Concots

Concots est une commune française, située dans le département du Lot en région Midi-Pyrénées.

Concots

Église Saint-Jean-Baptiste.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Jean-Marie Aillet
2020-2026
Code postal 46260
Code commune 46073
Démographie
Gentilé Concotois, Concotoises
Population
municipale
421 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 09″ nord, 1° 38′ 42″ est
Altitude 283 m
Min. 195 m
Max. 368 m
Superficie 26,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Concots
Géolocalisation sur la carte : Lot
Concots
Géolocalisation sur la carte : France
Concots
Géolocalisation sur la carte : France
Concots
Liens
Site web https://www.concots.fr/

    https://www.concots.fr/

    Géographie

    Localisation

    Concots est une commune située dans le Quercy sur la RD 911 entre Villefranche-de-Rouergue et Cahors.

    Hydrographie

    Le Ruisseau de Font d'Erbies et le Ruisseau des Valses sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Concots[1]
    Berganty
    (sur 100 m),
    Esclauzels
    Saint-Cirq-Lapopie Crégols
    Cremps Lugagnac
    Escamps Bach Varaire

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 887 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[11] à pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[20],[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[22] : les « pelouses sèches du Champ de Dual et combes boisés de Couanac » (391 ha), couvrant 3 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Concots est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), prairies (7 %), zones urbanisées (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Concots est un diminutif de l'ancien occitan conca qui désigne une conque, un vallon[30].

    Histoire

    Il existait un dolmen qui a été malheureusement détruit "car il gênait la route qui va vers St Cirq Lapopie". Un autre petit dolmen se cache dans un bois, du côté du pech de Lapauze.

    Une pierre à cupules est visible au Pech de la Corne.

    Sur les causses voisins du mas de Nuc, des Lébratières, et à la Métairie Rouge, les grosses fermes seraient les "survivances" de villas romaines.

    Une tour féodale dite la « tour de l'horloge » au centre du village, a été bâtie par les seigneurs de Cardaillac au XIVe siècle selon leur mode architectural, (sans cave, orientée à chaque angle aux 4 points cardinaux); Elle servait de refuge aux villageois qui vivaient alors sur le site de l'actuel cimetière, sur le causse au-dessus de la conque, où une église romane a été détruite à la fin du XIXe siècle. Elle appartient à la commune depuis le XVIIIe siècle.

    Le village actuel était en fait un château fortifié avec son logis rebâti au XVe siècle, après la guerre de Cent Ans. Ses remparts rétrécis l'enserraient (avant cette période, existaient un double rempart et d'autres tours). A l'origine, il est probable qu'il ait été une motte castrale. On trouve un consul de Cahors au XIIe siècle et l'abbé principal Raynaldum de Concots à l'abbaye de Marcilhac-sur-Célé au XIVe siècle. Louis XI fit brûler les terres et le château de Concots. A la fin de la guerre de Cent Ans, il n'y avait plus âme qui vive, le dernier rejeton mâle, seigneur de Concots, fait chevalier à 14 ans, étant mort jeune; tous d'ailleurs sont morts à la guerre et de la peste. Le village fût repeuplé par des "Auvergnats", gens des montagnes, Aveyronnais paysans à qui on donna terres et maisons, et dont les principales familles demeurent encore aujourd'hui au village.

    Concots appartint à la puissante seigneurie de la branche des Cardaillac-Bioule qui devint protestante ; il existait aussi un consistoire qui a été détruit.

    A la révolution, après que le dernier seigneur de Mauriac élu maire du village a fui sous la terreur "à cheval par le souterrain en Espagne !" dit-on, puis que ses deux sœurs sont retournées à Cadouin, les habitants ont investi les lieux et parcellé tout le château en habitations.

    Placé sur l'axe "Atlantique-Méditerranée", la commune de Concots, était jusqu'à la guerre de 14-18, un "carrefour" commercial privilégié, avec ses marchés aux bovins, ovins, et ses truffes, sa tradition viticole (prestigieuse au Moyen Âge) puis la magnanerie (culture du ver à soie). Il y avait plusieurs commerces et de l'artisanat, plus particulièrement celui du fer forgé.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Louis Mauriac (de)    
    1792 1795 Pierre Fraisse    
    1795 1796 Antoine Dugés    
    1796 1800 Pierre Andrieu    
    1800 1810 Jacques François Bach    
    1816 1818 Jean Baptiste Bach    
    1818 1830 Jean Rayes    
    1830 1832 Jean Baptiste Bach    
    1832 1834 François Guiral    
    1834 1837 Jacques François Bach    
    1837 1842 Jean Ausset    
    1842 1843 François Guiral    
    1843 1848 Jacques François Bach    
    1848 1899 Jean Ausset    
    1899 1903 Gustave Bach    
    1903 1919 Siméon Cavaillé    
    1919 1929 Calixte Bach    
    1929 1962 Edmond Casfarguette    
    1962 1977 Paul Andrieu    
    1977 1995 Yvonne Marie    
    1995 2001 Roland Golse    
    2001 2014 Gérard Bach[32] SE Agriculteur
    2014 2020 Jean Louis Dehaineault    
    2020 En cours Jean-Marie AILLET Aucun Producteur d'agneau bio
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 421 habitants[Note 6], en augmentation de 0,48 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    930767759831858846843977746
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    731905903791782946877839758
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    675642584513462446433374313
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    330324343360331372370413417
    2018 - - - - - - - -
    421--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Vie locale

    Enseignement & services

    Concots a aussi une école primaire et un bureau de poste municipal.

    Commerces

    Il y a quatre commerces à Concots, une boulangerie, un bar tabac , un restaurant (Gault et Millau), ainsi qu'un restaurant-chambres d'hôtes : Le Vinagrou.

    Concots compte aussi une enseigne spécialisée dans le dépannage informatique et la création de sites internet[37]. Les commerces les plus proches se trouvent à Limogne-en-Quercy à 11 km. Le village accueille un marché chaque dimanche matin.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent au dais de gueules surmonté de quatre panaches du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Concots et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Concots et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cazals - Dde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cazals - Dde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    19. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
    21. « la [[réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot]] - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Concots », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « pelouses sèches du Champ de Dual et combes boisés de Couanac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 114 (lire en ligne)
    31. « Les maires de Concots », sur francegenweb.org, (consulté le ).
    32. liste des membres du conseil municipal (2008-2014)
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Atelier Vinagrou », sur atelier-vinagrou.com.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Liens externes

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