Aulon (Haute-Garonne)
Aulon, également (Aulon en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
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Aulon | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Durroux 2020-2026 |
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Code postal | 31420 | ||||
Code commune | 31023 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aulonais | ||||
Population municipale |
310 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 11′ 32″ nord, 0° 49′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 312 m Max. 483 m |
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Superficie | 14,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cazères | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Aulonais.
Géographie
Localisation
La commune d'Aulon se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 68 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 12 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 22 km de Cazères[4], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Gaudens[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Peyrouzet (1,5 km), Saint-Élix-Séglan (2,8 km), Cazeneuve-Montaut (3,2 km), Latoue (3,7 km), Sepx (4,4 km), Cassagnabère-Tournas (4,7 km), Proupiary (4,9 km), Bouzin (5,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Aulon fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].
La commune est située dans le Comminges en Nébouzan, à 14 km au nord-est de Saint-Gaudens.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 490 hectares ; son altitude varie de 312 à 483 mètres[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 32 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle régionale d'Aulon, classée en 2001 et d'une superficie de 1 231,1 ha, qui offre une gamme d’expositions variées à des altitudes étagées entre 1 350 m, au confluent des torrents du Lavedan et du Rabat, et 2 738 m, au Pic d’Aulon. Elle abrite une flore et une faune abondantes et variées, présentent un nombre important d’espèces endémiques des Pyrénées (euprocte, Desman des Pyrénées) et d’espèces rares et menacées[23],[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[25] : les « milieux marneux ouverts et versants forestiers d'Aulon à Proupiary » (220 ha), couvrant 4 communes du département[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[25] : les « affleurements calcaréo-marneux des coteaux du Saint-Gaudinois » (4 492 ha), couvrant 14 communes du département[27].
Urbanisme
Typologie
Aulon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,3 %), forêts (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (1,8 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès avec le réseau Arc-en-ciel de Haute-Garonne.
Histoire
Des outils retrouvés au lieu-dit Vidalle attestent une occupation préhistorique du territoire, tandis que plusieurs vestiges montrent une présence humaine à l'époque gallo-romaine, ainsi qu'une christianisation précoce. Au XIe siècle, le chapitre collégial de Saint-Gaudens cède l'église Sainte-Marie à l'abbaye de Pessan (Gers). Les moines restaurent alors l'édifice et construisent un prieuré. Les seigneurs d'Aulon sont remplacés au XIIIe siècle par la famille de Benque, la dernière à résider au château féodal. Les comtes de Foix lui succèdent ensuite en 1258.
Siège principal du Nébouzan de 1345 à 1363, Aulon est déchu au profit de Cassagnabère lorsque le seigneur de Ramefort, Arnaud-Ramond d'Espagne, récupère la châtellenie. Devenu propriétaire du territoire en 1593, Pierre de Sarrecave doit affronter comme ses prédécesseurs les revendications des consuls, qui obtiennent en 1623 une extension de leurs pouvoirs administratifs et judiciaires. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, ils défendent avec vigueur leurs droits face aux différents seigneurs. Pendant la Révolution, ils réclament enfin le titre de chef-lieu de canton, puis refusent la nomination de Cassagnabère-Tournas comme centre de vote. Les citoyens actifs de la commune se rendent finalement à Aurignac. Les cléricaux et les révolutionnaires s'affrontent. Les biens nobles sont vendus aux enchères, notamment ceux du dernier baron Joseph de Médidier. Lorsqu'il devient maire d'Aurignac en 1801, il réclame une indemnisation.
L'activité est essentiellement agricole au XIXe siècle et l'émigration affaiblit la population. L'exploitation de gaz naturel change les données économiques après la Seconde Guerre mondiale.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[34],[35].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Aulon faisait partie de l'ex-canton d'Aurignac) et avant le de la communauté de communes des Terres d'Aurignac.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2018, la commune comptait 310 habitants[Note 8], en diminution de 10,92 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[41] | 1975[41] | 1982[41] | 1990[41] | 1999[41] | 2006[42] | 2009[43] | 2013[44] |
Rang de la commune dans le département | 124 | 185 | 182 | 213 | 249 | 280 | 286 | 298 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
L'économie de la commune est principalement basée sur l'agriculture.
Enseignement
Aulon fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture locale et patrimoine
Culture locale et patrimoine
- Église Notre-Dame du XIe et XIIe siècles et du XIVe et XVIe siècles inscrite aux Monuments historiques en 1926[45],[46],[47].
- Église Notre-Dame d'Aulon. Vue sur l'extérieur de la sacristie.
- Croix d'un souvenir de mission placée devant l'église.
- Le clocher.
- L'agence postale située à côté de l'église.
- Fontaine-lavoir de 1842 : fontaine du XVIe siècle. Un lavoir est aménagé au XIXe siècle, abrité par une charpente couverte de tuiles canal qui repose sur 6 piliers cylindriques. Aujourd’hui les fleurs ont envahi les lieux.
En 1842, la fontaine est finement décorée de hauts-reliefs avec un arc en plein cintre, dont la voussure est sculptée de 10 animaux fantastiques, elle repose sur un pied-droit ciselé. Un entablement surmonte l’ouverture, il est sculpté, au centre, dans une niche, d’une Marianne à la coiffure abondante, plus vraie que nature, encadrée de deux figurines napoléoniennes.
La fontaine publique a une situation exceptionnelle au point central de la commune, près de l’église. Elle arrête le regard des voyageurs « considérant les nombreuses sculptures sur pierre dues au ciseau d’un compatriote portant sur des sujets aussi originaux que variés qui ornent le frontispice de la fontaine ». Nostalgie de la part du sculpteur de la période qui a laissé des traces dans le canton et ses environs ? Il a immortalisé dans la belle pierre de Séglan, toute une imagerie populaire à la manière des artisans du Moyen Âge. Quand le lavoir fut couvert, un fronton triangulaire, disparu aujourd'hui et portant la devise de la République, fut maçonné en façade et surmonté d’un buste de Marianne, la place de la fontaine devint alors place de la République. Les délibérations de la fin du XIXe siècle témoignent de l’importance du bâtiment : nomination d’un « appariteur fontainier », vente des boues et immondices après curage, pour un maintien constant de propreté.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Aulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aulon et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aulon et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aulon et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aulon », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aulon et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aulon et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « réserve naturelle d'Aulon. », sur https://www.reserves-naturelles.org (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aulon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « milieux marneux ouverts et versants forestiers d'Aulon à Proupiary » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- MairesGenWeb : Les maires de Aulon
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Eglise à Aulon - PA00094263 - Monumentum », sur monumentum.fr (consulté le ).
- « Église Notre-Dame d’Aulon », sur Festival-du-Comminges (consulté le ).
- « Eglise Notre-Dame - Eglises et patrimoine religieux de France » (consulté le ).
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