Vernaison

Vernaison est une commune française, de la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Sud-Est de la France.

Pour les articles homonymes, voir Vernaison (homonymie).

Vernaison

La mairie, square Louis Vernay.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
Métropole Métropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Julien Vuillemard
2020-2026
Code postal 69390
Code commune 69260
Démographie
Gentilé Vernaisonnais
Population
municipale
5 001 hab. (2018 )
Densité 1 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 55″ nord, 4° 48′ 43″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 280 m
Superficie 4,03 km2
Localisation
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Vernaison
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Vernaison
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Vernaison
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Vernaison
Liens
Site web Site de la commune

    Ses habitants sont appelés les Vernaisonnais.

    Géographie

    Situation

    La commune est située à environ 15 km au sud de Lyon, sur la rive droite du Rhône. Les communes limitrophes de Vernaison sont : Irigny, Solaize, Sérézin-du-Rhône, Millery, Grigny et Charly.

    Selon la classification de l'INSEE, c'est une commune urbaine qui fait partie de l'unité urbaine de Lyon ; elle n'est séparée de la commune-centre que par Irigny et Pierre-Bénite.

    Territoire

    En rouge le territoire de Millery qui a intégré Vernaison et la métropole, en bleu le territoire qui a rejoint Grigny.

    Son territoire est réparti entre deux grandes zones :

    • celle des bords du Rhône et des îles, tournée vers le fleuve, mais aussi menacée par ses crues, même si depuis l'édification du barrage de Pierre-Bénite, elles sont devenues moins violentes ;
    • celle des collines vouée à l'agriculture, principalement à l'arboriculture.

    L'île de la table ronde  qui n'est pas sur le territoire de la commune de Vernaison mais sur celui des communes voisines d'Irigny, Ternay et Feyzin  et l'île de la Chèvre, sont un site protégé avec une faune et une flore typique des milieux du Rhône. Le programme de réhabilitation débuté dans les années 1990 a permis de redonner une nouvelle jeunesse aux « lônes », nom donné aux bras morts du Rhône qui accueillent de nombreuses variétés de poissons. On y trouve des espèces protégées, assez étonnantes si près de Lyon, comme le castor, le martin pêcheur ou le milan noir.

    En 1998, dans une étude sur la vallée du Rhône, Jacques Bethemont indiquait que Vernaison se trouve sur une frontière géographique. Au nord de la ligne Vernaison-Saint-Genis-Laval, les communes consacrent plus de 60 % de leur terre à des activités non agricoles, alors qu'au sud, les taux sont inférieurs à 30 %[1]. La même étude indique aussi que les terres de Vernaison sont de moins en moins agricoles.

    Le , lors de la création de la métropole de Lyon, la commune absorbe une partie de Millery afin de créer un corridor territorial reliant Grigny à la métropole[2].

    Climat

    En 1883, Lyon-Revue remarquait que Vernaison est connue pour sa végétation variée et surtout pour la douceur de son climat[3].

    Histoire

    L'étymologie du nom de la commune est mal connue, cependant, on peut reconnaître le nom Verne (aulne), arbre très présent dans les milieux humides.

    Vue d'ensemble

    Trésor de Vernaison. Musée gallo-romain de Lyon
    Préhistoire

    À l'âge du bronze, des fondeurs de bronze s'installent le long du Rhône. On a retrouvé plusieurs de leurs dépôts entre Lyon et Vienne. À Vernaison en 1856 on a mis au jour un de ces dépôts, appelé trésor de Vernaison. Ce trésor, visible au musée gallo-romain de Fourvière à Lyon, est assez important, étant constitué de 13 haches, 5 poignards, 14 épingles, plusieurs faucilles et d'autres objets de cette époque.

    Moyen Âge
    • 1153 : première mention du nom de Vernaison (Veyrneyson) dans un document écrit.
    • 1213 : fondation de la paroisse par Johan Rufus, abbé de l'abbaye d'Ainay (Lyon). La paroisse de Vernaison restera une annexe de Charly jusqu'à la Révolution française.
    • XIIIe siècle : péage sur le Rhône à la tour de "Genetière" (aujourd'hui Tour de Millery)
    • XIVe siècle : construction de maisons en pisé et galets issus du fleuve.
    • XVe siècle : culture vinicole
    • 1439 : les moines bénédictins quittent le lieu et cèdent les terrains à des bourgeois lyonnais.
    Fin du XVIIIe siècle
    • 1787 : Ouverture de la fabrique d'indiennes par 3 Genevois, du nom de Guillon, Paris et Chaland[4]. Cette fabrique emploie 60 personnes contremaitre et dessinateurs inclus ; presque tous ces employés sont originaires de Suisse et protestants[5]. Les produits fabriqués ne consistent qu'en mouchoirs assez communs, vendus dans les départements limitrophes[6]. Au début du XIXe siècle, la fabrique Chaland emploie 144 ouvriers[7].
    • 1791 : Vernaison devient une paroisse autonome.
    • 1793 : au début de la République, la région est touchée par la guerre civile entre les royalistes de l'"armée lyonnaise", et les soldats républicains. Les habitants et mariniers de Vernaison prennent part à ces affrontements. Les républicains ayant été chassés de Pierre-Bénite, ils tentent de passer le Rhône à Vernaison en établissant un pont de bateaux. Une partie des habitants prend les armes et tirent sur neuf "pennelles" déjà en place. Trois de ces bateaux-pont coulent. Le combat dure plus de vingt minutes. Le maire de Vernaison, accompagné de mariniers, part alors à l'assaut au cri de "A l'abordage, vivent les Lyonnais !". Les soldats de la Convention fuient et rejoignent l'autre rive[8].
    XIXe et XXe siècles
    Vue de Vernaison par Joannès Drevet
    • XIXe siècle : Vernaison a, alors, une grande activité fluviale. La ville compte 3 ports. De nos jours, les seules traces de ces ports restent des noms de rues : port Rave, port Perret et port Puys. Le village abrite, alors, la seconde gare entre Lyon et Saint Étienne. Elle comporte de nombreuses maisons de campagne. Les chemins de fer note de nombreux mouvements de voyageurs dans cette gare[9].
    • 1836 : Le , mouvement social important chez les ouvriers de la fabrique d'indiennes. Ils quittent leur travail et vont proposer leur service à d'autres entreprises[10].
    • 1860 : En septembre, la société des providences agricoles ouvrent une maison pour enfants miséreux. Ces derniers peuvent y rester jusqu'à leur première communion. Les Providences leur donnent une éducation simple et rustique en lien avec leur futur métier : cultivateurs. En 1861, 36 enfants sont comptés dans cette maison. Les Providences sont dirigés par des frères agriculteurs[11].
    • 1843 : Le 8 octobre, une lettre pastorale annonce l'ouverture d'un hospice pour les prêtres, sous le vocable de Saint François de Sales. L'archevêque de Lyon, Mgr de Bonald, fut à l'initiative de la création de ce lieu de repos, où il y avait ses habitudes.[12]
    • 1887 : Création d'une des premières associations du sport nautique, nommé "Joutes", encore pratiqué de nos jours
    • 1919 : Création de la société Chocolaterie Fine et Confiserie du Rhône[13]. Tout au long du XXe siècle cette société va fabriquer des chocolats à Vernaison. À travers sa marque "Chocolats fins le Rhône"[14], cette chocolaterie a séduit ses adeptes avec son "vrai malakoff", puis le "malakoff doré", le "noisetta", le "melhor", les "vonettas", le "cabello", le "superhone". En 1936, la société est cotée en bourse[15]. La fabrique est encore présente dans les années 1960, on retrouve de nombreux supports publicitaires du milieu du XXe siècle. La chocolaterie vernaisonnaise a fermé ses portes en 1967.
    • 1995 : Programme de mise en valeur des lônes
    • 2003 : Ouverture du pôle de la petite enfance

    Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[16].

    Le dépôt de bronze de Vernaison

    La découverte des objets en bronze de Vernaison a été faite en [17] dans la propriété du maire de l'époque, M. Donat. Le rapport de cette découverte fut établi par M. A. Commarmond, inspecteur divisionnaire de la Société française d'archéologie. Le champ de la découverte portait le nom des Garennes. C'est au moment de retourner la terre que les fermiers découvrirent à 60 cm de profondeur, deux vases distants de 20 mètres. Ces deux vases, faits d'argile et de gravier blanc, avaient une taille de 40 cm de haut pour 35 cm de diamètre. Les vases cassés montrèrent un contenu important : 135 objets (21 kg) dans le premier, et 72 (17 kg) dans le second.

    75 pièces, dignes d'intérêt ont été récupérées par le musée de Lyon. Les débris restant devaient être fondus par M. Donat pour en faire une urne rappelant la découverte. Parmi ces pièces, l'inventaire de l'époque mentionne : douze styles, treize contrepoids de lance, trente bracelets, cinq lames de poignard, un ornement en feuille de laurier, un pendentif, une bande ornée de moulures.

    Politique et administration

    Square de la mairie
    Liste des maires successifs depuis 1944
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 André Gainon    
    Louis Vernay    
    Marius Dorée    
    Régis Volle UDF Pharmacien
    Georgette Palleja DVD Retraitée
    André Vaganay UDI Chef d'entreprise
    En cours Julien Vuillemard DVD  

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

    En 2018, la commune comptait 5 001 habitants[Note 1], en augmentation de 9,14 % par rapport à 2013 (Rhône : +4,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8231 0199641 1041 1081 1291 0239391 182
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3901 4371 3351 0761 3031 2521 1761 1221 183
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2781 2201 2751 2561 3731 4231 3671 5081 552
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 7661 9953 2503 3734 0724 0004 3204 3654 521
    2017 2018 - - - - - - -
    4 9985 001-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Vernaison fait partie de l'académie de Lyon. Le centre du village accueille trois écoles dont deux publiques (école maternelle Robert Baranne, 121 élèves en 2018-2019, école primaire Robert Baranne, 225 élèves en 2018-2019)[22] et un établissement privé sous contrat (école Notre Dame, 124 élèves en maternelle et primaire en 2018-2019[23]).

    Sport et santé

    Vernaison possède la particularité de pratiquer les joutes nautiques. C'est une activité sportive traditionnelle que pratiquent beaucoup de villages entre Lyon et Givors et même au-delà jusqu'à Vienne. Vernaison pratique les joutes de la méthode lyonnaise. Chaque année, des compétitions sont organisées, dans le bassin destiné à cette activité. Le , Vernaison a accueilli la finale du championnat de France des méthodes Lyonnaise et Givordine[24]

    Bernard Clavel a découvert ce sport et l'a pratiqué pendant tout le temps qu'il vécut ici à Vernaison. Il l'évoque à plusieurs reprises dans son œuvre, dans des romans comme Le Seigneur du fleuve, La Guinguette, l'histoire de cette maîtresse femme qui se passe dans la région ou dans Le Tambour du bief dont les joutes nautiques constituent un thèmes importants et que, pour les besoins du roman, il a transposé dans sa Franche-Comté natale.

    Toute cette époque est rappelée dans la magnifique sculpture exposée sur les berges du Rhône, près de l'espace nature Îles et lônes du Rhône qui rappelle les premières coupes de France par équipe gagnées par Vernaison.

    AnnéeLieu de la compétitionClassement [25]
    1982Givors2e
    1983Longueil Annel2e
    1988Givors3e
    1994Grigny2e
    1995Chasse/s Rhône3e
    1997Loire s/ Rhône2e
    2004Isle sur SorgueVictoire
    2011Serrières2e
    2016Chasse/s Rhône2e
    2019 Ternay 2e
    2021 Givors Victoire

    L'Union Marinière de Vernaison, le club local de Joutes et de Barques, existe depuis 1887.[26]

    Cependant, un chavirage d'une barque de jeunes filles qui fit 7 victimes noyées, nous indiquent que les fêtes locales de joutes existent depuis au moins 1818.[27]


    Cadre de vie et environnement

    Le parcours Charly-Vernaison mis au point avec la commune voisine de Charly comprend trois parcours en boucle qui permettent de découvrir les paysages intéressants de ces deux communes ainsi que la vie de ses habitants. Chacun de ces trois itinéraires a été balisé et comporte des informations sur la faune et la flore environnantes.

    • Le parcours de l'étang s'étend sur 3,2 km et est centré sur le travail des arboriculteurs, domaine important dans l'économie locale.
    • Le parcours du plateau sur une longueur de 3,3 km permet surtout d'admirer les paysages de contraste entre la colline et la plongée vers le Rhône.
    • Le parcours des Hauts de Charly sur une distance de km est organisé sur la vie de l'agriculture en zone péri urbaine.

    Le parcours ou plutôt les parcours les plus utilisés se situent le long du fleuve tant au nord direction Irigny qu'au sud direction la Tour de Millery. Recommandés les parcours Nord par les jardins ou le long du fleuve -impraticable lors des crues -passage par la gare d'Irigny et ses restaurants puis découverte du barrage de Pierre Bénite. Balisage SMIRIL. JW.

    Lieux et monuments

    L'église
    • Église du XIXe siècle, construite en 1869, conçue par l'architecte Farge, consacrée en 1873. L'ancienne église romane n'existe plus.
    • 3 sentiers thématiques au bord du Rhône.
    • Monument historique : vestiges du "pavillon de Cornevent" (inscrit en 1973), situé route de Givors, vers le numéro 33 de la rue.
    • Monument historique : édifice et parc du "Lac enchanté" (XIXe siècle, inscrit en 1986), situé 770 chemin des Gaupières. Le Lac a été commencé en 1835 par Henri Broche, l'aménagement a été poursuivi par son petit-fils jusqu'en 1913[28].
    • Monument historique : édifice et parc de "La fée des Eaux" (XIXe siècle, inscrit en 1986), situé 12 rue de la Fée des Eaux.
    • Pile de rive : vestige du bac à trailles. Avant le premier pont (1902), la traversée se faisait sur des bateaux à fond plat, guidés par un câble tendu entre les deux rives. De chaque côté, des piles maintenaient le câble en hauteur. La pile encore en place est en pierre. Le bac a été utilisé jusqu'en 1902, date de l'ouverture d'un premier pont suspendu. Ce pont fut détruit en 1940. Le bac reprit du service jusqu'en 1959.

    Premier pont suspendu de Vernaison : 1902-1940

    • En 1878, les ingénieurs des ponts et chaussées du Rhône faisaient de premières études.
    • En 1892/1893, les conseils municipaux de Vourles, Charly et Vernaison firent une demande de la mise en place d'un pont suspendu entre Vernaison (Rhône) et Solaize (Isère, à cette époque).[29]
    • Commencé en 1900, ce pont fut inauguré le par le Ministre de la Marine, Jean Marie de Lanessan, en présence du maire de l'époque M. Bruner.
    • Ce pont suspendu est une œuvre majeure en Europe, pour l'époque. Il était composé de trois travées dont les longueurs étaient de 232 mètres, 52 mètres, 42 mètres. Sa largeur était de 5 mètres. Deux poutres solidarisaient l'ensemble, formant un parapet de 1,25 mètre de haut. Sa longueur totale était de 390 mètres[30]. Les fondations des deux tours ont été coulées par air comprimé, les deux tours faites de béton étaient recouvertes de pierres de taille[31]. Ce pont fut construit par Teste, Moret et Cie[32]. Il pouvait porter 11 tonnes.
    • Ce pont fut détruit le au cours de la retraite des troupes françaises[33].

    Le pont suspendu actuel

    • Il enjambe le Rhône, Il a été inauguré le .
    • La reconstruction avait été entreprise en 1955[34]. Il est déclaré tout tonnage. Les essais du pont ont eu lieu le avec 14 camions totalisant 280 tonnes de charge.
    • Depuis , les poids lourds de plus de 3,5 tonnes sont interdits à la circulation sur le pont devenu vétuste. Son remplacement est à l'étude.[35]
    • Un article wikipedia lui est dédié : pont suspendu de Vernaison

    Personnalités liées à la commune

    Transports

    Vernaison est relié à :

    Économie

    Bien que située dans l'agglomération lyonnaise, la commune a encore une importante activité agricole et arboricultrice. En particulier, elle se trouve dans cette aire géographique, avec les communes voisines de Millery et de Charly où s'est implantée la cerise Burlat, variété très fructifort importée d'Orient, aux arbres bien exposés sur les coteaux qui surplombent le Rhône.

    Comme l'écrivait le poète Henri Michaux :
    « Le cerisier montre aux yeux éblouis
    Ses fruits mûrs, suspendus en grappes de rubis. »

    • Vernaison accueille des entreprises traditionnelles et des commerçants mais également des sociétés de hautes technologies.
    • Marché les mercredis et samedis matin.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Jacques Bethemont, Le thème de l'eau dans la vallee du Rhône, Université de Saint-Étienne, 1998.
    2. « DÉCRYPTAGE », sur http://www.francebleu.fr/, vendredi 02 janvier 2015 à 16h34 (consulté le )
    3. Lyon-revue, Volumes 5 à 6 Page 123, 1883
    4. Henri Clouzot, Histoire de la manufacture de Jouy et de la toile imprimée en France, Éditions G. Van Oest, 1928, page 122
    5. Yves Krumenacker, Des protestants au siècle des lumières: le modèle lyonnais
    6. Description physique et politique du départ. du Rhône par Verninac, Editions Ballanche et Barret, 1800, Page 89
    7. C Beaulieu, Histoire du commerce, de l'industrie et des fabriques de Lyon depuis leur origine jusqu'à nos jours, Éditions A. Baron, 1838.
    8. Alphonse Balleydier, Histoire politique et militaire du peuple de Lyon pendant la révolution française 1789-1793, Pitrat et Fils éditeurs, pages 50-51,Bibliothèque municipale de Lyon
    9. Notices sur les chemins de fer du Rhône et de la Loire, Louis Perrin, 1843, page 24
    10. Contribution à l'histoire du mouvement ouvrier français, Par Jean Pierre Aguet, Publié par Libraire E. Droz, 1954, Page 155
    11. Misère et charité dans une petite ville de France de 1560 à 1862 Par Elie Ebrard, 1866, page 438
    12. « Les Contemporains 1 janvier 1914 - (1-janvier-1914) », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
    13. Gazette judiciaire et commerciale de Lyon: Rey et Cie éditeurs, 1919. Page 54
    14. Revue de la chocolaterie, confiserie, biscuiterie, confiturerie.Éditeur : P. Johanet (Paris). Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-63233. Volume : 1931/10 (A6,N64).1934/08 (A9,N98).1935/02 (A10,N104)http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32857522f.
    15. Journal des finances : cote universelle et correspondance des capitalistes Éditeur : Journal des finances (Paris), volume 1936/12/25 (A69,N52).http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343487991
    16. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
    17. Société française d'archéologie. Bulletin monumental. 1858.1858 (Sér. 3 / T. 4 = Vol. 24)
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Communiqué site de la mairie Vernaison », sur vernaison.fr (consulté le )
    23. Magazine Lyon Première, 29 novembre 2009
    24. Quotidien Le progrès http://www.leprogres.fr/rhone/2014/08/31/championnat-de-france-de-joutes-un-dimanche-de-finale-a-vernaison
    25. « Joute/Coupe de France. L’UM Vernaison remporte la Coupe de France », sur www.leprogres.fr (consulté le )
    26. Article du progrès papier, 9 aout 2020, page 17, supplément Actu Sud-Ouest Lyonnais
    27. « Journal Général de France 28 juillet 1818 - (28-juillet-1818) », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
    28. Jardins en France: guide illustré Par Michel Racine, 2000, page 415
    29. Harold T. Parker et Jean Bourdon, « Napoleon au Conseil D'Etat: Notes et Proces-Verbaux Inedits de Jean-Guillaume Locre, Secretaire General du Conseil D'Etat », The American Historical Review, vol. 71, no 2, , p. 579 (ISSN 0002-8762, DOI 10.2307/1846421, lire en ligne, consulté le )
    30. A history of suspension bridges in bibliographical form, Federal Works Agency, Public Roads Administration, 1941 Page 251
    31. Repertorium der technischen journal-literatur, 1905
    32. Nouvelles annales de la construction: Volume 10, 1904, C. Oppermann, Ch Béranger, Ch Baudry
    33. Revue de Géographie de Lyon: Volumes 22 à 23, 1947
    34. Vernaison : un peu d'histoire
    35. Quotidien Le progrès 28 février 2020 https://www.leprogres.fr/edition-sud-lyonnais/2020/02/28/le-pont-de-vernaison-interdit-aux-poids-lourds-des-mardi
    36. « « L’île » le restaurant de 3 rugbymen, a livré plus de mille repas aux hôpitaux lyonnais », sur midi-olympique.fr (consulté le )
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