émetteurs se trouvant à proximité du village comme ce fut le cas en 2011 et jusqu'à la mi-2012 lors de fortes chaleurs perturbant anormalement l'émetteur de Mareuil-lès-Meaux provoquant la perte de signaux de certaines chaînes nationales et de la TNT durant la journée.

    Radio

    La chaîne de radio 77FM émet depuis 2003 sur l'ensemble du département. Elle est disponible à la fréquence 95,8 MHz. Évasion FM couvre quant à elle la région parisienne, elle est disponible à la fréquence de La Ferté-sous-Jouarre, 88,0 MHz.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 592 , ce qui plaçait Bassevelle au 2 700e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[62].

    Emploi

    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 240 personnes, parmi lesquelles on comptait 77,8 % d'actifs dont 72,0 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs[a 4].

    On comptait 51 emplois dans la zone d'emploi, contre 64 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 174, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 7] est de 29,2 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un peu plus d'un emploi pour quatre habitants actifs[a 5].

    Secteurs d'activité

    Au , Bassevelle compte 9 établissements actifs : 6 dans l'agriculture, 1 dans la construction et 2 dans le secteur administratif[63].

    Agriculture

    Bassevelle est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[64]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[65].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[66]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 144 ha en 1988 à 186 ha en 2010[65]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bassevelle, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Bassevelle entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[65],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 14 13 14
    Travail (UTA) 28 31 25
    Surface agricole utilisée (ha) 2 011 2 270 2 607
    Cultures[67]
    Terres labourables (ha) 1 928 2 181 2 520
    Céréales (ha) 1 241 1 388 1 735
    dont blé tendre (ha) 916 994 1107
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 163 228 357
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 37 s s
    Élevage[65]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 324 270 149

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Croix.

    La commune ne contient ni lieu ni monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques ou à l'inventaire général du patrimoine culturel[68] mais un objet classé à l'inventaire des monuments historiques le  : la partie instrumentale de l'orgue de l'église Sainte-Croix ; daté de 1788, il a été restauré en 2000[69]. Cet orgue est le plus tardif de l'Ancien Régime que l'on trouve en Seine-et-Marne[70].

    Le village dispose également d'un monument aux morts.

    Mémorial Britannique

    « Le mémorial est composé d'une pierre meulière extraite du sous-sol de la commune. Elle a été dressée et porte des morceaux du Lancaster et deux plaques de bronze vieilli qui rappellent l'évènement et les noms des sept membres d'équipage. Ce mémorial a été inauguré le 18 juillet 1999 en présence des familles anglaises et du mitrailleur arrière, Leonard Manning »[71].

    Phare aéronautique

    Phare aéronautique.

    Curiosité locale, ce phare construit en 1929 au hameau des Maillots servit de repère de navigation aérien à vue, de nuit ou par temps brumeux durant la Seconde Guerre mondiale. Constitué d'un pylône en ciment, haut de 10 mètres, il est composé d'une plateforme accueillant une source de lumière alimentée par acétylène, néon ou électricité. L'éclat de cette lumière était entrecoupé suivant le type de phare, transmettant ainsi un code morse permettant au pilote d'identifier sa localisation mais aussi la direction. Le phare est toujours présent malgré sa vétusté due au climat et au manque d'entretien ; il est possible néanmoins de le découvrir et d'y grimper lors des Journées du Patrimoine[72].

    En France, ils furent, dans un premier temps, destinés à l'Aéropostale et les premières lignes aériennes régulières (Londres-Paris). Ancêtres des moyens de radionavigation actuels, ils étaient allumés peu de temps avant le passage de l'avion, par un habitant local (instituteur, garde-champêtre, meunier) qui en recevait la demande par la Poste ou Télégramme.

    Parc d'étude et de réflexion La Belle Idée

    Un parc d'étude et de réflexion international nommé La Belle Idée est un lieu de spiritualité faisant partie des 32 existants dans le monde, ce parc est le seul présent en France[73]. Des évènements sont régulièrement organisés, des travaux de réflexion spirituelle, sur l'Homme et autres sont donnés toutes les semaines notamment le week-end. Le parc se situe au 847 route de Montmirail (D407) - hameau Montplaisir. Par transport, arrêt Belle Idée. Des navettes sont mises en place le week-end matin et soir, en relation avec la gare de Nanteuil - Saâcy[74].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, devise et logotype

    Les armes de Bassevelle se blasonnent ainsi :

    De gueules à la croix d’or, chapé d’azur chargé d’une aigle bicéphale d’argent, au chef palé d’argent et de gueules à la bande d’or brochant sur le palé. Les ornements : l'écu est surmonté de la couronne murale d'or, encadré d'une gerbe de blé à dextre et d'une gerbe de roseaux-massues au senestre, le tout d'or, mis en sautoir et lié du champ.

    Le blé honore l'agriculture, omniprésente sur le territoire de la commune. La couronne de tours est le symbole des villes et villages.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Bassevelle » sur Géoportail (consulté le 28 octobre 2019)..
    2. « Bassevelle - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.

    Autres sources

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Fonderie (F6254000) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Bois (F6253000) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Étangs (F6252600) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Grande Masure (F6214500) ».
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 24 septembre 2018
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    73. http://www.parclabelleidee.fr/autresparcs.html
    74. http://www.parclabelleidee.fr/acces.html
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