Lalbenque

Lalbenque [lalbɛ̃k] est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie.

Lalbenque

L'église Saint-Quirin.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
(siège)
Maire
Mandat
Liliane Lugol
2020-2026
Code postal 46230
Code commune 46148
Démographie
Population
municipale
1 735 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 22″ nord, 1° 32′ 44″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 332 m
Superficie 52,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lalbenque
Géolocalisation sur la carte : Lot
Lalbenque
Géolocalisation sur la carte : France
Lalbenque
Géolocalisation sur la carte : France
Lalbenque

    Ses habitants sont appelés les Lalbenquois et Lalbenquoises. La renommée de Lalbenque est due à son célèbre marché aux truffes qui a lieu tous les mardis de décembre à mars, ce marché lui a valu le titre de capitale de la truffe noire du Quercy.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lalbenque, est située dans le parc naturel régional des Causses du Quercy au sud du causse de Limogne et en limite du Quercy Blanc.

    La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Lalbenque est un chef-lieu de canton, bâti sur un coteau de 282 mètres d'altitude. La commune tire son nom de la couleur blanche de ses terres Albus. Le village est entouré principalement de vallées sèches.

    Hydrographie

    Son unique ruisseau est le Lemboulas qui prend sa source sur la commune et, se jette en rive droite dans le Tarn, en Tarn-et-Garonne à l'amont de Moissac.

    Voies de communication et accès

    L'accès à l'autoroute A20 se fait par la sortie  58 Cahors-Sud et la gare de Lalbenque - Fontanes qui se trouve sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon est desservie par les réseaux TER Nouvelle-Aquitaine et TER Occitanie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 862 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Montat », sur la commune du Montat, mise en service en 1986[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 832 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, dans le département de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[11] à 14 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « pelouses de Lalbenque »[21], d'une superficie de 401 ha, abritant la franco-ibérique protégée Arenaria controversa, électivement lié au pâturage ovin extensif et une remarquable flore messicole à tonalité méridionale (Delphinium verdunense, Nigella gallica)[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Huit ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] :

    • les « pelouses des Bories et de Cournesse et prairies des Terriers » (169 ha)[24] ;
    • les « pelouses marno-calcaires du plateau de Belfort-de-Quercy et Labastide-de-Penne » (1 188 ha), couvrant 4 communes dont deux dans le Lot et deux dans le Tarn-et-Garonne[25] ;
    • les « pelouses sèches de la Pissarate et des Saques » (33 ha)[26].
    • les « pelouses sèches des Bouyssols et de Conquefaunes » (184 ha)[27].
    • le « plateau de Marcenac et de Saint-Hilaire » (670 ha), couvrant 3 communes du département[28].
    • le « ruisseau du Lemboulas et ruisseaux affluents » (1 311 ha), couvrant 9 communes dont six dans le Lot et trois dans le Tarn-et-Garonne[29].
    • les « serres de Lalbenque » (301 ha)[30].
    • le « vallon du ruisseau de Cieurac » (68 ha), couvrant 3 communes du département[31] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Lalbenque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57 %), prairies (13,5 %), forêts (12,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,1 %), cultures permanentes (6,3 %), zones urbanisées (2,2 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Lalbenque serait basé sur albus (blanc) en référence au causse blanc ou sur le mot pré-celtique alba qui veut dire colline, forteresse ou ville[38].

    Histoire

    Vue de Lalbenque.

    Plusieurs dolmens indiquent que la commune fut habitée dès la préhistoire. À l'époque gallo-romaine, une importante voie traversa la contrée. Des sépultures mérovingiennes y ont été découvertes. Au Moyen Âge, Lalbenque dépendait de l'abbaye de Marcilhac et était un village castral .

    En 1196, la Maison des Templiers fut fondée à Cahors sur l'emplacement qui est devenu ensuite la Chartreuse. Les puissants seigneurs de Vayrols, admirateurs des beaux faits d'armes des Templiers, firent don à leur Ordre (1194 ou 1196) de plusieurs maisons qu'ils possédaient à Cahors dans une petite rue portant le nom de rue de Vayrols. Les seigneurs de Vayrols étaient très puissants et leur fief comprenait à cette époque outre Vayrols, les terres de Flaujac, de Hautesserre et de Lalbenque. Les Vayrols étaient donc les seigneurs de Lalbenque. Les chevaliers du temple ont accordé aux Vayrols le droit de sépulture dont il existe encore des pierres sépulcrales.

    En 1230, Arnaud de Vayrols seigneur de Lalbenque était l'un des douze consuls de la ville de Cahors. En 1286, Gaucelin de Vayrols était le premier consul de Cahors.

    Durant la guerre de Cent Ans, Lalbenque fut une des places importante du Quercy, occupée par les Anglais entre 1358 et 1359.

    À la fin du XVe siècle le seigneur de Lalbenque était Raymont de Gontaut également seigneur de Cabrerets. La famille de La Valette-Parisot s'est ensuite imposée dans le bourg.

    À l'époque de la Révolution, la commune de Lalbenque fut formée avec des territoires situés sur six paroisses dont les plus importantes étaient Saint-Quirin, Saint-Hilaire et Paillas. En 1789, Lavalette-Parisot, seigneur de Lalbenque et de Parisot fut élu député aux États généraux par l'assemblée de Cahors et mourut à Paris le .

    En 1793 tous les châteaux de la région de Lalbenque furent pillés et celui de Lalbenque fut par la suite vendu en plusieurs lots comme bien national. Ce dernier se trouvait à la place de l'actuelle salle des fêtes municipale.

    Au XIXe siècle, avec l'essor des campagnes, Lalbenque devient un bourg rural prépondérant au sud du Lot. La commune acquiert sa notoriété au XXe siècle avec le développement de la culture de la truffe, qui fera de Lalbenque la capitale de la truffe noire du Quercy.

    Environnement

    Une biodiversité préservée

    Les caractéristiques géographiques et climatiques de Lalbenque, offrent à la commune une biodiversité préservée. Plusieurs hectares de terres lalbenquoises font partie du réseau Natura 2000 qui concerne des sites naturels ou semi-naturels de l'Union européenne ayant une grande valeur patrimoniale, par la faune et la flore exceptionnelles qu'ils contiennent. Le réseau Natura 2000 a pour objectif de maintenir la diversité biologique des milieux, en tenant compte des exigences, sociales, culturelles et régionales dans une logique de développement durable. Un arrêté du 04 mai 2007 porte désignation du site Natura 2000, Pelouses de Lalbenque.

    La superficie de cette zone spéciale de conservation est de 401 ha. Le site est éclaté et comprend trois ensembles de coteaux calcaires essentiellement occupés par des pelouses et des landes ainsi que des réseaux de haies ou linéaires arbustifs en bordure de parcelles cultivées qui ont un rôle écologique important.

    Cette zone spéciale de conservation a été établie pour lutter contre la régression des landes et des pelouses par extension des truffières, ou contre la modification des pratiques agricoles. Elle lutte également contre l'appauvrissement écologique en cas de surpâturage.

    Cabanes en pierre sèche

    La commune de Lalbenque et les communes alentour présentent de nombreuses cabanes en pierre sèche : cabanes (caselles) en plein champ qui servaient d'abris aux agriculteurs ou de bergerie à un petit troupeau de moutons, guérites (gariottes) prises dans les murs en pierre sèche qui bordent les champs[39]. Certaines cabanes, comme la cabane de Nouel, ont été restaurées ces dernières décennies[40].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Quirin de Lalbenque

    L'église Saint-Quirin de Lalbenque est classée aux monuments historiques depuis le décret du .

    Saint Quirin, patron de l'église de Lalbenque

    Tribun de légion au IIe siècle, Quirin fut chargé de garder le pape Alexandre Ier emprisonné à Rome. Converti par son captif, il fut martyrisé et décapité. Saint Quirin était vénéré par les bénédictins de Marcilhac-sur-Célé, patron des trois église prieurales qui dépendaient au Moyen Âge de l'abbaye Saint-Pierre : Lalbenque et Lavercantière dans le Lot, Bourg-de-Visa en Tarn-et-Garonne. Dans la chapelle qui lui est consacrée à Lalbenque (deuxième chapelle nord), une statue du XIXe siècle le représente sous les traits d'un officier romain, casque, vêtu d'une tunique courte et d'une cuirasse, tenant un glaive dans la main droite.

    Caractéristiques extérieures

    À l'époque romane, la paroisse Saint-Quirin de Lalbenque fut desservie par un prieuré des moines de l'abbaye de Marcilhac-sur-Célé. De cette époque, reste la plus grande partie des murs de l'église, la crypte et un passage voûté reliant l'édifice au prieuré aujourd'hui détruit, appelé « couloir des Moines ».

    Église Saint-Quirin

    Au cours des siècles l'église a souffert de nombreux combats notamment durant la guerre de Cent Ans. L'édifice actuel semble avoir été reconstruit au XVe siècle ou au début du XVIe siècle. Plusieurs campagnes de construction sont apparentes dans les élévations des chapelles latérales. Il semble qu'elles correspondent au phasage d'un chantier relativement rapide. les dispositifs fortifiés paraissent contemporains de la reconstruction, elle devient ainsi l'un des éléments défensifs des remparts de la cité[41]. Ce grand édifice se compose d'une large nef à trois travées, cantonnées de six chapelles latérales voûtées d'ogives, et d'un chœur pentagonal épaulé par des contreforts.

    L'église Saint-Quirin de Lalbenque se présente aujourd'hui comme un édifice gothique. La façade occidentale, le porche et le clocher sont dus à l'architecte départemental Jean Baptiste Tourette (Legrand, 2000), et ont été réalisés en 1876-1877 (dernière date mentionnée par une inscription commémorative placée à la base du clocher-porche). Seul le clocher est récent. Il a été plusieurs fois détruit par la foudre et fut reconstruit lors de la rénovation opérée en 1877 et, de nouveau en 1971. Sa flèche néo-gothique a été détruite par un incendie au cours d'un orage en 1965 et ne fut malheureusement jamais reconstruite à l'identique.

    Lors de la suppression du cimetière qui entourait l'église depuis des siècles, au XIXe siècle, un accès à la crypte a été créé par l'extérieur. Cette crypte d'un large volume présente des traces d'un décor peint des XVe et XVIe siècles, à motifs de médaillons de fleurs et de faux appareil de pierre qui apparaissent sous un enduit moderne.

    Caractéristiques intérieures

    Depuis la Révolution l'église Saint-Quirin renferme un remarquable retable et des boiseries du XVIIe siècle provenant du couvent des Chartreux de Cahors. Cet ensemble baroque exceptionnel fut vendu par les révolutionnaires à un charretier de Lalbenque pour la somme de cinquante francs. Il fut racheté par un prêtre assermenté qui le plaça au lieu où il est aujourd'hui.

    Cœur de l'église Saint-Quirin.

    L'autel est en bois entièrement doré. Il fut sculpté, ainsi que les boiseries, pendant la première moitié du XVIIe siècle, sous la direction de dom François de la Roche, prieur de la chartreuse cadurcienne. Le style baroque reste sobre et harmonieux, on voit les colonnes corinthiennes, des anges, des fleurs et des fruits.

    Le retable imite une construction. Au premier étage le Tabernacle du Saint Sacrement : sur la porte, l'Adoration des Bergers ; de chaque côté de la porte, saint Pierre et saint Paul, avec leurs attributs (les clefs et l'épée). Le second étage est consacré à la Vierge dont la statue occupe le centre. Les niches qui accostent le tabernacle abritent les grandes statues de saint Bruno, fondateur de l'ordre et de saint Jean-Baptiste, patron des Chartreux. Le retable se termine à gauche et à droite par deux niches minuscules abritant les statues de saint Jean l’Évangéliste et d'un évêque chartreux.

    Les boiseries latérales qui accompagnent l'autel comportent, de chaque côté, une partie biaise suivie d'une partie formant retour le long des murs latéraux. La partie biaise présente deux portes flanquées de deux grandes colonnes cannelées. Décorées aux armes pontificales de Jean XXII, né à Cahors, fondateur du monastère et dernier pape d'Avignon, ces portes sont surmontées de deux niches abritant les statues de saint Benoît (à gauche), saint François d'Assise (à droite). Chacune d'elles est accostée de deux statues : de gauche à droite, saint Bruno, saint Vincent de Paul, saint François de Sales et saint Ignace de Loyola. Le long des murs latéraux on peut remarquer deux portes plus basses que les précédents surmontées de statues. L'une ouvre sur la sacristie, l'autre sur une chapelle.

    Des trois grandes baies à remplage qui assuraient l'éclairage du chœur seul subsiste la baie ouverte au sud. À l’emplacement de la baie centrale, derrière l'autel, se trouve un tableau de très grande taille. Cette toile représente Le Crucifiement : autour de la Croix, la Vierge et saint Jean. Madeleine étreint les pieds du Christ. À droite, un soldat qui pourrait être saint Quirin, perce d'un coup de lance le côté du Christ. Derrière lui, un officier romain à cheval tient une oriflamme avec l'inscription S.P.Q.R. Cette peinture est signée : 1670, fr. Lucas Bardet, Augustinus pinxit. L'artiste est un religieux, puisqu'il signe Frère Luc.

    Depuis 2009 un programme de rénovation a été engagé pour rénover les différentes chapelles de l'église. Grâce à la souscription de l'association de l'église Saint-Quirin et aux fonds rassemblés par la municipalité les chapelles Notre-Dame de Lourdes et récemment Saint-Quirin et Notre-Dame-de-la-Pitié, ont été rénovées.

    Gastronomie

    La truffe

    La culture de la truffe noire du Quercy à Lalbenque *

    Truffière des Grèzes
    Domaine Savoir-faire
    Lieu d'inventaire Lalbenque
    * Descriptif officiel Ministère de la Culture (France)

    Dans le Quercy, on l'appelle diamant noir. Consommée depuis des millénaires, traquée, échangée, analysée, étudiée, la truffe demeure aujourd'hui encore un mystère. La tuber mélanosporum que l'on retrouve majoritairement dans le pays de Lalbenque, est incontestablement la plus convoitée avec son arôme exceptionnel. La truffe est un champignon issu de la fructification souterraine d'un mycélium qui vit en association avec l'arbre truffier au niveau de ses racines.

    Le XIXe siècle voit se développer un commerce florissant pour la truffe. Après le phylloxera qui a touché les cultures viticoles d'Europe et en particulier du Sud-Ouest, les agriculteurs de la région ont remplacé les vignes par des truffières. L'apogée de la production se poursuit jusqu'au début des années 1900, la production annuelle française se situant autour de 200 tonnes. La Première et la Seconde Guerre mondiale ainsi que la dépopulation des campagnes sont les causes de cette baisse de production. De nos jours la production française se situe entre 5 et 10 tonnes.

    La culture de la truffe noire du Quercy est une pratique inscrite en 2020, à Inventaire du patrimoine culturel immatériel français.

    Autres

    Sur la commune de Lalbenque et de ses alentours de nombreuses productions caractérisent ce territoire. L'agneau fermier du Quercy, le veau sous la mère, le safran du Quercy, le melon du Quercy sont autant de spécialités qui font la richesse gastronomique de ce territoire.

    Événements

    Le marché aux truffes de Lalbenque

    Le coût d'une truffe de qualité sur le marché dépend de sa taille, de son espèce et de sa qualité. La tuber mélanosporum se vend aux alentours de 600 euros le kilogramme sur le marché de gros et passe facilement à 900 euros le kilogramme à la vente au détail. Le plus célèbre et le plus authentique marché est bel et bien le marché aux truffes de Lalbenque au cœur du Quercy.

    Lalbenque, capitale de la truffe noire est dotée d'un marché aux truffes tous les mardis de décembre à mars. Ce marché très médiatisé a su acquérir au fil des années une forte notoriété. Ce marché officiel a été créé en 1961 par le tout nouveau Syndicat des Trufficulteurs de la région de Lalbenque. Ce syndicat a pour but de défendre et soutenir les producteurs, d'étudier et expérimenter des techniques permettant d'améliorer la production de truffes, de mettre en place un marché unique sur un site précis renommé rue du Marché aux truffes. Le début du marché est fixée au premier mardi de chaque mois de décembre jusqu'à la fin du mois de mars. Durant cette période on assiste à la vente du précieux tubercule, suivie de près par de nombreux médias.

    Une foule de passionnés et d'amateurs se rassemble ainsi tous les mardis de cette période. On assiste à un véritable spectacle. Au coup de sifflet, les potentiels acheteurs se ruent vers les paniers tant convoités, souvent négociés avant l'ouverture officielle. Chaque vendeur propose un prix à l'acheteur qui est le plus souvent un professionnel pour le marché de gros sur les bancs. Une fois d'accord sur le prix, ils vont contrôler le poids et régler la transaction. En moins de 40 minutes la vente des truffes est terminée. Dans les années 2000, le marché de gros le plus important et le plus fréquenté du sud-ouest a été complété par un marché de détail contrôlé, géré par le Syndicat des Trufficulteurs de la région de Lalbenque, qui est dédié aux petits acheteurs.

    Une fois vendues, on peut retrouver l'omelette aux truffes de Lalbenque dans les différents points de restauration.

    Foires et marchés

    Jusqu'au milieu du XXe siècle une importante foire avait lieu régulièrement dans le centre bourg. La statistique moyenne des foires de Lalbenque donnait comme bétail en 1937 : 200 bœufs, 100 vaches, 500 moutons, 600 agneaux et 300 porcelets.

    À partir de 1961, avec la création du Syndicat des Trufficulteurs de la région de Lalbenque, l'organisation du marché aux truffes a été officialisée. Les anciens témoignent également de l'organisation d'un marché de la morille lors il y a plus de 50 ans. Ces morilles étaient récoltées dans les bois des alentours de Lalbenque puis vendues sur un marché annuel lorsqu'il n'y avait plus de truffe. Les agriculteurs proposaient alors leurs paniers de morilles aux mêmes courtiers qui achetaient la truffe. Ces paniers ou sacs étaient relativement remplis, les plus petites morilles qui sont les plus difficiles à trouver étaient disposées au-dessus des grosses contrairement aux truffes ou les plus importantes sont les plus visibles.

    Tous les derniers mardis de chaque mois se déroule une foire rassemblant quelques exposants.

    Depuis 2005, grâce à la volonté de plusieurs commerçants qui se sont réunis en groupement associatif des commerçants, artisans et industriels du pays de Lalbenque (GACAIL), un marché hebdomadaire a été créé. Après un long travail de préparation, les commerçants du village ont réussi à créer ce marché qui se déroule tous les samedis matins, emmenant ainsi un atout majeur pour la commune.

    Cette même association a créé dans la foulée du marché du samedi matin, un marché nocturne qui se déroulait tous les premiers mardis du mois d’août. Le marché nocturne de Lalbenque a fait rayonner le village au-delà de ses frontières administratives durant plusieurs années. Plus de 50 exposants étaient rassemblés dans la rue du marché aux truffes. La possibilité de se restaurer sur place a attiré de nombreux visiteurs pour atteindre jusqu'à 900 repas, consommés dans la rue de la Mairie, des Tisserands et du parvis de l'église. Des groupes de musique et de danse accompagnaient les visiteurs durant toute la soirée. Depuis 2011 cette manifestation n'a pas été renouvelée.

    Manifestations

    • Tous les derniers week-ends d'avril se déroule la fête de Saint-Hilaire avec le traditionnel concours amical de pétanque, bal et cérémonie aux monuments aux morts, organisé par le comité des fêtes de Saint-Hilaire
    • Tous les deuxièmes week-ends de mai se déroule la fête de Lalbenque avec soirée disco, concours de pétanque en doublette, concert, commémoration du 8-Mai-1945, exposition de véhicules anciens, apéritif et soirée dansante, organisé par le comité des fêtes de Lalbenque.
    • Depuis 2009, l'association Cours et causse toujours organise tous les deuxièmes week-ends de juin les 10 kilomètres du diamant noir. Cette rencontre est à chaque fois un succès depuis ses débuts. Avec plus de 400 participants cette course a su s'imposer dans le paysage sportif local notamment avec le label FFA récemment obtenu.

    Associations

    La commune de Lalbenque est dotée d'un tissu associatif riche. En on en dénombre plus de 37.

    ALCEP, Amicale des Donneurs de Sang, Amicale des Pompiers, Les amis de Lalbenque, ARET, ASEL, Association Saint-Quirin, APE écoles publiques, APE école Sainte-Thérèse, Babel-Gum, Club informatique, Club de pêche, Comité des fêtes Lalbenque, Comité des fêtes Saint-Geniès, Comité des fêtes Saint Hilaire, Cours et causse toujours, FNACA, Football Club Lalbenque/Fontanes, Groupement associatif des commerçants, artisans et industriels du Pays Lalbenque (GACAIL), Heures douces, Lalbenque Pétanque, Lalbenque Multisport, Lalbenque Fustal, Lalbenque pour tous, Lalbenque Territoire d'Avenir, Lou Amics del Païs, Milles-Pattes, Model Club Aéromodélisme, Musique en Sud Quercy, Choeur féminin IN ALLEGRIA, Chorale occitane CANTAREM, Ni queue ni tête, Office du Tourisme du Pays de Lalbenque, Padelou.pom, Ren'Art, Saint Hubert Lalbenquoise, Site remarquable du Goût, Syndicat des Trufficulteurs de la région de Lalbenque, Les Taties flingueuses, Tennis Club Sud Lot, Valparès Lalbenque Rugby.

    Économie

    L'agriculture, le commerce et l'artisanat sont les principaux piliers de l'économie de la commune avec le tourisme. Ce chef-lieu de canton est essentiellement composé de petites exploitations familiales. Le centre bourg est doté de plusieurs commerces. Le tourisme reste un acteur essentiel de l'activité économique en période estivale, participant également au développement des nombreuses chambres d'hôte présentes sur la commune.

    Vie pratique

    Enseignement

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[42]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1806 Antoine Menihot    
    1807 1832 Guillaume Batut    
    1832 1834 Antoine Batut    
    1834 1838 Jean-pierre Courdesse    
    1835 1838 Jean-pierre Sol    
    1837 1848 Mathieu Valery SE Négociant
    1849 1880 Hippolyte Antoine Gayette    
    1880 1884 Antoine Sol    
    1884 1891 Etienne Duges    
    1892 1902 Louis Guilhem    
    1918 1947 Charles Guilhem SE Notaire
    1947 1965 Marcel Léris RI Négociant
    1965 1971 Jean-Jacques Pezet-Sébal SE Notaire
    1971 1983 Pierre Pezet-Sébal MRG Notaire
    1983 1989 Léon Enjalbert RPR Conseiller général 1947-1988, médecin généraliste
    1989 2020 Jacques Pouget[43] PS Conseiller général 2008-2015 , président de la communauté de communes du Pays de Lalbenque
    président du SDIS ( Service Départemental d'Incendie et de secours), ancien enseignant
    Conseiller départemental depuis octobre 2018
    2020 En cours Liliane Lugol DVG Ancienne inspectrice d'Académie

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

    En 2018, la commune comptait 1 735 habitants[Note 7], en augmentation de 2,42 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6091 9241 9671 8971 9601 9841 9712 0602 114
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0992 0542 0462 0632 1162 0701 8791 6901 705
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5621 5361 5281 2061 2061 1961 1831 1001 011
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    9648618547878781 0671 3081 6191 672
    2018 - - - - - - - -
    1 735--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Labenque comptait 1705 habitants[48].

    Lieux et monuments

    La croix du Mercadiol à la croisée des routes de Laburgade et de Cahors. Cette croix en calcaire est ornée de motifs naïfs : visages, fleurs, ostensoir, Christ nimbé, animaux et titulus INRI (Jésus de Nazareth Roi des Juifs) ;

    • Porte du Balat, ancienne entrée du village durant le Moyen Âge située dans la rue du Balat ;
    • Église de Paillas située au lieu-dit Paillas, au sud de la commune ;
    • Chapelle de Balach située au sud de la commune, par la route menant à Belmont-Sainte-Foi ;
    • Plusieurs dolmens : dolmen de Balach, dolmen de la Borie Rouge (dolmen de Peyrelevade), la Pierre-Levée, les deux dolmens du Cuzoul;
    • Lavoir à l'entrée du village (rond-point du Mercadiol).

    Personnalités liées à la commune

    Le monument aux morts.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules au château donjonné de deux tours d'argent, ajouré du champ, maçonné de sable, la porte surmontée, entre les deux tours, d'un besant d'or chargé d'une croix vidée, cléchée et pommetée de gueules de douze pièces (croix occitane).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Montat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lalbenque et Le Montat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Montat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lalbenque et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    19. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lalbenque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR7300915 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lalbenque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « pelouses des Bories et de Cournesse et prairies des Terriers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « pelouses marno-calcaires du plateau de Belfort-de-Quercy et Labastide-de-Penne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « pelouses sèches de la Pissarate et des Saques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « pelouses sèches des Bouyssols et de Conquefaunes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « plateau de Marcenac et de Saint-Hilaire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    38. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 117 (lire en ligne)
    39. Pierre Dalon, « Les cabanes en pierre sèche du Causse de Limogne », Bulletin de la Société des études du Lot, t. XCIV, 2e fasc. 1973, avril-juin, pp. 103-131.
    40. Réfection de la couverture de lauses d'une cabane au lieu-dit Nouel à Lalbenque (Lot), pierreseche.com, 3 août 2012.
    41. « Église paroissiale Saint-Quirin », sur patrimoines.midipyrenees.fr.
    42. « Les maires de Lalbenque », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    43. liste des membres du conseil municipal ( 2008-2014 )
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. Le Lot chapitre Chemins de fer p.193 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
    49. « Église Saint-Quirin », notice no PA00095120, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Église paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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