Stade montois rugby
Le Stade montois rugby est un club de rugby à XV français créé en 1908 et basé à Mont-de-Marsan.
Pour les articles homonymes, voir Stade montois.
Nom complet | Stade montois rugby |
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Surnoms | les guêpes, les abeilles |
Fondation | 1908 |
Statut professionnel | Depuis 1998 |
Couleurs | jaune et noir |
Stade |
Stade André-et-Guy-Boniface (8 250 places) |
Siège |
270 avenue du stade 40000 Mont-de-Marsan |
Championnat actuel | Pro D2 (2021-2022) |
Président |
Jean-Robert Cazeaux (depuis 2011) |
Entraîneur |
Julien Tastet Rémi Talès (arrières) |
Site web | www.stademontoisrugby.fr |
National[Note 1] |
Championnat de France de première division (1) Challenge Yves du Manoir (3) Championnat de France de 2e division (2) Championnat de France de Fédérale 1 (1) |
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Maillots
Domicile
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Extérieur
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Actualités
Saison 2021-2022 du Stade montois rugby
Dernière mise à jour : 13 octobre 2017.
Il est champion de France en 1963, remporte trois fois le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962, et est également vice-champion d'Europe en 1964[1] sous la conduite de l’entraîneur Fernand Cazenave.
Histoire
Existant depuis 1908, le Stade montois, club phare des Landes, a connu une réussite exemplaire grâce au dévouement de ses dirigeants et notamment de Camille Pedarre, Président trente ans durant entre 1946 et 1976.
Les débuts du club
Avant la guerre, le club évolue au niveau régional. Après un match nul lors de la première confrontation, il perd la finale du championnat de Côte d’Argent de 2e série contre son voisin landais de Morcenx 3-0 en 1931.
L’âge d’or du Stade montois (1946-1972)
Camille Pedarre présidera jusqu’en 1976. C’est à cette époque que le club connaît ses meilleurs résultats et que naît le fameux « rugby champagne », envié par tous les clubs de France.
Au fil des générations, les couleurs du « Stade » seront représentées sur les cinq continents par de nombreux internationaux tels Jean-Baptiste Amestoy, les frères Guy Boniface et André Boniface, Robert Carrère, Christian Darrouy, Benoît Dauga, Pierre Lacroix et Pierre Pascalin, qui participera à la première victoire du XV de France à Twickenham en 1951[2].
Montée en première division en 1944
Mont de Marsan monte pour la première fois dans l’élite en 1944 dans un Championnat porté à 96 clubs. Lors de cette saison, il bat notamment le Biarritz olympique 16-0 et cette victoire fait sensation dans la région. Toutefois, Mont de Marsan ne se qualifie pas pour la seconde phase.
En 1946, Mont de Marsan ne fait pas partie des 32 meilleurs clubs français et est relégué dans le deuxième tableau du Championnat mais il retrouve sa place dans l'élite via une phase de brassage qui mélange en début de saison les clubs issus du premier groupe avec les autres. Il se qualifie même pour les playoffs mais échoue à se qualifier pour les huitièmes de finale au profit de Lourdes et de Romans.
La saison suivante, il se qualifie pour les huitièmes de finale, éliminant notamment Perpignan dans sa poule de 5 mais est ensuite éliminé en huitième de finale par Bayonne 3-0.
Vice-champion de France 1949
Après avoir battu, Tarbes, le Stade toulousain et enfin Brive en demi-finale (8-0), Mont de Marsan atteint pour la première fois de son histoire la finale du championnat de France face au Castres olympique.
Cette finale du championnat 1948-1949 présente la particularité d'avoir été disputée deux fois, le premier match, se déroulant sous une pluie torrentielle, s’étant terminé sur un score nul 3-3[3]. C'est le Castres olympique du capitaine Jean Matheu-Cambas, de Maurice Siman et Jean Pierre-Antoine qui remporte le titre aux dépens du Stade montois en remportant le second match 14-3 grâce à 3 essais.
L’année suivante, Mont de Marsan, renforcé par le troisième ligne boucalais Robert Baulon sera éliminé à la surprise générale dès les seizièmes de finale par Valence 3-0 puis en 1951, ne sortira pas des poules devancés par Perpignan et Biarritz.
Demi-finaliste du championnat 1952
En 1952, Mont de Marsan, dont le collectif arrive à maturité termine premier club français à l’issue des matchs de poules devant Lourdes et Grenoble mais est battu en demi-finale par ces mêmes Lourdais 10-0.
Vice-champion de France 1953
Après une victoire sur le Stade lavelanétien en demi-finale (11-9 après prolongations), Mont de Marsan dispute sa deuxième finale du championnat de France qu’il perd face au FC Lourdes de Jean Prat 21-16[4] pour le premier match d’André Boniface sous les couleurs montoises. Transfuge de Dax, il n’avait auparavant pas reçu l’avis favorable de ses derniers pour pouvoir jouer sous ses nouvelles couleurs[5].
Finaliste du challenge du Manoir 1958
En Championnat, Mont de Marsan termine en tête de sa poule mais est éliminé dès les huitièmes de finale par la Section paloise.
Mont de Marsan se qualifie pour la finale du challenge du Manoir après avoir battu Grenoble 11-3 en demi-finale mais doit s’incliner devant Mazamet du capitaine Lucien Mias 3-0.
Vice-champion de France 1959
Après avoir sorti Périgueux en quart et La Voulte des frères Cambérabéro en demi-finale, Mont de Marsan se hisse en finale du Championnat pour la troisième fois de son histoire. Il y affronte le Racing club de France qui a pour sa part éliminé Grenoble en quart et Lourdes en demi-finale. Les Parisiens remportent cette finale 8-3 devant des Montois trop crispés par l’enjeu. On reprochera longtemps à Pierre Lacroix d’avoir trop peu sollicité ses lignes arrières[6].
En challenge du Manoir, Mont de Marsan bat un record contre Montferrand avec une victoire 59-3, ponctué par 15 essais mais le club sera éliminé en quart de finale par Béziers.
Triple vainqueur du challenge Yves du Manoir 1960, 1961 et 1962
Le club remporte 3 fois de suite le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962[7]. Ce record (égalé plus tard par le RC Narbonne) de trois victoires consécutives dans cette compétition est encore en vigueur aujourd’hui.
Champion de France 1963
Le club devient ensuite champion de France avec une victoire face à Dax en 1963 (9-6) dans un derby des Landes.
C’est la confrontation la plus célèbre entre l'US Dax et le Stade montois. Au lendemain de leurs victoires respectives en demi-finales contre le FC Grenoble et le FC Lourdes, le journal régional Sud Ouest qui couvre l'événement titre sur son édition sport du « Le rugby landais est champion de France »[8]. Cette affiche oppose deux équipes du même département, un cas de figure ayant alors lieu pour la 2e fois de l'histoire du championnat[9].
La finale est marqué par une météo capricieuse, passant d'une chaleur estivale étouffante à un orage accompagné d'averses et de grêle[10]. Le Stade montois remporte cette finale sur le score étriqué de 9 à 6, témoignant d'un match rude, ponctué de trop rares éclats[11],[12],[13].
Auparavant, les Montois avaient donc essuyé trois échecs en finale : en 1949 face à Castres (14-3), en 1953 contre Lourdes (21-16) et enfin, en 1959 devant le Racing Club de France (8-3)[14].
Vice-champion d'Europe 1964
Il atteint également la finale de la coupe d'Europe des clubs champions FIRA en 1964. Le Grivita Rosie de Bucarest est déclaré vainqueur alors que l'arbitre a interrompu le match en début de deuxième mi-temps car le capitaine montois André Boniface, expulsé pour avoir sanctionné lui-même un hors-jeu, a refusé par deux fois de quitter le terrain. Le score était alors de 10 à 0 pour le Grivita Rosie[15].
La même année, le club est éliminé en huitième de finale du championnat par Narbonne 13-6 et en quart de finale du challenge du Manoir par Béziers 11-8. Nettement dominé territorialement par les Bitterois, Mont de Marsan tient le match nul 8-8 jusque dans les arrêts de jeu lorsque le centre Fratangelle arrêtera de volée un dégagement manqué à 20 mètres des buts montois. Il passa ensuite ainsi le but victorieux en coup de pied tombé[16]. Mont de Marsan aurait pu prendre sa revanche lors du challenge Antoine Béguère mais là encore, Béziers aura le dernier mot, vainqueur 6-3 en finale.
Demi-finaliste du championnat 1965
Le club reste ensuite un protagoniste régulier de l’élite où il se qualifie régulièrement pour les phases finales. Premier de sa poule devant Grenoble, il parvient notamment jusqu’en demi-finale du Championnat en 1965 après avoir éliminé Tarbes en quart de finale.
La même année, Mont de Marsan, privé des frères Boniface est éliminé est demi-finale du challenge du Manoir par Cognac 13-8 dans un match où Darrouy aura été bien peu servi[17].
Finaliste du challenge du Manoir 1966
Après avoir éliminé Toulon en quart de finale puis Béziers 23-3 en demi-finale, Mont de Marsan se qualifie pour la cinquième fois de son histoire en finale en challenge du Manoir.
Après avoir mené 6-0 à la mi-temps grâce à deux essais de Darrouy sur interception et de Guy Boniface, magnifiquement décalé par son frère André, il est battu par Lourdes 16-6 au parc des Princes devant un public record de 30000 spectateurs dans un match de toute beauté contrastant avec la finale du championnat de France Agen-Dax émaillé d’incidents le dimanche précédent.
Après la triste finale du championnat de France, cette finale du Challenge du Manoir est surtout celle de la réhabilitation du noble jeu. Le soir au banquet, le président du Racing CF, organisateur du challenge lancera aux 30 joueurs et à l’arbitre M. Lebecq : « Merci pour le rugby ».
Dernières saisons glorieuses
La même année, Mont de Marsan échoue en quart de finale du championnat comme en 1967, 1968 et 1971, tandis qu’en 1969 et 1970, il est éliminé en seizième.
Après un huitième de finale de championnat en 1972, largement perdu face au voisin de l’US Dax, une première descente en groupe B en 1973, alors que l’élite est réduite de 64 à 32 clubs marque la fin de l’âge d’or du club.
Montées et descentes (1974-1981)
Mont de Marsan connaît ensuite une période d’instabilité sportive pendant un quart de siècle environ. Le club remonte en 1974 dans l'élite à nouveau élargie à 64 clubs.
La saison 1974-1975 est ensuite marquée par la triste fin de carrière de l'international Benoît Dauga gravement blessé lors d'un match contre Dijon[18].
Les jaunes et noirs subissent une autre descente en 1977, (alors que l’élite compte 40 clubs) puis une remontée immédiate en 1978, suivi d’une nouvelle descente en 1979.
S'appuyant sur une bonne génération de jeunes finalistes de la Coupe Frantz Reichel en 1979 avec notamment Laurent Rodriguez, Bruno Lom et Manuel Carpentier qui deviendra international avec Lourdes, la Stade montois remonte deux ans plus tard dans l'élite.
En 1980, il échoue contre le SC Albi en quart de finale. Manuel Carpentier quitte alors le club pour Lourdes.
En 1981, demi-finaliste du championnat du groupe B face à Tyrosse, Mont de Marsan retrouve l'élite.
Maintien dans l’élite (1982-1986)
Après deux saisons 1982 et 1983 où il se maintient de justesse, le club atteint les seizièmes de finale en 1984 et les huitièmes de finale en 1985, battu par le champion de France bitterois en matchs aller-retour. Mais le public reste nostalgique de l’équipe d’antan naguère réputée pour la qualité de son jeu d’attaque.
Départs des internationaux
Les entraîneurs et les dirigeants se succéderont sans parvenir à redonner au club son lustre d’antan. Toutefois, cette période difficile permet au club de donner deux joueurs supplémentaires au XV de France, Laurent Rodriguez qui partira pour Montferrand en 1986 puis Dax l’année suivante suivi quelques années plus tard par Marc Dal Maso en 1991.
Montées et descentes (1987-1999)
C’est alors une nouvelle descente en 1986 alors que l’élite est réduite à 20 clubs pour préparer la Coupe du monde, puis une nouvelle remontée dans les 32 clubs du groupe A en 1988 où l’équipe atteint même les huitièmes de finale du Championnat, éliminé par Bègles-Bordeaux. La même année, Mont de Marsan se qualifie également pour les huitièmes de finale en Challenge où il est éliminé par Montferrand.
Après une nouvelle descente en 1989 puis une remontée immédiate en 1990, Mont de Marsan se maintient encore quatre ans dans l’élite entre 1991 où l’équipe disputera son dernier huitième de finale et 1994 où il descend malgré une victoire de prestige contre le FC Grenoble. Les meilleurs éléments tels Stéphane Prosper où David Darricarrère partent poursuivre leur carrière sous d’autres cieux.
Si la remontée en groupe A2 fut manquée de justesse la première année, battu par Montauban lors du match décisif, ce fut ensuite une dégringolade avec trois descentes successives jusqu’en 1997 où le club toujours considéré comme le fleuron historique du jeu à la française jouera en 2e division fédérale, le 4e niveau hiérarchique du rugby français.
Le club qui réalise un recrutement important avec notamment les 2 piliers des Mammouths de Grenoble Franck Capdeville et Philippe Tapié, privés du titre 3 ans plus tôt après une finale polémique[19] et David Darricarrère, grand espoir du club parti tenter sa chance au plus haut niveau[20] remontera aussi vite qu’il est descendu avec trois promotions successives. Le club retrouvera donc l’élite en 2000 sous l’impulsion de l’ancien talonneur Jean-Bernard Duplantier, devenu entraîneur.
Champion de France Élite 2 1999
La saison 1999 voit l'arrivée de la star du Rugby à sept Waisale Serevi[21]. Mont de Marsan renoue ainsi avec sa culture offensive et remporte le titre de champion de France élite 2 mais est relégué deux saisons plus tard en 2001 alors que l’élite est réduite de 21 à 16 clubs. Fabrice Lalanne et Stéphane Castaignède sont sélectionnés en équipe de France.
Équipe championne[22] :
1. Tapié puis Pin 2. Dehez puis Boizot 3. Capdeville puis Michaud
4. Lago 5. Parent puis Villaucabeza
6. Alaoui 8. Monbeig puis Prospero 7. Lalanne
9. Pedehontaa 10. Serevi
11. Marson puis Labrouche puis Thierry Picard 12. Leven puis Dauba 13. Darricarrère 14. Ducamp
15. Darquier
Champion de France de Pro D2 2002
Mont de Marsan remporte le championnat de Pro D2 2002 et remonte donc immédiatement en TOP 16 mais est relégué immédiatement. Le club passera cinq saisons consécutives en Pro D2 entre 2004 et 2008.
Remontée en Top 14 pour la saison 2009
Après un barrage d’accession gagné contre le Racing 92 en 2008, Mont de Marsan est de retour en Top 14 Orange pour une saison mais le club est relégué dès sa première saison.
Retour en Pro D2 (2010-2012)
Il ne reste en Pro D2 que trois ans et est promu en 2012 après avoir battu Pau en finale d'accession 29-20.
Dernière saison en Top 14 en 2013 puis stabilisation en Pro D2
De retour en Pro D2 synonyme de la fin d'un cycle, le club se tourne vers l'avenir, avec l'arrivée de Christophe Laussucq en tant que manager général du club[23].
En 2016, le club perd en demi-finale de Pro D2 sur le terrain du Stade aurillacois sur le score de 28-13[24].
En 2017, une nouvelle tribune est construite et le club dispose de nouvelles installations. Le club, quatrième se qualifie pour la demi-finale d'accession qu'il perd sur le terrain de l'US Montauban.
Encore quatrième en 2018, Mont de Marsan perd en demi-finale sur le terrain de l'USA Perpignan après un match heurté marqué par l'expulsion de Dan Malafosse.
En 2019, Mont de Marsan termine cinquième avant de perdre en quart de finale sur le terrain du RC Vannes.
En 2020, le Stade montois est classé à la 11e place du Championnat lorsque l'arrêt de la compétition est acté en raison de la pandémie de Covid-19 en France, et reste en Pro D2.
En 2021, Mont de Marsan termine à la dixième place du Championnat.
Image et identité
Logo
Le Stade montois change de logo pendant la saison 2008-2009[25] ; il est utilisé officiellement sur le maillot à partir de la saison suivante[26].
- Ancien logo.
- Ancien logo jusqu'en 2008.
- Logo depuis 2008.
Rivalités
Le club de la préfecture entretient une rivalité sportive tenace avec celui de la sous-préfecture, l'US Dax, donnant lieu aux affrontements entre les Abeilles et les Culs rouges[27].
Mascotte
La mascotte du club est Buzoka, représentant une vache de course landaise[28].
Palmarès
Compétitions internationales | Compétitions nationales | Compétitions de jeunes |
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Les finales du Stade montois
Parcours du Stade montois
Bilan par saison
Saison | Championnat | Nb équipe/poule | Division | Classement | Phase finale | Titres |
---|---|---|---|---|---|---|
2015-2016 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2014-2015 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 2e | finale d'accession | - |
2013-2014 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 7e | - | |
2012-2013 | Top 14 | 14 | Première division | 14e | Relégation | - |
2011-2012 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 3e | Promotion | - |
2010-2011 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2009-2010 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 12e | - | - |
2008-2009 | Top 14 | 14 | Première division | 14e | Relégation | - |
2007-2008 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 3e | Promotion | - |
2006-2007 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 9e | - | - |
2005-2006 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 11e | - | - |
2004-2005 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2003-2004 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 12e | - | - |
2002-2003 | Top 16 | 8 | Première division | 8e | Relégation | - |
2001-2002 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 1er | Promotion | Champion |
2000-2001 | Élite 1 | 10 | Première division | 8e | Relégation | - |
1999-2000 | Élite 1 | 12 | Première division | 8e | - | - |
1998-1999 | Élite 2 | 16 | Seconde division | 1er | Promotion | Champion |
1997-1998 | Groupe B | Troisième division | 1er | Promotion | Champion | |
1996-1997 | 2e Division | ? | Quatrième division | Promotion | Quart de finaliste | |
1995-1996 | Groupe B | 14 | Troisième division | 12e | Relégation | - |
Personnalités du club
Joueurs emblématiques
- Eric Melville
- Jean-Baptiste Amestoy
- Pierre Cazals
- Robert Baulon
- Louis Blanc
- Rémi Talès
- Julien Tastet
- André Boniface
- Martin Jágr
- Guy Boniface
- Benoît Dauga
- Christian Darrouy
- André Caillau
- Willy Taofifénua
- Franck Capdeville
- Philippe Tapié
- Éric Michaud
- Fernand Cazenave
- Paul Tignol
- Pierre Pascalin
- Pierre Lacroix
- Laurent Rodriguez
- Jean Darrieussecq
- Marc Dal Maso
- Pierre Castaignède
- Thomas Castaignède
- Stéphane Castaignède
- Waisale Serevi
- Rémy Martin
- Jocelino Suta
- Timoci Matanavou
- Jean-Marc Mazzonetto
- Jean-Michel Parent
- Dorian Laborde
- Alexandre Bécognée
- Carlos Muzzio
Joueurs formés au club sacrés champions du monde des moins de 20 ans
Entraîneurs successifs
Saisons | Entraîneur(s) | Adjoint(s) | Titre(s) |
---|---|---|---|
1959 - 1967 | Fernand Cazenave | ||
1967 - 1969 | Henri Domec | ||
1969 - 1972 | André Boniface | ||
1972 - 1974 | Christian Darrouy[réf. nécessaire] | ||
1974 - 1976 | Christian Darrouy[réf. nécessaire] Pierre Lestage | ||
1976 - 1977 | Langarica | ||
1977 - 1978 | André Boniface Jean Bernard Baylac | ||
1986-1989 | Max Godemet
Jean Pierre Labeyrie |
||
1989 - 1990 | Jean Pierre Labeyrie Patrick Nadal | ||
1990 - 1991 | Jean Michel Detchegaray Patrick Nadal | ||
1991 - 1992 | Jean Guibert Patrick Nadal | ||
1992 - 1994 | Jean Guibert Frédéric Larrieu | ||
1994 - 1995 | Bruno Lom Patrick Talès | ||
1995 - 1996 | Pierre Baylet Jean Marie Capdeguy | ||
1996 - 2000 | Jean-Bernard Duplantier | Championnat de Fédérale 1 1998 Champion de 2e division 1999 | |
2000 - 2001 | Michel Couturas | Philippe Sauton | |
2001 - 2002 | Philippe Sauton Dominique Lunardi | Champion de Pro D2 2002 | |
2002 - | Jean-Bernard Duplantier (manager) | Claude Marson Philippe Mothe | |
- ? | Pierre Dolon Philippe Mothe | ||
? - 2006 | |||
2006 - 2007 | Philippe Bérot (arrières) Philippe Berbizier (avants) | ||
2007 - 2012 | Marc Dal Maso (manager et avants) | Stéphane Prosper (arrières) | |
2012 - | Marc Dantin (manager et avants) | ||
- 2013 | Scott Murray (avants) Stéphane Prosper (arrières) | ||
2013 - 2014 | Christophe Laussucq (manager et arrières) | Scott Murray (avants) | |
2014 - 2019 | David Auradou (avants) | ||
2019-2020 | David Auradou (manager et avants) | David Darricarrère (arrières) | |
2020- | Patrick Milhet (manager) | Julien Tastet (entraîneur principal) Rémi Talès (arrières) |
Effectif professionnel 2020-2021
Staff
Présidents de la section rugby
- Jean-Robert Cazeaux (section professionnelle)
- Didier Courtade (association)
Entraîneurs
- David Auradou (manager général, avants)
- David Darricarrère (arrières)
- Patrick Milhet (préparateur physique)
- Raphaël Steyer (analyse vidéos)
Staff médical
- Gérard Morincomme (médecin)
- Brice Pereyre (médecin)
- Jean-Marc Kubler (médecin)
- François Delétré (médecin)
- Matthieu Hervé (kiné)
- Sarah Louit (kiné)
- Alexis Marciniak (kiné)
Logistique
- Laurent Couget (responsable équipement)
- Thierry Courregelongue (responsable équipement)
- Pierre Ley (caméraman)
Centre de formation
- Joan Caudullo (directeur sportif du centre de formation)
- Paul Beguerie (directeur sportif du centre de formation)
- Thierry Gatineau (responsable sportif de l'association)
- Brice Pereyre (responsable médical)
- Matthieu Herve (masseur kinésithérapeute)
- Stanislas Trolonge (diététicien du sport)
Autres équipes
Équipe féminine
Le club abrite une équipe féminine, le Stade montois rugby féminin, sous l'égide de l'association Stade montois rugby, section non-professionnelle de rugby du club omnisports.
Les Montoises atteignent la finale du championnat de France de Fédérale 1 au terme de la saison 2017-2018, décrochant ainsi leur accession pour l'Élite 2[32]. Elles s'inclinent finalement lors de la finale. Néanmoins, les instances de l'association du Stade montois déclinent la promotion au niveau supérieur, contre l'avis des joueuses[33],[34]. En réponse à cette décision, l'ensemble des joueuses et de l'encadrement sportif quittent finalement le club, la majorité rejoignant celui de Peyrehorade[35].
Alors que le club déclare forfait pour la saison 2018-2019 de Fédérale 1, la section féminine met en place une entente avec celle d'Hagetmau, évoluant alors en Fédérale 2 sous le surnom des abeilles chalossaises[35],[36]. En catégorie rugby à 10, les Montoises obtiennent un titre de championnes de France.
Notes et références
Notes
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- Une première finale avait été jouée le 15 mai 1949 au stade des Ponts Jumeaux à Toulouse et s'était soldée par un 3-3 après prolongations.
- Stade montois et Béziers départagés au bénéfice des essais.
- Pour les joueurs formés au club, année de leur première apparition en équipe professionnelle.
Références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « US Dax-Stade montois en rugby à XV » (voir la liste des auteurs).
- (ro) « Grivita sarbatoreste maine 40 de ani de la castigarea Cupei Campionilor Europeni », sur www.rugby.ro, (consulté le )
- « Le Quinze de France peut gagner le Tournoi », L'Équipe Hors-série, no 6H : La Légende des Bleus en quinze matches, , p. 8 et 9. (ISSN 0153-1069)
- Première finale en 1949 lnr.fr
- Garcia 1996, p. 327 et 328.
- Lalanne 2006, p. 125.
- Encyclopédie du rugby français, P. Lafond & J-P Bodis, éditions Dehedin, « Stade Municipal, Parc Lescure, Bordeaux, 24 mai 1959. », sur lnr.fr, (consulté le ).
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- de Baillenx 2013, p. 31.
- Nicolas Morin, « Sport légende > Bayonne/Biarritz, Dax/Mont-de-Marsan, les finales des frères ennemis de l'ovale », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
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- « Stade Municipal, Parc Lescure, Bordeaux, 2 juin 1963 », sur lnr.fr, (consulté le ).
- R. E., « Un jour - une finale : 1963, Mont-de-Marsan sacré sans grâce », L'Équipe, (consulté le ).
- Source : stademontoisrugby
- (de) « Erste Europapokal-Auftritte », sur www.rugby-verband.de, DRV (consulté le )
- Mérillon 1990, p. 100.
- Mérillon 1990, p. 106.
- « Benoît Dauga est gravement blessé », sur www.lemonde.fr, Le Monde, (consulté le )
- Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », sur www.midi-olympique.fr, Midi olympique, (consulté le )
- « Saint-Sever, des « blacks » à la hausse », Le Parisien, (consulté le ).
- Michel Lacrouts, « Serevi, un magicien dans les Landes », sur www.ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le )
- « Montauban n'a rien pu faire »
- Source : lnr.fr
- Julien Plazanet, « PRO D2 - Aurillac - Mont-de-Marsan (28-13) : Aurillac décroche sa première finale d'accession ! », sur rugbyrama.fr, .
- « Billetterie Stade Montois Rugby / US Dax », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
- « Nouveau Maillot du Stade Montois Rugby », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
- Michel Gardère, « Une guéguerre qui n'en finit pas », Le Point, (consulté le )
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- « 1998 (GROUPE B) », sur finalesrugby.com (consulté le ).
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- Didier Courtade, Lionel Gauzere, « Les vérités sur la décision polémique du refus d'accession à l'élite 2 pour nos féminines séniors », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
- « Stade Montois rugby : les féminines quittent le club », Sud Ouest, (consulté le ).
- Paul Ferrier, France Bleu Gascogne, « Les ex-rugbywomen du Stade Montois ont signé à Peyrehorade », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- « Défaite des féminines à Mugron », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- [Mérillon 1990] Jean Mérillon, Le Challenge Yves du Manoir : Histoire du rugby, Paris, Éditions Chiron, , 335 p. (ISBN 2-7027-0395-X)
- Henri Garcia, La fabuleuse histoire du rugby, Éditions de la Martinière, , 935 p. (ISBN 2-7324-2260-6)
- [Poustis 2011] Francis Poustis, Les acteurs du rugby landais, Dax, Éditions Passiflore, , 240 p. (ISBN 978-2-918471-07-3), p. 104-107
- [de Baillenx 2013] Olivier de Baillenx, Finale '63 : U.S.Dax - Stade Montois, Biarritz, Éditions Atlantica, , 2e éd. (1re éd. 2003), 132 p. (ISBN 978-2-7588-0471-0)