Vibrac (Charente)

Vibrac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Vibrac.

Vibrac

Pont coudé.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Marie-Christine Grignon
2020-2026
Code postal 16120
Code commune 16402
Démographie
Gentilé Vibracais ou Vibracois
Population
municipale
282 hab. (2018 )
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 38″ nord, 0° 03′ 42″ ouest
Altitude Min. 15 m
Max. 68 m
Superficie 2,82 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vibrac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Vibrac
Géolocalisation sur la carte : France
Vibrac
Géolocalisation sur la carte : France
Vibrac

    Ses habitants sont les Vibracais et Vibracaises, ou les Vibracois et Vibracoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Vibrac est situé à km au nord de Châteauneuf-sur-Charente et 17 km à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.

    Le bourg de Vibrac est aussi situé à km au sud-ouest d'Hiersac, 10 km à l'est et en amont de Jarnac, 14 km au sud de Rouillac et 21 km à l'est de Cognac[2].

    La D 22 entre Jarnac et Châteauneuf qui longe la Charente par la rive droite traverse la commune et dessert le bourg, ainsi que la D 63 en direction de la route nationale 141 à Malvieille, qui passe à km au nord du bourg, et Rouillac. La D 72 à l'est va vers Angoulême par Trois-Palis. Vibrac est à l'écart des grandes voies de communications mais bénéficie d'un pont sur la Charente[3].

    La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune ne comporte pas de hameaux.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Vibrac
    Moulidars
    Saint-Simon Mosnac-Saint-Simeux
    Angeac-Charente

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est calcaire et appartient en grande partie au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.

    Sur la bordure orientale de la commune commence la zone du Crétacé, qui occupe toute la moitié sud du département de la Charente, ici le Cénomanien inférieur. Ce sont les premières hauteurs marquant à l'est la fin du Pays Bas.

    Au sud-ouest de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la partie inondable est couverte par des alluvions récentes du Quaternaire[4],[5],[6].

    La commune occupe la vallée de la Charente sur sa rive droite. Le relief s'élève légèrement sur la limite nord-est de la commune et plus brutalement sur sa limite méridionale, où est d'ailleurs situé le point culminant à une altitude de 68 m. Le bourg, construit au bord de la Charente, est à environ 20 m d'altitude, et la partie inondable (la prée) est à 15 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Charente à Vibrac.

    La Charente fait la limite sud de la commune, qui la sépare d'Angeac. Le fleuve arrose de magnifiques prairies et se divise en plusieurs bras, formant ainsi de nombreuses îles[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Vibrac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), zones urbanisées (16,1 %), cultures permanentes (14,8 %), forêts (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attesté sous la forme ancienne Vibrac ou Vibraco en 1299[13].

    L'origine du nom de Vibrac remonterait à un nom de personne gallo-romain Vibrius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Vibriacum, « domaine de Vibrius »[14].

    Histoire

    Le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême avant le IXe siècle pour tenter de se protéger contre les invasions normandes. Ce fossé long de 20 km reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac, plus exactement à son château[15],[16],[17],[18].

    Au milieu d'une île entourée par la Charente et cachée par un rideau de verdure[19], s'élève une vaste construction abandonnée. C'est l'ancien château de Vibrac, construit au XVe siècle par les seigneurs de Mareuil. Ce château devait être très important, et pourtant, à partir du XVIIe siècle, il fut peu habité par ses possesseurs qui, appartenant tous à d'illustres familles, en abandonnant la garde à des intendants.

    Au Moyen Âge, la terre de Vibrac appartenait à la famille de Montchaude. Hugues de Montchaude, qui possédait Vibrac au XIVe siècle, maria sa fille, Jovide, à Raymond de Mareuil, seigneur de Villebois, qui par ce mariage devint également seigneur de Vibrac.

    Un neveu de Hugues de Montchaude avait embrassé la cause des Anglais, qui ravageaient alors la France (c'était l'époque de la guerre de Cent Ans). Le château a été pris et repris plusieurs fois durant la guerre de Cent Ans[20].Pour le punir le roi Jean le dépouilla de tous ses biens en faveur de Raymond de Mareuil.

    La famille de Mareuil conserva Vibrac jusque vers le milieu du XVIe siècle. Guy II de Mareuil fut sénéchal d'Angoumois. Ce dernier, de ses deux mariages eut, entre autres Gabrielle ; elle fut mariée, en 1541, à Nicolas d'Anjou, marquis de Mézières, qui fut gouverneur d'Angoulême ; il n'eut, lui-même qu'une fille, Renée, qui épousa, en 1566, François de Bourbon, duc de Montpensier. Leur fils unique vendit, vers 1597, Vibrac à Jean-Louis de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon et gouverneur d'Angoumois.

    Ce dernier revendit, en 1684, son duché de La Valette, les châtellenies d'Angeac et de Vibrac au maréchal de Navailles, qui mourut en 1684, laissant trois héritières ; la plus jeune, Gabrielle, prit pour époux le marquis de Pompadour, dont elle eut une fille, Françoise, qui épousa messire Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau, gouverneur de Touraine.

    Vibrac passa à ses héritiers, qui le vendirent un peu après 1784[16].

    Un autre petit logis, sis sur le coteau qui domine le bourg de Vibrac, les Courades, dépendait du château de Vibrac.

    C'était une seigneurie qui, à la fin du XVIe siècle, appartenait à la famille de Lestang. Le dernier représentant de cette famille, Aymar de Lestang, mourut vers la fin du XVIe siècle. Sa fille, Marie de Lestang, épousa en 1607, Josias Mehée, sieur de La Ferrière. Par son mariage avec Isaïe Méhée, Anne le Musnier, fille du seigneur d'Ardenne, devint maîtresse des Courades. Anne, devenue veuve, se remaria avec René Méhée, seigneur d'Anqueville.

    Lors du partage des biens en 1691, elle réunit les deux domaines d'Ardenne et des Courades, qu'elle transmit à son fils Pierre Méhée. Ce dernier étant mort sans enfants en 1760, la terre des Courades passa à Cyprien-Gabriel de Terrasson. En 1821, le domaine fut morcelé[16].

    Administration

    La mairie de Vibrac.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014 Claude Guillot SE Horticulteur retraité
    2014 En cours Marie-Christine Grignon    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 282 habitants[Note 2], en diminution de 6,31 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    469435461476458436506496429
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    416420402378381353317314282
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    297291267265244233239243225
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    246266232223244290297303301
    2018 - - - - - - - -
    282--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Vibrac en 2007 en pourcentage[25].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,7 
    5,7 
    75 à 89 ans
    9,7 
    13,3 
    60 à 74 ans
    13,8 
    20,9 
    45 à 59 ans
    18,6 
    25,3 
    30 à 44 ans
    24,1 
    15,8 
    15 à 29 ans
    14,5 
    19,0 
    0 à 14 ans
    18,6 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].

    Les moulins ont joué un grand rôle économique. Selon les sources, il y aurait eu au XIXe siècle un moulin à blé et un moulin à huile ou un moulin à plâtre et deux moulins à blé[28].

    Actuellement l'agriculture est la principale activité. Il y a aussi une importante société d'horticulture spécialisée en fleurs et quelques artisans (maçon, plombier, électricien).

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Moulidars et Vibrac. Vibrac accueille l'école élémentaire et Moulidars l'école primaire. L'école communale a une classe unique. Le secteur du collège est Châteauneuf[29].

    Autres services

    Ils se trouvent dans les communes avoisinantes et surtout à Châteauneuf.

    Associations culturelles et sportives

    Le comité des fêtes organise une grande fête annuelle pour le .

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale.

    L'église paroissiale Saint-Pierre a été construite au XIIe siècle. Elle a été remaniée d'abord au XVIe siècle et la petite chapelle gauche porte la date de 1594, puis au XIXe siècle et le portail porte la date de 1826. Ensuite elle a été restaurée en 1896[30].

    La chapelle Notre-Dame de Vibrac qui est mentionnée sur la carte de Cassini a disparu après la Révolution[31]. Elle était située sur la route de Moulidars, à côté du Fossé au Comte[16].

    Patrimoine civil

    Du château de Vibrac il reste des ruines dans une île de la Charente, une chapelle, un pont et des communs. Ce château fort du XIIIe siècle aurait été reconstruit au XVe siècle, puis remanié aux XVIIe et XVIIIe siècles[32]. Il a été dessiné par Claude Chastillon, dans sa Topographie française[33].

    Le logis des Courades, seigneurie ayant appartenu à la fin du XVIe siècle à la famille de Lestang, était une construction composée de cinq tours dont il n'en reste qu'une. Le logis, lui, date du XVIIe siècle[34].

    Une maison du XVIe siècle qui aurait été l'ancien presbytère, deux maisons du XVIIIe siècle, trois moulins qui existaient en 1834 forment tout un patrimoine bâti remarquable.

    La commune comporte un pont datant peut-être du XIIe siècle, pont coudé en calcaire assez caractéristique et connu, appelé Petit Pont[35] et un du XVIIIe siècle connu sous le nom de Pont de bois ou pont de Bouet[36]. Ces deux ponts traversent les deux bras principaux de la Charente.

    Patrimoine environnemental

    Personnalités liées à la commune

    Mémorial Claude-Bonnier.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 233
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 711.
    15. François Marvaud, Étude historique sur l'Angoumois, Cognasse, (lire en ligne), p. 48
    16. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 247
    17. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 156
    18. François Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
    19. « Ruines du château de Vibrac » sur Géoportail.
    20. Histoire de Cognac, abbé Cousin,1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Evolution et structure de la population à Vibrac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    28. « Anciens moulins », notice no IA00041906, base Mérimée, ministère français de la Culture
    29. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    30. « Église Saint-Pierre », notice no IA00041915, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. « Ancienne chapelle Notre-Dame », notice no IA00041944, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. « Ancien château », notice no IA00041909, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 805
    34. « Logis des Courades », notice no IA00041911, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Ponts coudés, Petit Pont », notice no IA00041913, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Ponts coudés, pont de Bouet », notice no IA00041914, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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