Saverdun
Saverdun (Savardun en occitan) est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Saverdun | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Pamiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Philippe Calleja 2020-2026 |
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Code postal | 09700 | ||||
Code commune | 09282 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saverdunois | ||||
Population municipale |
4 841 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 08″ nord, 1° 34′ 31″ est | ||||
Altitude | 235 m Min. 209 m Max. 374 m |
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Superficie | 61,47 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Portes d'Ariège | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saverdun.wix.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Saverdunois.
Géographie
Localisation
La commune de Saverdun se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 13 km de Pamiers[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Canté (4,1 km), Labatut (5,6 km), Brie (5,6 km), Le Vernet (5,9 km), Lissac (6,4 km), Justiniac (7,1 km), Saint-Quirc (7,4 km), Calmont (7,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Saverdun fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[5].
Saverdun est limitrophe de dix autres communes dont deux dans le département de la Haute-Garonne.
Située en plaine d'Ariège entre Toulouse et Pamiers, la commune est limitrophe du département de la Haute-Garonne.
Hydrographie
La commune est arrosée par l'Ariège et ses affluents, la Lansonne, le Crieu, l'Aure et la Galage qui confluent tous sur la commune.
Géologie
La superficie de la commune est de 6 147 hectares ; son altitude varie de 209 à 374 mètres[7].
Voies routières
La commune est traversée par les départementales 14 et 820 (ancienne RN 20) et desservie par la sortie 2 de l'autoroute A66.
Transports en commun
La commune est desservie par une gare de la SNCF, située sur la ligne reliant Portet-sur-Garonne à la frontière espagnole à Puigcerda, et desservie par le réseau d'autocars Arc-en-ciel.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « « climat océanique altéré » » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12],[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pamiers Lycagri », sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985[14]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 39 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[18], à 14,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Saverdun est une commune rurale[Note 4],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saverdun, une unité urbaine monocommunale[24] de 4 844 habitants en 2017, constituant une ville isolée[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,5 %), prairies (11,2 %), forêts (9,8 %), zones urbanisées (2,9 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Peu d'informations relatives à la situation de Saverdun sont disponibles entre la fin de l'Empire romain et le Xe siècle. Toutefois, un important château dont la tour s'élevait à 19 mètres et plusieurs églises ont été construits dès le début du XIe siècle.
Saverdun[30] a ensuite été étroitement mêlé aux événements de la croisade des Albigeois qui ensanglantent l'Occitanie entre les XIe et XIIIe siècles et qui ont déjà provoqué la perte de nombreux édifices médiévaux.
Son développement s'est néanmoins poursuivi par la suite, puisque l'hôpital Saint-Jacques y a été construit en 1289 ainsi que le couvent des Augustins en 1316.
Le développement de Saverdun, qui avait été largement acquis à la Réforme, s'est encore poursuivi jusqu'à la fin du XVIe siècle, époque à partir de laquelle elle a été à nouveau durement affectée par les guerres de Religion. On estime que la population devait alors s'élever entre 3 000 et 4 000 habitants occupant 800 foyers environ, ce qui devait constituer une bourgade relativement importante à cette époque dans la région.
Finalement, Louis XIII fit raser tous ses remparts entre 1630 et 1633 et une trentaine d'années plus tard, la destruction des édifices religieux protestants fut décidée et exécutée.
Selon une « carte postale » datant de 1624, les remparts de Saverdun occupaient l'actuel lieu-dit le Château, alors que, contrairement à la situation la plus habituelle de l'époque, la plus grande partie de la ville était construite « hors les murs » à l'endroit où elle se trouve aujourd'hui.
À quelques exceptions près, ne subsistent des constructions importantes de Saverdun à l'époque médiévale et post-médiévale, que quelques vestiges du château qui devait pourtant être imposant. Ainsi de la tour, qui aurait mesuré 19 mètres de haut sur 8 mètres de diamètre à la base, il ne reste qu'un moignon de quelques mètres dans un état de délabrement avancé.
Les seuls édifices historiques remarquables visibles sont une aile de l'hôpital Saint-Jacques, telle qu'elle a été reconstruite immédiatement après l'incendie qui a ravagé complètement l'édifice en 1751 et l'église Notre-Dame, construite en 1648 après la destruction de toutes les églises de la ville par les « Réformés ».
Le temple protestant, place Roussille, est beaucoup plus récent puisque sa construction n'a été entamée qu'en 1792 et achevée en 1823. Il a ensuite subi différentes transformations dont la dernière a été effectuée en 1970. On notera que l'esplanade sur laquelle il est construit, lui est très antérieure.
Un autre édifice de l'époque, le moulin farinier, ignoré sans doute par une grande partie de la population, parce que situé à l'intérieur des locaux de la minoterie, subsiste également aujourd'hui. Le moulin qui a subi de nombreuses transformations depuis sa première édification, aurait existé avant 1566 et été reconstruit en 1640 après une inondation qui l'aurait entièrement emporté. Il fonctionne toujours mais en tant que centrale hydro-électrique non accessible au public.
Saverdun n'a guère compté qu'une fabrique de faux[31] comme activité industrielle, elle fit faillite en 1861 alors qu'elle comptait une quarantaine d'ouvriers.
Saverdun est aussi un haut lieu de la Résistance en Ariège.
Le , un avion de transport militaire Noratlas, du Centre d'instruction des équipages de transport 340, s'écrase sur la commune à la suite d'un givrage brutal. Aucun survivant parmi les quatre membres de l'équipage. Une stèle a été placée en leur honneur sur la D 229 après la sablière, en direction de Mazères.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à un château d'or
Commentaires : Le blason est répertorié dans l'Armorial général de France (1697) qui mentionne, autour, une inscription Castel de Saverdun en caractères d'argent. |
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt neuf[32],[33].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Pamiers de la communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées et du canton des Portes d'Ariège (avant le redécoupage départemental de 2014, Saverdun était le chef lieu de l'ex-canton de Saverdun) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saverdun.
Liste des maires
Jumelages
- Verdun (Montréal) (Québec). En 1671, un fief noble est concédé à Zacharie Dupuis, à proximité des rapides du Sault-Saint-Louis (Rapides de Lachine) qu'il dénomme Verdun en souvenir de son village natal de Saverdun dans le département de l'Ariège du sud de la France. Ce fief de 320 arpents, correspond aujourd'hui au quartier de Crawford aux limites ouest de Verdun. Le secteur occupait un emplacement stratégique, car il était un lieu d'un ancien portage amérindien, sur la route du commerce des fourrures. Saverdun et Verdun, au Québec, sont jumelées depuis 1981. Fondé par Zacharie Dupuis, un militaire français ariégeois. Depuis 2002, Verdun constitue un arrondissement de Montréal.
- La Roche-en-Ardenne (Belgique)
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2018, la commune comptait 4 841 habitants[Note 6], en augmentation de 5,63 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[38] | 1975[38] | 1982[38] | 1990[38] | 1999[38] | 2006[39] | 2009[40] | 2013[41] |
Rang de la commune dans le département | 6 | 6 | 6 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement
Saverdun fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède une école maternelle, deux écoles primaires, un collège, un lycée professionnel et un institut protestant.
École maternelle
- École maternelle Charles-Perrault[42]
École primaire
- École élémentaire Pierre-et-Marie-Curie I[43]
- École élémentaire Pierre-et-Marie-Curie II[43]
Lycée professionnel
- Lycée professionnel[45] Dr-Philippe-Tissié.
Institut protestant
L'Institut protestant, fondé en 1839 et issu de la paroisse locale est reconnu d'utilité publique. L'institut se charge de l'accueil des enfants orphelins ou en difficulté, de leur éducation, leur insertion dans la vie sociale et professionnelle.
Sports
- Rugby à XV : l'Union athlétique saverdunoise évolue en Fédérale 3 pour la saison 2019-2020,
- Natation : Saverdun Pyrénées Natation Sauvetage,
- Basket-ball : UA Saverdun Basket,
Cultes
Au cœur de la cité se trouvent l'église de Saverdun (catholique), et le temple de Saverdun (protestant), ainsi qu'un vaste cimetière.
Économie
Secteur agricole
Saverdun est une agglomération rurale, dont la principale économie est l'agriculture.
Secteur industriel
- Les industries du bois
- L'industrie agro-alimentaire
- Les industries mécaniques et métalliques
- Les espaces verts
Artisanat et commerce
En 2011, Saverdun accueille le Centre d'affaires Larlenque, dont l'activité s'articule autour du commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en petites surfaces.
Culture locale et patrimoine
Culture locale et patrimoine
- Capsule temporelle
Le , une « Capsule Temporelle » renfermant des messages rédigés par les enfants et la population de la communauté de communes Saverdun a été enfouie dans le jardin public de l'école Pierre-et-Marie-Curie. La réouverture de cette « Capsule » est prévue pour le . Elle contient plus de 530 messages. Cet évènement a été réalisé par les enfants du centre de loisirs.
- Église Notre-Dame de Saverdun.
- Temple de l’Église protestante unie de France.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Fournier (né à Canté vers 1285-1342), élu pape à Avignon en 1334 sous le nom de Benoît XII
- Arnaud Novel, cardinal né à Saverdun (date inconnue, mort en 1317)
- Bernard d'Albi, cardinal né à Saverdun (date inconnue, mort en 1350)
- Zacharie Dupuis, militaire français né en 1608 ou en 1610 à Saverdun, connu pour avoir fondé, au Canada, la ville de Verdun, aujourd'hui un des arrondissements de Montréal
- Gabriel Désombs de Fajac (1752-1829), général français de la Révolution et de l’Empire, né et mort à Saverdun.
- Pierre Sol-Beauclair (1754-1814), général français de la Révolution et de l’Empire, né à Saverdun.
- Jacques-Thomas Sarrut, général-baron né à Canté le . Sert sous la Révolution française et le Premier Empire, honoré pour ses faits d'armes et son courage par l'Empereur Napoléon Ier, mort le (bataille de Vitoria, Espagne)
- Jean-Pierre-Jacques-Auguste de Labouïsse-Rochefort (1778-1852), homme de lettres français né à Saverdun
- Pierre Félix Ducasse (1844-1904), journaliste, orateur populaire des réunions publiques, écrivain, capitaine d'État-major de la Garde nationale, protagoniste de la Commune révolutionnaire éphémère de Toulouse, puis pasteur à Camarès, né à Saverdun le
- Antonio Ortiz Ramírez (1907-1996), militant anarchiste catalan
- Aldo Quaglio (1932-2017), joueur de rugby à XV né à Saverdun
- Michel Roussel, ex-directeur d'enquêtes de la cellule Homicide 31, essayiste, né à Saverdun le
- Fabien Pelous, joueur de rugby à XV (2e ligne), capitaine de l'équipe de France, 118 sélections
Cinéma
Le film Trois amis sorti en 2007 a été tourné en partie à Saverdun.
Équipements culturels
Saverdun dispose d'un Centre culturel, dans lequel il y a un Centre de ressources (reprographie, bureautique, réseau câblé, et internet…), mais aussi une médiathèque publique et une salle de spectacle.
Le cinéma est inclus dans le Centre culturel, avec une capacité de 189 places.
La ville dispose de deux salles des fêtes dont une de grande capacité, et une autre petite salle d'une centaine de places.
Saverdun s'implique auprès des différents groupes d'animation :
- l'Atelier chorégraphique ;
- la Chorale « Au bonheur de chanter » ;
- la Compagnie de théâtre du « Chat Noir » ;
- la troupe ludique « Côté Jardin » ;
- la troupe de danse « Danse ! Petit Prince ».
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Saverdun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saverdun et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saverdun et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saverdun », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 271-272.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Pamiers Lycagri - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saverdun et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pamiers Lycagri - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saverdun et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- C. Barrière-Flavy, Histoire de la ville de Saverdun, Le livre d'histoire, 1890, première édition, réédité en 2006, 362 p. (ISBN 2-84373-913-6, lire en ligne)
- « Saverdun autrefois cité industrielle ? », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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