Escamps (Lot)

Escamps (Ascans en occitan) est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Escamps.

Escamps

La sompe et son lavoir accolé avec le village en arrière-plan.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Annie Walle
2020-2026
Code postal 46230
Code commune 46091
Démographie
Gentilé Escampsois et Escampsoises
Population
municipale
210 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 04″ nord, 1° 38′ 05″ est
Altitude Min. 235 m
Max. 302 m
Superficie 12,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Escamps
Géolocalisation sur la carte : Lot
Escamps
Géolocalisation sur la carte : France
Escamps
Géolocalisation sur la carte : France
Escamps
Liens
Site web http://escampslot.fr/fr/

    Ses habitants sont appelés les Escampsois et Escampsoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe dans le Quercy, entre Lalbenque et Limogne-en-Quercy à 22 km de Cahors et à 35 km de Villefranche-de-Rouergue, dans le parc naturel régional des Causses du Quercy.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Escamps[1]
    Concots
    Cremps Bach
    Lalbenque Vaylats
    Carte de la commune d'Escamps et des proches communes.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux : Pech de Cheval, Mas de Lavergne, Mas de Fraysse, la Caloussade, les Rosières, Mas de Soulie, Mas d'Assoul, Mas de Bigorre, Nouelle, la Placette, Mas de Rebelou, Piepalat, Colombier, les Bouygues, les Crouzettes, Combe noble, le Camp Viel, le Barat de Bouziès, etc.

    Géologie et relief

    Escamps se trouve sur les Causses du Quercy et plus précisément sur le causse de Limogne (une région calcaire), à une altitude moyenne de 300 mètres. Le village occupe une crête dominant une doline localement dénommée canaval (bassin a terre profonde et riche, où était cultivé le chanvre d'où la dénomination canaval) avec présence de nombreux puits.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Ruisseau des Valses. Escamps est reconnu comme une des rares zones du causse où l'eau est abondante. La présence de plusieurs puits (en bouteille, en sompe, en fontaine, etc.) font l'identité de cette commune. Dans ce pays où l'eau est rare surtout en été, Escamps a toujours eu de l'eau et autrefois les habitants des communes voisines vinrent s'alimenter en eau en payant une taxe qui était reversée à la commune.

    Voies de communication et transports

    Escamps se situe à moins d'un quart d'heure de l'échangeur  58 Cahors-Sud de l'autoroute A20.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 875 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, dans le département de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de Erreur d’expression : caractère de ponctuation « , » non reconnu. pour 1981-2010[11] à 14 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[20],[21].


    Urbanisme

    Typologie

    Escamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,5 %), zones agricoles hétérogènes (41,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), prairies (1,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Escamps déformation de als camps signifie dans les champs, dans la plaine[28] (en occitan les camps, lieu-dit répandu dans la commune).

    Histoire

    À une certaine période, les de Cardaillac-Bioule en étaient les suzerains.

    Les familles de Concots, d'Auriole, de Gontaut-Cabrerets assuraient la seigneurie directe qui vivait au château. Paroisse créée en 1532, annexe du prieuré de Concots jusqu'au XVIIIe.

    Selon la tradition orale colportée à travers les siècles, le village originel aurait été fondé au lieu-dit (reste de Dolmen) des Cazals près de Nouelle ou durant la guerre de Cent Ans, après que les Anglais eurent attaqué Lalbenque. Les habitants d'Escamps allèrent se protéger dans un fort qui servait de poste avancé aux seigneurs de Concots sur le site actuel du bourg ou les habitants développèrent leurs habitations après la guerre.

    Des vestiges de ce fort sont encore visibles sur la "place du fort" (tour) et témoignent de la vocation défensive initiale du village actuel et d'un passé médiéval.

    L'ancien donjon a été en partie démantelé, de grandes fenêtres ont été ouvertes dans les murs de cette tour pour la rendre habitable et toute sa partie supérieure a été arasée afin de récupérer les pierres pour construire les écoles et leurs logements.

    Ces bâtiments ont depuis été transformés en salle des fêtes et en mairie.

    Dans la tour est toujours visible une superbe archère à double croix pattée. A l'arrière de l'actuelle bibliothèque une superbe fenêtre médiévale (peut-être datable autour du XIVe siècle) est également préservée.

    L'apogée d'Escamps arrive aux XIXe siècle lors de l'exploitation minière du phosphate. La population d'Escamps comptait alors plus de 600 habitants. "Référence "D'Ascans à Escamps, histoire d'un village occitan, Jean Claude Portal, 2020".

    Durant le XXe siècle, Escamps va connaître une désertification due à la fin des exploitations minières et à la Première Guerre mondiale.

    Comme lors du conflit de 1870, Escamps a payé un très lourd tribut durant cette Première Guerre mondiale : le monument aux morts d'Escamps en atteste et permet de se souvenir d'où l'on vient pour décider où l'on va sans reproduire les erreurs du passé.

    Dans les années 2010, la commune d'Escamps connaît une renaissance avec un regain de population et d'activités engendré notamment par la proximité de l'autoroute A20. Escamps compte aujourd'hui plus de 190 habitants.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lalbenque et du canton des Marches du Sud-Quercy (avant le redécoupage départemental de 2014, Escamps faisait partie de l'ex-canton de Lalbenque).

    Liste des maires

    Liste des maires d'Escamps[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1808 Jean Sarny SE Cultivateur
    1808 1821 Jean Baptiste Fraysse SE Cultivateur
    1821 1854 Antoine Fourés SE Cultivateur
    1854 1865 François Fourés SE Cultivateur
    1865 1870 Joseph Bouzerand SE Marchand
    1870 1872 Jean Lezouret SE Cultivateur
    1872 1888 François-Louis Salgues SE Cultivateur
    1888 1894 Jean-Pierre Fraysse SE Cultivateur
    1894 1908 Jean-Pierre Roques SE Cultivateur
    1908 1941 Casimir Vaysse SE Cultivateur
    1941 1949 Irénée Fraysse SE Cultivateur
    1949 1965 Rémi Fourés SE Agriculteur
    1965 1977 Joseph Puech SE Négociant-Agriculteur
    1977 1983 Michel Fraysse SE Agriculteur
    1983 2001 Jacques Calais SE Chef d'Entreprise
    2001 2008 Pierre Maugis SE Principal de collège-Retraité
    2008 2018 Laurent Moles SE Artisan Maçon
    2018 2020 Jean Bras SE Agent du service public-Retraité
    2020 - Annie Walle SE Ingénieur

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 210 habitants[Note 5], en augmentation de 8,81 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    522536545527464462457434454
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522532505503511515509504468
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    435380360306261233220179150
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    144126125144121114150155189
    2017 2018 - - - - - - -
    209210-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune compte deux entreprises de maçonnerie, six exploitations agricoles (ovin viande et lait, horticulture, trufficulture, équin, aviculture, lavande).

    Il y a sur la commune des hébergements : des gîtes ruraux et des chambres d'hôtes y sont installés.

    Manifestations et associations

    • Comité des fêtes (fêtes votive ou festival le 3e week-end de juillet, 3e week-end de mars : course d'endurance, feu de la Saint-Jean, diverses manifestations, etc.)
    • Société de chasse
    • Club des aînés (le trait d'union Bach-Vaylats-Escamps)
    • Messe à l'église Saint-Léonard d'Escamps (les derniers week-ends des mois impairs et le 3e week-end de juillet)
    • Foyer rural (théâtre adulte et enfants, gymnastique, cours de chant, cinéma, botanique, vtt, pétanque et veillé occitane)
    • Organisation d'une brocante le 2e dimanche d'avril au profit de l'association de gestion de la bibliothèque

    Enseignement

    Escamps fait partie de l'académie de Toulouse.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot
    • Sompes et divers puits en pierres (voir dolines)
    • Dolmen à Nouelle
    • Borne médiévale matérialisant la limite entre les communes d'Escamps et de Vaylats (avec blason de la famille de Cardaillac)
    • Circuits de randonnée Circuit des sompes, cheMain faisant
    • architecture typique du causse (gariottes, cazelles, lavoirs, maisons en pierre, etc.)
    • Salle des fêtes Jacky Cubaynes
    • Jardin Monique Gruas : jardin avec un quiller couvert et un terrain de pétanque
    • Outre le petit patrimoine bâti en pierres sèches qui est remarquable (fontaines, sompes, lacs, lavoirs et gariottes), de nombreuses bâtisses présentant pour certaines des caractéristiques architecturales du XIVe sont intéressantes et cinq bâtiments sont à noter particulièrement :
      • Vestiges du fort médiéval et de sa tour
      • Ancien prieuré dit des Rozières
      • La place du Capilié
      • Château dit de "la Roze" surnom de la famille Bouzerand (propriétaire du château aux XVIIIe siècle et XIXe siècle)
      • Église Saint-Léonard du XIXe siècle

    Personnalités liées à la commune

    Le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle

    Escamps se trouve sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On arrive de Vaylats, la prochaine commune est Cremps.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Homonyme communal

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Escamps et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Escamps et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    19. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    21. « la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne).
    29. « Les maires de Escamps », sur Site francegenweb, (consulté le ), d'après archives communales.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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