Bargemon

Bargemon est une commune française située dans le département du Var en région française Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Bargemon

Église Saint-Étienne.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Dracénie Provence Verdon agglomération (ex Communauté d'agglomération dracénoise)
Maire
Mandat
Nadine Decarlis
2020-2026
Code postal 83830
Code commune 83011
Démographie
Gentilé Bargemonais, Bargemonaises
Population
municipale
1 349 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 12″ nord, 6° 33′ 01″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 1 089 m
Superficie 35,14 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Callas
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Bargemon
Géolocalisation sur la carte : Var
Bargemon
Géolocalisation sur la carte : France
Bargemon
Géolocalisation sur la carte : France
Bargemon
Liens
Site web http://www.bargemon.fr/

    Géographie

    Bargemon est située, au pied du Plateau de Canjuers au nord de la ville de Draguignan, distante de 17 km[1].

    Voies routières

    La commune de Bargemon est accessible par la route départementale 25, entre les villages de Callas et Le Muy, au sud, et Bargème, au nord, ainsi que par la route départementale 19 depuis Montferrat.

    La sortie de l'A8 la plus proche est la no 36, qui dessert la ville du Muy.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Les transports urbains sont gérés par la communauté d'agglomération dracénoise (TED Bus).

    Les collectivités territoriales ont mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![2].

    Les lignes interurbaines :

    Lignes SNCF

    La gare TGV la plus proche est celle des Arcs - Draguignan.

    Transports aériens

    Pour un accès par voie aérienne, Bargemon est à mi-chemin entre l'aéroport de Nice-Côte d'Azur et celui de Toulon-Hyères.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bargemon
    Comps-sur-Artuby
    Montferrat Seillans
    Callas Claviers

    Intercommunalité

    Bargemon fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise)[3] de 110 019 habitants en 2019[4], créée le 31 octobre 2000. Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :

    Géologie et relief

    Le point culminant de la commune est le Pierrion, à 1 087 m[5], au nord du village.

    La route départementale 25, qui traverse la commune, passe par le col du Bel Homme[6].

    Le 23 août 1992, un effondrement de terrain de 80 m de diamètre et 15 m de profondeur environ, s'est produit sur la commune au lieu-dit "Peyrui"[7],[8].

    Sismicité

    Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

    • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
    • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
    • Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du Nord du département.

    La commune de Bargemon est en zone sismique de très faible risque « Ia »[9].

    Le 7 avril 2014 , un séisme est ressenti.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Plusieurs cours d'eau traversent la commune[10] :

    • le Riou de Claviers[11] : de 17,8 km, est un affluent de l'Endre ;
    • le Beaudron[12] : cet affluent de la Nartuby, dont le cours ne traverse que la commune de Montferrat, sert partiellement de limite de commune avec Bargemon ;
    • le Vallon de Duech[13] ;
    • le Vallon de Carlière[14] ;
    • le Vallon de l'Hubac[15] ;
    • la Doux.

    Climat

    Bargemon n'ayant pas de station météo sur la commune, les données les plus proches sont celles de Draguignan, avec quelques légères modifications des températures, liées à une altitude un peu plus élevée.

    Le climat de la ville de Draguignan correspond aux normes du climat méditerranéen, les nuits de gels étant peu nombreuses (une dizaine par an, mais les journées sans dégel sont quasi inexistantes), faibles (le minimum annuel se situe aux alentours de -5, −6 °C) et brèves. Ainsi les hivers sont doux et humides, et les étés chauds et secs, car la ville est protégée des vents par le Malmont et le massif occidental des Selves. Durant l'été les précipitations sont extrêmement faibles ; à l'inverse, l'automne est une période soumise à des pluies fréquentes.

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Draguignan 2744.27341291
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169
    Relevé météorologique de Le Luc (Normales et Records)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,8 4,3 7 11 14,6 17,1 16,9 13,5 10,5 5,7 2,5 7,4
    Température maximale moyenne (°C) 12,6 13,8 17 19,4 23,8 28,2 31,8 31,6 26,9 21,6 16,1 12,7 21,2
    Record de froid (°C) −17 −8,8 −10 −2,7 0 4,8 7,4 7 2,4 −3,4 −9 −9,3 −17
    Record de chaleur (°C) 22 24,8 28,6 30,2 35,8 38 42,7 41 36,1 32,6 26,1 23,3 42,7
    Précipitations (mm) 89,9 66,2 70,8 69 52,3 32,7 20,5 28,9 70,1 101,2 98,1 88,4 834,7
    Source : Météo France

    Urbanisme

    Typologie

    Bargemon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Callas, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[19] et 3 966 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), zones urbanisées (3,7 %), cultures permanentes (3,5 %), prairies (2,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Bargemon s'écrit Barjamon en provençal de norme classique et Barjamoun dans la norme mistralienne.[réf. nécessaire] Le nom de la commune s'écrivait au XIXe siècle Bargemont[26].

    Histoire

    Charles le Gros, en 885, restitua la terre de Bargemon, près Fréjus, à l'abbaye Saint-Martin d'Autun[27].

    Jusqu’en 1075, les églises rurales Sainte-Marie de Favars et du Monastier (Sanctae Mariae in valle Vergemonis) appartenaient à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, date à laquelle elle les cède avec les revenus afférents à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[28].

    Guillaume de Puget, viguier d'Avignon (1347-48), vice-sénéchal de Provence (1353), chevalier, fut coseigneur de Puget-Théniers[29], seigneur de Figanières, de Bargemon, Flayosc, etc. Il fut conseiller et chambellan[30] de la reine Jeanne qu'il suivit de Provence à Naples[31]. Il eut au moins deux fils, Guillaume et Honorat, coseigneurs de Figanières[32]. Manuel de Puget (?-av.1384), viguier-capitaine de Nice (1374) puis viguier d'Arles (1374-1384), fut chevalier, coseigneur de Puget-Théniers et Figanières, seigneur de Bargemon ; il fut conseiller de la reine en 1350. Il fut assassiné avant le 1er août 1384 alors qu'il était viguier d'Arles, par Bertrand Sanneri d'Arles[33].

    Le château (ou plutôt la maison seigneuriale, grande bâtisse) appartenant aux De Ricavi tout d'abord (leur nom est inscrit dès le XIe siècle au cartulaire de Saint-Victor) puis par un mariage entre la famille de Villeneuve et la famille de Ricavi en 1351 la famille de Villeneuve récupéra le château, passe ensuite à la famille de Charrin, jusqu’en 1977.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 1 349 habitants[Note 2], en diminution de 12,35 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6751 9261 8511 8721 8911 9441 9031 9161 813
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6841 6341 7221 6471 6481 6811 6511 5981 641
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6561 6341 5331 0711 1441 012878853952
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6688298121 1101 0691 2171 4471 5121 374
    2018 - - - - - - - -
    1 349--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[38] :

    • Écoles maternelle et primaire,
    • Collèges à Figanières, Draguignan, Fayence,
    • Lycées à Draguignan.

    Cultes

    Politique et administration

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 mai 1953 Camille Aubin PCF Conseiller général
    mai 1953 mars 1989 André Delpui SFIO puis PS Conseiller général
    mars 1989 mars 2014 Pierre Blanc PT  
    mars 2014 2020 Yves Bacquet DVG Retraité
    26 juin 2020[41] En cours Nadine Decarlis   Artisan

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[42] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 315 000 , soit 942  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 273 000 , soit 912  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 576 000 , soit 414  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 363 000 , soit 260  par habitant ;
    • endettement : 451 000 , soit 323  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 9,92 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,97 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 59,40 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 710 [43].

    Économie

    Agriculture

    La coopérative oléicole du Riou regroupe les producteurs de la commune[44].

    Commerce et artisanat

    Bargemon compte de nombreux commerces[44], tant sur le plan alimentaire (boulangerie, boucherie, supérette...), que dans le secteur des services (banque, notaire, libraire, coiffeur, institut de beauté...). Des artisans liés au BTP ainsi qu'un garagiste sont présents à Bargemon. Des artisans d'art sont également installés sur la commune (artiste peintre, potier, galeriste).

    Industrie

    Autrefois, Bargemon comptait des ateliers de cordonnerie très réputés.

    Tourisme

    La commune bénéficie de sa proximité avec les gorges du Verdon et le lac de Sainte-Croix. L'hébergement proposé se fait essentiellement par le biais de chambres d'hôtes et d'appartements meublés[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux religieux

    Le village de Bargemon est le lieu d'une apparition de la Sainte Vierge[46] à Élizabeth, épouse de Jean Caille, depuis longtemps malade (fièvre, nerfs, épilepsie) et qui fut complètement guérie. C'était le 17 mars 1635. Une petite communauté religieuse, le couvent des Petites Sœurs du Bon Pasteur, y a été fondée par l'Institut du Bon-Pasteur, le , sur la commune de Bargemon, avec l'approbation de l'évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, Mgr Rey.

    • Église paroissiale Saint-Étienne[47] : elle a été construite à l'extérieur des remparts. Son clocher, écroulé en 1642, fut reconstruit en 1662[48]. La cloche qu'il abrite actuellement date de 1937[49].
    • Ancienne chapelle Saint-Étienne : il s'agit de la chapelle de la confrérie des pénitents noirs, jusqu'en 1912. Elle abrite depuis 1994 le musée Camos[50], nom du célèbre peintre provençal Honoré Camos.
    • Chapelle de Montaigu[51] : chapelle de la confrérie des pénitents blancs, depuis sa construction en 1609, elle portait le nom de chapelle de l'Annonciade, jusqu'en 1635. Elle prit, alors, le nom de Notre-Dame-de-Montaigu, en hommage à la statuette "miraculeuse" de la Vierge, ramenée de Montaigu, en Belgique.
    • Église Notre-Dame de Favas.

    Lieux civils

    • Les remparts, du XIe siècle.
    • La porte de l'ancienne prison datant de 1582.
    • La porte du château[52].
    • La porte de la tour de l'horloge et sa cloche[53].
    • La porte du clos.
    • La fontaine Philippe Chauvier[54].
    • La fontaine de la place de la Mairie[55],[56].
    • La fontaine de la poissonnerie[57].
    • La fontaine de Couchoire[58].
    • Le lavoir Couchoire[59].
    • Le monument aux morts. Conflits commémorés : guerre de 1914-1918[60],[61],[62],[63].

    Musées

    La commune possède quatre musées, ce qui est considérable compte tenu de sa taille[65] :

    • Le musée Honoré-Camos : lieu qui retrace l'histoire du village et qui a vocation d'être également une galerie d'Art
    • Le musée des machines à écrire
    • Le musée des fossiles et des minéraux
    • Un musée unique au monde : ouvert en 2017, le musée du garde champêtre, où des milliers d'objets liés à ce métier sont exposés : des plus anciens aux plus modernes.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au bélier arrêté d'argent, la tête du bélier surmontée d'une couronne d'or, surmonté de trois étoiles du même rangées en chef[67].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Bargemon
    De pourpre au bélier d'argent surmonté de trois étoiles d'or rangées en chef.
    (selon la Banque du blason, et Louis De Bresc)

    Vie locale

    Santé

    Des professionnels de santé sont installés à Bargemon[68] :

    • 1 médecin
    • 2 kinésithérapeutes
    • 1 pharmacie
    • 1 cabinet d'infirmier

    Par contre, aucun hôpital n'est présent sur la commune. L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 17 km[69],[70]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[71] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Itinéraires
    2. Réseau régional de transports en commun
    3. Bargemon en Dracénie
    4. Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var
    5. Le département du Var : Physionomie générale
    6. Cols cyclisme : Col du Bel Homme
    7. Effondrement de Bargemon, Rapport du BRGM
    8. II - Des phénomènes épisodiques dans l'Est et le Centre Var : c. Le Trou de Bargemon
    9. sismicité du Var sur le site de la préfecture
    10. L'eau dans la commune
    11. Fiche du riou de Claviers sur le site du SANDRE
    12. Fiche du Beaudron sur le site du SANDRE
    13. Fiche du Vallon de Duech sur le site du SANDRE
    14. Fiche du Vallon de Carlière
    15. Diche du Vallon de lHubac sur le site du SANDRE
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Callas », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Dictionnaire topographique et historique de la Provence ancienne, E. Garcin, 1835
    27. Jacques-Gabriel Bulliot, Histoire de l'Abbaye Saint-Martin d'Autun, Autun, 1849, 2 vol, chap IX, p. 144.
    28. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du (Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 214
    29. J.-P. Boyer, aux origines, p.217
    30. Cortez, les grands officiers, p.119
    31. Léonard, Histoire, t.II, p.177
    32. AD du 13, série 309E6f105v
    33. Musée Arbaud, MQ563, p.270
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Sanctuaire Notre-Dame de Bargemon
    39. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.393-394
    40. Élections municipales 2020
    41. Les comptes de la commune
    42. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    43. Commerçants et artisans de Bargemon
    44. Hébergement touristique à Bargemeon
    45. Récit de l’apparition de la Sainte Vierge
    46. Église Saint-Etienne
    47. Église de Favas (ruines de l'ancienne), sur Monumentum
    48. « Eglise de Favas (ruines de l'ancienne) », notice no PA00081535, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. le Musée galerie communautaire Honoré Camos
    50. Un peu d’histoire de Bargemon
    51. « Propriété comtale, la seigneurie de Favas », notice no IA83001145, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Notice no PM83000079, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l’horloge
    53. Fontaine de la place Philippe Chauvier
    54. « Fontaine du 18s décorant la place », notice no PA00081536, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Fontaine de la place de la Mairie
    56. Fontaine de la Poissonnerie
    57. Fontaine de Couchoire
    58. Lavoir de Couchoire
    59. Var /Bargemon. ― Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918, rue Jean-Jaurès, en totalité, y compris le square qui l'accueille (cad. OE 122) : inscription par arrêté du 22 février 2010
    60. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918) », notice no PA83000022, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    61. Monument aux morts
    62. Monument aux morts de la guerre de 1914-1918
    63. « Moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole) dite Coopérative oléicole de l'Est Varois », notice no IA83001303, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. Histoire & patrimoine
    65. Camos, peintre provençal, honoré à Draguignan
    66. Moyen Verdon 2 : Communauté d'agglomération Dracénoise nord, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    67. Professionnels et étéblissements de santé
    68. Centre hospitalier de la Dracénie
    69. Professionnels et établissements de santé
    70. « Département de l’Information Médicale », sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
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