Sepx

Sepx est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie, en Comminges.

Sepx

L'abbaye de Bonnefont.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cagire Garonne Salat
Maire
Mandat
Marlène Saint-Blancat
2020-2026
Code postal 31360
Code commune 31545
Démographie
Gentilé Sepxois
Population
municipale
217 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 20″ nord, 0° 50′ 28″ est
Altitude Min. 360 m
Max. 489 m
Superficie 12,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Gaudens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sepx
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Sepx
Géolocalisation sur la carte : France
Sepx
Géolocalisation sur la carte : France
Sepx

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sepx se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 70 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 11 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 45 km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Gaudens[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Proupiary (1,9 km), Castillon-de-Saint-Martory (2,7 km), Saint-Médard (3,0 km), Cazeneuve-Montaut (3,5 km), Auzas (3,9 km), Aulon (4,4 km), Saint-Élix-Séglan (4,7 km), Savarthès (4,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sepx fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

    Communes voisines.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 237 hectares ; son altitude varie de 360 à 489 mètres[8].

    Situé sur un chaînon argilo-calcaire orienté est-ouest faisant partie des « Petites Pyrénées », le village jouit d'une exposition plein sud et d'une vue panoramique sur la chaîne des Pyrénées.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 917 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 28 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21] : les « milieux marneux ouverts et versants forestiers d'Aulon à Proupiary » (220 ha), couvrant 4 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21] : les « affleurements calcaréo-marneux des coteaux du Saint-Gaudinois » (4 492 ha), couvrant 14 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Sepx est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43 %), terres arables (19 %), forêts (18,2 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (2,1 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Sepxois.

    Histoire

    La découverte d'une urne cinéraire romaine atteste une présence gallo-romaine sur le site. Le nom du village pourrait d'ailleurs provenir du latin saepes, saepis, qui désigne un lieu fermé protégé par une clôture. Effectivement, au VIIIe siècle, une enceinte fortifiée aurait été élevée lors des invasions sarrasines, selon l'instituteur local auteur d'une monographie datée de 1887 (Archives départementales de la Haute-Garonne, BR4-505). Le nom du lieu aurait pu se former à partir de ce moment. Au Moyen Âge, Sepx est une seigneurie dépendant des abbés de l'abbaye de Bonnefont, située en partie sur le territoire de la commune.

    Par la suite, le village est rattaché à la Guyenne (1490) ainsi qu'au Parlement et à la sénéchaussée de Toulouse. Aujourd'hui, Sepx est une commune de 200 habitants, à vocation rurale et touristique.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[30],[31].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Sepx faisait partie de l'ex-canton de Saint-Martory) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Martory.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 mars 2001 François Lannes PS  
    mars 2001 mars 2008 Hubert Vitte    
    mars 2008 mars 2014 Henri Saux Apparenté PCF  
    2014 2020 Pierre Saux    
    2020 En cours Marlène Saint-Blancat    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Accueil

    L’accueil des administrés est assuré tous les mardis et jeudis de 14 h à 17 h à la mairie.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33]. En 2018, la commune comptait 217 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    401405472486515606619627635
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    577522480502506508450417414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    406411317288316283288247228
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    206217186186157153148200221
    2018 - - - - - - - -
    217--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[36] 1975[36] 1982[36] 1990[36] 1999[36] 2006[37] 2009[38] 2013[39]
    Rang de la commune dans le département 205 298 338 391 403 421 389 375
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    A la veille de la Révolution, Sepx aurait compté 330 habitants. D'après une monographie rédigée par l'instituteur du village en 1881, la commune aurait atteint un maximum de population de 653 habitants en 1822. À partir de cette date, la population ne cesse de décroître (627 habitants en 1846, 508 en 1881, et jusqu'à 148 habitants en 2004). À partir de cette date, les recensements font état d'une remontée régulière de la population, qui est repassée au-dessus du seuil des 200 habitants en 2009.
    L'évolution de tous les effectifs de population depuis 1793 accessible via le site Cassini de l'EHESS[40] livre des informations différentes sur la période allant de la Révolution au milieu du XIXe siècle. Ce déclin démographique des villages à partir du milieu du XIXe siècle est celui que l'on retrouve dans presque tous les villages de la Haute-Garonne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Trouvée au carrefour de Sainte-Barbe, cette urne en marbre d'époque gallo-romaine devait renfermer les cendres d'un couple défunt dont le portrait est représenté sur la cuve. Elle était probablement surmontée d'un couvercle qui n'a pas été retrouvé.

    L'église possède un clocher-mur du XIVe siècle en pierre de taille, percé de 5 fenêtres à ogive triangulaire et surmonté de créneaux. À sa base, une coursive (ou chemin de ronde) crénelée supportée par de faux mâchicoulis et encadrée par deux tours carrées porte le blason de la famille des Mauléon, qui compte les anciens abbés commandataires de l'abbaye cistercienne de Bonnefont et seigneurs de Sepx. L'église conserve un ancien portail gothique aujourd'hui muré, dont on aperçoit les premières colonnes et le départ des chapiteaux à décor floral (feuilles de vigne). La nef a été rehaussée et partiellement reconstruite au XIXe siècle.

    À la sortie du village, en bordure de la départementale qui conduit à Saint-Gaudens, s'élève un calvaire en pierre, formé d'un grande croix centrale entourée de grilles de fer forgé et de quatre statues de centurions romains et de personnages évangéliques.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Notes et références : Site officiel de la mairie de Sepx

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sepx », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sepx et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sepx et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Sepx et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Sepx », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Sepx et Labarthe-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Labarthe-Rivière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sepx et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sepx », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « milieux marneux ouverts et versants forestiers d'Aulon à Proupiary » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « affleurements calcaréo-marneux des coteaux du Saint-Gaudinois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Index : communes par ordre alphabétique », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    41. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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