Montaut (Ariège)

Montaut est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

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Montaut

La plaine ariégeoise vue depuis Montaut.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées
Maire
Mandat
Yannick Jousseaume
2020-2026
Code postal 09700
Code commune 09199
Démographie
Gentilé Montaltiens
Population
municipale
706 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 18″ nord, 1° 38′ 41″ est
Altitude 280 m
Min. 241 m
Max. 295 m
Superficie 35,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Pamiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes d'Ariège
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montaut
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Montaut
Géolocalisation sur la carte : France
Montaut
Géolocalisation sur la carte : France
Montaut

    Ses habitants sont appelés les Montaltiens et les Montaltiennes.

    Jusqu'au XIXe siècle, le village est aussi connu sous le nom de Montaut-de-Crieu.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Montaut se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 25 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à km de Pamiers[3], sous-préfecture, et à km de Saverdun[4], bureau centralisateur du canton des Portes d'Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Le Vernet (3,4 km), Villeneuve-du-Paréage (3,7 km), Bonnac (4,8 km), Le Carlaret (6,6 km), Trémoulet (6,9 km), Bézac (7,1 km), Gaudiès (7,2 km), La Bastide-de-Lordat (7,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montaut fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[6].

    Montaut est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Montaut et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Galage et le Crieu des affluents de l'Ariège, ainsi que par l'Estaut, le Raunier et le Ruisseau du Cazeret des affluents de l'Hers-Vif.

    Géologie

    La superficie de la commune est de 3 503 hectares ; son altitude varie de 241 à 295 mètres[8].

    Montaut est située sur une colline à 280 m d'altitude, dominant le Crieu et les alentours d'où l'on distingue très nettement son clocher caractéristique octogonal en briques rouges, datant du XIIe siècle.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 793 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14],[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pamiers Lycagri », sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 46 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaut est une commune rurale[Note 4],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), prairies (10,1 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), forêts (1,5 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %), zones urbanisées (0,9 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux

    Balayer, Couzinet, Commelongue, Crieu, Fourram, Janissou, Hôpital, Lansac, Peyroutet, Vernou, Vernezes...

    Voies de communication et transports

    Accès avec l'autoroute A66 (Villefranche-de-Lauragais/Pamiers) et les routes départementales D 29, D 624, D 30 et D 414, ainsi que par la gare du Vernet-d'Ariège sur la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière).

    Histoire

    Un certain Vadier, originaire de Pamiers, possédait des domaines sur Montaut. Vers 1785, Vadier voulut convertir certaines de ses terres en seigneurie, par engagement. Il accusa d'autres propriétaires, notamment Cazes, qui lui avait refusé la main de sa fille, et Dardigna, d'avoir fait échouer son projet, et il conçut contre eux une haine terrible[29]. Devenu député aux États généraux de 1789, puis en , président et doyen du Comité de sûreté générale, organe policier et répressif de... la Terreur, il use et abuse de ses pouvoirs illimités. Ainsi, après le 22 prairial an II (), les débats publics étant supprimés au Tribunal révolutionnaire, il fait traduire ceux dont il veut se venger : à peine la loi votée, plusieurs habitants de Montaut et précisément ceux qui se sont opposés à l'érection de ses terres en seigneurie[30] sont renvoyés au tribunal révolutionnaire et exécutés.

    Émile Lefèvre, notaire passionné d'agriculture, fonda sur sa propriété la ferme-école du domaine de Royat qui fonctionne de 1849 à 1928. Elle a acquis une grande notoriété en étant à l'origine de la taille de la vigne dite en cordon de Royat et de la méthode de vinification dite par gravité[31].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[32],[33].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant l'arrondissement de Pamiers, de la communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées et du canton des Portes d'Ariège (avant le redécoupage départemental de 2014, Montaut faisait partie de l'ex-canton de Saverdun) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saverdun.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    septembre 2018 En cours Yannick Jousseaume   Retraité de l'agriculture
    mars 2008 2018 Monique Gagneux DVG Retraitée enseignement public
    1962 2008 Georges Courthieu DVG Retraité exploitant agricole
    mars 1959 1962 Elie Séguéla   Douanier
    mars 1950 1962 Henri Carretié   Exploitant agricole
    aôut 1945 1950 Germain Ail    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2018, la commune comptait 706 habitants[Note 7], en augmentation de 0,71 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7246548191 0281 0721 1671 2421 3251 333
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4251 4041 4201 3181 3511 2191 2941 2561 205
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1051 0841 091946918888903852861
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    782646551538554582667678711
    2018 - - - - - - - -
    706--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
    Rang de la commune dans le département 38 45 48 49 46 42 43 43
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Économie

    Montaut se trouve dans la zone de production du Pays-cathare (IGP).

    Enseignement

    Une école primaire publique fonctionne sur la commune. Montaut fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Pétanque, randonnée pédestre, football

    Écologie et recyclage

    Une usine de méthanisation de déchets agricoles fonctionnera en continu au printemps 2021. Le digestat sera ensuite utilisé comme engrais organique[42].

    La collecte et le traitement des déchets des ménagés et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMECTOM du Plantaurel[43],[44].

    Culture locale et patrimoine

    Culture locale et patrimoine

    • Le cœur du village est fortifié, l'accès se faisant à l'origine par un porche récemment rénové.
    • Louis XIII signe la démolition du château le (réalisée par Galinier, capitaine, en 1635) : il n'en reste que quelques ruines.
    • Excavation (puits, silo ?) découverte en 2010.
    • Église Saint-Michel, du XVe. L’une de ses chapelles renferme les reliques de saint Eudoce, centurion romain martyr. Cloche de 1533 et orgue mécanisé à l'aide de rouleaux pointés exécuté vers 1830-1840 (protégé le ) ; clocher octogonal.
    • Domaine de Peyroutet-Vadier (XVII, XVIIIe), privé : maison ayant appartenu à Marc-Guillaume-Alexis Vadier, député du tiers état à la Convention qui vota la mort du roi, créateur du département de l'Ariège. Le domaine est inscrit à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du 1er avril 1993.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Son blasonnement est : Écartelé : au 1, de gueules à trois pals d’or ; au 2, d’azur, à un monde d’argent ; au 3, d’or, à un château de gueules et au 4 d’argent, à deux vaches passantes de sable posées l’une sur l’autre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Montaut », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Montaut et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Montaut et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Montaut et Saverdun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Montaut », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 271-272.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Pamiers Lycagri - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Montaut et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Pamiers Lycagri - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Montaut et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Grézaud 1972, p. 424.
    30. Assemblée Nationale,F/7/4435/II,7
    31. J.-Ph.C, « Montaut. Sauver la mémoire de Royat », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
    32. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. « Saverdun : le chantier de l’usine de méthanisation bientôt terminé », La Dépêche du midi, , p. 16 (lire en ligne)
    43. « Accueil du site internet du Smectom », sur SMECTOM : Site Internet (consulté le ).
    44. http://www.smectom.fr/les-services-smectom/les-services-par-commune/communaute-de-communes-des-portes-d-ariege-pyrenees-326.html
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