Vaylats

Vaylats est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Vaylats

Le couvent.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Bertrand Gouraud
2020-2026
Code postal 46230
Code commune 46329
Démographie
Population
municipale
325 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 17″ nord, 1° 38′ 37″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 326 m
Superficie 26,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Vaylats
Géolocalisation sur la carte : Lot
Vaylats
Géolocalisation sur la carte : France
Vaylats
Géolocalisation sur la carte : France
Vaylats
Liens
Site web Site web du village de Vaylats

    Géographie

    Localisation

    Vaylats est située dans le sud-est du département du Lot. Elle se trouve sur la route qui mène de Montauban à Figeac en passant par Caussade.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe de huit communes dont quatre dans le département de Tarn-et-Garonne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 881 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Montat », sur la commune du Montat, mise en service en 1986[7]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 832 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, dans le département de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de Erreur d’expression : caractère de ponctuation « , » non reconnu. pour 1981-2010[11] à 14 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[20],[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[22] : les « bois d´Aubrelong, vallée de la Lère morte et vallons annexes » (1 470 ha), couvrant 8 communes dont trois dans le Lot et cinq dans le Tarn-et-Garonne[23] et le « plateau de Marcenac et de Saint-Hilaire » (670 ha), couvrant 3 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[22] : le « causse de Caylus, vallée de Sietges et haute vallée de la Lère » (8 815 ha), couvrant 13 communes dont cinq dans le Lot et huit dans le Tarn-et-Garonne[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Vaylats est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,1 %), prairies (22,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Vaylats, en occitan Vailats ou Valhats, est une variante de valat issu du latin vallum (?) qui désigne un ouvrage défensif avec un pluriel collectif[32].

    Histoire

    L'activité humaine sur le site remonte à deux ou trois siècles av. J.-C. comme l'attestent des restes gallo-romains. On a retrouvé les traces d'un oppidum, qui a pendant un temps été un candidat au titre d'Uxellodunum, le dernier bastion gaulois à résister contre César. La guerre de Cent Ans au XIVe siècle et les guerres de religion au XVIe siècle ont ruiné ces régions agricoles.

    Aucun seigneur ne porte le nom de Vaylats ; toutefois dans l'histoire de Lacoste, on trouve au XIIIe siècle le nom de Guilhem de Vaylats. La paroisse de Vaylats est une annexe du prieuré de Bach à la Révolution française. La famille de Godaille possède une partie des terres ; la seigneurie était, semble-t-il, la dot de sa femme. À la veille de la Révolution, son descendant, le marquis de Cieurac, habite Montauban dont il devient le maire, mais il est arrêté en 1790 et mis en prison par le parti révolutionnaire. Il est envoyé à Paris avec un convoi de prisonniers ; jugé coupable, il est envoyé à l'échafaud. Ses biens confisqués seront vendus comme biens nationaux.

    Jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y avait quatre foires à Vaylats : en février, en mars (fiero de lo cebo), la veille de la fête du village qui a lieu le premier dimanche d'août (foire des vignerons), et une quatrième (date non déterminée).

    Le bureau de poste n'existe plus depuis quelques années, le village dépendant désormais de la poste de Lalbenque. L'église est dirigée par un prêtre, qui est aussi l'aumônier des religieuses qui se trouvent au couvent. L‘école a été fermée il y a une dizaine d'années.

    La population a beaucoup changé au cours des siècles. On peut noter les chiffres , 900 habitants à la fin du XIXe siècle contre un peu moins de 250 au recensement de 2005.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1813 Antoine Pigneres    
    1814 1845 Joachim Bru    
    1846 1847 Baptiste Cavaille    
    1847 1855 Louis Miquel    
    1855 1870 Jacques Bru    
    1870 1871 Louis Vidaillac    
    1871 1874 Jacques Bru    
    1874 1876 Louis Vidaillac    
    1877 1878 Jean Leris    
    1878 1882 Paul Pigneres    
    1883 1892 Jean Leris    
    1892 1896 Joachim Bru Républicain Conseiller d'arrondissement du canton de Lalbenque
    1896 1902 Louis Bru    
    1977 2008 Maurice Bru SE Agriculteur
    2008 2014 Brigitte Rouelle SE Agent du service public
    2014 en cours Bertrand Gouraud SE Agriculteur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2018, la commune comptait 325 habitants[Note 7], en augmentation de 16,49 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    662673699726722799787805891
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    974989954906942908862820808
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    716613576519521431392339297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    298267213226196251246270312
    2018 - - - - - - - -
    325--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le couvent actuel de Vaylats a été construit au début du XIXe siècle sur des terres vendues par un descendant de la famille de Godaille à un prêtre, Jean Lausiu - né en 1785 dans une famille de Vaylats. Il fonde une communauté qui devint une école en 1820.
    • Chapelle du couvent de Vaylats.
    • L'église Saint-Pierre-aux-Liens de Vaylats actuelle a été construite à l'emplacement d'une église qui datait sans doute du XVIe siècle, elle était devenue trop petite pour la population du village.

    Vie locale

    Manifestations et association

    • comité des fêtes (fêtes votive le premier week-end d'août), (feu de Saint-Jean au lac de Quezac)
    • club des ainées (le trait d'union Bach-Vaylats-Escamps)
    • société de chasse
    • Association des Jeunes de Vaylats (AJV)
    • la passerelle de Vaylats

    Le pèlerinage de Compostelle

    Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    On vient de Bach, la prochaine commune est Escamps.

    Voir aussi

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Montat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vaylats et Le Montat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Montat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vaylats et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    19. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    21. « la [[réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot]] - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vaylats », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « bois d´Aubrelong, vallée de la Lère morte et vallons annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « plateau de Marcenac et de Saint-Hilaire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « causse de Caylus, vallée de Sietges et haute vallée de la Lère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 125.
    33. « Les maires de Vaylats », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Article connexe

    Liens externes

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