Aufferville

Aufferville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Aufferville

Vue vers l'entrée du bourg.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing
Maire
Mandat
Bruno Moulie
2020-2026
Code postal 77570
Code commune 77011
Démographie
Gentilé Auffervillois
Population
municipale
506 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 56″ nord, 2° 36′ 36″ est
Altitude Min. 101 m
Max. 116 m
Superficie 17,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Aufferville
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Aufferville
Géolocalisation sur la carte : France
Aufferville
Géolocalisation sur la carte : France
Aufferville
Liens
Site web aufferville.fr

    En 2018, elle compte 506 habitants.

    Géographie

    Localisation

    Localisation d'Aufferville dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune d'Aufferville se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1].

    Elle se situe à 41,86 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 25,35 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 9,48 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].

    Le village est situé à 11 km au nord-Ouest de Château-Landon et à km au sud-ouest de Nemours[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes d'Aufferville.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Châtenoy (2,4 km), Maisoncelles-en-Gâtinais (3,3 km), Chevrainvilliers (3,4 km), Obsonville (3,6 km), Bougligny (4,2 km), Ormesson (4,6 km), Ichy (4,8 km), Garentreville (5,0 km).

    Géologie et relief

    Carte géologique vectorisée et harmonisée d'Aufferville.

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

    L'altitude varie de 101 mètres à 116 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 109 mètres d'altitude (mairie)[Carte 2].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[6],[7].

    Géologie de la commune d'Aufferville selon l'échelle des temps géologiques[6],[7].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Pléistocène
    Néogène Pliocène non présent
    Miocène non présent
    Paléogène Oligocène
    g1CE :Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
    g1GF :Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables Stampiens dunaires).
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
    Éocène non présent.
    Paléocène non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[8].

    Hydrographie

    Il n'existe aucun réseau hydrographique de surface[9].

    Climat

    Aufferville, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[10],[11],[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Aufferville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,45% % en 2018), une proportion sensiblement identique à celle de 1990 (95,64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,08 %), forêts (2,94 %), zones urbanisées (1,60 %), prairies (1,38 %)[18].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[18].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    25,14 ha 1,42 % 28,49 ha 1,60 % 3,36 ha 
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
    1 698,43 ha 95,64 % 1 695,08 ha 95,45 % −3,36 ha 
    Forêts et milieux semi-naturels
    (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
    52,22 ha 2,94 % 52,22 ha 2,94 % 0 ha 

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Carte du cadastre de la commune d'Aufferville.

    La commune compte 87 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[21] dont Busseau, Jarville, Maison-Rouge et Morville.

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 247 dont 95,1 % de maisons et 4,9 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 80,9 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,4 % contre 13,1 % de locataires et 0,5 % logés gratuitement[22] -[Note 6].

    Voies de communication

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Aufferville.

    Plusieurs routes départementales relient Aufferville aux communes voisines :

    • la D 7, à Ichy, à l'ouest ; et à Maisoncelles-en-Gâtinais, au sud-est ;
    • la D 52, à Bougligny, à l'est ;
    • la D 52A, à Chevrainvilliers, au nord ;
    • la D 103, à Obsonville, à l'ouest ;
    • la D 403, à Châtenoy, au nord-est ; et à Obsonville et Ichy, au sud-ouest ;
    • la D 403e1, à Faÿ-lès-Nemours, au sud-est.

    Transports

    Aufferville est desservie par deux lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[23],[24],[25] :

    • la ligne 13A, qui relie Aufferville à Saint-Pierre-lès-Nemours ;
    • la ligne 13C, qui relie Beaumont-du-Gâtinais à Saint-Pierre-lès-Nemours.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Orfavilla en 1212, Parrochia de Offarvilla en 1257[26].

    Le nom fait allusion aux scories de fer souvent employées dans la construction des routes et chemins.

    Histoire

    Préhistoire

    Dès la préhistoire, l’Homme prend possession de la région. La population devait se concentrer du côté de Maison-Rouge car elle y trouvait les blocs de grès pour tailler ses outils sur des polissoirs, nombreux aux confins de Maison-Rouge et de Faÿ-les-Nemours, ou des fouilles furent effectuées dans la première moitié du XXe siècle. Sous l’époque romaine, les villas sont des maisons de campagne. Les rois francs donnèrent le nom de villa aux métairies qu’ils s’étaient réservés dans la Gaule[27].

    Ancien Régime

    Aufferville, anciennement Offervilla sur une charte de l'année 1192[28], faisait partie du Gâtinais français, élection et bailliage de Nemours. Dans cette charte, Guy de Noyers, archevêque de Sens, reconnaît qu'un certain Guy Morelli a résigné entre ses mains tout ce qu'il possédait de menue dîme à Bougligny et à Aufferville, et en même temps il déclare qu'il en fait l'abandon aux chanoines de sa cathédrale qui desservent l'autel de Saint-Jean-Baptiste.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La seigneurie de Fargeville qui fait partie de la paroisse d'Aufferville appartenait à la commanderie de l'Hôpital, autrefois du Temple, établie à Beauvais près Nemours (dite commanderie de Beauvais-en-Gâtinais)[29]. Pour l'administration ecclésiastique, c'était une paroisse du diocèse de Sens, doyenné de Milly et archidiaconé du Gâtinais[30].

    Époque contemporaine

    En 1901, la commune est essentiellement à vocation agricole, cultures mais aussi élevage. Les artisans tournent autour de l'agriculture : charron, maréchal–ferrant, tous dans le bourg mais Busseau aura durant quelques années son propre épicier-café[31]. Durant la Seconde Guerre mondiale, le fonctionnement administratif de la commune continue quels que soient les dirigeants de l’État[31].

    L’Après-guerre démarre durement, avec la poursuite des restrictions. Par contre le plan Marshall américain pour la reconstruction de l’Europe permet de voir arriver les premiers tracteurs[31].

    Les hameaux au XVIIIe siècle

    Grigny, ainsi que les hameaux suivants : Busseau , Jarville, Maison-Rouge et Morville.

    D'après la tradition, Jarville dépendait de la paroisse d'Obsonville, mais pendant une épidémie le curé de cette dernière localité, ne voulant pas porter les derniers secours de la religion aux habitants de Jarville, celui d'Aufferville se dévoua pour la circonstance. En reconnaissance, les habitants de Jarville voulurent que leur village fît partie de la paroisse d'Aufferville[27].

    Ce qui était appelé le fief de Lormoy, autrement dit de la Maison-Rouge fut sous la dépendance de la commanderie du Temple de Beauvais-en-Gâtinais (commune de Grez-sur-Loing) lors de la vente de la seigneurie de Fargeville aux chevaliers du Temple par Gauthier de Nemours. Le hameau de Grigny disparu était situé entre Maison-Rouge et l’actuelle maison dite de Grigny.

    Le hameau de Morville fut acheté par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1258. Plus tard, les chanoines de la cathédrale de Sens reprirent cette terre jusqu'à la Révolution. Jean de Rogres, bailli de Nemours, achète en 1571 à Guillaume de Boulay la seigneurie de Morville qui restera dans la famille jusqu'à la Révolution.

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1955 Georges Mercier    
    1955 1958 Roger Morisseau    
    1958 1963 Édouard Dupré    
    1963 1995 Guy Morisseau    
    1995 2008 Philippe Marié    
    2008 2014 Thierry Tardy    
    2014 En cours Bruno Moulié[32]   Chef d'entreprise

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [33],[34].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune d'Aufferville ne dispose pas d'assainissement collectif[35],[36].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[37]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée[35],[38].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [35],[39],[40].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

    En 2018, la commune comptait 506 habitants[Note 7], en diminution de 6,64 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    515576574589594615658686639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    636655591620616613623638613
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    612606579503463456469440404
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    451423393372389449498551516
    2018 - - - - - - - -
    506--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Événements

    • Vide-grenier et exposition artisanale le 8 mai.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 205, représentant 541 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 290 euros[45].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 105, occupant 248 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,8 % contre un taux de chômage de 9,9 %.

    Les 18,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,8 % de retraités ou préretraités et 4,9 % pour les autres inactifs[46].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 60 dont 9 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l’industrie, 18 dans la construction, 29 dans le commerce-transports-services divers et 2 étaient relatifs au secteur administratif[47].

    Ces établissements ont pourvu 55 postes salariés.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle est caractéristique des églises du Gâtinais. À l'intérieur de l'église, on peut découvrir la nef, un chœur plus étroit et l'abside semi-circulaire. Le bas-côté sud fut rajouté à la construction primitive au XVe siècle après le rattachement de Jarville à Aufferville.
    Le portail est du XIIIe siècle, les fonts baptismaux de pierre sont de 1653, et le retable d'autel du XVIIIe siècle. Comme la plupart des petites églises de campagne, elle n'est aujourd'hui ouverte qu'à certaines occasions, en raison de la présence intermittente d'un prêtre désormais responsable de nombreuses anciennes paroisses alors que chaque village avait encore un curé à demeure dans la première moitié du XXe siècle.
    • La croix Saint Pierre, place de l'Église, (3,5 m de haut, XIIIe – XIVe siècle).
    • Le baromètre à cadran du XIXe siècle accroché sur le mur de la mairie, don d'un particulier.
    • Le vestige d'une porte charretière au hameau de Morville (XVIIIe siècle).
    • La croix Saint Marc au hameau de Maison Rouge.
    • La croix Saint Jean rénovée à la sortie du hameau de Morville.
    • La croix dite à Martin Cornichon sur la petite place Saint-Martin.
    • La croix dite à Lesage aux limites des communes d'Aufferville, de Bougligny et Maisoncelles.
    • Deux bornes milliaires à l'entrée et sortie du village sur la D 403.
    • Le Polissoir dit d'Aufferville/Maison Rouge en limite de la commune de Faÿ-lès-Nemours.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois,...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de Aufferville » sur Géoportail (consulté le 22 mars 2020)..
    2. « Aufferville » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. « Aufferville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre Aufferville et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre Aufferville et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Distance entre Aufferville et Nemours », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Aufferville », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    7. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    8. « Plan séisme consulté le 30 octobre 2020 ».
    9. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 19 avril 2019
    10. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aufferville », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    19. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    20. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    21. Site territoires-fr.fr consulté le 19 avril 2019 sous le code commune 77011.
    22. Statistiques officielles de l'Insee.
    23. « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 72 : secteur de Nemours).
    24. « Réseaux de bus - Transdev Ile-de-France Nemours », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    25. « Plans & horaires - Aufferville », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    26. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 925 - (ISBN 2-60000-133-6).
    27. « Avant le XXe siècle », sur http://auffervillevillage.wordpress.com/ (consulté le ).
    28. Gallia Christiana nova, tom. XII. Instrum. col. 362
    29. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 97.
    30. Almanach historique, topographique et statistique du département de Seine & Marne et du diocèse de Meaux. 1863, Editions Amatteis, p. 121.
    31. « Histoire d’Aufferville au XXe siècle par Mr. Tardy », sur http://auffervillevillage.wordpress.com/ (consulté le ).
    32. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
    33. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    34. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    35. « Commune d'Aufferville - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    36. « Fonctionnement des services d'assainissement collectif de Seine-et-Marne - carte arrêtée en février 2020 », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    37. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    38. « Aufferville - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    39. « SIAEP de Nemours, Saint-Pierre - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    40. « SIAEP de Nemours, Saint-Pierre - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    45. Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 30 octobre 2020
    46. Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 30 octobre 2020
    47. Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 30 octobre 2020
    48. « L'église », notice no PA00086800, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Objets mobiliers de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
    • Portail de Seine-et-Marne
    • Portail des communes de France
    • Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
    • Portail de l'ordre du Temple
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.