Ocquerre

Ocquerre est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Ocquerre

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ourcq
(siège)
Maire
Mandat
Bruno Gautier
2020-2026
Code postal 77440
Code commune 77343
Démographie
Gentilé Ocquerrois
Population
municipale
410 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 17″ nord, 3° 03′ 27″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 163 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Ocquerre
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Ocquerre
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Ocquerre
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Ocquerre
Liens
Site web ocquerre.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Ocquerre dans le département de Seine-et-Marne

    Ocquerre est située à km au nord-est de Lizy-sur-Ourcq et à km au sud de Crouy-sur-Ourcq.

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Ocquerre

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Ocquerre.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés :

    • la rivière l'Ourcq, longue de 86,49 km[1], affluent de la Marne, ainsi que :
      • un bras de 0,43 km[2] ;
      • quatre de ses affluents[Note 1] :
        • le ru de Chaton, long de 7,66 km[3] ;
        • le ru de Méranne, long de 6,24 km[4] ;
        • le fossé Boudou, cours d'eau naturel et canal de 1,27 km[5] ;
        • le cours d'eau 01 des Prés de Lury, 1,17 km[6] ;
    • le ru de Sallucy , long de 1,36 km[7], conflue avec le ru de Méranne ;

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,77 km[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,7 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 731 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à 49 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal d'Ocquerre comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[16],[Carte 1], le « Grand Marais et Marais associés » (132,91 ha), couvrant 3 communes du département[17]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[16], la « vallée de l'Ourcq » (1 434,36 ha), couvrant 4 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Ocquerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 43 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés[24] dont les plus importants sont Marnoue-les-Moines, le Vieux Moulin, la Trousse (château).

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,6% ), forêts (18,2% ), zones agricoles hétérogènes (2,1% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8% ), zones urbanisées (1,3 %)[25].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le et porté par le syndicat mixte Marne-Ourcq regroupant 41 communes du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois[28].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 215 dont 77,1 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 22,9 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 75,3 % étaient des résidences principales, 18,1 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 67,8 % contre 28,2 % de locataires[30] dont, 1,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 4 % logés gratuitement.

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d’autocars :

    du réseau Trandev Pays de l’Ourcq[31].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Oucorra en 1135[32] ; Ulcorra en 1136[33] ; Ouquerre en 1249[34] ; Oquerria en 1353[35] ; Onquerra en 1365[36] ; Auquerre en 1466[37] ; Auquoire en 1581 ( Inscription sur l'ancienne cloche, en minuscules gothiques : « Je fus faicte pour Auquoire 1581. » ) ; Ocquoire en 1621[38] ; Occoire en 1720[39].

    Histoire

    En 1610, Nicolas IV Potier est seigneur d'Ocquerre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Claude courtier UMP  
    mars 2008 En cours Bruno Gautier[40]   Agriculteur

    Jumelages

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Ocquerre est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [43],[44],[45].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[47].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [43],[48].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO[49].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

    En 2018, la commune comptait 410 habitants[Note 10], en diminution de 7,87 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    303247265299316281302308287
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    267260266327320317332299311
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    360351355271337361322322317
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    291289270247284307362408448
    2018 - - - - - - - -
    410--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 138, représentant 367 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 110 euros[54].

    Emploi

    En 2016 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 26, occupant 188 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,4 % contre un taux de chômage de 4,9 %. Les 23,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 14 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,4 % de retraités ou préretraités et 4,2 % pour les autres inactifs[55].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 16 dont 2 dans la construction, 7 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[56].

    En 2019, 6 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune disposait de 21 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[57].

    • ZAC de Grandchamp.

    Agriculture

    Ocquerre est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[58].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 96 ha en 1988 à 196 ha en 2010[58]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Ocquerre, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Ocquerre entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[58],[Note 12]
    Nombre d’exploitations (u) 9 5 5
    Travail (UTA) 17 10 10
    Surface agricole utilisée (ha) 867 872 978
    Cultures[60]
    Terres labourables (ha) 838 866 965
    Céréales (ha) 558 532 577
    dont blé tendre (ha) 348 382 396
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 119 89 89
    Tournesol (ha) 52
    Colza et navette (ha) 61 s 156
    Élevage[58]
    Cheptel (UGBTA[Note 13]) 133 115 47

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Étienne.

    Lieux et monuments

    Il y a quatre monuments à découvrir à Ocquerre :

    • l'église Saint-Étienne, restaurée au (XVIIe siècle) ;
    • le château de la Trousse (XVIIe siècle)-(XIXe siècle) ;
    • la ferme dite aux Trois Cheminées, demeure Renaissance, ancien rendez-vous de chasse à l'époque d'Henri IV, inscrite au titre des monuments historiques[61] ;
    • le viaduc de l'Ourcq de la LGV Est européenne ( PK 36,8 ).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Seine-et-Marne. Flohic Editions, tome I, Paris 2001, (ISBN 2-84234-100-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'Ourcq compte 42 affluents.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    11. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    13. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF d'Ocquerre » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Ocquerre - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Ourcq (F6385001) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chaton (F6386000) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Méranne (F6387000) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé Boudou (F6385000) » (consulté le ).
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 des Prés de Lury (F6386600) » (consulté le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Sallucy (F6387500) » (consulté le ).
    8. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 17 octobre 2018
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Ocquerre et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    31. Site Transdev-Pays de l’Ourcq
    32. Du Plessis, II, p. 30.
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    35. Longnon, Pouillés de Sens, p. 465.
    36. Rôles des fiefs, p. 235.
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