Le Montat

Le Montat est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Le Montet.

Le Montat

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Jean-Paul Mougeot
2020-2026
Code postal 46090
Code commune 46197
Démographie
Population
municipale
1 049 hab. (2018 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 51″ nord, 1° 26′ 59″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 303 m
Superficie 22,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cahors-3
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Montat
Géolocalisation sur la carte : Lot
Le Montat
Géolocalisation sur la carte : France
Le Montat
Géolocalisation sur la carte : France
Le Montat

    Ses habitants sont appelés les Montatois.

    Géographie

    La commune qui fait partie de l'aire urbaine de Cahors est située dans le Quercy au sud de Cahors. Elle est étendue du nord au sud, de chaque côté de l'ancienne route Paris-Toulouse.

    Communes limitrophes

    Les hameaux

    Les Bories, Boussuges, le Battan, la Bénèche, Lacoste, Lamousie, les Cajalous, le Carriol[2], le Lard, le Mentier ou Mentier, les Oustalous, le Payrat, le Pesquié, les Pouxous[3], Pouzergues, Rigal, Rigou, le Roussel, Lagard, Lasolle, les Quatre Fonts, Quercy, les Tuileries.

    Les combes

    Les combes sont de petites vallées sèches creusées par l'érosion, dans la roche tendre. Dans la commune, on rencontre : la combe Escure ; la combe des Faxilliéres ou Fassiliéres[4] ; la combe negre.

    Les pech

    « Pech » de l'occitan puég dérive du latin podium et indique un endroit plat et surélevé. On trouve : le Pech de Baillourguel, le Pech Grand, le Pech de Beyne, le Pech de Cazals, le Pech de Payrat, le Pech de Gamele, le Pech Arras, le Pech Noutier.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 856 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records LE MONTAT (46) - alt : 260m, lat : 44°22'24"N, lon : 01°26'06"E
    Statistiques établies sur la période 1985-2010 - Records établis sur la période du 01-02-1986 au 04-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,6 3,9 6 9,6 12,7 14,7 14,6 11,3 8,9 4,3 1,8 7,6
    Température moyenne (°C) 5,2 6,3 9,3 11,6 15,8 19,1 21,5 21,4 17,6 14 8,4 5,5 13
    Température maximale moyenne (°C) 9,1 11 14,7 17,2 22 25,4 28,4 28,2 24 19 12,4 9,2 18,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −20
    17.01.1987
    −12,5
    09.02.12
    −11,6
    01.03.05
    −3,2
    22.04.1991
    0,4
    02.05.18
    4
    28.06.1997
    7,2
    13.07.1993
    5,1
    31.08.1986
    2
    19.09.1994
    −5,8
    25.10.03
    −8,7
    18.11.07
    −11,4
    17.12.01
    −20
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,9
    30.01.13
    25,9
    27.02.19
    26,4
    21.03.1990
    31
    07.04.11
    33,8
    30.05.03
    40,2
    29.06.19
    40
    13.07.03
    42,1
    12.08.03
    35,1
    05.09.06
    32
    02.10.11
    23,8
    06.11.15
    18,3
    08.12.10
    42,1
    2003
    Ensoleillement (h) 142,9 168,1 220,9 227 263,9 312,4 339,7 298 241,5 168,6 148,8 136,5 2 668,2
    Précipitations (mm) 69,3 64,5 55,6 81,6 77,2 77,1 55,5 62,2 75 70,9 70 73,1 832
    Source : « Fiche 46197002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « serres de Saint-Paul-de-Loubressac et de Saint-Barthélémy, et causse de Pech Tondut »[11], d'une superficie de 832 ha, abritant diverses espèces en limite d'aire ou en aire disjointe sur le Lot : Aphyllanthes monspeliensis, Leucanthemum graminifolium, Genista hispanica[12].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[13] :

    • les « coteaux de Hauteserre et du pech Arras » (129 ha), couvrant 3 communes du département[14] ;
    • le « Mont Saint-Cyr et environs, pechs et combes calcaires au sud de Cahors entre Saint-Georges et le Montat » (1 853 ha), couvrant 5 communes du département[15] ;
    • les « pelouses sèches des Bouyguettes, cultures du Pesquié et ruisseau du Tréboulou » (146 ha), couvrant 2 communes du département[16].
    • les « serres de pech Tondut et de Doumary » (251 ha), couvrant 3 communes du département[17].
    • la « zone des volcans, des Ségalas et de l'aérodrome de Cahors-Lalbenque » (142 ha), couvrant 3 communes du département[18] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Le Montat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,2 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Géologie

    Le Montat fait partie de l'aire géologique du Quercy blanc[25] au sous-sol argilo-calcaire. Le relief est composé de plateaux de calcaire blanc et de coteaux en bandes étroites et ramifiées : les serres.

    Par ailleurs, certains chemins de la commune sont empierrés pour partie de galets de quartz roulés. L'origine fluviale de ces pierres roulées peut être retrouvée.

    En effet, au Bartonien, la formation alluviale de Saint-Denis-Catus couvre l'Est du département en ravinant les paléoaltérites[26]. Elle témoigne du passage d'un grand fleuve ou d'un oued divaguant, traversant le plateau quercynois et s'écoulant du N.NE en direction du Sud de Cahors vers le « golfe » lacustre de Cieurac[27].

    Hydrographie

    Ruisseaux

    • Le ruisseau de Lacoste, qui se jette dans le Lot.
    • Le ruisseau de Quercy, affluent du premier
    • Le ruisseau des Valses.

    Toponymie

    Le toponyme Le Montat induit l'idée de colline, montée, ascension[28].

    D'où le premier nom connu de l'église : Sanctus Petrus de Montato :Saint Pierre de la montée ou de l'ascension.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1797 Jean Baptiste Marabelle    
    1797 1798 Antoine VINCENS    
    1798 1800 Jean MARABELLE    
    1800 1811 Antoine VINCENS    
    1811 1813 Jean Pierre VINCENS    
    1813 1815 Etienne DELMAS    
    1815 1816 Jean Lezeret de LAMAURINIE    
    1816 1830 François CUBAYNES   Propriétaire,cultivateur
    1830 1833 Guillaume PLANTADE    
    1833 1848 François Emmanuel SALVAT    
    1848 1867 Jean Baptiste CELARIE   Agriculteur
    1867 1902 Pierre DUFOUR    
    1902 1919 Paul FOURNIE    
    1919 1935 Henri FOURNIE    
    1940 1941 Albert Cubaynes    
    1941 1943 Fernand Boeda    
    1943 1945 Achille FOURNIE    
    1945 1971 Jean Pagès    
    1971 1977 Germain Girma    
    1977 2001 Roger Peyralade    
    2001 2014 Michel DELPON   Retraité
    2014 2020 Jean Paul MOUGEOT   Retraité-Fonctionnaire de catégorie A
    2020 2026 Jean Paul MOUGEOT   Retraité-Fonctionnaire de catégorie A

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 1 049 habitants[Note 6], en augmentation de 2,94 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900656636600650826616690707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6677027297257151 235614579555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    529449382308270267252221194
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2402363484596857749439651 044
    2018 - - - - - - - -
    1 049--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Bâti local

    Le bâti local emprunte beaucoup au style quercynois : maisons de vignerons à bolet et monuments en moellons de calcaire blanc.

    On remarque aussi nombre de petites maisons d'une pièce, construites par de modestes travailleurs.

    Dans les champs subsistent encore des gariottes et des caselles, guérites et cabanes de pierres sèches édifiées notamment par les vignerons d'autrefois. Elles servaient de remises à outils, d'abris contre les intempéries ou l'ardeur du soleil.

    Ancienne maison du bourrelier au bourg.
    Porte à clous en chêne, XVIIe siècle, à l'étage de la maison du bourrelier.
    Maison de vigneron, à un étage sur cave, avec escalier extérieur sous auvent (dit bolet).

    Économie

    La station trufficole du Montat est un lieu d'expérimentation des techniques de productions truffières. Elle est située sur le site du lycée professionnel agricole et viticole de Cahors-le Montat[33].

    Se trouvant à une dizaine de kilomètres de Cahors, Le Montat était réputé pour son vignoble, avant que la crise du phylloxéra ne vienne le réduire à néant. En 1884,les trois quarts des vignes étaient déjà détruits[34].

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Barthélemy

    Église Saint-Barthélemy.

    La commune abrite l'église Saint-Barthélemy, édifice du XIe siècle classé monument historique en 1846[35]. Jusqu'au XVIIe siècle, elle a porté le nom d'église Saint-Pierre du Montat. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[35].

    Les Fontaines

    Fontaine de Borne-fontaine des Ouxels-fontaine du Gendarme et de Lamousie.

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête votive ou patronale

    Elle se déroule à la fin de la dernière semaine du mois d'août et est très appréciée. Deux tiers des habitants de la commune y participent.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé : au 1er de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d’or (croix occitane), au 2e d'or à la gariotte [ou caselle : construction en pierres sèches] d'argent, ouverte de gueules et accompagnée en chef dextre d'un arbre d'argent, au 3e d'or à l'église du lieu d'argent essorée de gueules, au 4e de gueules au lion d'or ; à la fasce d'or chargée de l'inscription « Le Montat » en lettre gothiques de sable, brochant sur le coupé.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. http://www.geneanet.org/nom-de-famille/CARRIOL
    3. https://www.filae.com/nom-de-famille/POUSSOU.html
    4. http://www.synesia.net/l_mysteres-18/forum/f-8/p1/superstition__croyance_%E2%80%93_fassilieres_ou_fossilieres-488.html
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duMontat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « site Natura 2000 FR7300917 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune duMontat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « coteaux de Hauteserre et du pech Arras » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « Mont Saint-Cyr et environs, pechs et combes calcaires au sud de Cahors entre Saint-Georges et le Montat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « pelouses sèches des Bouyguettes, cultures du Pesquié et ruisseau du Tréboulou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « serres de pech Tondut et de Doumary » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « zone des volcans, des Ségalas et de l'aérodrome de Cahors-Lalbenque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. http://www.quercy.net/patrimoine/nature/geologie/
    26. http://archives.quercy.net/geologie/histoire.html
    27. http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0881N.pdf
    28. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 117.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Site du lycée agricole du Montat.
    34. « Bulletin pédagogique du département du Lot » , sur Gallica, (consulté le ).
    35. « Église », notice no PA00095169, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

      Voir aussi

      Liens externes

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